Situation Inattendue

C’était un dimanche, un soir de juin, nous avions profité de cette belle journée pour arranger les extérieurs, arracher les mauvaises herbes, tondre la pelouse. Après s’être douchée, ma femme, vêtue de son peignoir, alla s’asseoir sur le canapé de la salle de séjour afin de se décontracter devant la télévision. Quelqu’un sonne, c’est un jeune, un garçon timide, poli et réservé qui cherche mon fils. Ce dernier ne devant pas tarder à revenir, je l’invite à s’installer dans un fauteuil, lui verse un jus de fruit et retourne bricoler au sous-sol.
Au bout d’un moment je remonte ma femme dort profondément, rompue et fatiguée pas les travaux de la journée. Le jeune homme d’un signe me fait comprendre que tout va bien aussi je redescends. Ayant oublié un outil sur la terrasse, je sors par le garage et monte les escaliers. De la porte-fenêtre qui donne dans la salle, je n’aperçois pas le garçon, je vois seulement ma femme qui dort encore, son peignoir entrouvert découvrant légèrement ses cuisses. Je m’approche, le jeune s’est enfoncé dans le fauteuil et la dévore des yeux tout en se caressant par-dessus son short. Au bout d’un moment il se lève et s’approche d’elle, tourne autour, se baisse, se penche, certainement pour essayer de mieux voir. Tout doucement il tire sur le peignoir. Peu à peu le tissu glisse, laissant apparaître progressivement le duvet soyeux de son pubis. Cela doit être la première fois qu’il voit de si près un sexe féminin. Pour mieux apprécier, il se rapproche et tient son visage à quelques centimètres, là, il se met à sentir l’odeur du fruit défendu et le lèche furtivement. Emoustillé par cette situation, je sens mon membre grandir, prendre du volume dans mon pantalon. Il continue, le corps se dénude davantage, le galbe de ses seins se découvre et les pointes commencent à apparaître. Maintenant, presque tout son corps est offert, ces cuisses entrouvertes ne cachent plus rien de son intimité, à l’extrémité de ces lèvres froissées apparaît l’ouverture du plaisir.

Tout en hésitant, il passe sa main tremblante entre les jambes écartées et remonte jusqu’au sexe. Là, il s’arrête un instant promenant un doigt autour de l’entrée, l’introduit légèrement, caresse ensuite timidement le téton avant de le saisir entre le pouce et l’index pour le serrer légèrement. Avec sa main gauche passée par-dessous la jambe du short, il touche sa verge. Soudain son corps se met à trembler et je comprends qu’il est entrain d’éjaculer. Il ressort ses doigts pleins de sperme, s’essuie avec son mouchoir et retourne s’asseoir. Quelques instants après j’entends une moto, c’est mon fils qui arrive, rapidement je descends, le garçon sort derrière moi et vient nous rejoindre. Ses joues sont toutes rouges et son souffle un peu haletant. Ils se saluent et s’en vont. Je me rends dans la salle et admire ce corps dévêtu qui a suscité tant de plaisir. Elle est là devant moi, souriant dans son sommeil, ces pointes de seins dressées et je ne peux résister à l’invitation de sa petite fente humide que j’embrasse tout doucement. Elle doit dormir profondément car elle ne réagit pas. A petits coups de langue je la déguste, m’introduit dans son intérieur savourant son élixir d’amour. Je suis vraiment excité, je sens que mon sexe va éclater, j’ai envie de faire plus, de profiter de cette situation inattendue. Je sors de ma poche un tournevis dont j’introduis lentement le manche dans son vagin. A chaque mouvement de va et vient je l’enfonce davantage à tel point qu’il finit par rentrer en entier. Elle commence à gémir aussi je le ressors rapidement, le pose et commence à la toucher avec mes doigts. Les yeux mi-clos elle me regarde, me tend les bras, je descends mon pantalon, mais dès que mon sexe la pénètre, je ne peux retenir une féroce éjaculation. Pour la satisfaire je lui picore la pointe de ses seins en érection, son ventre, masturbe son clitoris, rentre un et puis deux doigts, elle mouille, elle s’abandonne, de temps à autre elle sursaute et puis c’est l’extase, le moment de la volupté, de l’orgasme, elle jouit.
Je veux continuer mais ma main reste emprisonnée entre ses cuisses qu’elle serre fortement.
Je ne lui ai pas révélé le fin mot de cette histoire, car j’ai trop peur qu’elle se choque, mais peut-être le devrais-je…! .

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