Anecdote D'Ado

Une petite anecdote qui m'est arrivée il y a 10 ans. J'avais 19 ans et nous étions huit amis à passer les vacances à la mer. Cinq garçons et trois filles. Il n'y avait pas de relations amoureuses entre nous, nous nous connaissions depuis 3-4 ans et étions juste tous bon amis.

Nous passions de bonnes vacances, on passait nos soirées à picoler, on se levait tard et on passait nos journées à la plage. Moi un peu vicieux, au bout de deux jours je commençais à vouloir me branler, mais ce n'était pas facile de trouver un moment seul dans une si petite maison et avec autant de monde dedans.

Ce jour là, comme d'habitude on se baignait et on jouait au ballon. Les filles étaient jolies dans leurs deux pièces et il faisait chaud. J'étais terriblement excité. En fin d'après-midi je me retrouvais presque seul dans l'eau. Aurélie était avec moi. On nageait, ce jetait de l'eau à la figure etc... Pour une raison qui m'échappe alors que je venais de plonger, elle me rejoint sous l'eau et nous échangeâmes un petit baiser. J'étais surpris. Je le suis devenu encore plus quand je sorti la tête de l'eau. Beaucoup plus grand qu'elle, j'étais le seul à avoir pied. Elle s'accrocha à moi sur mon dos, une main autour de mes épaules. Un ange passe. Je sens sa main libre se poser sur mon ventre et descendre dans mon maillot. Sans un mot, elle saisit mon sexe. Moi je fais semblant de nager pour éviter de me faire remarquer par les copains. Et elle. Elle elle me branle doucement. Je suis rouge d'excitation, mais d'un seul coup elle arrête et nage jusqu'à la rive. Elle sorti de l'eau me laissant dans l'embarras. Mon sexe dur, je dus faire un effort violent pour pouvoir sortir de l'eau en toute discrétion.

Aurélie m'évita le reste de la journée. Pendant la soirée elle ne m'adressa même pas la parole. Tant pis. C'était les vacances, on picolait, on jouait aux capsules de bières, on écoutait la musique. Bref je ne pensais plus à ce qui venait de se passer.

Vers 3-4 heures du matin, la fatigue arrivait pour tout le monde. On s'est fumé un petit joint sur la terrasse et comme ça nous à bien claqué nous avons décidé d'aller nous coucher.

Pour les lits il n'y avait pas forcement de règles. A l'étage de la maison il y avait plusieurs couchages dans une même pièce. Le premier au lit (souvent le plus bourré) prenait le premier lit. Puis le second qui montait, le second lit etc... On était plutôt naïfs et sans arrières pensées alors c'était très bonne . Cette fois ci ce fut moi le dernier à monter me coucher. Comme la maison était silencieuse je venais de me fumer un joint tout seul et j'avais la tête qui me tournait méchamment. Je n'ai pas trouvé de lit libre. J'ai donc pris mon duvet et me suis allongé par terre à l'entrée de la pièce.

La tête me tournait toujours et j'étais un peu nauséeux. Je n'arrivais pas à trouver le sommeil. J'écoutais les autres dormir et ne fermais pas l'œil. Je repensais à Aurélie. Sans conteste c'était la plus jolie. Elle avait 18 ans, était petite, moins d'un mètre 60, brune les cheveux raides. Les yeux bleus et un sourire ravageur. C'est elle qui avait les plus gros seins. Un bon 85c. Ses fesses était musclées et elle avait le ventre plat. C'est sûr que sur la plage elle ne passait pas inaperçue. Mais un peu comme pour se protéger des garçons elle était souvent froide de premier abord. Elle était très sérieuse à l'école et son style vestimentaire collait avec sa personnalité. Toujours jolie elle ne laissait pas grand chose à voir de son corps.

Perdu dans mes pensées je ne m'aperçus presque pas qu'elle venait de m'enjamber pour descendre au toilettes. Elle aussi avait du sacrément picoler ce soir. Je faisais semblant de dormir en attendant qu'elle monte se recoucher. Je calmais ma respiration et maintenais mes paupières entrouvertes pour pouvoir l'épier quand elle repasserait.

La tête tournée vers l'escalier j'attends. Elle arrive en haut des escaliers.
Là dans la pénombre je me dis que je rêve. Elle est entièrement nue, son pyjama dans les mains. Elle s'approche de mon futon et se glisse sous les couvertures. Je sens son petit corps chaud ce coller contre moi. Je n'arrive plus à réfléchir. Les autres sont couchés depuis une bonne heure. J'espère qu'ils dorment tous et qu'aucun ne remarquera notre petit manège. Sans que j'esquisse un mouvement elle descend sous les draps, sors mon sexe au repos de mon caleçons et commence à l'embrasser. Je ne sais pas dire combien de temps ça à duré. La tête me tournait toujours à cause de l'alcool. Maintenant elle me suçait franchement et j'avais du mal à retenir mes râles. Elle accéléra encore jusqu'à ce que je jouisse dans sa bouche. Pour moi c'était ma première fellation et je n'en revenais pas. Sans faire de bruit elle remontât, m'embrassa et autoritairement me chuchota : «Fais moi un cunni ». Là c'était l'hallu totale. Je suis descendu le bas de son ventre, j'ai peloté ses seins et j'ai plongé ma langue dans son sexe humide. Je ne sais pas si je l'ai faite jouir mais au bout de 10 bonnes minutes elle souleva la tête et me fis signe de remonter. Je m'exécutais. J'étais perdu, excité, halluciné. Elle se retourna et colla son dos contre moi. La tête me tournais toujours et je commençais à m'endormir. Mais au bout de quelques minutes elle se mis à onduler doucement ses fesses contre mon sexe. L'effet fut immédiat et je me mis à bander fort. Sous ses mouvements de hanche je sentais mon sexe se positionner entre ses deux belles fesses. Je passe mes mains autour d'elle et commence à toucher ses seins. Je les malaxes, tire sur ses tétons, appuis dessus, et elle continu doucement à onduler ses fesses.

A ce moment là je commence à reprendre mes esprits. J'espère toujours que les autres son profondément endormis. Je repense à l'après midi et à la façon dont elle m'a mis la pression. Je décide de me venger, d'attaquer, de ne pas me laisser faire. Elle ne peut faire aucun bruit au risque de réveiller la maisonnée.
Ça promet d'être drôle ! Je me met à onduler moi aussi le bassin. Mon sexe frotte sur ses fesses et je trouve ça super excitant. Avec une main je caresse toujours ses magnifiques seins et avec l'autre je lui ferme la bouche (Ça évitera des soupirs impromptus). Elle aussi est excitée, je sens sa ciprine entre ses jambes. Elle mouille vraiment beaucoup. Sur le coup je ne sait pas ce qui m'a prit mais sans réfléchir, je lui ai fais cambrer son corps, j'ai laissé ma main sur sa bouche et avec l'autre j'ai guidé mon sexe vers son anus. Là, tout de suite, je voulais ses fesses. Ses seins. Et rien d'autre. Elle eu un court réflexe pour tenter de se dégager, mais je la tenais fermement. Mon sexe se retrouva collé contre son cul et je savourais déjà mon plaisir. Je commençais à pousser doucement. Petit à petit je rentrais dans son petit trou. Je sentais sa respiration accélérer, ses mouvements de hanches recommencer. Au bout de 5-6 minutes j'étais totalement introduis dans ses fesses. Je suis resté là sans bouger. J'ai enlevé ma main de sa bouche et l'ai descendu sur son sexe. Elle soufflait toujours fort et ondulait toujours doucement son bassin. Je lui ai bloqué les fesses pour qu'elle arrête de bouger. C'était le pied. J'étais en train d'enculer ma meilleur amie alors que les autres dormaient à même pas un mètre de nous. Je me suis mis à caresser son clitoris. Langoureusement. Et sans faire de mouvement j'ai contracté ma bite. Elle se mit elle aussi à contracter ses fesses. C'est au bout d'une grosse dizaine de minutes que nous avons jouis tout les deux. Moi mon sexe dans son cul. Elle ma main sur son clitoris. Elle s'est dégagée le petit trou, s'est retournée, m'a embrassé longuement, à enfiler son pyjama et est partie se recoucher à sa place.

Et nous n'avons jamais recommencé et nous n'en avons jamais parlé. C'est notre secret. Et elle, c'est toujours mon idéal féminin.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!