Ma Première Fille

J'aime me balader dans cette belle ville que j'aime, avec sa vieille cette cité si bien conservée quoique massacrée un peu par Viollet le duc. Bof au fond je m'en fous un peu. Bref je me promène le nez en l'aire, à la recherche de je ne sais qu'elle découvertes. En tournant arrivé en face du château comtal je suis toujours aussi distrait: je me retrouve face à face à une femme de mon âge.
La trentaine bien assumée, cette jeune femme me rappelle quelque un. Elle doit me connaître puisqu'elle s'adresse à moi en me tutoyant:
- Tu ne me reconnais par, Yves ?
- Moi, pas tellement.
- Pourtant souviens toi de ta première fois ! C'était avec moi. Nous étions jeunes à l'époque, jeunes et sans préjugés.
- Ah, oui, c'est toi, Huguette. Comment vas-tu ? Ça fait longtemps qu'on ne s'était pas vu.
- C'est vrai, tu es parti faire tes études à Paris et quand tu es revenu j'étais partie. Je viens à peine de venir à nouveau dans cette ville où j'ai laissé beaucoup de souvenir, dont le plus doux était toi.
Nous décidons de bavarder encore, en nous installant dans un café. Et là les souvenirs remontent.

Nous n'avions que 17 ans à l'époque. Nous étions dans la même classe au lycée, en avance tous les deux, en terminale. J'étais amoureux d'elle, même s'il me semblait qu'elle me snobait. En réalité elle aussi avait des sentiments pour moi. Nous nous sommes rapproché vers Noël, juste avant les vacances. Nous nous sommes embrassés rapidement entre deux cours. En sortant du bahut, nous avons recommencé. Cette fois le baiser était plus normal; nos langues participaient à la même caresse.
Elle me faisait bander et s'en apercevait. Elle faisait comme si de rien n'était. Nous nous sommes donné rendez-vous pour le lendemain, au cinéma. C'est là que pour la première fois l'un et l'autre ont posé la main sur un sexe autre que le notre. Je me souviens encore de la douceur de sa chatte et de sa main quand elle me prenait la queue dans sa main pour me branler.


Nous avons fini l'après midi chez moi, dans ma chambre: nous étions seuls tranquille jusqu'au soir.
C'est là que je l'ai mise nue, qu'elle m'a déshabillé. Elle était assise sur le lit, m'a embrassé le gland, sans que je lui demande. Je l'ai laissé faire un moment. Novice comme nous étions; elle ne m'a pas pris dans sa bouche. Je l'ai couchée pour être bien blottis ensemble, nos corps nus bien serrés. Je lui ai caresser les seins: ça lui plaisait beaucoup me disait elle. Je continuais un moment avant de lui prendre le sexe en main. A dire je partais à la découverte de sa chatte. J'en faisait tout le tour: je passait mes doigts dessus, dedans, à coté. Bref je la découvrais. Elle aussi n'était pas en reste, elle me prenait la bite et les couilles pour savoir comment un homme était fait. C'est un peu plus tard quand je la désirais trop que je venais sur elle. Elle connaissait la suite puisqu'elle écartait ses jambes pour m'accueillir. Elle prenait ma bite en main pour la guider vers son vagin. Une fois juste à l'entrée, elle me laissait faire tout seul. Je savais qu'elle était vierge, commemoi. Je la pénétrais lentement jusqu'à ce que je sente une légère résistance: son hymen. J'avais peur de lui faire mal. Elle aussi certainement, quoiqu'elle ne dise rien sinon: baises moi. C'Est-ce que j'ai maladroitement fait. Au moment de jouir je suis sorti d'elle par simple mesure de précaution.
Un peu plus tard, toujours enlacés, je bandais encore. Elle me voyais et se donnait encore une fois à moi je me souviens encore du plaisir que j'ai eu en entrant dans sa chatte. Elle aussi me disait que c'était bon. Nous avons joui ensemble pour la première fois de notre union.
C'était devenu un rite quotidien: nous baisions une fois par jour au moins. Quand l'été est arrivé, avec les vacances, nous pouvions aller à la plage où sous couvert de baignades nous nous isolions derrière une dune: nus nous baisions de plus en plus, jusqu'à nous permettre les choses interdites: elle aimait que je la suce, comme j'aimais qu'elle me le fasse.
C'est là que je l'ai sodomisé pour la première fois. Ce n'était pas la dernière. J'avais les reins solides et bandait rapidement ente chaque coup. Elle aimait quand nous faisions l'amour, alterner les positions. Je pouvais me permettre de la lui mettre devant ou derrière comme elle le voulait.
Je devais partir en facultés pour suivre des cours de Math. Le dernier jour était à pleurer. Je la consolais comme je pouvais au jardin en face la gare. Nous n'avons pas baisé. Et nous nous sommes perdus de vue jusqu'à aujourd'hui.

Nous bavardons de nos anciennes amours. Puis petit à petit, nous évoquons les étreintes de l'époque.
Je commençais à avoir à nouveau envie d'elle. Très bien fichue, ses seins un peu plus gros que dans mes souvenirs, la taille peut-être plus épaisse. J'avais moi aussi changé un peu. Je lui au pris la main qu'elle ne m'a pas refusé. En la caressant je lui disais que j'avais pensé à elle, ce qui était vrai jusqu'à un certain point. Elle avouait qu'elle était divorcée depuis deux ans et que depuis elle n'avait plus connu d'homme. Sans le dire, elle m'invitait à baiser. Nous sommes sorti du café:
je l'ai embrassé. Nos lèvres semblaient se reconnaître. Je l'emmenais à mon hôtel, dans ma chambre.
Nous nous embrassions encore un bon moment bien serrés: elle me faisait toujours antan bander. Je me doutais qu'elle devait mouiller à cause de la suite qui allait venir. Je la déshabillais lentement en l'embrassant toujours. Quand elle est nue, je la caresse partout. Je me baisse un peu pour lui mettre ma langue là où elle aimait. Elle aime toujours, elle écarte un peu les jambes. Elle ouvre ses lèvres pour faire ressortir son bouton. Ma langue se fiche sur lui. Je retrouve son goût que j'avais totalement oublié. Je la lèche jusqu'à sentir qu'elle jouit. Je me mets nu, ma bite bande depuis un bon moment. Je suis prêt pour la baiser. Pas question de faire une chose pareille. Elle me fait allonger et sa bouche prend ma queue.
Je me souviens qu'elle suçait bien. Son mariage a du lui apprendre des nouvelles façons: elle m'avale presque la bite, me la lèche, la ressort la reprend pour la mettre jusqu'à sa glotte. Je la laisse faire: elle me fait trop de bien. Je ne l'avertis même pas de ma prochaine jouissance: elle avalait mon sperme avant. Là, elle le grade un moment dans le bouche, le déguste et en avale une partie. L'autre m'est réservé. C'est bien la première fois qu'une femme me fait cette chose. Je l'accepte venant d'elle. Je ne trouve pas particulièrement mauvais ma semence. Elle a raison de la déguster.
Voyant que je ne bande plus, elle emploi un moyen déloyal: elle met son sexe juste au dessus de ma tête : je peux le voir en entier. J'ai des souvenirs qui remontent à la surface: forme de son clitoris, de ses lèvres de l'entré de son vagin et de son cul. J'ai un début de bandaison qui commence. Pour que je devienne bien dut, elle se touche l'ensemble de sa moule avant de se caresser le bouton. C'est nouveau: elle ne le faisait pas avant. Cette fois elle me fait bander somme un âne.
Elle ne me demande qu'une seule chose:
- Baises moi comme avant.
- J'ai vieilli, tu sais.
- Pas à ne pas me la mettre comme j'aime.
Elle me prend par les sentiments. Je vais faire plus que la baiser comme elle aimait, je vais la prendre comme une fille nymphomane. Je la pénètre sans préparation. J'ai raison, elle est devenue terriblement chaude, bien plus qu'avant. Elle n'arrête pas de jouir que je la lui mets. Elle jouit toujours et toujours me fait bander. Je ne m'attendais pas à une telle débauche de sa part et même de la mienne. Je la lui met partout où c'est possible: dans le con, bien sur, dans le cul où elle adore, dans le bouche comme j'aime ce qu'elle fait maintenant. Je la lui met entre les seins: elle ouvre la bouche pour recueillir mon sperme.
Nous prenons un instant de repose: elle m'explique que depuis son divorce, elle a appris à ce masturber qu'elle aime bien le faire plusieurs fois pas jour.
Qu'elle a rencontré plusieurs hommes, alors qu'elle m'avait dit qu'elle n'avait pas baisé depuis son divorce. Ces hommes lui ont appris ce qu'elle sait faire de plus qu'avant: elle se donne à plusieurs à la fois. Il lui arrive de baiser d'autres filles, qu'elle aime bien ça.
Je ne sais que dite, alors dès que je bande je la lui met encore là où elle veut: dans le vagin.
Elle est en levrette, une main qui me touche ma bite et l'autre qui lui caresse le bouton. Elle se trouve avec seulement la tête en bas pour tenir l'équilibre. Elle m'arrête pur que je change d'orifice: elle me veux dans le cul, celui que j'avais défloré il y a pas mal d'année. La nuit se termine. Je suis content d'avoir revue ma première fille. Je suis content de la voir partir: elle me fait peur avec ses nouvelles façon de baiser.


Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!