Exhibition Inattendue

Avant le théâtre. Martine, ma femme, est prise d'un besoin urgent
Passage au bureau qui est à deux pas pour aller aux toilettes.
On tombe nez à nez avec l’homme de ménage. Un Sri Lankais d’une trentaine d’années. Il est tout de suite surpris de nous voir, mais il ne nous pose aucune question. Timide, il s’efface pour nous laisser aller. Les lumières de toutes les pièces sont allumées. Il fait le ménage dans toutes les pièces du bureau.
Quand Martine sort des toilettes, la présence de cet homme me donne une envie. Je la prends dans mes bras et lui vole un baiser. Elle me le rend, mais je la vois qui regarde dans le couloir où se trouve le Sri Lankais. Elle ne veut pas être vue ! Quand je lui mets une main sur les fesses et lui remonte sa jupe elle me dit tout bas :
- Tu es fou, le type peut nous voir.
- Mais non, je l’entends qui passe l’aspirateur au bout des bureaux, lui répondis-je, de plus en plus excité.
Comme je continue, elle se dégage et le type apparaît dans le coin d’une porte, dans le couloir qui sépare les bureaux. Elle a tout juste le temps de se rajuster, mais je suis sûr qu’il a compris ce que nous faisions. Rapidement il s’efface plus gêné que moi, comme coupable de son indiscrétion... Martine, elle, est furieuse de s’être laissé prendre.
Moi, je bande et j’ai bien envie de poursuivre. Martine passe dans un autre bureau, une des parois est en verre et donne sur le couloir. Je vais voir le type et lui fais un sourire pour le rassurer que rien de mal ne s’est fait. Il est tout plein de respect et de timidité. Il continue son ménage.
Je rejoins Martine et la reprends dans mes bras. On se place à l’écart pour ne pas être surpris. Elle se laisse faire.
- Le gars fait le ménage dans mon bureau et je ne pense pas qu’il revienne ici car il a déjà fait cette pièce.
Mon argument doit la convaincre car elle se laisse faire. Je la place dos au couloir et lui remonte sa jupe, passe vite les mains dans sa culotte à même la peau des fesses.


Comme elle ne réagit pas, je lui baisse sa culotte à mi-cuisses. On jette tous les deux un regard dans le couloir, le gars fait toujours son ménage.
Alors, je retourne Martine :
- J’ai envie de te prendre là vite fait. Je suis tout excité. Je sens que toi aussi tu as envie. Appuie-toi sur les étagères, je surveille le couloir.
Je la retourne, elle se plie en deux la tête dans ses bras sur une étagère.
Les fesses bien avancées, elle se cambre, je lui remonte sa jupe sur les reins, lui baisse un peu plus sa culotte et rapidement je sors ma bite qui est déjà toute raide.
C’est alors que j’aperçois le gars qui sort d'une pièce. Je vais pour me cacher, mais il disparaît aussi vite. Il nous a vus c’est sûr. Alors cette situation m’excite encore plus.
Martine, le cul à l’air ne peut pas le voir. Je me tais.
Brutalement je la pénètre. Elle mouille abondamment, prouvant que cela l’excite aussi.
- Tu aimes cela, ma cochonne. Prise à la sauvette !
- Dépêche-toi, cesse de parler, le type va venir, dit-elle, tout essoufflée déjà.
Et je commence à aller et à venir rapidement dans son sexe. C’est alors que je vois la tête de l’homme de ménage dépasser de l’encoignure de la porte du bureau juste en face. Il a laissé l’aspirateur à l'autre bout du couloir en diversion et fait semblant de ne pas regarder en essuyant la vitre en guise de mur des bureaux. Pourtant je vois bien qu’il regarde par en dessous, en coin. Je fais, comme si je ne l‘avais pas vu et cela ajoute à mon excitation. Comme je veux qu’il en voie le plus possible, je me penche en avant, défais le chemisier que porte Martine, dégage sa poitrine libre sans sous vêtement, et la pelote sans ménagement. Je fais jaillir les seins, les fais bander pour le spectacle. J’ouvre largement le chemisier, replie les bords sur son dos dégageant la poitrine jusqu'à la ceinture pour faire balancer les seins au rythme de mes coups de queue. Ma femme placée de profil doit offrir à son voyeur une vue superbe de sa poitrine et de ses fesses.
Il ne me faut pas longtemps pour jouir. J’éjacule en silence et ma femme m’accompagne tandis que je me répands en elle.
Un regard discret de l’autre côté du couloir et je croise le regard de notre voyeur qui ne se gêne plus pour regarder. C’est à ce moment que Martine le voit. Vite elle se dégage et va se cacher dans les toilettes toutes proches, rouge de honte. Elle me jette un regard de furie. L’homme a disparu.
Quand elle sort quelques minutes après, sa colère semble avoir disparu. Elle m’adresse même un petit sourire complice.
On se rhabille et en sortant l’homme de ménage n’ose pas nous regarder, mais comme je le salue, il lève la tête et nous fait un petit signe de la main. Martine, coquine, lui, adresse un large sourire, comme pour lui dire qu’elle a bien vu qu’il matait mais qu’elle ne lui en voulait pas.
J’ai encore les jambes molles en arrivant au théâtre.
Arsenne

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