Une Femme Amoureuse

Je suis arrivée en France à l’âge de 18 ans. J’ai passé mon enfance en Chine, dans une famille d’intellectuels ultra-conservateurs. Je suis venue en France pour améliorer mon français, avant de retourner chez moi pour devenir interprète. Mais j’ai rencontré un garçon sexy, audacieux et cultivé, et j’en suis tombée amoureuse.

J'ai toutes les critiques habituelles concernant mon corps, mes hanches sont trop larges, mes fesses trop rondes, mes jambes trop courtes, mes seins trop petits, mais d'après son regard, je pouvais dire qu’il m’avait trouvée attirante.

Nous avons rapidement emménagé dans un immeuble de standing, et nous nous sommes pacsés, en espérant mieux.

J'ai trouvé un petit boulot qui m’occupe quelques heures par jour, insuffisant pour que je cesse de m’inquiéter pour l’argent. Heureusement, mon conjoint a obtenu une grosse promotion. Le revers de la médaille, c’est qu’il devra faire des déplacements, plus ou moins longs. Je n’aime pas rester seule. J’ai cherché un emploi qui m’occuperait plus et qui me permettrait de gagner mieux, mais dans ma situation c’est difficile.

Comme je n’aime pas rester inactive, et que je commençais à m’ennuyer, je me suis inscrite dans une salle de sport, dans mon quartier. C'est là que j'ai rencontré Marianne, une très jolie jeune femme, qui habite dans le même immeuble que moi. Marianne a un travail bizarre qui lui permet de travailler principalement à domicile.

J’aurais voulu en savoir plus, mais elle est restée évasive, me disant juste que ça ressemblait à du télétravail. Je n’ai pas voulu être indiscrète, et je n’ai pas insisté. Quoi qu'il en soit, elle a beaucoup de temps libre, et nous sommes devenues amies. À bien des égards, elle est mon contraire, extravertie, ouverte, séduisante et audacieuse.

Au début, je pensais que ce grand noir au gymnase était son petit ami, ils s'embrassaient, se caressaient comme des amoureux puis, quelques jours plus tard, je l'ai vue avoir la même attitude avec un autre gars.



Quand je l’ai questionnée sur le sujet, elle a ri et m’a répondu qu'elle était résolument célibataire. Ensuite, elle m’a expliqué son concept de vie, et j’ai été estomaquée. Elle m’a confié qu'elle avait plusieurs amants en même temps, cinq en ce moment, et qu'il n'était pas rare pour elle d'avoir des relations sexuelles avec plusieurs hommes. Elle m’a avoué aussi qu'elle n’avait que des partenaires noirs.

Je suis asiatique, en couple avec un blanc, ce serait hypocrite de ma part de m’offusquer de l'aspect interracial, mais j'ai dû affronter certaines de mes craintes concernant les noirs. Marianne, si intelligente, si sensée, sortir avec des hommes noirs, cela me semblait la dévaloriser. Et puis il y avait le nombre ! Pour moi, une femme qui fait ce genre de choses est une salope. Je ne comprenais pas cette manière de se comporter.

Elle m'a demandé si j'avais déjà eu une relation avec un homme noir, et j'ai répondu «Non» sèchement. Elle a souri et m’a dit: "Chérie, tu ferais mieux de rester comme ça, parce qu'une fois que tu as goûté au sexe avec un noir, tu ne peux plus t’en passer."

J'aurais dû probablement m’éloigner d'elle, nos façons de penser étant incompatibles. Mais je n’avais pas d’autre amie, je me sentais désespérément seule, et elle était la seule personne que je pouvais voir tous les jours. 

Je dois bien admettre qu’elle m’attirait, sa joie de vivre et son dynamisme me séduisaient. De plus, elle savait que je n'avais pas l'esprit rapide, elle était toujours patiente avec moi, m’expliquant longuement quand je ne comprenais pas.

J'ai fini par occulter son côté libertin, et notre amitié s'est rene. La seule différence maintenant, c’est qu'elle me parle ouvertement de ses aventures sexuelles. À la salle de sport, lorsqu’elle voit un nouveau garçon noir, elle commente sans pudeur sa musculature en se demandant ce qu’il cache dans son pantalon. Quand elle parvient à le séduire, elle me détaille ensuite longuement ses performances sexuelles.
Elle ne semble vivre que pour ça.

Un jour, nous étions chez elle, elle a sorti un cahier et me l'a tendu. J'ai commencé à le feuilleter. Au début, c’était déroutant, jusqu'à ce qu'elle m'explique. Elle tenait un journal de chacune de ses expériences sexuelles, le prénom du gars, ce qu’ils avaient fait, la taille de son pénis, combien de fois, si elle avait joui, l'ampleur de ses orgasmes, etc ...
Elle avait commencé son journal intime à l’âge de seize ans, avec plusieurs rencontres par semaine, et certains n’avaient même pas de nom ! Je lui ai demandé pourquoi elle ne mentionnait pas l’ethnie, car cela semblait si important pour elle, et elle m’a dit que ce n’était pas nécessaire, puisqu'ils étaient tous noirs.

J'étais une femme en couple, avec une éducation stricte. J'aurais dû lui dire qu'elle avait besoin d'un psychanalyste, sortir de là en trombe, et ne plus jamais lui adresser la parole, mais je n'ai pas pu. Au début, je pensais que c'était juste de la fascination, un truc qui empêche vos yeux de se détourner d'un spectacle d’horreur. Mais j'ai réalisé que j'étais vraiment déconcertée par la façon dont elle vivait cela. Elle ne pensait qu’au plaisir, qu’à ce qui lui était agréable. Cela m'a frappé en réalisant le contraste avec ma conception de la vie.

Malgré ma pudeur, nos conversations ont commencé à tourner autour du sexe, de tout ce qu'elle avait, et que je n'avais pas. Elle me parlait de volupté, d’orgasmes à répétition, je lui répondais tendresse, amour de mon compagnon. À force de parler de sexe, d’avoir cette idée tellement en tête, mon copain en a évidemment bénéficié. 

Le soir, j’attendais avec impatience le moment d’aller au lit, et je l’ai parfois surpris en prenant l’initiative. S'il voyait le changement dans mon attitude envers le sexe, il ne l'a jamais mentionné, craignant probablement que je m'arrête.

J’adorais mon copain, mais le sexe avec lui n'était pas aussi merveilleux que dans les récits de Marianne.
 Il travaillait très dur, il était toujours fatigué, et je l'épuisais. De plus, dans ma culture, il s'agissait toujours du rôle de la femme de satisfaire l’homme, les besoins sexuels de la femme semblaient toujours secondaires. Le seul exemple que j'avais de femme sexuellement satisfaite, c’était Marianne.

Pour aggraver les choses, il partait de plus en plus souvent ou pour des durées de plus en plus longues. Il m’a dit que cette situation ne durerait pas éternellement, que je devais être patiente, puisqu'il était promu responsable régional, et il devait tout mettre en place avant de pouvoir s'installer. Quoi qu'il en soit, je me suis retrouvé seule à la maison, et de plus en plus excitée.

Lorsqu’il a dû s’absenter plus d'une semaine, j'ai parlé avec Marianne du fait que je regrettais de devoir rester aussi longtemps sans sexe. Elle a ri et m’a dit que j'avais besoin d'un amant, un grand, long et noir. Je l'ai blâmée en disant que j'étais une femme amoureuse et fidèle. Elle a insisté en disant qu'elle parlait d’un amant électrique. Je n'étais pas sûre de comprendre ce qu'elle voulait dire. Après notre séance de yoga, elle m'a emmenée dans un sex-shop et m'a montré une grande variété de godes avec vibrateur.

J’étais morte de honte d’entrer dans un endroit pareil. J’étais effarée par la variété des modèles, des formes, des couleurs. Je ne savais pas par où commencer, je ne savais pas lequel choisir, je n’avais qu’une envie, m’enfuir.

Devant mon étonnement et mon effarement, Marianne en a choisi un pour moi. Elle me l’a même offert. Avant de nous séparer ce jour-là, je lui ai demandé comment on s’en sert. Elle a gloussé, et m'a dit que je devais résoudre certains problèmes par moi-même. 

Chez moi, j'ai déballé l’objet, et j'ai rougi en réalisant qu’il était énorme. Gros, plus que sexe de mon chéri, long, environ 25 cm, et équipé d’une vibration à intensité réglable. La forme était très réaliste, et il était noir comme la nuit.
Comme il était déjà équipé de piles, curieuse, j’ai voulu l’essayer.

Je suis allée dans ma chambre, je me suis déshabillée, et je l’ai essayé. Debout, devant le miroir, je n’arrivais à rien. Assise, pas pratique, et surtout pas confortable. C’est couchée sur le lit que j’ai trouvé comment m’en servir.

J’ai découvert pour la première fois ce qu’était un orgasme, et c’était tellement bluffant que j’ai continué à l’utiliser jusqu’à ce que je sois interrompue par la sonnerie du téléphone.

C’était Marianne qui voulait savoir si j’appréciais mon cadeau. J’étais gênée de parler de quelque chose d’aussi personnel, même avec elle, mais la fine mouche a réussi à me faire avouer que je l’avais utilisé. Mais je ne lui ai pas raconté que j'étais allongée, nue sur mon lit, avec les jambes écartées et le truc enfoncé dans ma chatte.

J’ai plus joui ce soir-là que toute ma vie. Je me sentais remplie en le glissant à l'intérieur, il était plus gros et plus long que le pénis de mon chéri. Il était infatigable, et il m’a permis de recommencer encore et encore jusqu’à l’épuisement.

L’épuisement des piles, s’entend, parce que j’étais insatiable. Une fois que j’ai bien compris comment m’en servir, je recommençais encore et encore, et cela m'a surpris de voir combien c’était facile et agréable. J’ai démonté tous les appareils à piles de la maison, finalement je me suis demandée si je pourrais en avoir un plus gros, sur batterie.

Le lendemain, Marianne m’a appelée pour savoir si j’étais satisfaite de son cadeau. Honnêtement, je me sentais un peu gênée. Quel genre de femme passe toute la nuit avec un pénis vibrant dans son vagin ? Je lui ai dit très bien, sauf que j'avais épuisé toutes les piles de la maison.

Aucun gode, même vibrant, ne peut égaler un homme qui grogne et souffle en pompant au-dessus de moi, donc j'étais heureuse en fin de semaine de retrouver mon copain. Mais il me manquait encore quelque chose. Dès qu’il s’est absenté, je suis retournée jouer avec mon gode, mais avec quelques différences.

À l'origine, lorsque j'utilisais mon jouet, j’imaginais faire du sexe avec mon copain, mais progressivement, dans mes fantasmes, le visage d'autres hommes s’est substitué au sien. Le visage de gars que j’avais croisé dans la rue, au supermarché ou dans la salle de sport. La plupart du temps, c’était le visage d’hommes noirs.

J’assimilais cela à de l’adultère, et le fait de m’imaginer avec un amant noir, me faisait jouir plus fort et plus longtemps. Je ne sais pas pourquoi exactement le fait que ce soit un homme noir me paraissait plus troublant, plus émoustillant.

À partir de ce moment-là, je me suis mise à regarder les hommes, et surtout le pantalon, au niveau de l’entrejambe, rangeant mentalement dans mon cerveau les images les plus sexy pour les utiliser plus tard. J'avais honte de moi et je me sentais coupable, mais je ne pouvais tout simplement pas m'en empêcher.

Je sortais mon amant noir de sa boîte plusieurs fois par jour, et je fantasmais sur les anecdotes que Marianne m'avait contées, ou sur des hommes croisés au hasard. Je m’imaginais dans les bras d’un grand athlète noir, hurlant de plaisir sous ses coups de bite qui me retournaient le cerveau.

Je jouais à un jeu dangereux, je le savais. L'infidélité mentale, chez la femme, est bien pire que l’infidélité physique, chez l’homme. Mon attitude était immorale, je le savais, mais je pensais que c’était provisoire. Quand mon copain allait cesser ses déplacements, nous pourrons avoir des relations sexuelles régulières et normales, et je cesserai d’utiliser ce gode.

Avec mon corps bousculé par toutes ces hormones et nouveaux sentiments, je ne pouvais tout simplement pas m'en empêcher. Je devais juste éliminer autant d’exaltation que possible, jusqu’à ce qu’il soit disponible pour moi. Une fois que les choses seront redevenues normales, j'ai pensé que mes envies lubriques disparaîtraient.

Stupidement, je suis allé chez le gynéco, me faire retirer mon stérilet. Si j'étais fertile, mon ami voudrait plus de relations sexuelles, et si j'étais enceinte, cela calmerait ma sexualité.

Je n’ai pas eu le temps d’expliquer à mon chéri ce que je venais de faire, je sortais de chez le médecin, qu’il m'a annoncé qu'il s’absentait plus de deux semaines. Il avait besoin de rendre au siège, en Allemagne, pour compléter sa formation. Je l’ai suppliée de m’emmener avec lui, mais il a été intraitable.

Confiant, il croyait qu'il me manquait, que j’étais amoureuse, mais la vraie raison, c’était que je ne pouvais plus me faire confiance. Marianne, avec toutes ses bêtises, m’avait tourné la tête, et j’étais prête à faire n’importe quoi.

Quand je voyais un beau mâle maintenant, souvent un noir, je fantasmais sur lui, mes tétons durcissaient et ma chatte commençait à saliver. Je me précipitais à la maison pour me faire plaisir. J'ai élargi ma recherche d'emploi pour trouver un travail, n'importe lequel, pour occuper mon temps et mon esprit.

Cela, Marianne l’ignorait. Je savais qu'elle saurait bien me faire passer du fantasme à la réalité sur je lui confiais mes soucis. Quand elle a voulu connaître des détails sur l’utilisation de mon vibromasseur, j’ai dit que c’était bien à l’occasion, mais que ça ne pouvait pas remplacer mon chéri. Elle l’a accepté.

Les trois premiers jours d’absence de mon copain, j'ai résisté à la tentation. Mais le troisième jour, Marianne m'a présenté un gars, un noir, superbe, en lui précisant que j’étais célibataire. J'ai fait de mon mieux pour paraître désintéressée, mais j'avais l'impression que mon cœur sautait dans ma bouche.

Je me sentais comme un chien à qui on pose une friandise sur le nez. Je salivais devant sa stature, ses biceps bombés, ses cuisses musclées. Sa peau était noire, luisante de sueur sous l’effort. Sans pudeur, Marianne m'a dit devant lui qu’elle l’avait essayé, et que c’était un «super coup.»

J’étais horriblement gênée, surtout quand elle a ajouté que, si je le voulais, je n’avais qu’à tendre la main et l’emporter chez moi. Mes oreilles n’entendaient plus qu’un léger bourdonnement, ma vision devenait floue, j’ai hoché la tête à plusieurs reprises, en souriant bêtement, ne comprenant rien à ce qu’il me disait.

J'étais tellement ardente. Mon ventre me faisait mal. J'avais hâte d’être chez moi pour me livrer à mon jeu favori. J'avais besoin d’exulter, et cela m'inquiétait d’être tentée à ce point. J'avais peur de perdre la tête la prochaine fois, de ne plus pouvoir résister à la tentation, et de céder au premier venu.

La prochaine fois, c’était le quatrième jour d'absence de mon mari. Je rentrais chez moi. Un gars entre deux âges, la cinquantaine grisonnante, un noir, dans le couloir de mon immeuble. Je ne sais pas comment il a fait pour trébucher, et lâcher une pile de dossiers qu’il portait sous le bras.

Je me suis précipitée pour l’aider à ramasser tout son fourbi. Il se confondait en excuses, le pauvre vieux, et je pensais :

"Celui-là, je ne risque pas d’en tomber amoureuse !"

Nous avions fini de ramasser tout son bric-à-brac, nous nous tenions face à face, il n'était pas très grand, mais très large d’épaule. Il m’a dévisagée, ses yeux ont rencontré les miens, et il m’a fait un sourire si chaleureux, qu’il m’a fait chavirer le cœur. Je pensais, «mais qu’est-ce qui t’arrive, ma pauvre fille, t’es devenue folle, pas un vieux !»

Ma chatte me picotait, et je sentais mes tétons s’ériger. Il habitait juste là, il m’invitait à entrer, pour boire une bière, pour me remercier de l’avoir aidé. Je restais là, bras ballants, comme une idiote, et il m’a prise par le bras pour me faire entrer.

Son appartement était en bordel, il était en train d’emménager, il s’appelait Dylan, et j’ai réussi à refermer ma bouche et à avaler ma salive. La partie de mon esprit qui voulait rester une femme honorable, droite et fidèle, me commandait de prendre congé. Mais je restais là, figée, à le regarder ouvrir ses bières.

Il m’a lancé un regard perplexe, et je réalisais qu’il me tendait une bière quand il m’a attrapé le poignet pour me forcer à prendre la bouteille. Généralement, je ne bois pas de bière, mais c’était un peu tard pour refuser.

Nous nous sommes tenus dans la pièce principale, un séjour avec un coin-cuisine, à environ 1,50 mètre l'un de l'autre, et nous avons bu notre bière. 

Il m'a posé toutes sortes de questions, si je vivais seule, si je travaillais, si j’avais quelqu'un. J'avais le sentiment qu’il me draguait, le vieux cochon, et ce sentiment faisait picoter ma chatte. Je lui ai dit que j'étais couple, sa mine déçue a fait picoter ma chatte, mais que mon copain était absent pour deux semaines, et son sourire retrouvé m'a fait picoter ma chatte encore davantage.

Finalement, j'ai réussi à finir ma bière. Je voulais prendre congé, mais il a hardiment attrapé mon bras, il m'a attiré contre lui et m'a enlacée en m’embrassant sur les lèvres. Sa langue dans ma bouche, ses mains partout sur mon corps. Mon corps pressé contre le sien, si musclé, si chaud, si doux. Une sorte de fièvre m’a saisie, et je me suis abandonnée à lui.

J'ai écarté l’idée que c’était mal, de tromper son copain avec un noir, un vieux en plus, que je connaissais depuis 5 minutes à peine. Collée à lui, bouches soudées, ses mains sur moi, dans des endroits que je ne savais pas si sensibles, je sentais son érection pousser contre mon ventre.

Il a attrapé mon cul, m’a soulevée de terre, j’ai mis mes jambes autour de sa taille et il m'a transportée sans effort pour me déposer sur le canapé. Je pouvais sentir sa force et sa puissance, mais il était si doux avec moi. Il m’a déshabillée entièrement et j’étais nue devant lui, devant le deuxième homme de ma vie. 

Il s’est penché sur moi pour sucer mes mamelons, ses mains couraient sur moi, et j’ai eu mon premier frisson de plaisir.
Puis sa bouche a rampé sur mon ventre, elle est descendue entre mes jambes, et il a fait quelque chose que j'avais toujours refusé à mon copain, parce que je trouvais ça «sale»

Il m'a léché la chatte. Aucune bouche n’était venue là, c'était fantastique, j'ai frissonné plusieurs fois sur sa langue. Puis il s’est levé, a ôté sa chemise, son pantalon, révélant une œuvre d’art. Un beau pénis noir, encore plus beau et plus gros que mon gode.

Il s'est assis à côté de moi, puis il posé ma tête sur ses genoux, me faisant bien comprendre qu'il voulait mettre son pénis dans ma bouche. Je n'avais jamais rien mis dans ma bouche, pas même mon pouce quand j’étais .

Mais je me sentais comme un jouet entre les mains de cet homme musculeux, j'ai ouvert grand ma bouche et j’ai sucé sa bite. Cela avait un goût un peu salé d'ambroisie, et un parfum de musc, et j’ai aimé. Il a gardé sa main sur ma nuque, me guidant tout en imprimant la bonne cadence.

Il s'allongea en arrière, gardant une prise ferme sur ma tête, j’ai dû repositionner mon corps, m’agenouillant entre ses jambes écartées, penchée sur lui. Je ne pouvais pas prendre le quart de sa bite dans ma bouche, mais il semblait satisfait, à sa façon de grogner et de gémir. 

Je voulais qu'il me baise, donc j'avais peur qu'il vienne dans ma bouche. Mais comme il m'avait déjà donné plusieurs orgasmes avec sa bouche, c’était normal pour moi de lui rendre la pareille.

Il accéléra son rythme, baisant ma bouche, marmonnant des horreurs, jusqu'à soulever ses hanches. Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre, lorsque son premier jet a giclé dans ma bouche. C’était tellement abondant que je ne pouvais pas tout avaler. C'était exactement comme Marianne l'avait décrit, mais en plus fort encore. Cette sensation inconnue de recevoir ces jets si forts, d’être utilisée comme une pute bon marché, m’a fait jouir sans me toucher.

Le goût était étrange, entre suave et acidulé, il agissait sur moi comme un aphrodisiaque, et je suçais fougueusement son sexe. J'ai tellement savouré l'expérience, que je ne me suis pas rendue compte qu'il avait enlevé ses mains de ma tête, et je continuais de le sucer, alors qu’il avait fini depuis longtemps.

Contrairement à mon chéri, il n'est pas redevenu mou instantanément, il est resté tout aussi raide. Il m'a allongée sur le dos et s'est placé entre mes cuisses. Il m'a dit qu’il aimait bien me débarrasser de sa première charge très vite, avant de s'installer dans une baise plus longue et plus sensuelle.

Il a pris un moment pour regarder ma nudité en sueur, en disant qu’il aimait bien baiser les filles asiatiques.

Il s’est couché sur moi et j’ai senti son sexe buter à l'entrée de mon vagin. J'ai brièvement pensé à mon chéri, à quel point c'était mal, que j’étais la dernière des salopes, mais il n'y avait aucun moyen d'arrêter cela maintenant, il n'y avait aucun moyen que je renonce si près de l'accomplissement.

"Tu prends la pilule ou quelque chose ?"

Je n'avais aucune excuse pour ne pas comprendre sa question. Quelque part dans ma tête, je savais comment les bébés étaient faits, mais mon esprit était dans les nuages. Rien ne pouvait arrêter ou retarder ce moment. Il n'y avait que cet instant qui comptait. J'ai juste hoché la tête.

Il a glissé ses mains sous moi, sous mes fesses, pour positionner mes hanches. Je me suis accrochée à ses épaules, et j’ai enroulé mes jambes autour de lui, me préparant ainsi à subir l’assaut.

Quand il a commencé à pousser avec ses hanches, ma chatte a résisté, et j'ai commencé à paniquer un peu. Puis, tout à coup, c’est rentré profondément. Je me sentais tellement remplie que c'était comme si je perdais une nouvelle fois ma virginité.

Il me faisait mal et je le lui ai dit. Il a souri, m'a dit de me détendre et de rester calme, et il a continué de me pénétrer doucement, calmement, en me parlant et en me câlinant pour que je n’ai pas peur.

Nous avons travaillé lentement ensemble, mes hanches se soulevant au même rythme que les siennes s’abaissaient. Ses gestes et ses manières étaient si tendres que j'étais en train de tomber amoureuse de lui. Il m'a fait l'amour, encore et encore, me donnant une série d’orgasmes fantastiques.

Son orgasme est venu soudainement, sans geste annonciateur, il m'a juste serrée plus fermement, et il a compressé sa bite au fond de ma vulve. Serrée dans ses bras puissants, mon visage enfouit dans son cou, j’ai levé mes jambes bien haut, la plante de mes pieds face au plafond, en sentant son sperme fécond envahir ma chatte fertile.

Je me concentrais sur la sensation chaleureuse et bienfaisante de cet homme puissant et magnifique libérant son sperme en moi. Une fois l’acte consommé, il m'embrassa sur le front et se leva. Je redescendais sur terre en prenant conscience de mon forfait et de ma trahison.

Il est allé dans la cuisine, chercher de la pizza froide. Nous avons mangé et bavardé comme deux amis. La différence, c’était que nous étions tous les deux nus, nos organes génitaux exposés. Je ne pouvais pas ôter mes yeux de son serpent noir, plus gros au repos que celui de mon mec en érection, et luisant de mes sécrétions vaginales. 

Chaque fois que je l'attrapais en train de regarder ma chatte, j'écartais et je resserrais mes cuisses pour faire couler quelques gouttes de sperme.

Quand il décida que sa queue s’était suffisamment reposée, il commença à se caresser en me lançant un regard sournois. J'ai regardé son érection grandir, fascinée, alors qu’il se penchait sur moi. Il m’a embrassée profondément sur la bouche, puis il m’installa à genoux.

Je ne connaissais cet homme que depuis une heure à peine, et j’étais totalement docile, incapable de résister à ce qu'il exigeait de moi. Bien sûr, il bénéficiait de mois de frustration sexuelle, soigneusement entretenue par les récits de Marianne et les absences prolongées de mon homme, mais cela n’avait pas d’incidence sur le fait que je désirais lui plaire. Entre ses bras puissants, je me sentais femme, et j’adorais cela.

Je pouvais l'entendre fouiner dans une boîte, puis il s'est agenouillé derrière moi. J'ai regardé entre mes jambes pendant qu'il enduisait sa bite avec un lubrifiant gras.

Je me demandais pourquoi il en avait besoin, ma chatte dégoulinait de nos jus mélangés, jusqu'à ce que je ressente une pression contre mon anus. Je n'avais même jamais imaginé voir un pénis entrer en moi de ce côté là, j'ai paniqué par réflexe en essayant de m'éloigner, mais il m'a attrapé par la taille et m'a tenu en place.

"Là, là ! Détends-toi, petite, et laisse-moi faire."

Sans que je puisse me défendre, il avait rentré sa queue presque à mi-longueur dans mon cul. Ça me faisait un mal de chien, j’avais l’impression qu’il m’ouvrait en deux, et j’étais persuadée que j’allais garder des séquelles de cette intrusion.

Mais il m'a caressée, m'a parlé pour me calmer, et au cours d'une longue et intime copulation, nous l'avons fait jusqu'au bout. Je ne peux pas prétendre que j'ai éprouvé du plaisir, ni que je demanderais à quiconque de me le refaire.

Mais cela me faisait me sentir si méprisable, et j'aimais tellement lui plaire, et le satisfaire. Finalement, il a tiré mes hanches vers lui, et il a claqué sa bite au fond de mon rectum. C'était un ajustement tellement serré que je pouvais sentir le sperme gonfler sa bite en remontant dans son sexe, avant de jaillir profondément en moi. 

Sentir cet homme éjaculer au fond de moi, provoqua un autre orgasme dans ma chatte maltraitée.

Il se leva et attrapa un rouleau d’essuie-tout pour se nettoyer.

"Merci pour la pause, mais je dois finir d’emménager. Je me fais livrer un matelas en fin de journée. J’irais frapper à ta porte pour voir si tu veux m’aider à le tester."

J'ai ramassé mes vêtements, me suis rhabillée et je suis rentrée chez moi, prendre une douche. Allongée sur mon lit, armée de mon gode vibrant, je me remémorais ma journée, et mes sentiments étaient mitigés. 

D'avoir trompé mon conjoint, avec un inconnu, noir, suffisamment âgé pour être mon père, de lui avoir accordé des faveurs que j’avais toujours trouvées, jusque là, parfaitement obscènes, dépravées, de m’être comportée comme une souillon, une catin, je me sentais horriblement salope.

Mentalement, émotionnellement, j’avais foiré mon couple, mais mon corps ... mon corps ne s'était jamais senti aussi bien ! Tous mes muscles semblaient détendus, mon esprit dans un état de béatitude, j'avais l'impression d’avoir été e et je me demandais si j'étais déjà devenue dépendante.

J'ai appelé Marianne, qui d’autre pouvait me conseiller ? Elle n'a pas répondu, mais m'a envoyé un SMS quelques minutes plus tard en disant qu'elle était occupée et qu'elle m’appellerait dès qu’elle aurait un moment. Je n'avais pas l'impression que Marianne me parlerait de modération et de maîtrise de soi, mais à qui d’autre pourrais-je parler de ce que je venais de faire à mon chéri ?

J'ai résolu de ne rien faire jusqu'à ce que j'aie parlé avec Marianne, mais quand j'ai entendu toquer à ma porte, j'ai sauté sur mes pieds. C'était Dylan, les livreurs venaient de partir.

Quand j'ai ouvert la porte, entièrement nue, il m'a regardé de haut en bas en se léchant les lèvres :

"Tu viens essayer mon nouveau lit ?"

"Non, je viens baiser avec toi !"

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