Damien V

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’étais maintenant devant les trois baraques. Là encore, rien n’avait changé. Ils avaient dû les repeindre récemment car tout semblait neuf et propre. Comme il y a quinze ans, devant les portes closes, des jeunes jouent au ballon en criant. Ils semblent surpris de voir un touriste en costard sur cette plage pratiquement déserte en cette saison.
J’avais aussi entendu les mêmes cris de joie quand j’étais couché sur le lit de camp, fesses enduites de salive.
Le gland mouillé de Mourad s’est collé contre ma rondelle encore irritée par la séance de la veille. Mes fesses se sont refermées autour de la hampe épaisse et chaude. Ma voix m’a semblé terriblement soumise.
- Non s’il te plaît. J’ai encore mal. S’il te plaît arrête.
- Je vais être gentil avec toi. Fais ce que je te dis et tu verras, tu ne sentiras rien. Tends ton cul. Vas-y, soulève-le. Pousse comme pour faire caca. Vas-y pousse… Comme pour faire caca. Fais ce que je te dit sinon tu vas la sentir passer! Je suis gentil, mais tu dois obéir.
Au ton qu’il avait, j’ai compris qu’il n’abandonnerait pas. Alors, j’ai fait ce qu’il me conseillait, me cambrant au maximum. Je tremblais en lui obéissant. Je lui tendais mon cul comme une pute. Il m’a fermement agrippé par les épaules. J’ai poussé du mieux que je pouvais en sentant la pression du gland contre mon trou. J’avais peur et j’avais honte. Les jeunes jouaient toujours au foot. La pression a augmenté contre mes sphincters contractés.
- Vas-y pousse. Pousse. Fait caca....
Un seul coup de rein très puissant. Une douleur fulgurante qui me coupe le souffle. Une brutale envie de vomir. Mon anus qui s’ouvre. Mon cri qui se casse brusquement. La main de Mourad sur ma bouche. Mes grognements de douleur.
Puis plus rien. A peine une légère brûlure au derrière et le sentiment d’avoir du plomb dans les intestins.
- Tu vois.

Je te l’avais dit. C’est passé. Ti es empalé jusqu’aux couilles. D’un seul coup. T’es un vrai enculé maintenant. Un bon petit cul français bien cassé.
C’était vrai, je sentais parfaitement les poils de son pubis contre mes fesses et ses couilles collées contre les miennes. Il m’avait sodomisé d’un seul coup de reins. Et sa grosse bitte était entièrement plantée dans la profondeur de mon ventre. J’avais l’impression que mes entrailles allaient éclater. J’avais envie de chier pour me débarrasser de cet énorme suppositoire.
C’est à ce moment précis que j’ai réalisé qu’il avait raison.
J’étais devenu un vrai enculé!
Ce bâton de chair qui venait de se planter du premier coup dans mon anus sonnait la fin de ce que j’avais été jusqu’à présent, et me transformait en individu hors de la norme. Un mec venait de planter sa pine dans mon fondement. Plus rien ne serait come avant.
Dehors, les gamins criaient toujours, pendant que moi, j’avais le cul cassé par une bitte d’arabe. Ils avaient certainement entendu mon cri de douleur. Comme le petit vendeur de maïs, ils avaient dû deviner ce qui se passait dans le bungalow.
Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses.
- Cambre-toi bien le français. Offre-moi bien ton cul. Décontracte-toi, sinon tu vas avoir mal. Le plus dur est fait.
Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s’ouvrir pour épouser la circonférence de son membre qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive. J’avais de moins en moins mal.
- Tu vois, Damien comme ton cul s’est bien ouvert. Maintenant je vais bien te niquer. Tu vas en redemander poufiasse.
Le calvaire a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait mes reins.
Le gland ouvrait mon conduit et l’élargissait, la douleur sourde ne me quittait plus. Je serais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements.
Au bout d’un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu’il pouvait y faire ce qu’il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s’écrouler. Il sortait tout son membre à l’exception de son gland et le replantait de toutes ses forces en mes fesses m’arrachant un cri à chaque fois que je sentais sa queue taper contre ma paroi anale.
Il me pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il m’a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m’ont remplis le cul.
Il ne s’est pas aperçu qu’aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j’avais éjaculé en même temps que lui. J’en ai été le premier surpris et complètement dérouté.
Quand il s’est retiré, j’ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L’impression d’un manque et en même temps de l’avoir encore en moi.
- Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille. On va bien te l’ouvrir. Il faudra faire tout ce qu’on veut. Si non, on dira à Sylvie que tu n’es qu’un pédé. Allez remets ton froc. Ne t’essuie pas. Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens.
Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J’ai laborieusement remis mon maillot de bain. J’avais un peu de mal à marcher. Mal au ventre aussi. J’avais l’anus irrité.
Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardés. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les autres doigts repliés. J’ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon cœur.
Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m’a traduit.

- Il a dit qu’avec la tâche que tu as sur le derrière du maillot tout le monde sur la plage va savoir que tu viens de te faire niquer.
J’ai rougi et me suis sauvé pour me précipiter dans l’eau chaude et salée.
Sylvie et Khaled nous ont retrouvés sur la plage en fin d'après-midi. Ils étaient restés absents plus de trois heures. J’étais furieux de cette absence et meurtri par leur bonne humeur et leur connivence. Je tentais de deviner ce qui avait bien pu se passer entre eux. Sylvie avait les yeux brillants et semblait très heureuse. Elle n’arrêtait pas de plaisanter et de rire. On pouvait imputer son comportement sur le compte de l’herbe qui devait encore faire son effet. C’est la seule explication que je voulais lui trouver. Refus déjà de voir la réalité.
Mourad et Khaled ne se sont parlés ni en français, ni en arabe. Tout semblait parfaitement normal entre nous. Nous étions un groupe de quatre amis profitant de cet été tunisien. Il nous restait encore six semaines de vacance.
Le soir, Sylvie et moi avons fait l’amour et cela a été une séance fantastique. Sylvie s’est totalement donnée. Moi aussi. Nos corps moites dans cette chaleur lourde se sont déchaînés l’un contre l’autre. Jamais nous n’avions baisé de cette manière.
A quoi ou à qui pensait-elle à ce moment? Je n’arrivais pas à le deviner, mais moi je pensais à cette queue qui m’avait enculé et à ces deux jeunes arabes qui s’étaient soulagés avec mon corps.
Je me demandais si mon sperme s’était mélangé à celui de Khaled dans l’intimité odorante de ma copine ou si elle l’a sucé aussi bien que je l’avais fait pour Mourad.
Et sa queue à lui, comment était-elle? Je ne savais même pas à quoi ressemblaient les deux queues qui m’avaient dépucelé le cul. Je ne les avais jamais réellement vues. Sylvie, s’était-elle laissé sodomiser aussi? Elle me l’avait toujours refusé et même cette nuit, je n’ai pas osé lui demander. Peut-être aurai-t-elle accepté de me répondre?..

………………..
Un ballon de cuir tout élimé est venu mourir sur mes chaussures bien cirées. Un des jeunes joueurs est venu le récupérer. Il respire le bonheur ingénu. Mais j’avais appris à mes dépends, qu’il fallait se méfier de l’ingénuité dans ce pays. Il m’a juste remercié d’avoir récupérer le ballon et est reparti jouer. J’ai quitté cette plage. Il me reste deux bonnes heures à avant mon rendez-vous.
Je remonte la rue qui mène au centre de la ville. Il y a beaucoup plus de voiture qu’à l’époque. Ca sent l’essence et les épices. Les gens sont bruyants et pressés. Personne ne fait attention à moi. J’arrive sur la petite place cerclée de cafés. Beaucoup de monde sur les terrasses.
Je sais qu’en été, tous les vendredi soirs, il y a une fantasia.
Nous avions assisté à l’une d’elle. Le spectacle se déroulait à la tombée de la nuit et il y avait un monde fou autour de la petite place avec une majorité de touristes. Le centre de la place était cerclé de torches qui s’ouvraient pour délimiter un passage au milieu de la rue principale. C’est par là que devaient arriver au grand galop, les cavaliers. Les torches étaient le seul éclairage de la petite ville et tous les autres quartiers étaient plongés dans le noir.
On entendait des cris et des coups de fusil au loin. Sylvie et moi étions côte à côte. Derrière nous Mourad et Khaled nous racontaient ce qui allait se passer.
- Regardez, ils vont venir de la rue.
La pression des spectateurs agglutinés contre et autour de nous, m’a séparé de Sylvie et très vite, je ne voyais plus que sa chevelure à cinq mètres devant moi. Mourad avait réussi à rester à côté d’elle. Khaled lui, était plaqué contre mon dos. Le spectacle allait commencer dans une dizaine de minutes. Il faisait très chaud et nous étions tous serrés les uns contre les autres.
Pour faire plaisir à Sylvie, j’avais accepté de mettre un large pantalon bouffant de couleur blanche. C’était un vêtement local que Sylvie m’avait offert. Le tissu était si fin qu’il en devenait transparent si je passais dans la clarté. Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et c’est Mourad et Khaled qui se sont joints à Sylvie pour me convaincre de sortir ainsi vêtu.
Brusquement, sous un tonnerre roulant d'applaudissements et de cris, une douzaine de cavaliers ont déboulé à cheval pour occuper le centre de la place à grand renfort de coup de feu tirés vers le ciel, et le spectacle a débuté. Nous étions de plus en plus serrés les uns contre les autres, tassés comme des sardines, à tendre le cou pour voir quelque chose.
Moi, je n’ai rien pu voir, car dès l’arrivée des cavaliers, Khaled m’a saisi par les hanches, et a pressé son bas ventre contre mes fesses.
J’ai sursauté. Il osait faire cela au milieu de cette foule compacte. Il m’était impossible de me dérober à ses avances. Très inquiet, je ne cessais de regarder autour de nous. Personne ne semblait faire attention à ce que me faisait Khaled.
Brusquement en tournant la tête à plusieurs reprise, je me suis rendu compte que j’étais le seul touriste au milieu des autochtones. Nous étions encerclés par des arabes. Aucun touriste en contact direct. Les premiers, étaient pratiquement à trois ou quatre rangs devant nous. J'étais le seul étranger au milieu d’une marée compacte de tunisiens mâles, et Khaled me pressait de plus en plus fort contre son bassin en parlant en arabe aux deux coreligionnaires les plus proches qui ont rigolé en me jetant un coup d’œil.
- Chez nous, il n’y a que les courtisanes qui portent ce genre de pantalon. Les putes quoi. C’est pour cela que j’ai dit à Sylvie de te l’offrir. Elle en voulait un aussi. Mais, je l’en ai dissuadée.
- D’un mouvement de tête, il m’a montré les deux arabes.
- Eux savent que c’est pour les putes et je leur ai dit que tu en étais une qui est là que pour offrir son cul.
J’ai violemment rougis. Je ne savais plus ou me mettre. Impossible de me décoller de Khaled qui me tenait fermement contre lui.
Je sentais parfaitement la bosse de son sexe se frotter lentement contre mon cul. J’étais troublé et désemparé. Je voulais partir, mais il n’y avait aucune échappatoire. Les deux arabes à qui Kalhed avait parlé ont commencé à s’intéresser à ce qu’il faisait. Ils m’ont regardé d’un drôle d’air, et j’ai baissé les yeux honteux et soumis. Je n’ai tenté aucun mouvement pour échapper aux caresses.
Cela faisait maintenant presque un mois que nous étions dans ce pays et après la séance de la cabane, tout s’était enchaîné sans possibilité d’échappatoire ni de retour.
Sylvie allait de plus en plus souvent fumer avec Khaled et je devinais parfaitement qu’ils ne se contentaient pas uniquement de fumer. J’avais maintenant la certitude qu’il y avait quelque chose entre eux, même si Sylvie ne disait rien.
Mourad lui, se dévouait pour me tenir compagnie et bien sûr, assouvir ses envies. Au fil des jours, ils m’ont appris à me plier à tous leurs désirs et j’étais devenu un mec aussi obéissant qu’une de leur fatma. Bien que plus jeunes que moi, ils m’avaient soumis à leur volonté autoritaire.
Au cours des séances, ils me demandaient de plus en plus de chose et j’allais de plus en plus loin dans l’abdication de toute rébellion et la soumission. C’est pourquoi, je ne me suis pas révolté le soir de la fantasia, quand j’ai sentis la main de Khaled passait lentement dans mon pantalon et baisser l’arrière de mon slip sous mes cuisses.
Je me suis retrouvé les fesses nues, à peine protégées des regards par mon pantalon bouffant et transparent, en plein centre-ville, cernés d’arabes, qui nous cachaient aux éventuels regards et formaient une barrière infranchissable autour de nous. Et parmi tous ces inconnus, deux au moins pouvaient voir ce que faisait Khaled plaqué contre mon dos avec ses mains dans mon pantalon de courtisane.
A un moment, Sylvie s’est tournée vers nous pour nous faire de grands signes de la main, bras tendu au-dessus de la foule. Khaled lui a répondu de la même manière pendant que son autre main fouillait ma raie. Il faisait de grands signes à Sylvie pendant que deux de ses doigts sont lentement entrés dans ma raie serrée pour s’enfoncer sans aucun obstacle dans mon anus.
Rouge de confusion et de honte, j’ai serré les dents et baissait la tête. Le spectacle ne m’intéressait plus. Mon anus moite de sueur s’ouvrait sous la pression des doigts vrillés dans mon fondement. Il n’y avait plus besoin de salive. Les deux autres arabes ne regardaient plus la fantasia.
Autour de nous la foule criait des encouragements aux cavaliers. Je ne savais plus très bien ce qui se passait, ni ou j’étais au juste. Un type était en train de me mettre deux doigts dans le cul au milieu de dizaines d’autres individus. C’était complètement fou.
Khaled a parlé en arabe à son voisin de droite. Un type bien plus vieux que nous, avec une fine moustache et des lunettes à monture dorée. Malgré la chaleur il portait un costume de ville avec une chemise blanche et une cravate.
La foule nous pressait les uns contre les autres. La musique lancinante et les coups de feu empêchaient toutes les discussions. Khaled devait me parler à l’oreille pour que je comprenne:
- J’ai dit à ce type que tu étais une vraie pute avec un trou bien ouvert.
Le type à moustache a regardé dans mon dos. J’ai compris que Khaled lui montrait ce qu’il était en train de me faire.
- Il ne voulait pas me croire quand je lui ai dit que je suis en train de te mettre deux doigts dans le cul. Je suis sûr que tu sens bien mes doigts dans ton cul et que ça t'excites de te donner en spectacle devant des inconnus hein Damia ?
C’est Khaled qui avait décidé de féminiser mon prénom pendant nos ébats. Il avait commencé à le faire environ une dizaine de jours après la séance du bungalow sur la plage. Mourad avait dû lui raconter ce qui s’était passé, et lui n’était peut-être pas encore avec Sylvie. C’était la première fois que nous étions seuls lui et moi. Je ne me souviens plus ou étaient les deux autres.
- Mourad m’a raconté ce que vous avez fait sur la plage. Il m’a aussi raconté tout ce que tu acceptes.
J’ai baissé la tête.
- J’ai envie de te niquer pour voir. Il parait que tu as fait des sacrés progrès.
Il ne voulait pas aller dans un des bungalows de la plage. Il voulait mieux connaître ou nous vivions.
- Je veux voir ou vous vivez Sylvie et toi.
Nous y sommes allés. L’appartement qu’on nous avait prêté n’avait rien d’une usine à touristes, trop chère pour notre budget. Il était situé dans un vieux bâtiment minable, en plein centre-ville.
Les chambres étaient disposées sur trois étages, autour d’une cour intérieure, et la nôtre était au second. Dans la journée, il n’y avait personne car les appartements étaient loués par des gens de la ville qui travaillaient.
Khaled a rapidement visité lieux. Sans aucun préambule, il a commencé à se déshabiller. Torse nu, il s’est assis sur le lit.
- Alors, c’est sur ce lit que tu la baise? T’as raison d’en profiter, c’est un super coup. A mon avis, y-en-a plus pour longtemps. Je suis sûr qu’il lui en faut plus.
Les mots m’ont fait mal par ce qu’ils sous-entendaient. Pas de doute ils avaient couché ensemble. Lui avait-il dit ce qui c’était passé entre eux et moi?
Il a levé sa jambe vers moi en pointant sa chaussure vers moi. Il portait des sandales noires.
- Approche et enlèves moi les sandales.... Allez vite, ne fais pas semblant de vouloir résister.
Je lui ai obéis. Il avait les pieds poussiéreux. J’ai été surpris de la corne qui recouvrait sa voûte plantaire. Certainement les sports de combats, et un entraînement intensif.
Il a ouvert son pantalon. Il portait le même slip noir à maille qui ne cachait rien de sa virilité encore au repos. Complètement hypnotisé par ses mouvements de félin, je l’ai vu se débarrasser de ses vêtements et se recoucher sur le lit.
Pour la première fois, j’ai réellement vu au grand jour son sexe circoncis encore au repos, avec un gland brun et des couilles lourdes plantées au milieu d’une forêt de poils noirs et très frisés. Même au repos, son sexe me semblait imposant et en tout cas bien plus conséquent que le mien.
- Alors, c’est sur ce lit que tu baises avec Sylvie?
Il y avait de la méchanceté dans sa voix, et en même temps, comme un soupçon de jalousie. Ses muscles jouaient souplement sous sa peau brune. Il avait un sourire inquiétant.
- Allez au pieux le francaoui ! A poil! Viens me montrer tes progrès.
Tête basse, je suis venu me coucher à plat ventre à ses côtés. C’était cette position de soumission que Mourad me demandait de prendre à chaque début de séance de baise. Je suis resté jambe écartée et derrière relevé, attendant que son corps couvre le mien. Mais Khaled en voulait plus.
- Prends la même position qu’une femme. Sur le dos, jambes écartées et cuisses bien ouvertes.
Je me suis lentement retourné. J’avais une boule dans la gorge. Une boule dans la gorge me bloquait la respiration. Je me sentais encore plus humilié dans cette position. J’ai ouvert mes jambes en les repliant légèrement. Exactement comme une femme qui s’ouvre pour accueillir son mec sur elle.
- Oui comme ça... C’est bien.... Si tu veux pas voir c’est pas grave. Laisse tes yeux fermés. Elle est pas très grosse ta bite. C’est elle qui t’as rasé aujourd’hui? Réponds ! C’est Sylvie ? Il m’a frappé les couilles m’arrachant un cri de douleur.
- Non. Non... Je me rase tout seul
Il s’est mis à genoux, assit sur ces talons, entre mes jambes repliées et bien écartées. Mais il en voulait encore plus.
- Ecartes tes fesses avec tes mains et montres moi bien ton trou de tapette. Je veux le voir en gros plan.
J’ai pris appui sur mes pieds pour soulever mon bassin et j’ai obéis en passant mes mains sous mes fesses. Je me suis mis l’anus à l’air. Je lui exhibais mon cul.
- Il va falloir que tu te rases aussi la raie. Tu as encore des poils autour de ton trou de salope.
J’avais les yeux humides. Kalhed a saisi sa queue dans sa main droite et s’est rapidement masturbé devant moi en crachant plusieurs fois dans le creux de sa main. J’ai vu son sexe grandir et s’ériger au-dessus de mon ventre.
Quand il a estimé qu’il était prêt, il a lâché son membre tendu devant son ventre plat. Son gland mouillé regardait le ciel. J’étais subjugué par la taille de son pieu. Je ne comprenais pas comment un engin d’une telle taille avait pu entrer dans mon cul. Cela me semblait presque impossible. J’ai compris pourquoi j’avais eu tellement mal la première fois.
J’avais maintenant très peur de la suite. Lui, il s’en foutait complètement. Il m’a relevé les jambes pour les passer au-dessus de ses épaules.
- Tiens tes fesses bien ouvertes. T’as déjà niqué Sylvie dans cette position ? Les femmes adorent cette position parce qu’elles sont bien offertes et que ça rentre bien profonds.
Il a pointé son engin devant mon anus dévoilé avant de se coucher sur moi, m’obligeant à relever mes genoux jusqu’aux épaules. Vu ma position, ma raie s’était complètement ouverte. J’ai lâché mes fesses et son sexe bien mouillé a le passage pour s’enfoncer lentement en moi.
Jamais je n’avais senti une telle impression. On aurait dit que mon ventre allait éclater. Je me tortillais de douleur pendant la pénétration. Mais il était bien plus fort et me bloquait bien.
En réalité, je ne pouvais bouger que mon bas ventre et sans que je le veuille, je lui facilitais la pénétration. La douleur est rapidement montée avant de redescendre par palier au fur et à mesure des coups de reins qu’il donnait souplement. J’ai fermé les yeux, visage crispé et souffle haletant. Je devinais qu’il devait me regarder et savourer sa puissance de mâle.
- En quelques séances t’as le cul qui s’ouvre comme les putes de la rue Sidi Guêche. Dès que je t’ai vu la première fois j’ai dit à Mourad que tu devais être une sacrée salope.
J’étais stupéfait que sa bitte se soit entièrement logée dans mes entrailles. Cela ne faisait même pas quinze jours que j’étais sodomisé régulièrement par Mourad. Et bien sûr, je n’avais jamais eu de relations de ce type auparavant. Pourtant, une bitte aussi grosse que celle de Khaled arrivait à entrer assez facilement et sans trop de douleur.
Les amples mouvements qu’il donnait à son bassin faisaient bouger le matelas. Pratiquement couché sur moi, il m'étouffait. J’étais plié en deux, mes genoux au niveau de mes épaules. Complètement cassé est jambes repliées au maximum.
Jamais le sexe de Mourad n’avait était aussi profondément enfoncé dans mon ventre et j’avais l’impression que mes intestins allaient remonter. Je serrais les dents en gémissant et lui, continuait d’enfoncer son pieux dans mon intimité élargie sans me quitter des yeux.
Il poussait de plus en plus fort. J’étais plié sous lui à la recherche de mon souffle. Quand enfin j’ai sentis son bas ventre contre mes couilles, j’étais à deux doigts de l’évanouissement.
- Mourad t’as bien calibré ! Ton cul, il est meilleur que celui d’une femelle. Généralement les fatmas n’arrivent pas à la prendre entièrement dans leurs culs aussi facilement.
Il ne m’a pas quitté des yeux tout le temps qu’il m’a limé, et je gémissais comme une femme à chaque coup de boutoir. Son pubis tapait de plus en plus fort contre mes cuisses. J’ai serré les jambes autour de sa taille. Cela l’a encore plus excité de me voir gémir et bouger sous lui. A ce moment je me suis rendu compte que je n’avais jamais sodomisé Sylvie. Cela ne m’était même pas venu à l’esprit.
Khaled s’est brusquement immobilisé pour se vider en moi. Pour la première fois, j’ai sentis mon cul se remplir d’un liquide chaud. Il a jouis longtemps à grands jets avant de s’immobiliser.
Puis, il s’est brutalement retiré. J’ai enfin pu m’allonger sur le lit complètement pantelant. Je me sentais faible et j’avais mal au cul. Mon anus irrité me brûlait et son sperme sortait lentement de mon trou. J’avais comme la sensation que mon trou restait ouvert. Je n’osais pas le regarder.
- T’es une vraie femelle toi. C’est Damia qu’on va t’appeler. Ça te va mieux que Damien.
Il a ajouté que dorénavant c’est comme cela qu’ils m’appelleraient quand on serait seul car maintenant j’étais leur fatma.
- T’es pire que n’importe qu’elle nymphomane étrangère.
Il est resté à poil pour aller boire un verre d’eau. Son sexe lourd et à moitié tendu ballottait entre ses cuisses viriles. Il avait les jambes couvertes de poils noirs et bouclés.
Il a voulu voir nos bagages. Je l’ai laissé fouiller nos affaires. Il a trouvé les sous-vêtements de Sylvie et il les a tous sortis un à un.

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