Amoureuse De Ses Jambes

Les jambes de mon amie Sarah étaient impressionnantes, longues de plus d'un mètre, fuselées, un galbe parfait. Je ne pouvais m'empêcher de la contempler pendant ses bains de soleil sur le transat au bord de la piscine. J'étais jalouse. Un soir nous en discutions autour d'un verre. Elle me dit qu'au fond j'étais fétichiste et qu'elle était flattée d'être l'objet de mes fantasmes. Je rougis jusqu'aux oreilles car elle venait d'exprimer tout haut l'idée qui me tiraillait. Elle sourit en voyant le trouble qui s'était emparée de moi. Le lendemain, je ne pouvais détacher mes yeux de ses jambes au bord de l'eau. Elle le remarqua et je détournais le regard, gênée.

« Pourquoi te conduis-tu comme si je t'avais surprise en train de faire quelque chose d'interdit ?

- Heu, c'est que... bredouillais-je...

- Tu fantasmes sur mes jambes ?

- Un peu avouais-je, elles sont magnifiques, je suis jalouse...

- Ba viens ».

Elle me fit une place auprès d'elle à ses pieds et posa ses jambes sur mes cuisses.

« Vas-y elles sont à toi ».

C'était étrange, mais je commençais à les lui masser. Sa peau était douce. Je lui caressais les mollets, les cuisses, les genoux et m'attardais même sur ses pieds.

« Tu aimes mes pieds ?

- J'aime tout chez toi.

- Tant de dévotions mérite une récompense. Enlève le bas de ton maillot. Dit-elle avec autorité.

- Pourquoi ?

- Ne pose pas de question, obéis, tu vas aimer ».

Choquée, je fis ce qu'elle me demandait. A peine avais-je finis de défaire le lacet qui retenait mon maillot qu'elle avança le pied vers mon sexe et commença à me caresser le clitoris avec ses doigts de pieds. Cette vision me remplissait d'aise. Jamais je n'avais pensé à ça mais je commençait à mouiller de le voir. Elle le vit, sourit et flatta ma vulve avec son talon. Je jouis. Elle sourit encore et introduisit son gros orteil dans mon vagin.

Elle entra si profondément que bientôt la moitié de son pied qu'elle avait très fin disparut, absorbé en moi. Elle commença de lents mouvements de va et vient et bientôt je jouis à nouveau vaginalement cette fois. Elle ressortit son pied et m'ordonna de lui lécher pour le nettoyer de ma jouissance.

« Tu vois, je t'avais dit que tu aimerais ».

J'étais aux anges.

« Il va falloir parfaire ton éducation cependant. Tu as de la chance j'ai décidé d'être ta maîtresse. Va me chercher à boire, nous avons à discuter et te voir jouir m'a donné soif... »

Je partis chercher un verre... Je ne savais pas ce qu'elle avait derrière la tête. Tellement désorientée, j'oubliais de remettre le bas de mon maillot...

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