Comment Je Suis Devenue Une Salope Suite

Nous nous voyions tous les jours Norbert et moi Le soir il venait m'attendre à la sortie de mon travail et me raccompagnait chez moi. Ma mère le gardait souvent à dîner. Puis lorsqu'il partait je descendais avec lui. Nous restions de longs moments dans l'entrée de l'immeuble à nous embrasser. Peu à peu Norbert exigeait plus de moi, et je lui cédais à chaque fois.
Il commença par me caresser la poitrine à travers mes vêtements, lorsque ses mains parcouraient mes seins, pinçaient mes tétins, je me laissais faire, mon ventre s'enflammait, ma chatte coulait. Un jour il passa ses mains sous mon tee-shirt, et les posa sur mes seins nus. Ce fut fantastique, je poussais un gémissement et me collait contre lui. Je lui disais "non" mais tout mon corps disait "oui".
Une autre fois sa main se glissa sous ma jupe, je voulu l'en empêcher, mais déjà ses doigts étaient sur ma chatte, à travers mon slip.
- Tu es trempée petite salope, tu jouis ?
Je ne pus qu'acquiescer.
Norbert glissa ses doigts sous mon slip et commença à me caresser la chatte, son index s'attaqua à mon clitoris je ne pouvais plus lui résister, c'était trop bon. Mon ventre allait au-devant de ses caresses, je sentais ma mouille lui couler sur la main. J'avais honte de ce que je faisais, mais pour rien au monde je n'aurais voulu qu'il s'arrête. Sa main caressait mes lèvres, son doigt s'agitait de plus en plus vite sur mon clito, soudain la jouissance m'envahit et je poussais un grand cri. C'est le moment que choisit notre voisin pour passer près de nous, il me regarda d'un regard vicieux. Il n'avait pas pu ne pas voir mes seins à l'air, la main de Norbert s'agitant sous ma jupe. J'étais rouge de honte.
- Bonsoir Danielle, on ne s'ennuie pas on dirait.
Malgré cet incident, nous nous retrouvions tous les soirs pour nous caresser. J'espérais secrètement me faire surprendre par notre voisin. Mon exhibitionnisme s'accentuait encore. Je sentais que cela ne déplaisait pas à Norbert.

Un soir, il me mit entièrement nue, puis il s'agenouilla devant moi et, m'écartant les cuisses il entreprit de me lécher la chatte. C'était encore une première, sa langue fouillait ma cramouille, me léchant, aspirant mes lèvres, titillant mon clitoris qu'il saisit entre ses lèvres. Je le sentais durcir, s'allonger. Mes jambes tremblaient, sa langue qui s'enfonçait dans ma moule me faisait jouir comme une folle. Ma chatte jutait en permanence. Je vis alors notre voisin qui nous observait. J'étais nue, devant cet homme qui connaissait ma mère, entrain de me faire lécher la chatte, la honte m'envahissait. Je voulu arrêter Norbert, celui-ci me dit :
- Laisse le mater, si ça peut lui faire plaisir.
J'eu très vite un orgasme. Norbert se redressa, il sorti sa bite gonflée par le désir.
- Tu ne vas pas me laisser dans cet état, branle moi.
Je ne savais que faire, jamais encore je n'avais touché une bite. Norbert me saisit le poignet et posa ma main sur son zob. il me montra comment faire, je lui caressais la pine dans un lent mouvement, c'était doux. Mon regard ne quittait pas le voisin qui avait sorti sa bite et se masturbait également. La situation m'excitait, je sentis que je recommençais à mouiller. Mon clitoris bandé me faisait mal, Norbert recommença son branlage, soudain, sa bite sembla encore grossir et brusquement il jouit à longs jets, son sperme éclaboussait mon ventre. J'eu un deuxième orgasme, alors que le voisin jouissait à son tour.
***
Comme souvent le dimanche, Norbert était invité pour le repas du midi à la maison L'après-midi nous avions décidé d'aller danser. Après quelques slows, Je me laissais aller, je me frottais contre lui comme une chatte en chaleur. Norbert glissa une jambe entre mes cuisses, Je frottais ma moule sur sa cuisse. Norbert m'entraîna vers les banquettes, aussitôt il me prit dans ses bras et me roula une pelle style Hollywood. Sa langue me chatouillait le palais, s'enroulait autour de la mienne. Pendant ce temps ses mains ne restaient pas inactives.
Il me pelotait les seins, me titillait les bouts qui grossissaient à vue d'oeil. J'étais à demis couchée sur lui; Ma jupe, qui était très courte comme d'habitude, me découvrais le cul je portais un string très mini, j'offrais un spectacle assez excitant à nos voisins les plus proches. Norbert glissa ma main jusqu'à ma chatte écartant mon string, il me força à écarter les cuisses. Je me laissais faire. Je mouillais comme une fontaine, Ma mouille coulait sur ses doigts. La situation me faisait jouir comme une folle.
Norbert me demanda d'ôter mon string. Je protestais pour la forme, mais il insista.
- Regarde tu ne seras pas la seule.
Je me retournais, une fille, très jeune, avait relevé sa jupe, elle ne portait pas de slip et se masturbait en nous regardant. Je me saisis de mon string et me soulevant, je le fis glisser jusqu'au sol. Norbert s'en empara et le mit dans sa poche.
- Ecarte bien les cuisses que je puisse te branler.
- Mais regarde elle nous mate et il y a aussi des mecs.
- Laisse les mater, ils ne font pas de mal. Ils vont se branler pour toi.
J'écartais alors mes cuisses en cachant mon visage dans le cou de Norbert. J'avais trop honte.
Je tournais le dos à la salle, Norbert me força à me retourner. Assise sur ses genoux, la jupe remontée jusqu'à la taille, je ne me reconnaissais plus. Norbert passa ses mains sous mon pull, je ne portais pas de soutien-gorge et il prit mes seins à pleine main, me titilla les bouts, tirant dessus pour qu'ils durcissent encore. Je gémissais de plaisir, soudain il me saisit sous les genoux et me remonta les cuisses tout en les écartant. Ma chatte, ainsi, était offerte à la vue de tous. J'imaginais le spectacle, la chatte ouverte, luisante de mouille, les seins à l'air, Norbert m'exhibait à tous ces mecs qui s'étaient rassemblés en face de nous pour admirer ma moule et qui en profitaient pour se branler.
- Branle-toi chérie.
- Non, j'ai honte, regarde tous ces mecs qui me matent.

- Ils admirent ta chatte, regarde comme ils bandent, tu excites même les filles, n'ai pas honte, fais-moi plaisir, branle-toi.
Il prit ma main et la dirigea vers ma chatte.
*** 
Je ne sais pas ce qui m'arrive. J'ai la chatte offerte à qui veut la voir. Et au lieu de me révolter, ça m'excite follement. J'ai honte, mais cette honte me fait mouiller. Je sais que je vais me branler, j'en ai très envie, si je résiste, c'est pour retarder ce moment que j'attends avec impatience. Ainsi je suis exhibitionniste. Je m'en doutais un peu, mon goût pour les mini très courts en est un exemple, mais je me le cachais. Norbert est en train de me révéler. Il me murmure à l'oreille.
- Vas-y branles toi
Mon doigt se pose sur mon clitoris que je commence à titiller doucement. Je suis tellement excitée que ce simple attouchement provoque l'afflux d'un jet de mouille. Que c'est bon tous ces yeux qui me regardent pendant que je m'astique la chatte. Avec mon autre main j'écarte mes lèvres afin que tout le monde puisse la voir.
Pendant ce temps Norbert continue à me peloter les seins. Il me pince les tétons, me les tord, soudain il remonte mon pull, découvrant ma poitrine. Je suis nue, offerte à tous ces mâles qui se branlent en me regardant. Les filles ne sont pas en reste, elles ont remonté leurs jupes et se branlent également.
Les cuisses largement écartées, je m'active sur ma chatte, mon clito est devenu énorme et je peux le branler comme une petite bite. J'enfonce un doigt puis deux dans ma chatte ma main s'active, mais je fais quand même attention à mon pucelage. Mes branlages solitaires dans mon lit me paraissent bien fades à coté de ce que je ressens. Un garçon s'est approché, à genoux il a sa tête à hauteur de ma chatte, je sens son souffle sur mes lèvres, il se branle en me regardant. Sa bite me parait énorme. Brusquement j'ai un premier orgasme, je me mords les lèvres pour ne pas hurler ma jouissance.
- Tu jouis petite pute, me dit Norbert.

- Oh oui ! C'est trop bon tes mains sur mes seins, tous ces gens qui me regardent, Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais j'aimes.
- Tu n’es qu'une petite salope d'exhibitionniste.
- Oui mon chéri, ta salope, ta pute. Fais-moi faire ce que tu veux.
- Tu es sur de ce que tu dis ?
- Oui. Je t'aime, je suis prête à tout avec toi.
Norbert fait signe au mec qui est à mes genoux.
- Suce la.
Je voulu protester, mais il me dit :
- Tu as dit que tu étais prête à tout.
Alors je me laissais aller en arrière et j'écartais encore plus les cuisses offrant ma chatte, à ce mec que je ne connais même pas.
Délaissant sa bite, il écarte mes lèvres, sa langue se pose sur mon clitoris et commence à le lécher. C'est une sensation formidable, je me mets à trembler, ma chatte coule comme une fontaine. Norbert se dégage, me laissant seule sur la banquette. Mes seins sont toujours exposés, je me saisis les tétons et les pince, pendant ce temps mon lécheur me bouffe littéralement la moule. Il me mordille le clito, les lèvres, sa langue s'enfonce en moi, me lèche la vulve, il boit ma mouille qui n'en finit pas de couler. Je jouis comme une folle. Norbert a sorti sa bite et se branle en me regardant jouir. Une fille s'approche de lui et se mettant à genoux s'empare de sa pine elle l'embouche et entame une pipe qu'il a l'air de beaucoup apprécier. Un pincement de jalousie me saisit, puis la langue de mon bouffeur de chatte me fait tout oublier, surtout qu'il vient de m'enfoncer un doigt dans le cul, devant cette nouvelle sensation je pars une fois de plus. Je ne compte plus mes orgasmes. Depuis près de deux heures je jouis comme une chienne. Mon suceur soudain se redressa, abandonnant ma chatte, il dirige sa queue vers mon visage et jouit à grands jets. Je sens la chaleur du foutre sur ma peau. Je m'essuie le visage, léchant mes doigts au passage. Le goût un peu fade du sperme ne me déplaît pas. Seule soudain, je cherche Norbert du regard. Assis sur une autre banquette, il se fait sucer la bite. Il se raidit soudain et sa suceuse déglutit pour avaler son foutre.
Norbert se rajuste, et se dirige vers moi.
- Viens chérie, on rentre.
je suis déçue, j'aurais voulu me faire sucer encore; et pourquoi pas, tailler une pipe à un mec. J'étais folle, complètement déchaînée.
- Où, il est encore tôt.
- On va chez moi.
Je rabaissais ma jupe et mon pull et le suivit sans hésitation. J'avais trop envie de sa langue sur ma chatte, et puis je voulais goûter à son foutre.

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