Damien I

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je déambule lentement dans les ruelles étroites. Rien n’a changé. Enfin, presque rien. Il me semble tout reconnaître parfaitement malgré le temps passé sur ces souvenirs. Cela faisait à peine deux heures que j’étais arrivé dans ce pays et j’avais encore trois bonnes heures avant mon rendez-vous. Le taxi m’avait déposé en plein centre-ville et j’ai tout de suite senti le besoin de commencer par le souk.
Des senteurs oubliées imprègnent mes narines. Fortes, prenantes, les mêmes qu’il y a quinze ans. Le fond sonore, mélange de cris, d’imprécations, de brouhaha confus, de palabres interminables pénètre mes tympans. Tout me revient en mémoire. Des bribes de souvenirs encore flous, entrecoupés d’images d’une netteté surprenante. Très vite, mon cerveau me restitue ma jeunesse. J’arrive à retrouver sans problème le chemin.
Mes pas m'entraînent vers la rue des échoppes de tissu. Les murs se rapprochent encore pour ne laisser qu’un passage étroit saturé d’une foule bigarrée. Au fur et à mesure de ma lente progression, les années s’effacent et je ne suis plus seul.
Sylvie et Khaled marchent à dix pas devant Mourad et moi et son épaisse chevelure blonde fait une tâche lumineuse au milieu des turbans blancs et rouges. Ce jour-là, je faisais un peu la gueule car j’aurai préféré être au bord de l’eau plutôt que dans ces ruelles de ce souk. Mais Sylvie voulait absolument voir les échoppes dont Khaled et Mourad nous avaient parlé et je n’avais plus le pouvoir de refuser. Je me doutais bien que ces deux-là, avaient quelque chose en tête. Il s’était passé tellement d'événements en cinq semaines que tout devenait possible avec eux. Même l’inconcevable.
Il faisait très chaud pour la saison et il y avait beaucoup de monde autour de nous. Peu d’étrangers. La saison venait à peine de démarrer.
- Nous sommes bientôt arrivés. Tu verras Damien, tu vas aimer.
Sylvie et Khaled ont franchi l’étroite porte d’une échoppe.

J’ai voulu les suivre. Mourad m’en a dissuadé.
- Y a rien pour les hommes la dedans. C’est uniquement pour les femmes. Viens suis moi Damien. On va entrer à côté. C’est le même patron. Il a deux boutiques. Une pour les hommes et une pour les femmes.
Je suis Mourad à l’intérieur du magasin. Une pièce sombre, éclairée par des néons blancs. Les murs sont recouverts de tout ce dont peu rêver un touriste. Etoffes aux couleurs criardes, poteries, armes de parades, babouches. Un capharnaüm organisé pour faire un maximum de vente. Il y a déjà du monde. Le patron nous regarde, reconnaît Mourad et ne s’occupe pas de nous pour continuer à marchander avec les touristes.
Pendant un bon quart d’heure, Mourad me fait l’article et me saoule de parole. Pourtant il sait que je ne veux rien acheter. Je me demande bien pourquoi nous sommes là. Il imite les commerçants du coin avec force gestes, mimiques et jérémiades. Il est assez drôle, mais je commence à en avoir sérieusement marre de la boutique. Pourtant je ne peux rien lui dire.
Brusquement, il écarte une lourde tapisserie tendue contre un des murs et me dévoile un étroit couloir.
- Viens je vais te montrer des choses très intéressantes.
Le ton n’est plus le même. Il me regarde avec ce sourire en coin que je commence à bien connaître. Les traits juvéniles de son visage se sont légèrement durcis. Son regard devient ironique.
- Aller viens, tu ne vas pas le regretter
Je le suis d’un pas hésitant et la tenture retombe lourdement derrière nous. Les bruits de la boutique faiblissent. Le couloir n’est pas éclairé. Nous marchons en silence pendant une dizaine de mètres avant de déboucher dans une toute petite pièce sans éclairage. On y voit à peine. Mourad laisse retomber une autre tenture derrière nous.
Contre un des murs, il y a des larges marches. Des gradins, comme dans un amphithéâtre. Mourad colle sa bouche contre mon oreille.
- C’est un ancien hammam. Viens je vais te montrer quelque chose.

Il me prend par la main et me tire vers les marches. Mes yeux s’habituent à l'obscurité ambiante. Nous escaladons les larges marches. Je distingue une grille métallique au-dessus de la dernière marche, au milieu du mur lépreux.
Il y a de la lumière qui filtre de cette grille à mailles très fines. Nous arrivons sur la dernière marche. Mourad me montre la grille en me faisant signe de me taire.
Je m’approche. Mon visage se colle au treillis. De l’autre côté, il y a une pièce identique en tous points à la nôtre. Je comprends que de l’autre côté on ne peut pas nous voir.
Deux bougies éclairent la pièce. J’ai un peu de mal à distinguer correctement ce qui se passe en bas des gradins, mais je comprends parfaitement ce que je vois et mon cœur fait un saut dans ma poitrine. Ainsi donc c’était vrai. Bien sûr que je m’en doutais. Mais entre imaginer et voir, il y a tout un monde.
Mourad se colle contre mon dos. Je le laisse faire. Je n’arrive pas à détacher mon regard de ce qui se passe dans l’autre pièce. Les formes se découpent en ombres chinoises, mais il ne faut pas beaucoup d’imagination pour y mettre les couleurs.
Cette chevelure blonde, si opulente, au niveau du bassin de Khaled qui laisse faire, pantalon et slip autour des chevilles, mains sur les hanches et bassin tendu vers le visage caché par les cheveux. Sa tête qui va et vient contre le bas-ventre musclé. Des bruits légers de succion ou de déglutition.
Mes mains se plaquent contre le mur froid et humide, de chaque côté de la grille. Tout est confus dans mon cerveau. Je n’arrive pas à comprendre ce qui nous arrivent ni pourquoi cela nous est arrivé à nous.
Mourad est carrément collé contre mon dos. Son bassin pousse sur mes fesses. Impossible d’ignorer la bosse dure qui se plaque sur ma raie. Je me sens souillé et humilié.
Mais je sais aussi que je ne me révolterais pas. J’avais manqué de courage la première fois et les fois suivantes. Maintenant il était trop tard pour esquiver.

Dans l’autre pièce, Le visage a quitté le pubis. Le membre tendu brille à la lueur des bougies et me semble complètement disproportionné par rapport au corps auquel il est rattaché. La femme reste à genoux devant le pieu. Khaled la relève, la met de dos et la tire contre son torse. Elle se laisse manipuler. Je ne distingue pas assez son visage pour voir son expression. Les mains brunes du jeune arabe remontent la chemisette pour la faire passer au-dessus de la tête blonde. Elle se contente de lever les bras pour faciliter le travail. Les mains caressent le ventre plat, la taille, puis remontent sur les bonnets du soutien-gorge du maillot de bain. Elle relève sa tête en arrière pour la poser sur l'épaule de l’arabe.
Bientôt, le soutien-gorge rejoint la chemise sur le sol. Les mains aux doigts très longs, empaument les globes laiteux, pour les malaxer violemment. Khaled tire sur les tétons, écarte les globes, les serre et les presse. Elle le laisse faire, cambrée en arrière, son dos plaqué sur le torse de Khaled. On arrive à entendre leurs soupirs croisés qui résonnent dans la pièce.
Je bouge à peine quand Mourad saisi mon short et le baisse sous mes fesses et je ne fais rien non plus, pour échapper aux mains qui me débarrassent de mon slip. Les deux vêtements tombent autour de mes chevilles. Ils m’ont tellement bien soumis, que je lève moi-même une jambe après l’autre pour m’en débarrasser.
Elle a le torse nu et moi le reste. Elle le haut, et moi le bas. Elle avec Khaled, et moi avec Mourad, juste séparés par une cloison et sans qu’elle sache ce qui se passe derrière ce grillage.
Elle lui tend ses seins généreux. Moi je cambre mes fesses. Pendant que Mourad me salive la raie, Khaled lui retrousse sa jupe et la roule autour de sa taille. Puis, il l’oblige à se pencher. Elle ploie sont buste et bras tendus, prend appui sur le premier gradin. Elle reste immobile et consentante, seins pointés vers le sol. Il lui caresse les fesses à travers le fin tissu de son slip blanc.
Les mains de l’arabe parcourent lentement les globes offerts et protégés par la culottes avant de se perdre dans l’entre jambes. Elles palpent, et fouillent l’intimité que je connais si bien. Je connais les plaisirs que l’on peut prendre à caresser cette peau si fine et se perdre dans cette moiteur.
Les doigts de Mourad se posent sur mes lèvres. Il presse et j’ouvre la bouche. Trois doigts fouillent mon palais. J’ouvre grand la bouche en salivant abondamment. Les doigts vont et viennent entre mes lèvres avant de me libérer le palais. Ils sont remplacés par un chiffon que Mourad enfonce bien dans ma bouche. Il ne laisse rien dépasser. Je me laisse faire sans aucune révolte, même quand il saisit mes poignets et tire mes mains en arrière pour les plaquer sur mes fesses.
De l’autre côté du grillage, Je la vois se débarrasser de son slip en se trémoussant. Khaled caresse lentement le dos bronzé. Elle se penche un peu plus. Les mains de l’arabe abandonnent un bref moment le corps offert pour se débarrasser de tous ses vêtements. Il est nu derrière elle. Son sexe pointe fièrement devant les fesses offertes. Pendant quelques secondes, il regarde ce corps, avant de le saisir par la taille et le plaquer contre lui. Il commence à frotter son sexe tendu contre les globes charnus. Le sexe très brun tranche sur la pâleur de la peau. Le bout du pieu caresse la peau satinée. Elle, reste cassée, torse ployé, seins tendus vers le sol, jambes ouvertes. Sa croupe offerte, s'agite lentement contre le sexe.
Moi aussi j’ai tendu ma croupe. Je fais même mieux puisque, c’est moi qui m’écarte les fesses dans l’attente. Je dévoile complètement ma raie. Je sens l’air frais de la pièce caresser mon anus. Mon visage est plaqué contre la grille. Ma bouche est écartelée par le bâillon. J’attends dans cette position le bon vouloir de Mourad.
Dans l’autre pièce, Khaled a empoigné les tétons bruns pointés vers le sol. Il les pince durement et cela la fait gémir. Un gémissement qui arrive jusqu'à nous et me fait encore plus mal. Il lui lâche les seins et lui tire les cheveux. Il lui caresse le dos, les hanches, les fesses. Les gémissements augmentent d’intensité pour se transformer en longs râles qui sortent du plus profonds de sa poitrine. Je serre les dents sur le tissu mais ne peut détacher mon regard de cette scène qui me fait mal.
Mourad a lui aussi dégagé son membre. A ses mouvements de mains et au bruit de sa bouche, je comprends qu’il se masturbe en enduisant son sexe de salive. Son gland est contre mon anus. Je tremble. J’ai un peu peur. Bien moins que la première fois. Mais l’angoisse noue quand même mon ventre. Heureusement le bâillon taira mes gémissements. Mourad me flatte la croupe. Je m’écarte les fesses au maximum.
Quand elle a brusquement redressé sa tête en poussant un petit cri, j’ai compris que Khaled venait de trouver le passage intime et que sa queue prenait possession du corps de mon amie. Elle a fermé les yeux, gorge tendue, tête rejetée en arrière. Khaled la tenait par les hanches. Lui seul bougeait dans un long mouvement de va et vient de son bassin. J’imaginais son gland circoncis ouvrir les parois intimes pour glisser au fond de son ventre soyeux. Aller et venir lentement dans le tunnel ouvert. Je connaissais la taille de cette queue, la grosseur du gland, l’épaisseur de la hampe. Je devinais qu’il la possédait entièrement. Que toutes les chairs intimes de mon amie devait frotter contre se sexe. Qu’elle devait mouiller comme jamais en sentant le pieu lui labourer le ventre. Khaled s’est immobilisé. Son bassin est resté collé contre les fesses de Sylvie qui haletait bruyamment.
Les larmes ont giclé de mes yeux quand mon anus s’est ouvert sous la poussée du gland de Mourad. Sa queue très dure forçait le passage bien lubrifié par la salive. Mon anus s’ouvrait lentement pour recevoir le gland et la douleur montait m’obligeant à serrer les dents sur le bout de tissu. Surtout ne pas crier pour ne pas dévoiler notre présence. La queue de Mourad s’enfonce centimètre par centimètre. Ce salaud va très lentement et prend son temps. Lui aussi regarde le spectacle au-dessus de mon épaules et il pousse au rythme des coups de rein que Khaled est en train de donner.
Comme ils me l’avaient dit, ils aiment bien enfiler. Et ce verbe était parfait. J’étais en train de me faire enfiler en regardant ma petite amie se faire enfiler aussi. Elle par devant et moi par derrière. Elle en prenant son pied et moi en souffrant.
Mourad poussait sans relâche et son gland allait de plus en plus profond. La douleur ne me quittait plus mais elle était supportable. Mon trou avait appris à s’ouvrir et était maintenant bien souple. Malgré cela, j’ai cru qu’il n’allait jamais finir d’entrer dans mes entrailles que je sentais s’ouvrir sous la pression du gland circoncis. J’avais les larmes aux yeux et mal aux mâchoires à force de serrer le bout de tissu dans ma bouche. Il a poussé une dernière fois et j’ai enfin senti les poils de son pubis contre mes fesses. J’ai plaqué mes mains contre le mur et mes fesses se sont refermées sur le mandrin du jeune arabe bien vrillé au fonds de mon cul tendu.
De l’autre côté du grillage, Khaled donne de longs coups de ventre contre mon amie. Il l’a tenait par la taille et la tirait vers lui avant de la repousser. Je voyais les seins pourtant fermes ballotter au rythme des coups de bitte qu’elle reçoit. Elle a du mal à tenir la pose et ses petits cris envahissent la pièce silencieuse. La queue de l’arabe s’active dans la chatte béante.
Je sais que quand elle est excitée, mon amie mouille beaucoup. La grosse bitte ne doit avoir aucun mal à coulisser de plus en plus vite dans le fourreau de chair. Elle se laisse niquer comme ils disent.
C’est le deuxième mot qu’ils m’ont appris. Ils sont en train de nous niquer tout les deux. Une queue dans la chatte de mon amie et l’autre dans mon fion. Ils m’avaient aussi dit que les français, ils aiment bien les gros zobs des arabes. Ce mot là, je le connaissais déjà.
Le gros zob de Mourad a commencé à coulisser dans mon intimité. La douleur s’est vite calmée. Je me suis laissé sodomiser en regardant ma petite amie se faire baiser. Je sentais que mon anus se moulait à la taille du sexe qui s'enfonçait de plus en plus vite et je savais que mon amie devait dégouliner sous les coups de boutoirs de Khaled.
En l’espace de trois semaines qui s'annonçaient de rêve, tout avait basculé et nous étions devenus les jouets plus ou moins consentants de ses deux étudiants arabes plus jeunes que nous.
J’avais envie de pisser et de chier. La queue dans mon fion devenait de plus en plus active. Les coups de reins de plus en plus violents. Mourad rajoutait de temps en temps de la salive.
Tout se passe dans un silence absolu. A peine le bruit de nos respirations, et les petits cris de plaisir de mon amie. La pénombre rendait la scène presque irréelle. Mon anus est maintenant complètement dilaté. Je sens mon sexe recroquevillé battre entre mes jambes au rythme de l’enculade. Je serre les poings en mordant le chiffon dans ma bouche.
De l’autre côté, Khaled aussi va de plus en plus vite. Heureusement qu’il l’a tient. Elle se laisse manipuler comme une poupée. Le zob doit lui défoncer les muqueuses.
- Tu mouilles bien ma gazelle.
Il n’a pas parlé bien fort mais dans cette pièce vide, les mots ont résonné sans problèmes et m’ont fait sursauter. Mourad s’est planté à fond dans mon cul et je me suis tendu en sentant son gland taper contre mes intestins. Sa bouche s’est plaquée contre mon oreille.
- Toi aussi tu mouilles du cul. Il est bien large maintenant.
Mon amie feulait doucement. Une espèce de ronronnement de chatte. Je savais que c’était un signe annonciateur de sa jouissance.
- Tu sens comme il est gros le zob de Khaled. Je suis sûr qu’il est plus gros que celui de ton ami. Tu vas voir comme tu vas aimer.
Khaled mentait avec un aplomb incroyable. Bien sûr qu’il connaissait la taille de mon sexe.
Mourad me défonçait de toutes ses forces et la douleur revenait. Son sexe coulissait parfaitement bien entre mes fesses. Ses couilles battaient contre les miennes.
J’ai entendu Khaled
- Attends ma petite salope. C’est pas là....
- Non!... Non!... Non Khaled.
J’ai ouvert les yeux oubliant ma douleur. Elle a tenté de s’échapper. Elle a crié, puis l’a supplié à voix basse. Déjà vaincue.
- Je t’en prie Khaled. Non. Je n’ai jamais fait. Non pas ça. Khaled. S’il te plaît.
- Vas-y ma poule, crie. Comme ça les autres vont venir te voir te faire niquer. Tu vas voir comme tu vas aimer. J’en connais qui adore. Tu en redemanderas après. Tu vas voir. Fais-moi confiance. Laisses toi faire. Attends bouges pas.
Elle a poussé un cris de douleur qui s’est transformé en sanglots. Mais elle ne tentait pas d’échapper à son amant. Elle a de nouveau crié plusieurs fois en pleurant et j’ai compris qu’il était en train de la sodomiser.
Il est resté immobile quelques secondes avant de commencer à la tringler. Il allait doucement et les sanglots continuaient. Mais cela ne lui suffisait pas. Il l’a mise à quatre pattes et à genoux derrière elle, la tenant fermement par la taille, il l’a enculée de plus en plus vite.
Mourad s’est vidé dans mon ventre. Je l’ai regardée se faire sodomiser. Elle n’avait jamais voulu avec moi. Je suppose que c’était la première fois que cela devait lui arriver. Je comprenais sa douleur. Je compatissais. Mourad a libéré mon anus qui est resté ouvert.
Khaled s’est vidé aussi dans le cul de ma petite amie qui ne disait plus rien. Elle a juste gémis car elle à jouit en même temps que lui. Ils sont resté quelques secondes sans bouger avant qu’il ne la libère en lui caressant les fesses qu’il venait de martyriser.
- Tu vois que c’est bon. Tu as bien pris ton pied aussi ma douce.
Il s’est rajusté pendant qu’elle se rhabillait. Ils se sont embrassés. Elle s’est remaquillée en lui souriant. Il lui a encore caressé les fesses. Ils ont soufflé les bougies et ont quitté la pièce. Il la tenait par la taille. Elle semblait heureuse.
Nous nous sommes reculés. Je me suis aussi rhabillé aussi.
- Attends qu’ils s’en ailles.
Nous sommes restés dans le noir, au milieu de la pièces. Il m’a saisi par la nuque pour me baissait la tête.
- Nettoies mon zob en attendant.
J’ai obéis à genoux. J’avais envie de vomir mais je bandais comme un malade.
- Ta moukère c’est une vraie salope. Pire qu’une femelle en chaleur. Nettoie bien sous les couilles. Toi aussi t’es une vraie pute. Je sens qu’on va bien s’amuser les quatre. Tète bien mon gros biberon. Tu peux te branler si tu veux. Je suis sûr que tu en crèves d’envie. Il te plaît mon zob hein?
J’ai saisi mon sexe et en quelques allers-retours mon sperme a fusé en longues saccades en même temps que Mourad jouissait une deuxième fois dans ma bouche. J’avais honte de moi. Je l’ai bu jusqu'à la dernière goutte. Lui il riait doucement.
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