Damien (16) Saïd

Quand j'ouvris les yeux, j'étais seul dans le lit, j'entendis des bruits de voix et vis que Kader discutait avec le même employé de l'hôtel que la veille.
Mon amant vit que j'étais réveillé et me demanda "Bien dormi ?
- Oh oui.
- Alors debout, viens prendre ton petit déjeuner.
- Mais...
- Mais quoi ?
- Je ne peux pas me lever comme ça, nous ne sommes pas seuls.
- AH AH AH !! Ne t'en fais pas, Saïd me connaît bien, il sait bien que si tu es dans mon lit, c'est que je t'ai cassé le cul depuis que tu es rentré dans cette chambre.
- Mais je suis nu !!
- Et alors tu as honte, tu sais Saïd sait ce que c'est qu'un cul de pédale.
- Ce n'est pas ça mais...
- Arrête de discuter et viens ici !!".
Je compris au ton que Kader avait pris que ce n'était pas la peine de résister, je rejetai les couvertures et n'ayant rien trouvé pour me couvrir le corps je me dirigeai, rouge de honte, vers la terrasse.
Quand j'arrivai les deux hommes me regardèrent et Kader dit "Alors Saïd qu'en penses-tu ?
- Elle m'a l'air d'être une bonne salope, dommage qu'elle soit sale.
- Ce n'est pas de sa faute, c'est moi qui l'ai fait lever et venir directement du lit alors que j'ai passé toute la nuit à l'enculer et lui juter partout.
- C'est vrai, je suis d'accord mais avant que cette pute se lave.
- Tu as entendu toi, va te laver.
- Mais qu'est-ce que ça veut dire ?
- Saïd veut que tu lui suces la bite.
- Bien, je vais me laver et j'arrive".
Quand je sortis de la salle de bains ce que je vis me laissa sans voix.
Saïd avait ôté son uniforme et était complètement nu.
Cet homme était très athlétique, il avait des bras musclés et un torse impressionnant, son ventre plat montrait des abdominaux très au-dessus de la moyenne.
Il avait des cuisses puissantes mais ce qui me laissa sans voix, c'était son bas ventre.
D’une forêt de poils noirs émergeait une verge épaisse et longue, ce braquemart était largement plus gros et long que celui de Kader.


Ce sexe devait faire au moins 22 centimètres de long et 6,5 de diamètre sans compter le gland qui était énorme.
Sous ce phénoménal phallus pendaient deux grosses bourses duveteuses que je savais gorgées de sève.
Le pénis de Saïd était en érection et une goutte de sperme translucide perlait du méat.
Je devais avoir l'air idiot car Saïd me dit "Qu'est ce que tu as, tu n'as jamais vu une bite en l'air ?
- Si des quantités mais jamais une aussi grosse et longue.
- Tu as peur petit pédé blanc ? Il ne faut pas t'inquiéter tu ne vas que me sucer, je ne vais pas t'enculer.
- Je n'ai pas peur, j'ai même très envie de faire connaissance avec elle et c'est très dommage que tu ne me baises pas.
- Je n’ai pas le temps pour t’enfiler salope, je travaille.
- Dommage.
- Allez montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche de pute, viens me sucer et applique-toi.
- Tu ne seras pas déçu.
- J'en suis sur, je sais que tu as une vraie bouche à pipe.
- C'est ce qu'on a toujours dit.
- Allez prouve-le moi".
Saïd resta debout devant le lit les mains posées sur les hanches, je compris ce qu'il voulait.
Je m'avançai vers lui, il me prit par la nuque et me dit "Allez salope fais ton devoir".
Je m'agenouillai devant mon amant et commençai à flatter les testicules poilus d'une main tandis que de l'autre je caressai le monstrueux membre qui sous mes cajoleries n'en finissait pas de s'allonger et de grossir.
Pendant quelque temps je pratiquai sur mon homme de légers attouchements.
Mon mec avait toujours les mains sur les hanches et me laissait faire mais sa respiration s'était accélérée.
Je portai un coup de langue sur le bout durci recueillant au passage la liqueur qui suintait de l'orifice de la hampe dressée.
Trouvant que les prémisses avaient assez durés Saïd posa une de ses mains sur ma tête et appuya dessus, je compris qu'il voulait que je commence à le sucer.

J'ouvris tout grand la bouche et enfournai la fabuleuse tête de la pine, mon amant soupira et tendit son ventre vers moi.
Petit à petit j'embouchai l'énorme priape jusqu'à ce qu'il bute contre le fond de ma gorge.
Je gardai quelques instants le pieu de chair frémissant immobile dans ma bouche puis lentement j'entamai une douce fellation sur toute la longueur de la bite turgescente.
Mon homme semblait apprécier le traitement que je lui appliquai, il poussait de lourds soupirs de contentement chaque fois que j'engloutissais son phallus raide.
Cette virilité était tellement démesurée que je devais garder la bouche grande ouverte, deux filets de salive coulaient à la commissure de mes lèvres.
Longtemps je pompais lentement mon mec enduisant son splendide pénis de salive tout en caressant ses couilles qui commençaient à devenir dures comme de la pierre.
Saïd posa une de ses main sur ma tête et imposa le rythme auquel il voulait être sucé tout en me disant "C'est très bien petit pédé tu as une vraie bouche à pipe, tu es une superbe suceuse, continue ma petite pute, suce bien mon sucre d'orge".
Pendant de longues minutes j'appliquai une savante fellation à mon amant qui commençait à pousser de petits gémissements de plaisir quand soudain il bloqua mon visage entre ses mains et se mit à me piner la bouche en de grands coups de reins.
Je comprimai mes lèvres contre le splendide membre tout en le mordillant de en enroulant ma langue autour.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je sentis la queue palpiter en moi, il me sembla que le gland doublait de volume, mon homme plaqua ma figure contre son pubis et éjacula en feulant.
Je reçus une formidable giclée de semence qui fusa contre mes amygdales et je l'avalai avec délice.
Je continuai de longs instants à cajoler la verge qui continuait de se vider dans ma gorge.
Quand le calme fut revenu mon mec me lâcha et je me reculai, le fabuleux sexe avait à peine débandé, il était encore très gros.

Saïd me prit par les aisselles, il me releva et me dit "Tu suces comme une déesse, tu es une vraie salope, jolie petite pute dommage que je n'ai pas le temps car j'aurais bien goûté à ton trou du cul, enfin peut-être un autre jour".
Saïd se rhabilla et sortit, Kader me dit "Bon je ne pense pas que ce que tu viens d'avaler soit suffisant pour ton petit déjeuner, allez viens à table et mange".
En fin de matinée, sans que Kader ne m'ai retouché, nous prîmes la route de chez moi, je fis ma valise et nous partîmes pour Marrakech.

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