Comment Je Suis Devenue Une Salope

Ce récit va vous paraître soft, mais ce n’est que le début.
Le début de la transformation d’une jeune pucelle naïve en une vraie salope.
Je laisse ma femme vous raconter tout cela.


Je m'appelle Danielle, j'ai 40 ans. Ma vie a basculé alors que j'avais 18 ans, bien que ma métamorphose ait commencé à 14 ans. En ce temps-là, j'étais une fille timide. Mon rêve était de devenir coiffeuse, mes parents me trouvèrent donc un maître d'apprentissage. Tout a changé pour moi à partir de ce moment.
Jusque-là, j'étais vêtue comme les gamines de mon âge, jeans, baskets, pas maquillée, coiffure naturelle. Mon patron mit vite le holà. Trouvant que ma tenue n'était pas digne d'une coiffeuse, il chargea sa femme de m'accompagner dans les boutiques pour m'habiller d'une manière plus conforme au métier que j'avais choisi.
A la fin de la journée j'étais complètement métamorphosée. Minijupe flottante, Débardeur très échancré devant et sous les bras, pour compléter ma tenue, ma culotte sage en coton blanc était remplacée par un string noir, avec bien sur porte-jarretelles et bas. Une paire de talon aiguille mettait une touche finale à cette tenue très provocante qui me gênait un peu. Pour parfaire mon look de coiffeuse, ma patronne me maquilla et mon patron s'occupa de mes cheveux.
Lorsque je me regardais dans une glace, je dû avouer que je me plaisais beaucoup. J'étais déjà très mignonne avant, mais là. Imaginez une ta de 14 ans blonde, yeux bleus, une bouche gonflée, encore agrandie et mise en valeur par le maquillage, un petit cul moulé dans une jupe très courte, de longues jambes gainées de soie noire, une poitrine ferme et très développée que ne protégeait aucun soutien-gorge, les cheveux remontés en chignon. L'effet était saisissant. Dans la rue tous les hommes se retournaient sur mon passage, et lorsque je m'assis dans le métro, tous les regards étaient fixés sur mon entrecuisse que ma courte jupe dévoilait largement.

Au début ces tenues provocantes me gênaient beaucoup, mais peu à peu je m'y habituais, et éprouvais même un certain plaisir sous les regards des hommes. Bien que toujours très timide, je ne faisais rien pour dissimuler mes cuisses, les yeux baissés, rougissante je me laissais admirer. Les regards lubriques que les mâles posaient sur moi me rendaient toute chose. Mes tétins durcissaient, mon entrejambe s'humidifiait, mon string mouillé s'enfonçait entre les lèvres de ma chatte, la rendant encore plus visible.
Malgré mon goût pour l'exhibitionnisme qui ne faisait qu'augmenter avec l'âge, je restais sage jusqu'à 18 ans.

***
Lorsque j'eus 18 ans, mes parents me laissèrent enfin sortir seule. Ce soir là, nous étions invitées chez un camarade pour son anniversaire. Nous étions 4 filles toutes plus mignonnes les unes que les autres, toutes les 4 coiffeuses, et aussi portées sur l'exhibitionnisme. Mes trois copines étaient plus avancées que moi puisqu'elles avaient connu l'amour depuis longtemps, rien ne les effrayaient, elles avaient goûté à tout, aussi bien garçons que filles.
La soirée qui avait commencé normalement tourna vite à la partouze. Les garçons excités par nos tenues provocantes se collaient contre nous pour danser les slows. Mon cavalier, qui se prénommait Norbert collait son ventre contre le mien. Je sentais une bosse dure se frotter contre mon ventre. Il me roula un patin et je me laissais faire, sa langue s'enroulait autour de la mienne, la caressant, il me léchait l'intérieur de la bouche dans un baiser brûlant. Ce baisé ne me laissa pas indifférente, mes seins gonflaient, mes tétins durcissaient, témoin de mon émoi. Ma chatte n'était pas en reste, je mouillais abondamment.
Mes copines avaient une longueur d'avance. Rosine, à cheval sur Luc s'agitait beaucoup. Comme je l'ai dit plus haut, malgré mon exhibitionnisme, j'étais assez naïve, je me demandais ce qui poussait mon amie à s'agiter de la sorte. Mais ce qui me surpris surtout, ce fut de voir Dany et Julie.
La première avait sorti la bite de Yann. J'avais déjà vu la bite de mon jeune frère, mais c'était la première fois que j'en voyais une d'adulte. Celle ci était tendue, d'une belle taille. Dany l'avait embouchée et lui appliquait un va et viens qui semblait beaucoup plaire à son heureux propriétaire. Quant à Julie, à quatre pattes sur la moquette, c'est dans sa chatte qu'elle recevait la bite de Loïc.
Voyant la tournure que prenait la soirée, Norbert voulut m'entraîner vers un canapé. Je refusais catégoriquement. Il insista, je pris alors mes affaires et m'en allais.
***
Toute la nuit, j'ai pensé à ce que j'avais découvert dans cette soirée, et aussi à Norbert. Il me plaisait beaucoup, et j'avais peur que mon attitude ne l'empêche de me revoir. Nous devions aller ce jour-là à un festival de coiffure. Rosine nous annonça que les garçons viendraient nous y attendre à la sortie. Je n'osais trop croire à la présence de Norbert, aussi lorsque je les vis tous les quatre je ne pu cacher ma joie.
Yann proposa d'aller chez lui. Bien que réticente, je crois que j'aurais cédé.
Je fus tout heureuse lorsque Norbert déclara :
- Allez-y sans moi les gars. J'ai envie de me balader. Tu viens Danielle.
Nous passâmes un après-midi très agréable, Norbert s'intéressait beaucoup à moi, à ma vie, il s'excusa pour la soirée.
- Tu sais quand j'ai vu tes copines baiser, j'ai pensé que tu étais pareil et que tu voulais seulement te faire prier. Il est vrai qu'avec tes tenues tu excites.
- J'aime m'habiller court, me montrer, mais pas plus.
- Tu es un peu allumeuse ?
- Pas du tout, mais dans notre métier la beauté est un atout, alors il faut s'exhiber un peu pour être embauchée.
- Mais tu coiffes les femmes.
- Non je coiffe aussi les hommes, et puis il y a des femmes qui aiment bien nous regarder.
- Des gouines quoi !
- Oui si tu veux.
- Tu te fais draguer ?
- Souvent mais je joue les innocentes.

- Je peux te poser une question ?
- Oui.
- Tu ne vas pas te mettre en colère et t'en aller comme hier ?
- Non promis.
- Tu as des bas ou des collants ?
- Des bas.
- Mais on ne voit aucune trace de porte-jarretelles, ni de slip d'ailleurs.
- Mes bas tiennent tout seul et...j'ai un string.
Je rougis en lui disant cela.
Norbert me raccompagna jusque chez moi. Au moment de lui dire au-revoir, il me prit dans ses bras. Je me raidis un peu, mais quand ses lèvres s'emparèrent des miennes, je ne pu résister. Ma bouche s'ouvrit sous la pression de sa langue, Je lui rendis son baisé avec fougue, me pressant un peu plus contre lui. Je sentais sa poitrine s'écraser sur la mienne, son ventre s'appuyer contre le mien. Je ne pouvais ignorer dans qu'elle état il était.
- Tu sens comme j'ai envie de toi, me murmura-t-il à l'oreille.
Je rougis violemment.
- Tais-toi, ce n'est pas bien.
Je lui reposais un baisé léger sur les lèvres et m'enfuis chez moi.
***
J'arrivais chez moi toute essoufflée, et le cœur battant. Lorsque Norbert m'a embrassée, j'ai sentit mes jambes fléchir et une douce chaleur envahir mon ventre. Et quand j’ai senti cette barre dure qui se pressait contre moi, j'ai eu l'impression de me liquéfier. D'ailleurs mon string est trempé. La maison est vide. Je m'allonge sur mon lit et me met à repenser à tout ce que nous nous sommes dit, cet après-midi, mais mon esprit ne peu se détacher de ce baisé brûlant que nous avons échangé. A chaque fois que j'y repense, je sens mes tétons se durcir, mon ventre palpiter. Je fini par enlever mon string, il est à tordre. Je m'essuie la chatte, mais quand la serviette passe entre mes lèvres, je suis parcouru d'un grand frisson. Je suis étonnée, moi qui ne me suis jamais branlée, de voir ces attouchements me faire encore mouiller. J'entends la porte s'ouvrir. C'était ma mère qui rentre.
- Bonjour Danielle. Déjà là ? Tu n'es pas sortie avec tes copines ?
- Non.
J'ai fait la connaissance d'un garçon formidable.
Et de raconter à ma mère mon après-midi. Pendant tous le temps que dura notre conversation, j'étais un peu honteuse de me savoir nue sous ma robe, et ce fut pire quand notre voisin arriva pour changer une ampoule dans la salle de bain. J'avais oublié de mettre mon string au sale, il traînait sur le lavabo, le voisin ne pouvait manquer de le voir. Je me précipitais pour le ranger, fatale erreur, le doute ne lui était plus permis. C'est moi qui n'avais pas de culotte. Quand il eut fini son bricolage, maman lui offrit l'apéro. Je n'avais qu'une hâte, filer dans ma chambre. Mais maman insista pour que je reste avec eux. Assise dans le fauteuil bas, je ne savais pas comment me tenir, les genoux serrés, j'essayais de dissimuler le plus possible de ma nudité, mais ma mini robe avait une fâcheuse tendance à remonter sur mes cuisses. Le voisin s'était assis parterre pour nous laisser le fauteuil à maman et à moi.
- Quelle galanterie dit ma mère.
Tu parles, le salaud avait ainsi une vue imprenable sur mon entrecuisse. J'étais rouge de honte. Et comme un fait exprès maman me faisait sans cesse me lever sous un prétexte quelconque, servir à boire, passer les amuses gueules. A chaque fois mes cuisses s'écartaient dans l'effort quand je me levais, et quand je me penchais pour servir il avait une vue plongeante sur mon con. Malgré ma honte, ou à cause d'elle, ma chatte était trempée une fois de plus. Le voisin avait dû s'en rendre compte car il me souriait d'un drôle d'air, je le voyais se trémousser, mais dans mon innocence je ne comprenais pas pourquoi. Il finit par s'en aller après nous avoir embrassé, ma mère et moi. Pour moi il me serra un peut plus longtemps dans ses bras.
- Tu es une vraie petite femme maintenant, je ne l'avais pas remarqué.
Lorsqu'il fut parti, maman me questionna de nouveau sur Norbert. Je lui fis part de mes craintes de le voir me laissait tomber, si, comme mes copines je ne lui cédais pas.
- Invite-le à manger demain midi. Comme tu travailles l'après-midi, nous seront tranquille pour parler, j'essaierais de le sonder.
- D'accord.
Après souper, je me mis au lit sans tarder, je n'avais plus envie de parler, mais de penser à Norbert. Je repensais à son baisé, à son ventre contre le miens, mais en même temps je revoyais le voisin reluquant ma chatte. J'avais honte, j'avais peur que Norbert l'apprenne et me laisse choir, mais en même temps ma chatte s'humidifiait de plus en plus, ma main glissa sur mon ventre. Malgré la présence de ma jeune soeur qui dormait dans la même chambre que moi, j'introduisis un doigt entre les lèvres de mon abricot, je me caressais doucement, pour la première fois. Mais ce n'était pas ma main, c'était la main de Norbert qui s'emparait de moi, qui me caressait. Soudain mon doigt (son doigt) entra en contact avec ma petite perle, un grand frisson me parcourut, je continuais à caresser de plus en plus vite cet endroit que je venais de découvrir et qui me faisait tant de bien. Mes cuisses étaient inondées. Soudain je poussais un grand cri. Pour la première fois je venais de jouir.
Je m'endormis heureuse en pensant à Norbert.

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