Villa Cannelle Sanctuaire De L Amour 2

Anaïs resta ainsi les jambes bien écartées, me dévoilant une vision plus grande sur son pubis. Je ne pouvais voir son sexe caché par le tissu. Je posais une main sur son pied que je pris dans ma main. Je sentis Anaïs frissonner. Je caressais à présent sa cheville doucement. Anaïs ne disait toujours rien et se laissait aller à cette caresse que je lui prodiguais.
Alors je me décidais à aller plus loin. Lentement je soulevais sa jambe, l’écartant encore plus afin de mieux mâter son intimité. J’apercevais un peu plus de son sexe nu sous son short.
J ‘étais dans une excitation extrême. Allait-elle réagir ? Elle se laissait faire, acceptant cette écartement livrant à mon regard en feu une grande partie de son sexe. Je restais un long instant ainsi, admirant toute la beauté sensuelle de cette jeune fille. Puis Anaïs resserra ses jambes l’une contre l’autre. Je lâchais sa cheville. Elle resta de longues secondes, ses deux jambes serrées l’une contre l’autre. Puis, alors que je ne m’y attendais pas, elle prit entre ses deux mains l’élastique de son short et le fit coulisser sur ses longues jambes jusqu’à ses genoux. Puis elle le descendit sur ses chevilles. Je n’en revenais pas ! Elle dégagea un pied, puis l’autre, de son short. Elle resta encore un long moment ainsi. Je n’osais bouger, presque paralysé par ce spectacle que je découvrais. Là, sans un mot, elle écarta ses jambes me découvrant son sexe merveilleux. Je fixais ce dernier découvrant sur le sillon de ses lèvres gonflées quelques gouttes de perle, prouvant que son excitation était grande. Elle écarta encore un peu plus ses jambes. Je n’avais pas vu de puis longtemps de sexe aussi beau, aussi frais, aussi juvénile .Voila qu’Anaïs me faisait ce merveilleux cadeau ! Elle n’avait toujours pas prononcé un mot, restant silencieuse son regard presque dissimulé entièrement par ses cheveux.
Mon sexe me faisait mal, j’avais une érection énorme. Puis Anaïs posa sa main sur son sexe et tranquillement se mit à se caresser devant moi, plongeant de temps en temps son index dans son sexe.

Celui-ci s’ouvrait de plus en plus, telle la corolle d’une fleur de printemps. Elle était magnifique. Jamais je n’avais vu un tel spectacle de la part d’une jeune fille. Les jambes écartées, elle continuait à se caresser devant moi. J’entendais de doux gémissements monter de sa poitrine, sa respiration semblait s’accélérer de plus en plus, devenant presque haletante.
Alors je pris l’initiative de poser mes deux mains sur ses genoux, écartant encore plus ses cuisses et les embrassant doucement. Elles avaient la texture de la soie. Je laissais couler ma bouche sur sa cuisse, maintenant fermement ses genoux ouverts.
Anaïs ne résistait pas. Ma bouche sur sa cuisse, que je parsemais de bisous lui tirait des gémissements de plus en plus forts. Elle continuait à se caresser de plus en plus vite, ses doigts frottant avec frénésie son clitoris que je ne voyais pas. Ma bouche descendait de plus en plus vers son aine.
Le bassin d’Anaïs se mit de plus en plus à onduler poussant sur ses pieds. Je savais à présent ce qu’elle attendait, mais je voulais faire durer ce plaisir et ce désir que je sentais de plus en plus intense dans le ventre d’Anaïs. C’est alors qu’elle retira sa main, découvrant son beau sexe détrempé de cette saveur intime dont je percevais à présent les effluves.
Ses grandes lèvres gonflées étaient ouvertes comme un appel à l’amour. J’approchais mon visage de cette fournaise que je sentais palpiter. Son bassin bougeait par saccades je posais un baiser sur son sexe détrempé, entraînant de la part d’Anaïs un long soupir. Elle posa ses deux mains sur ma tête me plaquant ma bouche encore plus contre sa vulve humide.
Je pris entre mes lèvres, ses grandes lèvres et les faisant rouler avec délice dans ma bouche. Anaïs haletait, ce n’était plus des soupirs mais de petits cris qui s’échappaient de sa bouche. Je savais à présent qu’il était temps que je lui donne le plaisir qu’elle réclamait. Entre mes deux pouces et index j’écartais les douces lèvres découvrant de son capuchon un clitoris d’un rose magnifiquement tendu Je posais la pointe de ma langue sur celui-ci.
Là, Anaïs se mit à crier de plaisir. J’enroulais ma langue sur ce doux bourgeon, puis je descendis ma langue dans l’entrée rosée de son vagin. J’aspirais tout son liquide, j’appréciais toute la saveur de celui-ci. Ma bouche était à présent collée entièrement à son sexe, telle une ventouse je la suçais avec avidité. Je revins sur son clitoris que je tétais entre mes lèvres. Anaïs éclata dans un orgasme foudroyant, entraînant des cris stridents et incompréhensibles, son bassin secoué de spasmes violents.
Elle avait pris ma tête entre ses deux mains. Anaïs avait beaucoup de mal à respirer, sa tête perdue sous sa chevelure brune dodelinait de droite à gauche.
« Encore…je t’en prie encore…je veux… encore s’il te plait j’aime tant…j’ai jamais joui comme cela…c’est grave comme c’est bon…oui c’est bon..Encore !
Je ne me faisais pas prier. Comme fou, j’aspirais autant que je le pouvais ce calice merveilleux qu’elle m’offrait, don sublime de son corps.
Puis j’écartais à nouveau ses lèvres détrempées, libérant ainsi son clitoris qui ne manqua pas de reprendre de la vigueur…
« Encore…encore fais moi encore jouir…je t’en prie
Avec frénésie ma bouche allait du fond de son sexe à son clitoris, puis n’en pouvant plus, je la pris sous son bassin la forçant à se retourner. Elle se retrouva la tête dans le coussin du baldaquin les fesses relevées en position de levrette. J’avais une vue merveilleuse sur cette jeune croupe ferme. Je posais mes deux mains sur chacune de ses fesses, je les écartais libérant son œillet légèrement bruni. Je plaquais ma bouche sur son petit anus et ma langue chercha à s’insinuer dans son sphincter. Je la mangeais littéralement, je dirais goulûment, appréciant chaque centimètre carré de cette beauté, puis , écartant au maximum ses deux beaux globes, j’enfouissais ma bouche dans son sexe. J’enfonçais alors, un doigt dans son petit trou qui n’offrit aucune résistance. J’appliquais un rythme comme un sexe, qui s’enfonçait dans ses deux orifices distendus.

Anaïs hurlait dans le coussin. Elle fut prise à nouveau d’un tremblement de tout son corps, laissant celui-ci s’envahir par un orgasme puissant. Je continuais jusqu’à ce qu’elle se calme, à boire la douceur de sa jouissance. J’en étais fou de plaisir.
« C’est bon Jessey…tu m’as donné …mon dieu, tu m’as donné un pied terrible…jamais je n’ai joui comme cela…hummmmmm je suis morte…Je peux dormir un peu ?
-Dors chérie… reposes toi ! Lui dis je en m'essuyant ma bouche recouverte de sa jouissance avec un mouchoir en papier.
Jamais je n’avais autant sucé cette liqueur de femme, de jeune fille.
Anaïs était à présent allongée sur le ventre, laissant à nu sa belle croupe juvénile d’où je remarquais un grain de beauté fort bien placé.
Je me mis à caresser le bas de ses reins, puis ses fesses et n’y tenant plus j’enfonçais mon index dans son petit trou secret et si délicat, à présent resserré.
« Je suis morte..Laisses moi à présent, je vais dormir un peu.
Je me levais la laissant ainsi allongée, repue de ses deux jouissances. Je repris mon verre de rhum et je sortis sur la varangue, appréciant la douceur de cette fin d’après midi .
Le soir, au repas, Anaïs vint me rejoindre sous la varangue. Désiré y avait disposé notre table, comme nous le faisions tous les soirs. Anaïs mangea comme une affamée, silencieuse.
« Anaïs ?....
-oui Jessey ?
-Tu es magnifique dans cette robe…
-Si je te disais que je n’ai pas mis….de culotte !
-C’est vrai ?
-Tu veux voir ?
-Chut Désiré peut nous voir…
-Mais il n’est pas là !
Ni une ni deux, elle se leva et remonta sa robe au dessus de ses reins, dévoilant ses belles fesses dénudées et bien cambrées.
« Pour toi…rien que pour toi.
-Tu m’excites… Cette après midi, c’était super…J’adore ton sexe…J’en rêve encore tu sais ?
-Faut pas r des bonnes choses… quant as-tu fais l’amour, pour la dernière fois, Jessey ?
-Tu es une curieuse coquine ! Pourquoi veux tu savoir cela ?
-Comme cela ? Tu as une copine ?
-Oui…une hôtesse d’Air France…
-Elle est jolie ? Quel âge a-t’elle ?
-Elle est très jolie…elle a 36 ans.

-Tu as déjà fait l’amour avec une nana comme moi de 18 ans ?
-Non, jamais…Pourquoi as-tu acceptée ?
-Je te trouve très attirant comme homme…tu es sécurisant pour une femme.
-Tu sais à mon âge on n’est pas aussi actif qu’un jeune de vingt ans !
-Tu aimerais me faire l’amour ? Tu aimerais être en moi ?
-Tu es coquine et toi ?
-Moi ? J’en ai envie mais il y a un problème !
-Ah et lequel ?
- Je ne prends pas la pilule …
-Il faut que tu fasses attention.
-Je me moque de toi ! Je prends la pilule depuis un an sur les conseils de maman.
-Je n’aime pas les préservatifs…je n’ai jamais pu m’y faire.
- Celui qui m’a prise non plus…
-Il a joui en toi ?
-Oui deux fois…Cela t’ennuie ?
-Tu n as pas eu peur des conséquences ?
-J’étais tellement excitée que je n’ai pensé à rien. J’ai pris une pilule du lendemain.
-Tu as aimé ?
-C’est super de sentir un sexe en soi.
-Et quand il a joui ?
-J’ai joui en même temps que lui…j’étais gênée après…pour aller danser.
-On t’a déjà prise comme moi cette après midi ?
-Non jamais…tu m’as fait aller au septième ciel…Génial ! Je crois que je suis faite pour l’amour.
-Pourquoi m’as-tu laissé faire ?
-J’en avais trop envie, j’étais trop excitée…j’avais envie de te provoquer !
-Ton corps ton sexe est magnifique :
-Tu m’as bu …Tu aimes le goût de mon sexe.
-Son parfum est torride. Parfum de femme…j’adore.
-Humm tu es un coquin. Arrête ! Tu me fais mouiller encore !
-C’est vrai ?
-Tu veux que je te le prouve ?
-Je t’en prie !
Je devinais qu’ Anaïs était en train, sous la table, de soulever sa jupe et de passer ses doigts sur sa vulve juvénile. Elle me tendit ses doigts humidifiés…comme pour me provoquer.
- regardes…
Sans réfléchir, j’enfouis ses trois doigts dans ma bouche et les suçais avec avidité.
-Anaïs ? Demandais-je, en embrassant le dos de sa main
-Oui ?
- As-tu déjà…As-tu déjà sucé un homme ?
Anaïs éclata de rire.
-Oui une fois…. mon cousin m’a fait sucé son engin !
-Alors jamais ?
-Non…
Un silence plana sur nous…Chacun, imaginant ce qu’il avait à imaginer. Anaïs se leva d’un bond
-Tu veux bien que j’aille me baigner ?
-mais tu n’as pas de maillot ?
-Et alors ? Je peux me baigner nue non ?
-Si tu veux, mais on ne sait jamais, Désiré peut être là !
-Il n’en mourra pas ! Tu viens avec moi ?
- Alors j’éteins la piscine. On se baigne au clair de lune
-Super ! En un tour de main Anaïs enleva sa robe, la jeta sur la barrière de la varangue et couru vers la piscine. J’entendis son plongeon.
Je terminais mon verre de vin tranquillement et me décidais à la rejoindre. Je retirais mon pantalon, ma chemise et en caleçon j’allais la rejoindre sur le bord de la piscine. Anaïs revenait vers moi dans un crawl parfait.
-Tu es une bonne nageuse, dis donc ?
Anaïs s’accrocha au rebord de la margelle, repoussa sur sa tête ses cheveux en arrière…
-Alors tu viens ?
-Ouiiii
-Montres la moi ?
-Quoi ?
-Enlèves ton caleçon ! Tu es ridicule comme cela…montres la moi !
Je m’exécutais en abaissant mon caleçon que j’envoyais promener sur la pelouse. Je libérais aux yeux coquins d’Anaïs mon sexe à demi érigé.
-Elle est belle !
-Que dis tu ?
-Je dis que ton sexe est beau…
-Tu trouves ?
- Tu as eu beaucoup de femmes dans ta vie ?
-Oui…je ne m’en plains pas.
-Tu suces et tu lèches merveilleusement bien. J’en ai encore envie tu sais !
Je m’assis au bord de la piscine, les deux jambes pendantes dans l’eau. Anaïs traversa le bassin pour venir s’agripper à mes deux genoux. Elle écarta mes jambes et vint mettre sa tête entre celles-ci à la hauteur de mes bourses. Mon sexe était en semi érection et commençait à se redresser.
-Je n’ai jamais vu un sexe d’homme aussi près. C’est beau.
-Donnes moi du plaisir…j’aimerais tant.

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