Marie Et Sa Fille Linda (Première Partie)

Marie et Linda
L’histoire qui va suivre est totalement vraie. Elle continue aujourd’hui encore. L’auteur n’en est pas le héros. Il n’est pas Rafik,, le « je » de l’histoire qui est racontée à la première personne du singulier. En fait, il s’agit de l’histoire d’un ses amis très proches. Il ne pouvait pas le nommer pour ne pas compromettre et Marie et Linda, qui existent réellement et dont les prénoms ont bien entendu été changés. L’auteur s’est donc approprié l’histoire pour la raconter à la première personne.

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Première partie : Meriem / Marie
J’avais revu Meriem, trente ans après notre première rencontre, au cours d’une fête qu’organisait un ami commun, haut fonctionnaire, dans un grand hôtel sur les hauteurs d’Alger, pour les fiançailles de sa fille. Je l’avais connue, alors qu’elle venait juste d’avoir vingt-ans et qu’elle entreprenait des études de médecine. J’étais moi-même étudiant (en sciences économiques) et j’avais la chance de disposer de l’appartement que mes parents m’avaient laissé, au centre d’Alger, alors qu’eux étaient partis jouer aux gentlemen-farmers, à une cinquantaine de kilomètre de là.
J’organisais régulièrement des petites fêtes (à l’époque, on appelait cela des boums) entre amis, où chacun venait avec sa copine ou son copain (selon qu’il était garçon ou fille) pour s’éclater en dansant, chantant et plus…si affinité.
Meriem, que j’avais tout de suite appelée Marie (par référence à la vierge Marie), participait à la fête pour la première fois. Elle avait accompagné une amie commune, elle aussi étudiante en médecine, qui l’avait convaincue de venir passer un agréable après-midi, à danser et s’amuser avec une bande de jeunes super sympas. C’était une belle plante très brune, avec des rondeurs qui damneraient un saint. Ce qui était exceptionnel chez elle, c’était sa forte carrure, ses épaules larges et une poitrine arrogante dont les seins pointaient fièrement de dessous une chemise en coton, dont les deux premiers boutons étaient volontairement dégrafés, pour exciter le quidam qui la regardait.


Je remarquais, en apercevant le dessus de ses seins mats, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Et malgré cela, malgré leurs dimensions monumentales, ses seins n’avaient aucun besoin d’être soutenus pour pointer vers l’avant comme deux gros obus menaçants. Le reste du corps était du même calibre : des hanches proéminentes, étroitement serrées dans un jean délavé très collant et un fessier rond et bombé qui poussait vers l’arrière, à l’image de ceux des femmes africaines. Elle avait d’immenses yeux en forme d’amandes, de couleur marron foncé, presque noirs, qui devaient briller comme des lucioles la nuit. Son visage était rond, avec un petit nez bien droit et une bouche qui semblait obscène, tant elle ressemblait à un superbe sexe féminin, en attente de pénétration.
C’était cette image qui m’avait poursuivi tout au long de l’après-midi, tandis qu’elle dansait (rock, jerk et toutes sortes de danses occidentales modernes) et se tortillait de manière tellement lascive et sensuelle, que presque tous les garçons s’étaient arrêtés de danser pour l’admirer. Visiblement, elle aimait l’effet qu’elle produisait : le désir chez les garçons et la jalousie chez les filles, qui voyaient en elle une concurrente, avec laquelle elles ne pouvaient pas rivaliser. C’était une vraie machine à faire bander les hommes.
J’étais obnubilé par cette bouche et ces lèvres qui éveillaient en moi des tonnes de fantasmes. Mais ce jour là, étant avec une copine, qui était devenue ma maîtresse quelques jours auparavant, je m’étais contenté de parler avec Marie, de la complimenter sur sa beauté et surtout sur la sensualité torride qui émanait d’elle et de lui donner rendez-vous ici même, pour le lendemain. Elle ne dit ni oui, ni non et me laissa avec mes doutes, toute la nuit et la matinée du lendemain.
Elle vint tout de même, en début d’après-midi, mais avant qu’il ne se passe quoi que ce soit entre nous, elle me refroidit en m’annonçant qu’elle était vierge (« de partout », ajouta-t-elle) et qu’elle était décidée à le rester jusqu’à sa nuit de noces.
Après un court moment, pendant lequel j’avais du mal à cacher ma déception de ne pas pouvoir posséder cette fille, dont la seule vue incendiait mes sens, elle vint se coller et se frotter à moi, me faisant bander comme un âne. Elle me dit à l’oreille qu’elle aussi avait envie de baiser, mais qu’elle devait se contenter d’assouvir son désir par des palliatifs. Elle devait garder intacts tous ses « trous » et rester « innocente » pour son futur mari.
- Que peut-on faire ensemble ? Lui-dis-je d’un ton plein de reproches. J’ai passé l’âge des bisous et caresses superficielles.
- Fellation et cunnilingus ! répondit-elle d’un ton provoquant, et le regard moqueur.
- Tu as déjà fait cela ?
- Non, mais je veux apprendre ! J’ai vraiment envie de toi. Tu es beau et viril. Je suis sûr que tu es membré comme un âne. Karima (l’amie qui l’avait amenée à la fête) m’a affirmé que tu as une réputation de grand baiseur qui donne beaucoup de plaisir à ses maîtresses. Il parait même que, malgré ta jeunesse, tu collectionnes les maîtresses.
Je la regardai avec plus d’intérêt. Je regardai surtout cette bouche d’enfer. J’imaginai mon membre, qui avait atteint des dimensions extrêmes, tant il était excité, pénétrer entre ses lèvres et aller se loger au fond de sa gorge ; je l’imaginai entrain de le faire aller et venir dans sa bouche, en le titillant avec sa langue, tout en caressant mes couilles.
- Suce-moi lui ordonnai-je en la forçant à s’agenouiller devant moi.
Elle s’agenouilla sans un mot, abaissa le pantalon de pyjama sur mes genoux et attrapa mon manche avec sa main droite.
- Il est superbe ! J’aurai tant aimé qu’il s’occupe de m’éclater l’hymen.
Sans plus attendre, elle entreprit de me faire une fellation, qu’elle voulait exemplaire. Au début, elle eut un peu de mal à s’y prendre correctement ; elle me faisait mal avec ses dents. Je le lui dis. Elle se corrigea immédiatement et mit tant d’application à ce qu’elle faisait qu’au bout de très peu de temps, elle trouva le rythme qu’il fallait et me donna tant de plaisir que j’avais failli lui éjaculer plusieurs fois dans la bouche.
A chaque fois je lui demandai de ralentir le rythme. C’était divin. Elle avait une bouche chaude, douce et suave. Elle apprit très vite à utiliser sa langue pour accroître et mon désir et mon plaisir. Même si elle était novice - et elle l’était réellement - elle répondait instinctivement et avec justesse à tous mes désirs.
Elle savait interpréter mes soupirs et mes gémissements, ainsi que les quelques crispations que j’avais quand elle oubliait ses dents et que celles-ci raclaient la hampe de mon engin. Elle comprenait, à la pression que faisaient mes mains sur sa nuque, qu’elle devait accélérer ou au contraire ralentir le rythme du va-et-vient. Elle savait aussi que je voulais aller jusqu’au fond de sa gorge : elle s’y prit à plusieurs fois mais arriva au but, après avoir failli vomir plusieurs fois. Elle finit par s’habi à la présence de l’engin dans sa bouche et sa gorge et commença alors à s’amuser à faire monter mon plaisir et à l’amener à la limite de l’explosion. Elle sentait instinctivement à quel moment il fallait ralentir pour faire durer le plaisir, pour reprendre le mouvement de plus belle, à la fin de l’alerte à l’éjaculation.
J’étais aux anges ! Je ne disais plus rien. Je me laissais manœuvrer par Marie et attendais avec impatience, le moment où elle voudra bien que je j’explose dans sa bouche et la remplisse d’un sperme abondant et épais. Sperme que je décidai qu’elle avalera jusqu’à la dernière goutte. Je voulais jouir dans sa bouche, pas à l’extérieur. C’était cela ma victoire. Et de fait, au bout d’une éternité, elle décida qu’elle m’avait fait assez attendre et accéléra le rythme jusqu’à entendre l’immense râle de jouissance qui sortit de mes poumons et accompagna les quatre ou cinq jets de sperme que je lui envoyai à intervalles de quelques secondes. Le premier jet, elle le prit directement au fond de sa gorge et eut du mal à l’ingurgiter. Elle le fit tout de même, en ayant un petit hoquet. Les autres jets se répandirent dans sa bouche et elle fit tout pour ne pas laisser une seule goutte s’échapper à l’extérieur.

A la fin de l’opération elle arrêta le mouvement de sa tête, sortit mon sexe, encore tout dur, de sa bouche, continua un moment à le masturber, tout en me regardant droit dans les yeux, quémandant des félicitations.
- C’était bon, n’est-ce pas ? Je suce bien ? Tu es satisfait de moi ?
- Oh oui ! J’ai eu l’impression que tu as fait cela toute ta vie. Déshabille-toi, que j’admire ton corps. Je veux te voir nue. Je te promets que je ne tenterai rien qui te fasse perdre ton « innocence » !
En un tour de main, elle enleva, sa chemise en coton et son jean et se retrouva avec seulement sa petite culotte transparente, d’un blanc immaculé. Elle était superbe : ses seins étaient gonflés et pointaient vers moi comme des canons. Je ne pouvais m’empêcher d’envoyer mes deux mains vers eux pour les palper et les caresser. Elle aima immédiatement cela ; elle le montra en esquissant un large sourire de satisfaction et en poussant sa poitrine vers l’avant, pour que mes mains aient une meilleure emprise. Je m’occupai un moment de ses tétons que je me mis à palper délicatement entre trois doigts qui les enroulaient, en lui faisant pousser des petits gloussements de plaisir.
- C’est délicieux ! Continue, ne t’arrête pas. J’aime qu’on me caresse les seins. Ils sont très sensibles. Je sens que je mouille à force d’être excitée. Tète-moi !
J’enlevai les doigts de ma main droite de son téton et me mit à téter ce sein si ferme et si doux.
- C’est bon ! Continue comme cela !
Après un moment, je passai au sein gauche, tout en reprenant les caresses sur le droit. Elle était au paradis. Elle gémissait tout doucement, en me caressant les cheveux et en maintenant ma tête pour que je ne cesse pas mes suçons. Au bout d’un moment, tout en continuant à la téter, j’envoyai ma main gauche en exploration vers son bas ventre et son entrecuisse. Au contact de son pubis, je la sentis se raidir : soit elle avait peur que je fasse pénétrer mes doigts dans sa chatte ; soit qu’elle n’attendait que cela.
Pour en voir le cœur net, je retirai ma tête de sa poitrine, la regardai dans les yeux et lui ordonna de s’allonger sur le lit et d’enlever sa culotte.
- Je vais te rendre la monnaie à la fellation de tout à l’heure ! Je vais te sucer la chatte. Mais d’abord je veux la regarder et l’admirer. Je suis sûr qu’elle est superbement belle !
Elle n’eut aucune hésitation et en même temps qu’elle s’allongeait sur le grand lit installé au bout de la grande chambre, elle enleva sa petite culotte, ouvrit grandement ses jambes et, provocante, elle me laissa admirer une chatte qui avait la même couleur mate que le reste de son corps, entièrement épilée, bombée et brillante de mouille. Elle me regardait en souriant et entreprit d’ouvrir avec ses doigts les grandes lèvres longues et lippues pour me laisser regarder et admirer l’intérieur de sa chatte : deux petites lèvres rouge vif, un clitoris de même couleur, d’une taille impressionnante et une entrée de vagin plus sombre dans laquelle apparaissaient quelques plis d’une sensualité torride.
Mon sexe était en émoi. Il voulait pénétrer dans ce paradis. Je me raisonnai en me rappelant ma promesse de ne pas la dépuceler. Je me rapprochai d’elle lui fit relever ses jambes pour les lui faire poser sur sa poitrine et mit ma tête entre ses fesses, que sa position avaient mis en évidence. Je lançai ma bouche et ma langue à l’assaut de cette merveilleuse chatte. Elle dégageait une agréable odeur musquée qui ajoutait une forte dose d’intensité à mon émoi. J’embrassai ses grandes lèvres, qu’avec deux doigts j’écartais pour avoir accès aux petites lèvres, au clitoris et à l’entrée du vagin. Je léchai, suçai et tétai les petites lèvres et le clitoris. J’essayai d’envoyer ma langue au plus loin dans sa chatte ; je voulais y rencontrer son hymen ; il était trop loin et je ne pu l’atteindre. Avec la langue je faisais des va-et-vient à l’entrée de son étroit tunnel et jouait avec son clito.
Elle aimait cela et me le montrait en gigotant et bougeant ses hanches pour accompagner les mouvements de ma bouche et des ma langue et en poussant des gémissements, dont elle n’arrivait plus à contrôler l’intensité. Ses mains se faisaient de plus en plus pressantes sur ma nuque et ses hanches se soulevaient de manière saccadée, pour mieux coller à ma bouche.
- Maman ! Maman ! C’est bon ! C’est du miel ! Du sucre ! Bois mon jus ! Bois tout mon jus ! Ne laisse rien s’échapper ! Je coule ! Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir dans ta bouche ! Je jouiiiiiis !
Elle déchargea dans ma bouche des litres de cyprine que je bus avec délectation. Elle s’affaissa totalement sur le lit et me tira par la tête pour je vienne m’allonger auprès d’elle. Elle avait l’air d’une lionne rassasiée. Elle avait un sourire béat d’une femme qui venait de recevoir le cadeau de sa vie. Elle m’avoua que c’est la première fois qu’elle jouissait autrement que par la masturbation.
- Jamais un garçon ne m’a fait ce que tu viens de me faire. Je me suis laissée caresser les seins et même la chatte, à travers la culotte, mais jamais encore je n’avais été sucée comme cela. C’était merveilleux ! Il faut que l’on recommence.
- Mais moi j’ai encore envie de faire l’amour ! M’entendis-je lui dire, comme si je lui en faisais le reproche.
Elle m’attira vers elle et me donna un baiser torride et mouillé, qui au lieu d’apaiser mes sens, n’a fait que les allumer encore plus. Je me mis à genoux devant elle pour lui montrer l’état de mon excitation et la force de l’érection de mon sexe.
- Oh ! fit-elle, comme pour se moquer de moi. Il est encore plus grand que tout à l’heure ! Je l’aime, tu sais ! Dommages qu’il ne puisse pas me défoncer la vulve. Viens, approche-toi, je vais te faire jouir avec mes mains. J’ai déjà masturbé un garçon à la fac et il a joui comme un fou.
Je m’approchai et me positionnai à côté d’elle comme elle me l’ordonnait. Nous étions maintenant côte-à-côte, moi à sa droite, elle à ma gauche. Elle commença à porter ses doigts à sa chatte pour y recueillir ce qu’elle y trouva de cyprine visqueuse et m’en enduisit le sexe. Elle recommença l’opération plusieurs fois jusqu’à ce que ma verge soit complètement mouillée et soit devenue glissante. Elle entreprit alors de me masturber consciencieusement, en faisant aller et venir sa main le long de la hampe jusqu’à dépasser le gland, partie la plus excitable du pénis, et revenir sur la hampe et ainsi de suite. Elle avait la science innée de la masturbation masculine. Elle savait d’instinct quand il fallait serrer le sexe, relâcher l’étreinte, accélérer le mouvement ou le ralentir. En même temps qu’elle me masturbait, de sa main gauche, elle entreprit de se caresser la chatte. De temps en temps, elle tournait vers moi son visage pour me lancer un superbe sourire aguichant et moqueur.
- Comme cela tu ne seras pas le seul à jouir ! C’est bon comme cela de me masturber en tenant ton immense queue dans mon autre main. Je l’imagine dans ma chatte et ce me fait encore plus bander. Je sens que je ne vais pas tarder à décharger. Je veux que nous jouissions ensemble ; en même temps. Je veux que tu éjacules sur moi ; sur mes seins, sur mon visage. Je veux être remplie de sperme. Je sens que je vais jouir tout de suite.
Elle accéléra le mouvement de ses doigts sur ses petites lèvres et son clitoris, lâcha mon gourdin, que je repris immédiatement pour continuer moi-même la masturbation, et lâcha un long râle de plaisir. Son orgasme n’avait ni la force, ni la qualité de celui qu’elle avait eu quelques temps auparavant avec le cunnilingus, mais elle semblait s’en satisfaire. Elle se tourna vers moi pour me faire face et d’une voix rauque et un peu fatiguée, elle m’ordonna :
- Ejacule sur moi ! Asperge-moi de foutre !
Je ne me fis pas prier pour obéir à cet ordre. J’accélérai le mouvement de va-et-vient de ma main sur ma verge, tout en regardant sa chatte qui dégoulinait encore de mouille. Je sentais que l’orgasme allait arriver, aussi fort qu’un torrent impétueux. Je poussai un long râle de jouissance et expulsai une première giclée de sperme brûlant qui alla se loger sur sa poitrine, entre ses seins. Elle entreprit aussitôt de l’étaler avec ses doigts afin d’en recouvrir totalement chacun de ses seins, des tétons jusqu’à la base.
Entretemps, une deuxième giclée arriva qui alla sur son visage. Je voulu qu’elle boive directement celles qui allaient venir. J’approchai mon dard de sa bouche, lui ordonnai de l’ouvrir et lui envoyai les deux dernières giclées à l’intérieur, et lui demandant de les avaler. Ce qu’elle fit avec une gourmandise non feinte.
- J’ai envie de rester comme cela, avec ton sperme sur ma poitrine et mon visage. J’aimerai garder le plus longtemps possible ton odeur sur moi et le souvenir de ce qui vient de se passer.
Elle quitta l’appartement à la tombée de la nuit, en me promettant de revenir souvent. Elle revint en effet plusieurs fois. Nous fîmes l’amour de la même manière autant de fois. A chaque fois, j’étais un peu déçu de ne pas pouvoir aller au fond des choses avec elle, mais je me satisfaisais assez de la manière dont cela se passait. J’étais heureux d’avoir la primeur du corps de cette déesse si sensuelle. Pour mon équilibre sexuel, j’avais une maîtresse attitrée, que je trompais sans vergogne avec Marie. Puis un jour, elle m’apprit qu’elle venait de se fiancer avec un collègue, étudiant en médecine en fin de cursus, et qu’elle allait se marier l’été suivant. Je savais pertinemment que cela devait arriver. Je n’en souffris donc pas trop ; sauf que j’étais réellement jaloux de ce mari qui allait faire à ma belle ce qu’elle m’interdisait de lui faire. Le jour de ses noces, auxquelles, perfidement, elle m’invita à participer, je m’étais enivré, croyant pouvoir chasser l’image d’un autre homme entrain de posséder le corps de Marie. Cela m’avait rendu malade, sans pour autant chasser l’image du corps de ma belle s’offrant avec volupté à un autre.
Nous ne nous revîmes plus pendant trente ans. J’avais presque oublié l’existence de Marie, jusqu’à ce fameux jour où nous nous rencontrâmes par hasard à cette fête de fiançailles. Elle était venue avec son mari, un grand gaillard, aussi blond que Marie était brune, et sa fille Linda qui devait avoir dix-huit ans. Elle me présenta à l’un et l’autre, en qualité de frère d’une ancienne camarade de Lycée avec laquelle elle était très liée. Elle était vêtue d’une de ces tenues traditionnelles algéroise (un Karakou noir, brodé de fils d’or et un saroual en satin noir, échancré sur les côtés jusqu’à une dizaine de centimètres au dessus des genoux) qui accentuait ses formes toutes en rondeurs qu’elle avait gardées intactes. Mon regard était attiré comme par un aimant par ses genoux ronds et le début de ses cuisses qui apparaissaient subrepticement sous son saroual. Elle s’en rendit très vite compte et me fit un sourire tellement aguicheur, que je sentis comme une agréable décharge électrique au niveau de mon échine.
Un tas de souvenirs coquins me remontaient à la tête et je sentais en moi un émoi qui me chatouillait le bas-ventre et commençait à réveiller mon sexe. Son mari fut appelé par un jeune homme qui avait besoin de quelque chose et nous laissa seuls sa femme et moi. Sa fille Linda nous avaient quittés quelques minutes auparavant pour aller danser et se trémousser sur une musique Kabyle endiablée.
- Qu’est-ce que tu deviens ? M’interrogea-t-elle !
- Je suis entrepreneur en bâtiment, répondis-je. Et toi ?
- J’ai ouvert un cabinet de cardiologie dans un quartier populaire.
- Ça marche bien pour toi ? Tu as beaucoup de patients ?
- Pas mal ! Je n’ai pas à me plaindre
Nous continuâmes ainsi à parler de choses et d’autres sans oser aborder le sujet qui nous taraudait ; ou du moins qui me taraudait moi. Je lui fis des compliments sur sa beauté qui était restée intacte. Lui posait des questions sur ses s (elle en avait trois : un garçon de vingt-deux ans, une fille de vingt ans et la dernière, Linda que j’avais vue auparavant, dix-huit ans).
- Et toi, tu es marié ? Tu as des s ?
- Non je suis toujours célibataire. Aucune femme raisonnable ne veut lier sa vie à la mienne. Je suis resté bohémien dans l’âme et continue, comme auparavant, à papillonner d’une fleur à l’autre. En vérité, je n’ai pas encore rencontré l’âme sœur, celle avec qui je n’hésiterai pas à déposer les bagages.
Nous vîmes son mari au loin qui revenait vers nous. Cela mit fin à notre discussion. Mais avant qu’il ne parvienne jusqu’à nous, elle me demanda mon numéro de téléphone, pour le cas où elle aurait besoin de m’appeler. Je lui refilai discrètement ma carte de visite, qu’elle mit vite dans son sac, avant de lancer un sourire éblouissant à son mari qui venait de nous rejoindre. Je pris congé d’eux en faisant une bise amicale à Marie et en serrant la main de son mari.
Je ne restai pas longtemps à la fête. Je fis juste un tour à l’intérieur de la salle, allant à la recherche de mon ami pour le féliciter et prendre congé de lui. Au passage, je remarquai un groupe de jeunes, garçon et filles, qui faisaient un boucan d’enfer en dansant avec la fiancée. Au milieu d’eux, Linda, la fille de Marie, qui se trémoussait telle une diablesse au milieu du groupe. Elle avait ceint un foulard autour de ses hanches et dansait une de ces danses kabyles presque érotiques, tant elle était pleine de sensualité. Dansée par des filles ou des femmes, la danse kabyle consiste à bouger les hanches et les fesses à un rythme endiablé, laissant le reste du corps pratiquement immobile. De temps en temps, la danseuse faisait un petit pas de côté et se remettait à faire jouer ses hanches et son fessier. Quand la femme, ou la fille, était belle et avait des hanches et un fessier développés, cela créait une ambiance d’un érotisme torride. Et c’était le cas avec toutes ces jeunes filles, y compris la fiancée, qui se trémoussaient au milieu de la piste.
Je quittais l’endroit en gardant l’image du petit cul de Linda qui se balançait au rythme du bendir et de la zorna et celle de sa mère dont je me remémorai la beauté et la sensualité d’antan. N’ayant rien d’autre à faire, je me décidai à aller au lit assez tôt, pour être en forme le lendemain, car même si c’était un vendredi, donc jour férié, une dure journée de travail m’attendait. La sonnerie du téléphone me réveilla vers minuit.
- Allo, Rafik ! C’est moi, Meriem
- ….
- Meriem ! Marie, quoi ! Je t’ai réveillé, je vois. Excuse-moi. Il fallait que je te parle ! Mon mari est entrain de dormir. Tu sais depuis l’après-midi, je n’arrête pas de penser à toi et de me remémorer tout ce que nous avons vécu ensemble. Tu peux me rejoindre demain matin dans mon cabinet ? Il faut absolument que je te parle d’une chose super importante pour moi.
- De quoi s’agit-il ?
- Viens demain et tu le sauras !
Elle raccrocha immédiatement, sans me laisser le temps de l’interroger plus et de connaître le fin mot de l’histoire. Je passai le reste de la nuit sans pouvoir me rendormir à réfléchir à ce que pouvait bien mijoter Marie.
Le lendemain vers dix heures, je sonnai à la porte de son cabinet médical, qui se trouvait au premier étage d’un immeuble d’habitation. Elle vint m’ouvrir, vêtue d’une blouse blanche de médecin, sans manches et qui s’arrêtait au dessus des genoux. J’étais sûr qu’elle ne portait aucun vêtement en dessous, hormis un soutien gorge et une petite culotte, dont j’apercevais les contours à travers le léger tissu de la blouse. Comme cela, elle était à croquer. Je me rendais compte qu’elle était restée aussi désirable qu’elle l’était, une trentaine d’années auparavant. Elle avait juste un peu grossi au niveau de la taille et des hanches. Elle devait certainement faire beaucoup de sport pour maintenir une telle forme physique.
Elle me prit par la main pour me faire entrer et m’amener vers une salle aménagée en chambre de repos, avec un immense sofa, deux fauteuils individuels, une petite armoire, une table basse et, dans le coin un petit réfrigérateur. Elle m’expliqua qu’elle passait la plupart de son temps au cabinet et quand elle avait un peu de temps libre, elle venait se reposer dans cette chambre. Malgré sa tenue super aguichante, qui ne cachait presque rien de son anatomie et dont la position assise accentuait l’impudeur, elle était restée sage.
- Il faut que je t’explique ce qui m’arrive. Après cela, si je ne te dégoûte pas, je m’offrirai à toi sans aucune retenue.
- …. (Je restai silencieux, ne sachant que répondre à cette entrée en matière)
- Tu te rappelles que je me suis mariée très jeune, pendant que j’étais encore étudiante. J’avais rencontré Mustapha, qui terminait ses études en médecine, et parce qu’il était beau, bien de sa personne, de bonne famille et qu’il avait une situation assurée, j’avais accepté de l’épouser. Physiquement aussi, il me plaisait. Il était grand et fort et surtout, il était blond. Il ressemblait à un gaouri (un européen). Au début tout allait bien : c’est un homme gentil, toujours de bonne humeur et large d’esprit. Nous avons fait très vite des s qui ont immédiatement pris toute la place dans la famille.
- Tu veux dire que sexuellement, ce n’était plus le nirvana.
- En fait cela ne l’a jamais été. Malgré son apparente virilité, Mustapha n’a jamais été ce que l’on peut appeler un obsédé du sexe. Il s’est toujours contenté de relations classiques, la nuit dans le noir. Avec lui, aucune fioriture, aucune fantaisie au lit. Et surtout rien qui fasse un accroc à la morale.
- Tu veux dire que pendant trente ans, tu t’es contentée de la position du missionnaire, la nuit dans le noir. Je ne te crois pas. Je pense bien connaître tes penchants en matière d’érotisme. Il est impossible que tu sois restée sage pendant tout ce temps.
- Et bien si ! Pendant trente ans, j’ai rongé mon frein en me lançant à corps perdu dans le travail. Mon mari lui-même est un obsédé du travail (et de l’argent que cela lui rapporte !). Il a ouvert un cabinet de gastronomie en haute Kabylie et y travaille toute la semaine. Il ne rentre à la maison que le week-end (parfois même pas !). A ce moment, il prend son petit plaisir avec moi et me laisse complètement insatisfaite. Il m’arrive souvent, après cette frustrante petite partie de jambes en l’air, de me lever d’aller dans la cuisine chercher une grosse carotte ou un concombre et d’aller dans la salle de bain pour me faire plaisir.
- Tu es sûr qu’il n’a pas une autre femme au bled ?
- Je ne crois pas. Il est comme cela, il n’a besoin pour jouir que d’éjaculer ; et en ces moments là, il ne pense qu’à lui; le plaisir qu’il doit à sa partenaire n’existe pas.
- Ce n’est pas normal d’être aussi con avec une belle plante comme toi, aussi sensuelle et aussi prête à faire de folies au lit. C’est du moins comme cela que je t’ai connue, et il me semble impossible que tu aies changée à ce point.
- Et bien si ! Ou plutôt non, car j’ai toujours en moi ce besoin de me faire du bien avec un homme. Mais je te jure que pendant tout ce temps, je suis restée bien sage. Je travaille beaucoup et je gagne beaucoup d’argent. Je crois que j’en ai fait une espèce de compensation : l’argent contre le plaisir et le bonheur d’une relation amoureuse. Mais hier, quand je t’ai revu, toutes mes frustrations sont remontées à la surface. Le passé est revenu, et avec lui le désir de rattr le temps perdu. Dès que je t’ai vu, j’ai pris la décision de reprendre notre relation, là où on l’avait laissée, il y a trente ans.
- Et tu étais assurée que j’accepterai sans problèmes ?
- Oui, quand tu m’as dit que tu étais toujours célibataire et donc libre. Je me suis rappelée combien tu me trouvais belle et désirable. J’ai vu dans tes yeux que je te plais encore, même si j’ai vieilli et grossi.
- Tu es toujours aussi belle qu’avant ! Peut-être même plus, parce que plus mûre !
- Tu veux encore de moi ? Tu veux encore me faire l’amour et me donner le même plaisir qu’avant ? Je t’en prie ne me dis pas non !
- Je ne peux pas dire non à une si belle femme. A condition que tu acceptes absolument tout ce que je demanderai ; même les choses qui te paraîtront bizarres ou immorales. Tu sais que j’ai toujours été plus ou moins pervers dans mes relations amoureuses ; c’est comme cela que je prends le plus de plaisir. Contrairement à ton mari, je ne peux pas me contenter de grimper sur toi et de faire quelques allers-retours dans ton intimité. Je te veux corps et âme ; totalement soumise ; comme une chienne ! Tu veux être ma chienne ? M’obéir au doigt et à l’œil ?
- Oh oui ! Mille fois oui ! Je suis déjà complètement mouillée, rien qu’à cette idée d’être ta chienne ! Tu veux voir ?
- Non ! Je veux que tu commences par me déshabiller lentement, en commençant pas mes souliers.
Elle se leva du sofa sur lequel elle était assise et vint se mettre à genoux devant moi. Elle délaça ma chaussure droite et l’envoya balader à l’autre bout de la pièce ; me souleva le pied pour ôter la chaussette, qu’elle jeta elle aussi au loin. Elle passa à l’autre pied pour faire la même chose. Elle leva la tête pour s’assurer que j’étais satisfait de la voir aussi soumise. Je lui fis signe de se lever et de m’ôter la chemise. Elle le fit en dégrafant lentement les boutons un à un, en sortant les pans du pantalon et en l’enlevant complètement, en caressant au passage ma poitrine velue.
Elle passa ensuite au pantalon dont elle défit la ceinture, dégrafa le bouton et ouvrit la braguette. Au passage, elle massa furtivement mon sexe, comme pour vérifier qu’il a toujours envie d’elle, comme il y a trente ans. Elle abaissa le pantalon sur mes cuisses en profitant pour me palper les fesses et faire passer ses doigts sur le renflement que faisait mon sexe sur le devant de mon slip. Elle me fit lever tour à tour la jambe droite puis la jambe gauche pour ôter le pantalon et le jeter par terre, à l’autre bout de la pièce.
Je restais ainsi en slip, le sexe dressé comme un mât de tente. Je lui fis signe en silence d’enlever le dernier rempart qui cachait mon intimité. Ce qu’elle fit en un tour de main. Mon slip alla rejoindre le pantalon, par terre, à l’autre bout de la chambre. Elle resta un moment à contempler l’animal tendu et dur comme une pierre, à passer sa main droite pour en faire le tour et à le caresser doucement comme si elle avait peur de le prendre totalement en main.
- Pendant trente ans, je n’ai pas arrêté de penser à ce manche, sa taille et à sa force. Pendant trente ans j’ai eu des rêves érotiques dans lesquels il me prenait de partout. J’ai même rêvé une fois qu’il me frappait au visage, parce qu’il était furieux que je l’aie quitté.
Je ne répondis rien ; je me contentai de lui faire signe de me sucer. Elle ne se fit pas prier. Elle entreprit de me faire une fellation d’enfer. Pendant qu’elle me branlait, léchait et tétait, je retrouvais toutes les sensations que j’avais, il y a trente ans, quand elle me suçait. Je retrouvais cette bouche humide, chaude et suave ; cette gorge profonde et accueillante ; cette langue agile et enveloppante ; cette main droite qui accompagne mon pénis, comme pour une masturbation complémentaire ; cette main gauche caressant et palpant sans discontinuer mes couilles ; et le clapotis que faisant mon manche en mouvement dans sa bouche dégoulinante de salive. Je retrouvais cette image impudique, mais tellement belle, de ces lèvres allant et venant sur mon manche, avec de temps en temps ce regard qui se lève comme pour s’assurer qu’elle était sur la bonne voie et qu’elle me donnait un maximum de plaisir.
Rien n’avait changé. J’ai retrouvé tout ce que j’avais perdu, il y a si longtemps. Je sentais le plaisir envahir tout mon corps, me titillant l’échine et me faisant mal au bas ventre. Je sentais la jouissance arriver à toute allure, comme un torrent qui dévale une pente. D’un côté, je ne voulais pas jouir immédiatement ; je voulais faire durer ce plaisir de baiser Marie par la bouche. D’un autre côté, je voulais la remplir immédiatement de mon foutre abondant, épais et brûlant ; j’étais pressé de lui faire boire mon sperme et de lui en verser sur le visage, le cou et la gorge ; de la voir le ramasser avec ses doigts et les lécher avec ravissement.
Je ne pus tenir longtemps. Marie sentit mon corps se raidir et ma respiration s’accélérer ; elle comprit que la jouissance n’allait pas tarder à arriver. Elle accéléra le va-et-vient de sa bouche, et celui de la main qui accompagnait la fellation et, au bout de quelques secondes, ce fut comme une explosion. J’expulsai une grosse giclée de sperme dans sa gorge, qu’elle avala sans problème : elle fit sortir mon sexe de sa bouche qu’elle laissa grande ouverte, tout en continuant à le masturber, jusqu’à ce qu’il lâche une deuxième, puis une troisième et une quatrième giclée. Elle en avala une partie ; le reste alla se répandre sur son visage, ses yeux, son cou et sa poitrine.
Elle arrêta la masturbation et lécha ce qui restait de sperme sur mon sexe. J’étais au paradis. Je regardais ma belle étaler le sperme qu’elle avait reçu sur la poitrine de manière à recouvrir totalement ses seins. Ramasser avec ses doigts le foutre qu’elle avait sur la figure et les lécher en me lançant un regard amusé et provocant. Quand elle eut fini, elle me lança :
- C’est ce que tu voulais que je te fasse, n’est-ce pas ? Je ne t’ai pas laissé le temps de me le demander. J’ai devancé tes désirs ? Je suis restée telle que tu m’as laissée, n’est-ce pas ? Dis-moi que tu as aimé.
- J’ai adoré. Lève-toi maintenant et déshabille-toi. Je vais t’enculer.
C’était très facile pour elle de se déshabiller: il lui suffisait de dégrafer quatre boutons et de faire glisser sa blouse pour se retrouver en culotte et soutien gorge à balconnets. Elle enleva ces derniers en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et me présenta un corps presque parfait, n’était un peu d’embonpoint qui alourdissait sa taille et des hanches plus larges que celles qu’elle avait dans sa jeunesse. Mais cela la rendait encore plus désirable.
Tout en se débarrassant de sa blouse et de ses sous-vêtements, elle protesta un peu (pour la forme) en disant qu’elle n’avait jamais été sodomisée et qu’elle n’avait pas trop envie de commencer.
- N’oublie pas que tu as promis de ne rien me refuser. Tu ne vas pas commencer ! Car si c’était le cas, on arrête tout de suite. Tu as promis d’être ma chienne et d’obéir à tout ce que je t’ordonnerai de faire.
- Excuse-moi ! Je ne recommencerai pas. J’ai trop envie de t’appartenir. Ordonne et je t’obéis.
- A quatre pattes à travers le lit ! Je vais m’occuper de tes fesses et de ton anus. J’en avais tellement eu envie. Maintenant que l’occasion se présente, je ne vais pas m’en priver. Je vais t’éclater le cul et je vais jouir en toi comme une bête. Je vais certainement te faire mal au début, mais je suis convaincu que tu finiras par aimer et en redemander.
Je la fis se mettre en position, à quatre pattes à travers le lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de mon pubis et me permettre de la tirer en restant debout. Je lui écartai les fesses pour dégager sa rondelle, qu’elle avait très brune et très serrée. J’avais en même temps une vue imprenable sur les grandes lèvres de sa chatte. Ces lèvres et cette chatte que j’avais adoré sucer. Je lui écartai les grandes lèvres pour plonger deux doigts dans sa chatte. J’allai y chercher un peu de son liquide et enduisis son anus pour le lubrifier au mieux. Je m’y repris à plusieurs reprises, jusqu’à ce que trois de mes doigts aient pu pénétrer à l’intérieur de son boyau, sans trop d’efforts.
Je me positionnai derrière ma belle, pris mon engin dans ma main droite et le plaçai à l’entrée de son anneau. J’agrippai ses hanches et exerçai une légère poussée pour ne pas trop lui faire mal. Le gland pénétra avec difficulté, en la faisant crier de douleur.
- Aie !!! Doucement ! Tu m’as éclaté le cul ! N’oublie pas que je suis vierge de ce côté !
Je ne prêtai aucune attention à ses protestations et continuai à pousser de manière à aller jusqu’au fond de son boyau. Ce n’est que quand mon pubis vint cogner contre ses fesses que je mis fin à la poussée. Je m’arrêtai un instant avant de faire le chemin inverse jusqu’à l’entrée de l’anus. J’entrepris un va-et-vient, avec un peu de délicatesse au début, puis de plus en plus fort jusqu’à la piner sans aucune retenue et avec violence.
Elle commença par crier de douleur puis petit à petit, elle s’habitua et ses cris se transformèrent progressivement en gémissements où se mêlaient plaisir et douleur. Je lançai ma main droite vers sa chatte et y fit pénétrer deux doigts pour la masturber en même temps que je l’enculai. Elle apprécia cette nouveauté et me le fit savoir en lançant un « Ouiii ! » sonore et en commençant à bouger ses hanches de manière à accompagner et mes coups de boutoir et le mouvement de mes doigts dans sa chatte.
- Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Tu es le Diable en personne ! Tu es entrain de me faire adorer la sodomisation ! Baise-moi encore ! Après tu vas me sucer ma chatte, comme avant n’est-ce pas ?
Je commençai à avoir envie d’éjaculer. Je lui dis que je ne vais pas tarder à l’inonder de sperme. Tout en lui parlant, j’accélérai le mouvement de mon sexe dans son boyau et de mes doigts dans sa chatte. Sa respiration et ses gémissements, comme les miens, s’accélérèrent. Puis dans un râle d’enfer je lâchai une première giclée de sperme dans son cul ; pendant qu’elle, elle prit la main qui la masturbait et lui fit accélérer le mouvement de manière à ce qu’au moment même où j’avais fini d’éjaculer, elle partit dans une jouissance tellement sonore, que tout le voisinage avait dû l’entendre. Elle s’affala, fourbue sur le lit, m’entraînant avec elle. Je restai ainsi un moment sur son dos, reprenant mon souffle. Je sortis mon sexe, maintenant totalement ramolli, la retourna et lui demandai de s’asseoir sur le bord du lit et de me nettoyer le manche avec sa langue et ses lèvres.
- C’est sale ! Je ne peux pas faire cela ! N’oublie pas que je suis médecin !
- Marie ! Criai-je faisant semblant d’être en colère, n’oublie jamais ta promesse de ne jamais rien me refuser !
Vaincue et soumise, elle se mit à nettoyer consciencieusement mon vit avec langue. Elle avala tout ce qu’elle ramassait entre le reste de foutre et les produits de son cul. De temps en temps, elle me jetait un coup d’œil inquiet. Je trouvai cette situation tellement érotique, que mon sexe, pourtant à bout de force, eut une nouvelle érection (pas très forte). En voyant cela, Marie l’introduisit totalement dans sa bouche pour le nettoyer quelques mouvements d’allers-retours. Elle s’arrêta au bout d’environ une minute, sortit l’engin de sa bouche et fière comme si elle venait d’accomplir un exploit, me fit un sourire éclatant et dit :
- Je suis douée, n’est-ce pas !
Ce n’était pas une question, c’était une affirmation. Et c’était vrai qu’elle était douée, elle qui n’avait jamais été sodomisée jusque là. Et je ne parle pas de l’opération de nettoyage du sexe plein de sécrétions. Harassée et heureuse elle s’affala sur le lit avec sur les lèvres un sourire béat d’une lionne repue. Elle avait les jambes ouvertes qui se balançaient en dehors du lit et la mettait dans une position presque obscène, avec sa chatte exposée à l’air libre, ouverte et dégoulinante de mouille. J’adorai l’image de cette femme nue, les cuisses ouvertes, les jambes se balançant dans le vide en dehors du lit et la chatte totalement offerte. Je me mis à genoux entre ses jambes et entamai un cunnilingus forcené. Je léchai, suçai, tétai et mordillai le clitoris qui avait gardé sa fermeté d’il y a trente ans.
Le désir de ma belle se réveillait doucement et allait crescendo. Elle gigotait, gémissait et criait de ne pas m’arrêter, tout en appuyant sur ma tête, comme pour la faire pénétrer totalement dans sa chatte. Au bout d’un moment, ses gémissements s’accélérèrent et devinrent de plus en plus sonores. Ses mains se crispèrent encore plus sur ma tête et ses hanches se soulevèrent le plus haut qu’elles purent, puis elle lâcha un immense râle de plaisir et déchargea avec force dans ma bouche. Elle déchargea des quantités incroyables de cyprine qu’elle me criait d’avaler.
- Bois, mon amour ! Bois mon jus ! Ne laisse rien se perdre ! Je t’aime tellement !
Totalement fourbue, elle relâcha tous ses muscles et s’enfonça dans le lit. Le temps de reprendre son souffle, elle prit ma main et me força à venir m’allonger près d’elle et m’embrassa tendrement sur la bouche. C’est à cet instant que je me rendis compte que je ne l’avais pas encore embrassé ; embrassé comme autrefois, de ce type de baiser torrides et mouillés capables à eux seuls de donner un maximum de plaisir. Je me dis en moi-même que la prochaine fois, je l’embrasserai ainsi et je la baiserai par son con en la prenant en levrette. Mais pour l’instant, j’étais trop fatigué pour faire autre chose que dormir dans ses bras. Ce que je fis presque instantanément. Je ne sais combien de temps elle et moi dormîmes.
Quand je me réveillai, je m’aperçus qu’elle avait les yeux ouverts et qu’elle me regardait tendrement, comme elle aurait regardé dormir un bébé.
- Bonjour mon amour ! Tu as l’air fourbu ! Ta chienne est à la hauteur, n’est-ce pas ! Il est maintenant temps de manger quelque chose avant que tu ne partes. Linda ne tardera pas à arriver ; elle a été rendre visite à une copine et doit venir vers quatorze heures pour rentrer à la maison avec moi.
Elle prépara un repas froid, léger et rapide avec ce qu’elle avait dans le réfrigérateur. Nous mangeâmes avec appétit et allâmes ensemble prendre une douche fraîche pour nous redonner du tonus. Nous nous rhabillâmes, moi avec les habits qu’elle m’avait enlevée tantôt, elle, en remettant les sous-vêtements qu’elle portait à mon arrivée et en allant chercher dans l’armoire un tailleur de couleur marron et de coupe classique. Vêtue comme cela, elle retrouvait un air sérieux, que renforçaient des lunettes à montures d’acier. Rien ne pouvait indiquer que cette femme, qui redevenait subitement « le docteur Meriem », venait de passer près de trois heures à faire l’amour comme une folle avec son amant.
- Au revoir mon amour. Promets-moi que nous nous reverrons bientôt ! Dis-moi que tu ne pourras plus te passer de ta chienne. Elle, elle restera toujours à ta disposition. J’ai passé une journée inoubliable avec toi. J’en veux d’autres et encore d’autres… jusqu’à ma mort.
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