Marlene Forverer : Comment Je Suis Devenu Un Salopard.

Je suis un homme de 25 ans, agent financier dans la multinationale XXX. J’ai toujours pensé qu’à force de dur labeur et d’empathie envers mes semblables je pourrai aller loin dans cette vie. Hélas, je me trompais et ma supérieure, Marlène, était la personnification de cette erreur.
C’est une femme de 39 ans. Brune, cheveux long coupe carré. Toujours vêtu de lunettes et d’un tailleur classe mettant en valeur ses courbes opulentes. Elle dirige le département d’une main de fer et aussi loin que je me souviens je ne l’ai jamais vu sourire ou montrer de la sympathie à qui que ce soit. La légende veut qu’elle aurait gravit les échelons hiérarchiques de la compagnie en moins de 2 ans, ce que d’autres font en 10 ou tout simplement jamais. En d’autre terme, elle savait qui sucer et sur qui chier.

Ce matin, j’arrive au bureau et me rend directement dans la salle de conférence. Marlène m’y attend pour mon évaluation trimestrielle. Elle assît occupée à prendre des notes.
-Bonjour.
Elle ne prend pas la peine de me répondre. Elle glisse un document vers moi. Je survole la feuille et mes battements de cœur s’accélèrent. C’est un récapitulatif journalier des sites visités par les employés de la compagnie. L’un des sites est surligné en jaune : XXXXX.com. Un blog pour adulte que je parcours à l’occasion pendant mes heures de travail.
Ces yeux noisette m’observent derrière les montures de ses lunettes noires.
-D’abord facebook et maintenant …ça.
Je sourie nerveusement et une bouffée de chaleur m’envahit.
-Je visitais ces sites pendant mes heures de pauses…En plus à coté je fais de l’excellent travail.
-Médiocre !
-Pardon ?
Elle me répond sans bouger un cil.
-Vous m’avez très bien comprise. Votre travail…est médiocre et ceci ajouté à vos…loisirs m’obligent à me passer de vos service à l'avenir.
Je desserre ma cravate.
-J’enverrai sous peu un rapport vous concernant à la RH et ils vous contacteront d’ici quelques jours.


Je suis abasourdie par ce que je viens d’entendre. Elle me regarde impassible et ajoute :
-Au revoir.

Plus tard dans la journée. On reçoit un mail de la centrale. Les grands patrons sont mécontents : Quelqu’un a commis une erreur en effectuant une opération financière. J’envoie un mail à ma salope de responsable : Marlène. « Je sais que c’est Vous, la roue tourne ». C’est elle qui a effectué le virement et ce n’est qu’une question de temps avant qu’on ne remonte jusqu'à elle. Et peu importe le nombre de queux qu’elle sucera, cette fois ci, elle est cuite.
Une vingtaine de minute plus tard, la réponse de Marlène apparait sur mon écran : « Il faut qu’on parle. RDV ce soir chez moi,OK ?»

Il est 22h quand je sonne chez Marlène. Elle habite un loft de standing. Elle m’accueille aimablement et m’invite à m’assoir. Elle porte un pantalon de survêt rose clair moulant et un débardeur blanc sans soutif qui laisse entrevoir une poitrine opulente.
Elle s’installe devant un écran de laptop sur lequel défilent des graphiques financiers. Elle tire une taffe et écrase sa cigarette dans un cendrier contenant des dizaines de mégots.
- Je te sers quelque chose ?
-Depuis quand on se tutoie ?
Ma question la déstabilise et un sourire nerveux se dessine sur ses lèvres.
-Et si vous m’expliquiez la raison de ma présence ici ?
Elle se passe nerveusement la main dans les cheveux.
-Je comprends tout à fait que tu.. VOUS soyez en colère contre moi. C’est pour ça que j’aimerai vous proposer un arrangement…
Elle me tend une enveloppe à l’intérieur de laquelle dépasse une liasse de billets violet.
-TU veux que j’endosse la responsabilité de TON erreur, c’est bien ça ?
Je compatis à son désarroi, d’autant plus qu’elle semble réellement sincère mais bon…dans cette vie tout ce paye tôt ou tard. Certain appelle ça le karma moi j’appelle ça le retour de flamme.
-Je suis d’accord mais ça sera à mon prix.

Je me lève et déboutonne mon pantalon. Elle me regarde étonnée.
-Mais qu’est ce que….
-TA GUEULE ! c’est ça où j’en connais une qui va bientôt aussi pointer à l’ANPE et sans parachute dorée.
Elle ne réagit et je commence à me demander si ce que je viens de faire était réellement une bonne idée jusqu'à ce qu’elle me dise :
-Je te..Je te masturbe et on est quitte.
Je ne crois pas ce que je viens d’entendre. Je réponds sans réfléchir.
-Ça marche.
Elle s’approche de moi et plonge sa main dans mon pantalon. Elle sort ma queue. Elle m’a à peine effleuré que je suis déjà en érection et à avoir l’expression sur son visage, elle n’a jamais eu un engin pareil en main. Elle commence à me caresse la verge d’une main experte.
Incroyable, je rêve éveillé. Cette garce frigide est entrain de me branler. Ses mouvements se font de plus en plus rapides. J’ai une vue plongeante sur sa paire d’obus. Elle ne porte pas de soutif et les pointes de ses tétons se dessinent sur son débardeur .Ça m’excite et j’ai tellement envie qu’elle me prenne dans sa bouche.
-Suces moi.
Elle continue à me branler comme si elle ne m’avait pas entendue. J’insiste « suces moi ». Elle m’ignore et accélère les mouvements de sa main, elle veut en finir rapidement.
-Suce moi ou t’oublie notre accord !
Tout en me masturbant, elle me dévisage.
-Mais préviens-moi quand tu viens.
-D’accord.
Les douces lèvres de Marlène se referment sur mon gland. Je pousse un râle d’extase. Ça commence à venir. Elle a du mal à me prendre entièrement dans sa bouche à cause de l’épaisseur de ma queue alors elle me suce le gland pendant que ses deux mains me branle simultanément le manche .Ses mouvements sont de plus en plus rapide. Je sens que ça monte et je retiens la sève mais la pensée de souiller sa bouche est tellement forte qu’une puissante giclée s’enfonce dans sa gorge. Surprise, elle a un mouvement de recul. J’att sa tête et j’enfonce ma queue profondément dans sa gorge.
Elle tente de me repousser mais en vain. Elle déglutit et ouvre grand les yeux quand je me vide dans sa bouche déformé par la grosseur de ma queue. Elle tente une autre tentative pour sortir mon membre de sa bouche en me repoussant, mais c’est peine perdu. Je suis au dessus d’elle et Je maintiens ma queue dans sa bouche. Des larmes coulent sur son visage. Finalement, elle se résout à avaler entièrement ma semence.
J’effectue des coups de rein avec ma queue toujours enfoncé dans sa gorge. Elle s’étouffe et une énorme quantité de salive mélangé à du sperme débordent de sa bouche. Je la tiens fermement par la tête et je continue à la baiser littéralement par la bouche jusqu'à ce qu’elle déglutit encore et manque de vomir.

Je la lâche et elle s’affale sur le sol. Je m’installe tranquillement sur le divan le manche toujours dressé. Elle reprend son souffle et nettoie du revers de la main les restes de ma semence sur ses lèvres. Elle me foudroie du regard.
-Ordure.
Des larmes se sont mélangées à son mascara et laissé des trainés noire séchés sur son visage. Cette vision m’excite et je caresse ma verge qui reprend toute sa vigueur encore lubrifié par sa salive.
-Caresse-toi !
-On avait un marché.
-Ouais mais le respecter n’engageait que toi…maintenant j’ai envie de te voir jouir…caresse toi.
-Je n’aurais jamais pensé ça de toi.
-Maintenant !
Elle fait disparaitre lentement sa main dans son pantalon. Elle me fixe dans les yeux pendant qu’elle se caresse. Je calque ma masturbation sur les mouvements de sa main qui deviennent plus rapide et saccadé. Tout en me masturbant, je m’approche d’elle et soulève son débardeur, ses seins lourds tombent…oh mon Dieu. D’une main je tire sur un téton. Marlène ferme les yeux et se mord les lèvres. Elle gémit. La main dans son pantalon bouge de plus en plus vite. Je n’en peux plus, je sens que je vais encore éjaculer. J’enferme ma verge entre ses mamelle et je fais des mouvements de va et vient.
Un orgasme l’envahit et tout son corps se contracte. Je continue mes coups de rein avec ma verge coincée entre ses gros seins et j’explose : Une énorme quantité de sperme se déverse sur sa poitrine. Ma semence parcours son ventre pour disparaitre dans l’espace laissé ouvert par sa main dans son pantalon.
Je lui présente ma bite « nettoies ! ». Elle lape mon gros engin et ouvre grand la bouche afin de l’avaler docilement. Pendant de longues minutes, Marlène me polie la queue sans broncher.
Je me laisser tomber sur le divan, épuisé. Marlène se lève et sans un mot ni un regard, elle se rend au toilettes. Je la regarde partir. Son survêt taille basse moule magnifiquement ses fesses arrondies et à chacun de ses pas, le tas de chair contenu dans ses fesses pulpeuse bouge en slow motion. Je constate que je suis encore en érection. J’en veux encore.

Je la rejoins au toilette. Elle se rince le visage. Je colle mon érection contre ses fesses. Elle regarde mon reflet sur le miroir devant elle.
Silence.
-Qu’est que tu fais ?
Je soulève ses longs cheveux qui laissent apparaitre son cou et je lui murmure derrière l’oreille. « Pense au sacrifice que je vais faire pour toi. »

Dans le salon, son téléphone sonne. Je lui ordonne de laisser sonner, pendant que ma main se glisse à travers son pantalon de survêt vers son intimité. Elle m’arrête d’une main.
-Je t’en prie...NON
Le téléphone arrête de sonner et passe sur la messagerie. « Bonsoir Marlène. C’est Paul. J’appelle au sujet de la transaction financière. Rappel moi. C’est urgent. »
-Alors ? Tu tiens vraiment à ce que j’arrête maintenant ?
Elle retire sa main et laisse la mienne continuer à explorer son intimité. Elle est épilée. J’enfonce deux doigts dans son vagin. Elle sursaute et se colle à moi. Sa minette est chaude et humide. Je pose mes doigts couvert de cyprine sur ses lèvres. Elle tourne la tête mais malgré ça, je parviens à forcer l’entre de sa bouche.
-Oui c’est ça…Suce !
Tout en restant collé à elle. Je baisse maladroitement son pantalon et j’écarte sa culotte.
-Mets un préservatif avant…s’il te plait.
-Non je veux te sentir.
Marlène se colle contre le lavabo afin de m’empêcher de la pénétrer mais il est trop tard. Mon membre se fraye un chemin dans son ventre. L’intérieur de son vagin est en fusion. Je la pénètre lentement comme pour graver cette sensation de plaisir en mémoire. Son orifice vaginal est tellement mielleux que c’en est divin. Graduellement, je la culbute de plus en plus rapidement.
-Dit mon nom !
Elle ne répond pas. D’un coup je la pénètre jusqu'à la garde.
-Dit mon nom !
-Jean
C’est Merveilleux. JE continue a la pilonner .Elle se penche et s’agrippe au lavabo pour mieux prendre mes coups de reins. Elle porte une culotte en dentelle rouge et j’ai une vue imprenable sur la cambrure de ses fesses.
-Plus fort !
-JEAN…JEAN XXXX
J’écarte sa culotte pour mieux contempler les allers retour de ma queue violer son intimité.
Marlène pose sa main sur mon bas ventre comme pour me dire de ralentir la cadence mais je l’écarte. Je m’agrippe a ses hanches et je la pilonne. A chaque coup de rein ses fesses rebondissent sur mon ventre. Elle mouille de plus en plus.
J’att ses cheveux et la tire contre moi et là bourre comme s’il n’y avait plus de lendemain.
Ses gémissement deviennent de plus en plus bruyant et soudainement, elle a un orgasme foudroyant : des spammes parcours son corps et elle s’écroule. Elle s’assied a même le sol, tremblotante, sans pouvoir contrôler les mouvements de son corps. Ça dure quelques minutes pendant lesquelles je profite du spectacle en me masturbant.
J’att ses jambes et l’attire vers moi. Je retire sa culotte et guide ma queue dans son vagin. J’ai l’impression de pénétrer dans un volcan en ébullition. Je lui donne de rapide et puissant coup de rein.
-Ça te plait hein ? …être prise comme une chienne.
-Ouiii…C’est bon..
Je la baise sur le sol à un rythme effréné et quand je retire mon engin, un jet de cyprine est expulsé de son vagin et m’éclabousse le ventre…des petits jets moins puissants se déversent sur le sol. Elle croise ses jambes et se crispe.

Son téléphone sonne encore dans le salon. Elle sait qu’elle ne va pas répondre alors elle reste allongé sur le sol immobile.
-Écarte tes jambes…j’ai envie de jouir en toi.
Elle s’exécute. J’introduis lentement ma grosse queue dans sa chatte. Ma queue disparait totalement à l’intérieur et je peux sentir mes couilles toucher ses fesses. Je ressors mon manche lentement pour le voir de nouveau être avaler par cette chatte béante et dégoulinant.

La messagerie automatique se déclenche « salut c’est encore moi. C’est pour te dire que tout est arrangé. IL n’y a pas eu d’erreur. IL s’avère que c’était juste un problème au niveau de la communication. On a eu chaud. Allez à demain »

On se regarde. A cet instant précis, ma queue en érection se trouve à l’entrée de son vagin. On comprend instantanément ce que veux dire ce message : Le pouvoir va changer de camp et Marlène va reprendre le contrôle.
Elle tente de se dégager mais pour moi cette occasion ne se présentera plus jamais. Je pèse de tout mon poids sur elle afin de la maintenir sur le sol et je m’enfonce en elle d’un puissant coup de rein. Elle pousse un hurlement assourdissant « AEIIIII…….. » et frappe sur mon torse. Son orifice me serre, il est étroit et à chaque coup de pilon Marlène hurle plus fort.
-ENCULɅTU ME DÉCHIRES……
Je continue à la laminer pendant qu’elle crie et se débat.
-ENCULɅ
Après quelques minutes. Elle se calme et ses cris laissent place à des gémissements. Finalement je lâche la purée et je reste en elle jusqu'à ce que mon membre perde de sa vigueur.
Quand je me retire. Elle reste immobile et c’est alors que je réalise que lorsqu’elle a tenté de me repousser, je me suis enfoncé dans le mauvais orifice, son trou d’honneur : Une longue trainée de crème blanche coule de son orifice anal béant et se répand sur le sol.
J’étais tellement excité que je l’ai sodomisé sans le savoir.
Elle fixe le plafond en silence. Des larmes coulent de ses yeux et sans détourner son regard du plafond, elle me dit sèchement :
-Tu as fini ?
J’aimerai lui dire que ce n’était pas mon intention mais ça ne ferait qu’empirer les choses.
-Oui.

Elle se lève et se dirige dans la douche en boitant. J’en profite pour me servir de la salle de bain du premier étage. Quand je descends, je trouve Marlène à l’extérieur. Elle porte un peignoir et fume une cigarette assise sur le balcon, les pieds en l’air posée sur la rambarde. Je m’approche d’elle.
-Écoute, pour ce qui s’est passé, je suis...
Elle me coupe la parole et sans détourner son regard du paysage devant elle:
-Il ne s’est jamais rien passé !
Je sors sa culotte rouge de ma poche et la porte à mon nez. Je hume l’odeur sucrée de son intimité
-Je peux garder la en souvenir ?
Elle continue de m’ignorer.

En sortant, je prends l’enveloppe de billets sur la table. J’aurais besoin d’argent dans les jours avenir étant donné que je serai bientôt chômeur…mais une pensée me revenait sans cesse à l’esprit : « Si tout se paye, tôt ou tard…alors à quand mon tour ?"

A suivre.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!