Ma Première Sodomie Et Sa Première Fille

Il avait plu toute la journée. J'étais toute trempée. Je m'étais entraînée l'après-midi avec Thierry. Je voulais faire de la rando en
haute montagne pendant l'été et il fallait que j'améliore ma condition physique. Thierry m'avait proposé de m'aider. Il était prof de
sport. Un beau grand brun tout musclé du Bénin rien que pour moi n'arrêtaient pas de me dire mes copines. Le seul hic, c'est qu'il
était gay. Pourtant, j'aurai bien voulu me laisser prendre dans ses bras... Nous revînmes chez moi. Dans la salle de bain je me
rendis compte que mon tee-shirt ne cachait plus grand chose de ma poitrine. « Tu aurais pu me le dire Thierry au lieu de te rincer
l'oeil lui criais-je.
Te dire quoi ?
Que j'avais joué toute la journée au concours de tee-shirt mouillé.
Et qu'aurais-tu fait ? Tu aurais enlevé ton tee-shirt ?
Ba c'est pas juste. Si j'enlève mon haut, cela devient tout de suite sexuel pas comme pour toi.
Si tu veux j'enlève le bas...
Pas chiche... »

Quelle ne fut pas ma surprise de le trouver nu quand je regagnais le salon.

« Tu vois, nous sommes quitte ». Je ne pouvais détacher mes yeux de son sexe qui lui arrivait à mi-cuisse au repos. Il pendouillait
tout flasque contre sa jambe musclée. C'était impressionnant.
« Tu es bien membré !!!
On me le dit souvent en effet.
Et modeste avec ça .
Maintenant, nous sommes quitte, enfin, moi je n'ai pas vu ton sexe.
Je croyais que tu étais homo.
Oui, c'est vrai, mais ça n'a rien à voir avec ça, c'est une question d'équité.
Bon, si tu veux. »

La situation m'amusait. Je me retrouvais nue devant un super beau gosse tout en sachant que rien ne pouvait se passer.
Si j'avais su...
En effet, je demandais à Thierry quel progrès je devrais faire. Il me dit que je devais surtout apprendre à me détendre. J'étais trop
crispée pendant l'effort ce qui pourrait me conduire à des crampes malvenues.

Il me dit que c'était comme faire l'amour avec un
mec, il fallait se détendre. Je ne comprenais pas bien l'allusion et lui demandait plus d'explication.
« Viens par ici » me dit-il.
Je m'approchais. C'est à ce moment qu'il passa un doigt sur la raie de mes fesses et commença à me caresser l'anus. Je me
contractais.
« Tu vois me dit-il. Il faut apprendre à se détendre. »
Je lui dis que je n'aimais pas ça, que je ne l'avais jamais fait, même pas avec mon copain. Il me dit que vu ma crispation, il
comprenait pourquoi mais que c'était parce que je ne savais pas me détendre. Tout en parlant, il continuait à me caresser.
Bizarrement je me laissais faire. « Tu vois, ce n'est pas si terrible » me dit-il. Je ne pouvais que confirmer. Peu à peu je me
détendais. C'est alors qu'il passa son majeur dans sa bouche pour le lubrifier. Interloquée, je ne savais que dire et ne l'empêchais
pas de me l'enfoncer dans l'anus. Il me pénétra simplement sans bouger. « Tu vois, maintenant tu te laisses même pénétrer par
mon doigt. Continue à te détendre. Ca commence à venir. » Au bout d'un moment, il commença à faire des mouvements de va et
vient tout en faisant de petites rotations. Je ne sentais plus cette gêne qui m'avait assailli au départ. Il sourit. « Si tu veux, je peux te
dépuceler du derrière.
Arrête, tu sais très bien que ce n'est pas possible.
Je ne pense pas, tout dépend de toi tu sais. Je ne sais pas pourquoi, mais je lui dis d'accord.
Bon, mais il faut que je continue à te préparer car c'est un vrai homme qui va te pendre. »

Effectivement, son sexe commençait à bander et jamais je n'avais vu pareil engin. 26 cm pour 5 de large. D'un beau noir ébène.
J'avais un peu peur, mais courageusement je me mis sur lui pour le lécher et le lubrifier en le suçant. Très vite, il devint très dur
dans ma bouche, enfin, dans la partie que j'arrivais à y enfourner.
De son côté Thierry m'avait ouverte de deux doigts, et il m'avait
ensuite léché pour achever de me lubrifier. Cela faisait près de 10 min qu'il s'occupait de moi et j'étais très détendue. C'est alors
qu'il se leva et me mit à quatre pattes. Il n'eut aucun mal à me soulever et me retourner. Il empoigna mes seins et avant que je ne
puisse protester il me pénétra d'un profond coup de hanche. J'étais prise et ne savais pas quoi faire, les jambes flageolantes. Je
sentais son membre planté en moi mais n'éprouvais pas de douleur. « Voilà, maintenant tu es à moi ». Il commença à onduler.
C'était trop bon. Il fit d'abord des va et vient lent et ample avant d'accélérer tout en faisant de petits mouvements circulaires. J'étais
aux anges. Je jouis deux fois avant qu'il n'accélère et jouisse à son tour. Pourtant, il ne s'arrêta pas là et resta en moi le temps de
bander à nouveau. « Maintenant j'ai tout mon temps ». 45 minutes à être limée de fond en comble avant qu'il ne m'abandonne
épuisée sur le tapis. Je voulus me lever et son sperme s'écoula le long de mes cuisses.
« Une vraie chienne en chaleur me dit-il en souriant. Je me mis à rire.
Oui, et tu m'as bien apprivoisée. »
C'est ainsi que nous devînmes amant. Enfin, que je devins sa maîtresse et lui mon maître mais c'est une autre histoire (à suivre)...

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