Chute De Roller 3/4

Louise embrassait et léchait tout ce qui se trouvait autour du sexe de Marielle et quel sexe ! Vraiment merveilleux avec une dilatation de la vulve extraordinaire. Ses grosses lèvres étaient complètement ouvertes et très écartées. Du clitoris jusqu’à l’anus, les lèvres rendait le sexe comme un fruit éclaté. Tous les poils pubiens d’une couleur châtain clair étaient assez peu nombreux pour laisser voir le rosé des chairs. Je prenais les cheveux de Louise pour les mettre sur le côté et pouvoir regarder les fesses de Marielle et son sexe. Allongée comme elle était, et quand Louise me laissait voir, le sexe de Marielle était une caverne ouverte prête à recevoir en elle l’engin qui pouvait lui apporter le plaisir jusqu’au fond de son ventre.

Dans un long mouvement pour pénétrer Louise jusqu’à la garde de mon sexe, je lui proposais de me laisser la place. Sans aucune hésitation, elle posa ses mains autour des hanches de Marielle et avança. En trois mouvements, j’étais juste au dessus des fesses de Marielle qui hochait des hanches. J’entendais toujours Elise pousser ses petits cris et j’étais attiré par la vue de la chatte offerte de Marielle. En tournant ma tête vers Elise, je la voyais toujours avec ses mains sous le pan de sa robe à s’agiter.

Je dois remercier Louise de n’être pas jalouse envers ses copines car, c’est un peu prétentieux de le dire mais elle m’offrit ses copines en se décrochant de moi pour aller embrasser Marielle et me laisser la liberté de faire ce que je voulais. Enfin, je crois qu’elle a fait ça car dès que Louise s’écarta de moi, je me suis allongé entre les cuisses de Marielle et j’ai jouer avec ses lèvres. Ca faisait un bon moment que je ne m’étais pas trouvé en face d’un tel spectacle. Quelques baisers sur l’intérieur des cuisses. Sentir l’odeur caractéristique du sexe féminin dans tous ses états, les caresses du bout du doigt et le contact humide et tiède des chairs tendues vers le désir et la frustration, les mouvements du bassin de Marielle appelant les caresses et les baisers, … Bref, un environnement féminin que j’apprécie particulièrement !

En pliant mon index, je caressais doucement les lèvres de Marielle.

Pas de pénétration. Pas de brusquerie. Prendre son temps pour faire monter un désir fulgurant. La douceur et l’extase devant le spectacle offert me donnait un grand plaisir. J’avais une envie folle de pénétrer cette belle femme mais si je faisais ça, je gâchais toute la suite car il y avait une forte probabilité que j’éjacule et tout ce trésor allait être souillé… Alors, je prenais mon temps. Petit à petit, ma langue remplaça mes doigts. Marielle réagissait au quart de tour. La pointe de ma langue glissait de son anus jusque au plus prés de son clitoris. Marielle bougeait son bassin pour me donner le champ libre au fur et à mesure de mes avancées. Je trouvais que pour une lesbienne, elle avait une ouverture d’esprit assez large. J’espérais l’avoir conquise comme Louise. A force de jouer avec son sexe, je devenais de plus en plus intrusif et ma bouche gourmande avait tendance à s’ouvrir pour la plaquer sur sa vulve. Marielle décolla littéralement quand, après toutes mes caresses linguales ou buccales (ça fait très médical !), je me suis mis à écarter ses grandes lèvres pour plaquer ma bouche sur elle et titiller de la langue son clito. Quand je dis qu’elle décolla, je ne suis pas loin de la vérité car elle fit pratiquement le bruit d’un réacteur et elle fut secouée par une multitude de spasmes. Je n’ai pas une expérience d’avoir fait jouir moult femmes dans ma vie mais, entre Louise et Marielle, j’avais deux drôle de phénomènes avec moi. Je ne comptais pas Elise qui s’envolait toute seule avec son meilleur ami, le gode. D’ailleurs, pour cet ami, alors que Marielle gémissait et soufflait après son extase extraordinaire, je pris la décision de tenter encore un mouvement vers Elise.

Je m’attendais à une rebuffade de la part d’Elise. Et bien non ! Alors que je continuais à caresser de la main la chatte trempée de Marielle, Mon autre main réussi à se glisser le long de la jambe la plus proche d’Elise et d’atteindre le champ de bataille. Bon ! J’exagère en parlant de champ de bataille bien sûr mais il y avait du monde.
Entre ses mains et le truc tout mou qui s’agitait en elle, si vous ajouter ma main, ça faisait un peu comme un hall de gare le jour des grandes vacances. Je déconne complètement et c’est encore Louise qui prit les choses en main si je puis dire. Elle me dit de m’occuper d’Elise et de la laisser faire. Ok !

Je quittais les fesses de Marielle pour m’approcher d’Elise. Elle était toujours les cuisses écartée sous sa robe. En me retournant, pour ramper vers Elise (et oui ! quand je disais « champ de bataille », je n’étais pas loin de la vérité !), Louise me rabroua en me demandant de me mettre sur le dos. Elle avait un plan et je devais le suivre. Maintenant, mettez vous à ma place et tenter de ramper sur le dos !
Pour corser le tout, Louise m’attrapa le sexe et elle se l’enfila presque d’un coup. La chaleur soudaine de son ventre autour de moi me fit une sensation d’électrisation sur le bout du gland. Ouah ! super !

En regardant Louise, je ne vis que son dos. Elle s’était mise à califourchon sur moi en me tournant le dos. Physiquement, je devais entrer en elle dans le bon axe surtout qu’elle était penchée en avant pour s’occuper des fesses de Marielle. Un peu loin pour voir ce qu’il se passait mais j’imaginais aisément la scène. Louise se servait de moi pour son affaire et elle était tellement humide que je ne sentais pratiquement pas les frottements de mon sexe en elle. Etonnant comment des positions peuvent être sans le moindre déclenchement de plaisir. Je ne veux pas dire que je n’avais pas de plaisir à être en elle, bien entendu, mais je ne risquais pas d’éjaculer en elle car mon gland n’était pas excité par une pression ou un frottement. Pas d’éjaculation par ce principe mécanique mais avec Elise qui se masturbait presque devant moi, ça allait devenir sympathique.

Je réussi à poser ma tête sur l’intérieur de la cuisse d’Elise. Sous le pan de la robe, régnait une odeur très forte de sexe. N’ayant pas un cou de girafe, je décidais d’approcher Elise de moi.
Deux mains partir vers les hanches de la donzelle. J’attrapais ses fesses et la fis glisser vers moi. Très grosse surprise quand je la vis venir d’un coup. Elle devait être bouillante car elle m’avait aidé en se levant un peu. Maintenant, même si la luminosité était limitée ici bas, je pouvais voir clairement le sexe poilu de Elise encombré avec un gode. C’était la première fois que j’en voyais un. Evidemment que je connaissais ce genre d’engin vu sur des bouquins ou des sites de cul mais, en vrai, c’était la première fois. Comment le décrire ? Un truc en caoutchouc ! Ben oui… Un truc en caoutchouc sans forme particulière avec des rainures latérales.

Sous cette robe, les bruits étaient aussi invités. Des « Slurp…slurp » à répétition me donnait le rythme à tenir pour contenter Elise. Je pris le gode dans les mains et Elise eut quelques mal à le laisser. Finalement, je me mis à utiliser cet engin pour faire l’amour à Elise. Petites lèvres rougies avec une touffe assez rare par rapport à Marielle, Elise grogna quand je sorti l’engin avant de le rentrer avec une grande lenteur. Après deux mouvements de la sorte, j’en avait marre de ne rien voir, ou presque. D’un mouvement ample, la robe vola et je pus voir enfin le sexe d’Elise écarté par le gode. En sortant le bout de plastique, le vagin restait ouvert et les lèvres roses et vraiment trempées luisaient à la lumière de la chambre. De nombreux fil de cyprine encadraient son sexe et coulaient, pour certains, vers son anus. Je jouais à enfoncer le gode en le tournant doucement pour créer des frottements vaginaux et créer des plaisirs à Elise. En retirant le gode, je me permis de déposer un baiser pile entre les lèvres, sur les petites lèvres et l’entrée du vagin, là où les chairs sont d’une extrême sensibilité. Elise poussa un son roque comme un grognement de fauve. Décidément, toutes ces femmes étaient des tigresses ! Au fur et à mesure, Elise me laissa tout loisir à la masturber et à la défoncer (terme très méchant et loin des actions que je faisais) avec le gode.
Mes baisers, au début timides, devenaient de vrais caresses et Elise mis ses mains autour de son sexe pour l’écarter de m’offrir un accès sans contrainte vers toute sa fente.

Pendant ce temps, Louise continuait à me faire glisser en elle. D’un coup, Elise se redressa et ma tête tomba sur le lit. Je la regardais faire en m’attendant à en prendre une. Sans comprendre pourquoi car j’avais été doux depuis le début, Elise, se mit à genoux et retira sa robe. Elle retira, ou plutôt, fit voler son soutif pour libérer deux petits seins tout mignon. Loin d’être au niveau des poitrines de Louise et de Marielle que j’espérais voir et toucher bientôt, elle était quand même assez mignonne. Toujours sans un mot, Elise me chevaucha le visage et plaça son sexe au dessus de mon visage. Sans mot, je réussi à comprendre que ma prochaine occupation serait de la lécher, ce que je fis avec plaisir. Je la trouvais un peu brusque dans ses manières et elle avait une drôle de tendance à chercher à m’ avec sa chatte. Je dus prendre ses fesses dans les mains pour contrôler ses mouvements pour ne pas mourir par en léchant un sexe féminin. Je pense que sur ma pierre tombale, cela aurait fait tâche à côté de « pour mon mari bien-aimé » et de « A ma tata préférée », d’avoir un « Etouffé par une vulve baveuse ».

Tellement occupé à lécher Elise et, de temps en temps, à lui enfoncer le gode que je gardais à porter, je me suis pas aperçu que Louise m’avait libérer le sexe. C’est en écoutant les bruits de la chambre que je compris que Marielle et Louise devaient s’occuper entre elles. Elise était bouillante et je pensais bien que j’allais pouvoir entrer en elle avec autre chose que mes doigts, ma langue ou son gode. Une main m’attrapa le sexe et commença à jouer avec. La tête dans le sexe d’Elise, je laissais faire sans maîtriser quoi que ce soit. Contre toute attente, Elise leva une jambe pour me libérer. Ouf ! je respirais librement !

Pendant son mouvement, je voyais sa chatte complète et écartée. Elle n’avait aucune pudeur extrême et me montrait toute sa féminité sans peur. Ensuite, elle recula et se plaça au dessus de mon sexe. En levant la tête, je vis qu’elle était la responsable des caresses sur moi. Elle se plaça juste au dessus de ma tige tendue et prisonnière de ses mains puis commença à me faire glisser le long de sa fente. Les seuls mots, qui me sont venu à ce moment là, sont « Oh ! putain ! » car j’avais le gland dans une sensibilité extrême et je sentais que j’allais éjaculer dans la demi-seconde qui suivait. Avec un grand effort, je réussis à me contenir. Pô simple mais efficace, je me suis mis à penser aux impôts, un cassoulet, de la merde, bref, à plein de trucs qui pouvait me couper l’envie d’asperger les lèvres qui m’encadraient. Quand Elise se décida à me diriger en elle, la sensation était encore très présente et je dis à Elise que j’allais éjaculer et qu’elle devais arrêter. A ce moment là, soit elle à joué à la sourde, soit elle m’a testé. Elle a recommencer ses caresses le long de son vagin avec mon gland. Toutes les images du monde ne m’aurait pas aidé. J’ai explosé d’un jet sur Elise qui s’amusa à récupérer le sperme et se mouiller la chatte avec. En trois à quatre spasmes, j’avais vidé la cartouchière. Elise, ne voyant plus rien sortir de mon sexe, se décida à me faire entrer en elle. Loin d’être dans la phase « débandage », je suis resté dur en elle. Elle avait un gode en chair et sans os en elle.

Entre les deux nanas à côté de moi qui se faisaient un joli 69 et Elise qui me chevauchait telle une amazone, j’avais droit à un concert de grognements et de gémissements. Joli concert ! Après un long moment dans cette configuration, Louise et Marielle arrêtèrent et regardèrent Elise me faire l’amour. Oui ! Quand on est allongé sur le dos et qu’une femme joue les rodéos sur votre sexe, il faut arrêter de dire que vous faite l’amour à une femme. C’est le contraire !

Maintenant, pourquoi Elise, pourtant du style lesbienne assurée et contre tout possession par un homme, s’est laissée prendre au jeu hétéro ? Sur le coup, j’en avais rien à foutre… Je prenais le plaisir comme il se présentait et je dois bien avouer qu’il était assez génial. Les filles étaient parti dans un délire digne des plus beau film de cul et j’étais l’instrument de leurs plaisirs. J’avais bien quelques concurrents comme le gode d’Elise mais je ne me plaignais absolument pas de mon rôle. Maintenant que toute cette aventure est terminée et avec du recul, je me demande si dans chaque femme lesbienne, il n’y a pas un côté refoulé qui recherche les rapports hétéros. Au vu de ma très petite expérience dans ce genre de rapport, il est difficile de généralisé. Pour ce que je connais, Elise a pris son pied avec moi. Marielle, la plus âgée et donc, pour moi, la plus accrochée à son statut de lesbienne, a aussi pris son pied. Il y avait bien Louise mais je la soupçonne d’être une bi-sexuelle qui se cache son statut

Louise a un caractère à chier ! Si ! Si ! Quand elle décide un truc, c’est clair qu’on ne lui fera pas changer d’avis…Sauf, si c’est elle qui décide. Dans un moment de faiblesse, je pense qu’elle pourrait me dire qu’elle n’a jamais voulu de mec pour une multitudes d’excuses plus ou moins valable. Je ne vais pas commencer à lister toutes les excuses sinon, plusieurs lecteurs vont se jeter du haut du pont ! Certains seraient recevable au vu des gros cons qui prennent les femmes pour de la viande. D’autres seraient limites avec une généralité un peu facile, un peu comme le genre de réflexion « La femme au fourneau » ou « les blondes ont un cerveau moins lourd », bref, toutes ces réflexions bien trop facile et bien trop rapide à dire. Les faibles d’esprit et les pôvres bougres qui ne vivent qu’à travers les dires des autres se reconnaîtrons mais n’avouerons jamais.

Donc, pour en revenir à cette journée extraordinaire, j’étais tranquillement allongé sur le dos avec Elise qui commençait à se secouer dans tous les sens en s’empalant sur mon membre bien dressé. Quand je dis « secouer », ça pourrait être « gigoter », « sauter », trembler », … Elle avait tout de la femme faisant un rodéo sur un cheval fou. La grande différence était que le cheval fou était assez immobile si on oublie les sauts que le matelas m’obligeait à faire. J’avais une frousse, c’est qu’elle torde mon sexe et qu’elle tombe dessus de tout son poids. Non qu’elle soit lourde, elle aurait pu me faire super mal, et elle aussi. J’ai eu de la chance car rien de mal ne se passa. Elle se fit le maximum de bien avec moi et je profitais de « mon temps libre » pour regarder les deux autres nanas se faire leur 69. Pour Marielle, je n’avais pas vraiment de chance car sa poitrine était collée contre le ventre de Louise. Depuis le début des ébats, je n’avais vu que les courbes, façon film érotique où tout se joue sur quelques images, et laisse l’imagination faire le reste. Pas de problème pour moi, mon imagination fonctionnait à plein régime.

Au bout d’un moment, alors qu’Elise était toujours aussi agitée, les filles arrêtèrent leurs baisers et elles me regardèrent avec Elise. Je voyais enfin la poitrine de Marielle. Des seins arrondis avec une belle formes. Comme Louise, la blancheur de la peau autour des mamelons contrastait avec la couleur générale de la peau. On pouvait deviner le dessin d’un maillot de bain. Un peu plus tombant que ceux de Louise, le dessin du galbe était parfait et les tétons très prononcés semblaient représenter de profile un carré presque parfait. Je réussis à dire à Marielle qu’elle était belle mais les sauts de Elise m’empêchait de parler normalement. Marielle et Louise se regardèrent et pratiquement sans un mot, elle nous rejoignirent. Louise se plaça devant Elise en se mettant à califourchon sur mon ventre. Je sentais ses poils pubiens me chatouiller le ventre. J’imagine qu’elles se sont embrassées et caresser. Quoi qu’il en soit, Elise ralenti un peu ses sauts de puce.

Marielle se pencha vers moi à me toucher le nez :
- « Tu lèches super bien pour un mec. Tu mérites un cadeau »
- « … Je te sucerais bien les seins…Ils sont beaux » dis-je avec un peu de gêne.
- « Tiens, prends les et après, je veux encore que tu me lèches »
Elle resta penchée au dessus de moi en plaçant une de ses tétines devant ma bouche. Je n’eus que le loisir d’ouvrir ma bouche et tendre la langue pour toucher le téton durci. Marielle me laissa faire tout en me parlant :
- « Si tu es gentil, tu auras tout ce que tu veux…Oui, comme ça…Tu te débrouilles vraiment bien… »
Elle n’arrêta pas de me féliciter et de me motiver durant tout le temps où j’ai jouer avec ses seins. Elle les prenait pour enfoncer le téton et un maximum de son sein dans la bouche. Dès qu’elle dut sentir qu’elle en avez assez, elle m’embrassa à pleine bouche et se plaça au dessus de moi.

Elle se glissa un doigt dans la chatte et l’enfonça complètement. En le sortant, je voyais clairement cette femme se caresser le sexe. Elle sorti le doigt et me le présenta. Sans même réfléchir, j’attrapais le doigt pour le sucer. Elle refit le manège une dizaine de fois, toujours avec le maximum d’érotisme dans le geste et la vitesses d’exécution. Ensuite, elle plaça sa chatte juste devant ma bouche et me laissa lui prendre les fesses pour la lécher lentement. Combien de temps, je ne sais plus, mais c’était super bon. Pendant ma grosse lèchouille de la chatte de Marielle, Elise et Louise changèrent de position et ce fut Louise que je retrouvais empalée sur moi. Je préférais car elle était plus douce et plus en harmonie avec moi. Quand Marielle décida d’arrêter, elle se retira et vint me faire un gros baiser à pleine bouche. Elle me demanda :
- « Maintenant, ton cadeau. Tu as déjà vu une femme se faire pénétrer ? et deux ? »
- « …non, jamais ! »
- « Tu veux me voir avec Louise ? »
- « …vous allez faire ça avec qui ? »
- « Mais non, gros bêta, on a des outils…tu vas voir… »
Sur ces paroles, elle se leva, magnifique et ouvrit le tiroir de la table de nuit.

Si chez vous, vous avez des petites affaires dans votre table de nuit, Louise et ses copines ont des outils. Maintenant, je les connais, mais la première fois, ça choque ! Marielle prit une sorte de tube bleu d’une soixantaine de centimètre. Le tube était souple pour être plié dans le tiroir du petit meuble. Marielle appela Louise et lui montra l’engin. Louise semblait heureuse à cette idée. Marielle lui proposa de me montrer comment elles faisaient sans moi. Louise et Elise rejoignirent Marielle.

J’en profitais pour me relever et cela me fit un maximum de bien. J’avais le dos en compote ! Avec ma chute de la journée et… les deux heures de cabrioles sur le lit avec ces trois tigresses, j’étais sur les rotules ! Elles, par contre, avaient une pêche de folie. Trois petites nanas sur des vélos et maintenant, trois infatigables du sexe qui ne s’arrêtent même pas pour boire un coup. Sur certains endroits de mon corps où les ronces avaient laissé des traces, la sueur me faisait mal. Je n’allais pas me plaindre de peur de casser l’ambiance et de passer pour une pauvre petite chose qui ne méritait pas la présence des filles. Je supportais la douleur en me demandant ce qu’elles me préparaient. Elles discutaient entre elles et, après un petit conciliabule, Elise revint vers moi et me demanda de la prendre par derrière comme Louise. Nous mettions nos affaires en place pour qu’il n’y ait pas d’incompréhension pendant que Louise et Marielle se mettaient assises face à face avec le gode double entre elles.

Elise, la petite et douce Elise se dévoilait en super nova. Autant elle était timide et réservée que, dès qu’elle ouvrait la porte, on découvrait une tornade. Les instructions que j’entendais ressemblaient plus à des ordres qu’à des demandes ou des ententes cordiales. Chaque fille pouvait largement se contenter seule et j’étais là uniquement comme un autre jouet sexuel. Loin de m’en plaindre pour le moment, j’avais tout loisir d’en profiter mais je jouais sur des œufs. Je sentais que si jamais j’avais la malchance de faire ou dire une erreur, j’allais me retrouver à poil avec mes griffures sur le palier de la porte en une fraction de seconde. Pour en revenir à Elise, elle se mit à quatre pattes sur le lit et écarta les jambes sans aucune gêne par rapport au début. Je pouvais voir sa chatte poilues avec le renflement de sa vulve. La raie de son sexe continuait après son anus et je ne pouvais pas voir ses lèvres ouvertes comme Marielle. Elle me demanda de la regarder faire et de la pénétrer doucement. Elle m’expliqua sans aucune difficulté que c’était la première fois et qu’elle ne savait pas si j’allais lui faire mal ou non. Dans sa phrase, il y avait un sens du style « Vous, les mecs, vous êtes tellement brusque ! ».

Donc, j’ai pris sur moi car je ne pouvais pas lui prouver qu’elle avait tord avant d’avoir fait mon affaire avec elle. Pour lui prouver ma bonne fois, je lui demandais ce que je devais faire si j’avais envie d’éjaculer. La question la laissa un moment sans réponse. Enfin, elle leva les épaules et me dit avec la plus grande franchise : « De toute façon, personne n’a de capote, alors… ». Ok, j’avais donc libre cours pour m’enfoncer dans le ventre d’Elise et lui arroser la partie la plus précieuse de son corps si j’avais mon excitation à son paroxysme. Pendant ce temps, Marielle et Louise commençaient à se caresser en étant assise en tailleur face à face.

Ma main se posa sur la toison d’Elise et je commençais à la caresser. Elise était en face des deux autres filles et elle pouvait, à son gré, les embrasser ou plus si affinité. Doucement, toute la scène commença à devenir de plus en plus chaude. Les deux filles, après s’être embrassées, se caressaient les seins et les embrassaient. A les voir comme ça, j’étais excité comme un fou. C’est dingue comme elles étaient dans une scène extra érotique. Avec la caresse sur le sexe d’Elise et les filles se donnant l’une à l’autre, Elise n’eut aucune difficulté à s’ouvrir comme une fleur. Quand mon doigt réussi à se glisser entre ses lèvres, je découvrit aussitôt un lieu chaud et humide à souhait. Mon doigt mouillé pu alors se promener sur son clitoris et jouer avec. Elise recommença à grogner et à gémir. Mon sexe était raide à me faire mal tellement le fait de jouer avec le sexe d’Elise et les deux nanas en face m’excitaient. Louise et Marielle avaient commencé à se masturber avec les mains. Chacune avait sa main sur le sexe de l’autre quand mon sexe entra dans celui d’Elise. Dans un grand mouvement lent, mon sexe glissa sans problème dans celui d’Elise. J’avais l’impression de m’enfoncer dans un gouffre sans fond. Elise eut un petit cri quand j’atteint la totalité de mes capacités en elle. Je commençais un retrait pour sortir un maximum de mon sexe en laissant juste la pointe du gland entre ses grandes lèvres. Louise et Marielle gémissaient de concert avec un rythme de plus en plus fort quand je me ré-introduisit dans Elise. Par rapport à la position où Elise gigotait sur moi comme si elle avait les doigts dans la prise secteur, là, elle ne bougeait pas d’un pouce et était devenu de marbre. En jetant un œil sur les deux autres nanas, je vis les filles s’enfoncer chacune un côté du gode en elle.

Très beau quand le gode se glisse dans un sexe. Je vois pour la première fois de ma vie le sexe de la femme, s’écarter et gonfler au fur et à mesure que le sexe se remplit du membre. Chacune des filles arrêta l’enfoncement à mi parcours de la longueur disponible. Après un autre aller et retour dans Elise, Elise se pencha en avant et attrapa du bout des doigts le milieu du gode. Je voyais les toisons de Louise et Marielle en face à face : L’une avec ses grosses lèvres écartées et les chairs roses luisantes autour du petit tube, l’autre avec ses lèvres un peu moins prononcées mais tellement peu de poil que le sexe semblait avoir une forme ronde pour accueillir l’outil.
Elise commença à faire entrer le gode dans l’une puis dans l’autre à tour de rôle. Le rythme était lent et les filles écartèrent les jambes au maximum pour offrir à Elise la joie de les pénétrer à tour de rôle. Je ne sais plus combien de temps ce la dura mais, j’avais éjaculer dans Elise bien avant la fin de ce va et vient sexuel et mécanique dans les deux nanas. Le rythme s’était accéléré franchement et vers la fin, avant que Marielle n’éclate dans un orgasme de folie, Elise allait tellement vite qu’elle devait faire mal à l’une des deux, voire les deux. Je voyais clairement les visages des filles se déformer et je me demandais si c’était l’excitation ou la douleur. Quoi qu’il en soit, quand Marielle eut son orgasme, Elise retira presque aussitôt le gode des chattes et, comme dans un exercice bien ficelé de longue date, Louise et Marielle se rapprochèrent pour permettre à Elise d’enfuir son visage sur les deux chattes explosées. Elise était déchaînée et elle tournait son visage d’un côté à l’autre pour, sûrement, lécher les deux vulves ouvertes.

Moi, de mon côté, je faisais petit joueur et je tentais de suivre les mouvements d’Elise pour rester en elle et continuer à lui donner du plaisir. Chaque pénétration que je faisais était agrémentée d’un mouvement sur le côté pour frotter les parois d’Elise. Sans vraiment savoir si je réussissais à lui procurer un plaisir ou non, je continuais avec toujours autant de douceur au cas où un mouvement lui fasse mal. Aux mouvements de son bassin, j’avais l’impression qu’elle trouvait du plaisir dans ces caresses internes. Elle, qui était du style violente dans ses rapports, trouvait peut-être ici de l’érotisme, de la passion, du glamour dans une relation sexuelle pleine d’échanges et d’amour.

L’amour était un grand mot dans ce moment car les sentiments n’étaient pas vraiment nés. Seuls les plaisirs étaient présents et l’amour ne correspondait qu’au plaisir de donner du plaisir et de faire perdre pied à la personne d’en face. Alors que Marielle est Louise finissaient en se plaquant les sexes l’un contre l’autre pour se frotter très langoureusement, Elise les laissa tranquille et se concentra sur les mouvements de ses hanches pour me faire glisser en elle. Elle avait trouvé les mouvements lents d’une danse Indienne et elle avait changé ses grognements habituels par des gémissements très longs. Tel un cavalier de rodéo, j’avais la satisfaction d’avoir dompté une jument sauvage. Ca fait très égocentrique mais je préférais cet échange empli de sensualité et de douceur à la charge bestiale que Elise semblait être gourmande. Tout à mon affaire, j’avais aussi l’occasion de caresser les petits seins d’Elise. Je passais mes mains de son ventre à sa poitrine en contournant les tétons pour faire monter le désir et rendre frustrer cette tigresse. En fin de compte, j’attrapais ses pointes pour les caresser et les titiller doucement.

Sans vouloir me vanter, j’ai un sexe de bonne longueur. A mon avis, il est normal mais je sais qu’une de mes anciennes femmes me disait que je lui faisais mal en tapant au fond de son vagin. La conclusion m’était donc venu que mon sexe était de taille très honorable. Elise en profitait sur toute la longueur. Elle me faisait carrément sortir d’elle avant de me laisser glisser jusqu’à atteindre la garde. Les bruits de sucions donnaient une ambiance particulière à faire rire. Louise me rejoignit et m’embrassa sur la bouche. Elle était toute rouge et en sueur. Marielle se redressa aussi et regarda Elise qui était affalée sur le lit avec la croupe en arrière.
Je m’assis sur les talons et Elise se recula pour gérer elle-même le rythme de ma pénétration. De ma place, je voyais clairement mon sexe disparaître dans son corps. Marielle se mit à côté de moi. Avec les deux femmes à mes côtés et leurs poitrines rondes et lourdes en vue, mon excitation ne risquait pas de descendre. Je montrais aux filles mon sexe disparaître dans Elise.

Curieuses et vicieuses, elles se penchèrent pour se mettre à la hauteur de mon bassin pour regarder le sexe et les fesses d’Elise engloutir mon membre dur. Penchées en avant, j’en profitais pour attr un sein de chaque fille dans mes mains. Chaque sein tenait juste dans ma main et j’avais loisir de jouer avec la forme et tout le poids. Elles restèrent comme ça quelques temps pour regarder leur copine faire l’amour. De mon côté, j’en ai bien profité pour jouer avec leur poitrine. Voyant les filles penchées en avant, j’en profitais pour quitter leurs poitrines et glisser sur leurs dos vers les fesses. Après une longue caresse sur le dos en englobant les fesses tendues en arrière, je conclu qu’elles n’étaient pas contre un peu plus !

Mes mains se glissèrent le long de leurs fesses pour atteindre leurs sexes. Pour Marielle, je trouvais aussitôt les lèvres écartées et la moiteur de son sexe. Pour Louise, mon doigt entra directement dans son vagin sans le faire exprès. Je sortis mon doigt de Louise et commença à caresser doucement les sexes ainsi offerts. Mes doigts jouaient avec le clito et caressaient avec beaucoup de tendresses les lèvres humides. Elles étaient bouillonnantes et je découvrais encore une fois les délices des glissades le long de ces canyons de plaisir. A part Elise qui continuait les longs mouvements en m’utilisant comme gode perso, personne ne bougeait à part les caresses de mes mains et les balancements de Louise et Marielle d’avant en arrière. Cette situation aurait pu durer des heures tellement c’était génial !

Elise, comme à son habitude, ne pu réfréner ses ardeurs et elle commença à partir en live ! Elle gémissait de plus en plus fort et cela allait de pair avec ses mouvements de plus en plus rapides. J’avais l’impression que Elise donnait le rythme à toutes les filles car les gémissements de Louise et Marielle donnaient aussi dans le tempo supérieur. En quelques instant, la scène d’un grand érotisme devint un grand n’importe quoi de sexe hardcore !
Elise recommença à grogner en tapant ses fesses sur moi pour me faire entrer avec beaucoup plus de force. Elle était redevenue la furie s’empalant sur un manche disponible. Inquiétante cette nana ! Elle se secouait tellement que mon sexe sortait complètement du sien et j’avais même peur que j’entre directement dans son anus sans avertissement. Sa chatte devait être tellement ouverte et trempée que j’entrais toujours directement en elle. A deux reprises, Elise eut mon sexe dans son anus. Sans entrer totalement, la force du mouvement d’Elise fit que mon gland pénétra en parti dans son petit trou. Elle ne semblait pas contre et elle ne fit aucune remarque. Pour ma part, je ne suis pas du genre à me glisser de ce côté !

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