Villa Cannelle Sanctuire De L Amour 4

Tu crois ?
-J’en suis sûr…viens.
Anaïs se leva et vint planter son jeune corps de gamine devant moi tenant dans sa main les pans de son peignoir. Je la regardais. Elle était belle et désirable. Je m’avançais un peu dans mon fauteuil et je lui pris la main qui tenait son peignoir fermé. Elle semblait ne pas vouloir le lâcher..
-Laisses moi faire…
-Et si Désiré revenait ?
-Non. Ils vont coucher dans leur famille…
J’écartais le peignoir, délivrant à ma vue son corps splendide, ses deux petits seins à la pointe dressée, son ventre d,’une douceur satiné, plat, qui descendait vers un pubis parfaitement entretenu et ses deux longues jambes sur lesquelles je fantasmais si souvent.
« Tu es vraiment belle Anaïs…
Je regardais cette petite touffe surplombant l’entrée de son sexe dont je voyais les grandes lèvres gonflées par le plaisir.
Je l’attirais un peu plus vers moi, au point de coller mon visage sur son ventre. Elle se laissa faire. Je fis descendre le peignoir à ses pieds la dénudant complètement. J’embrassais son nombril. Je revoyais la scène inimaginable avec le jeune mauricien. J’imaginais son maigre sexe entrant dans le plus intime de son corps.
Mes deux mains se posèrent sur chacune de ses fesses. J’en appréciais la fermeté. Puis j’écartais les deux globes de façon indécente et mon index alla jusqu’à son anus que je flattais doucement.
A ce contact, j’entendis un léger soupir d’Anaïs. Je l’introduisis lentement. Elle se laissait faire. Je commençais à faire de petits va et vient tout en embrassant son ventre. Je passais mes deux mains jointes entre ses cuisses quelle gardait serrées. Je remontais vers son sexe adorable. Elle ne put s’empêcher d’écarter ses deux grandes jambes me permettant d’arriver à son puits d’amour. Il était humide, onctueux. J’introduisis un doigt dans sa vulve arrachant un léger cri et un mouvement de son bassin.
-C’est sensible ?
-OU….

.ouuuii
Son sexe était facile d’accès. Je compris que la relation quelle avait eu avec ce garçon avait fait son effet. Je sortis mon doigt de son sexe, il était gluant et chaud. Je le portais à mon nez pour en sentir les effluves.
-Dis moi Anaïs ton sexe sent le sperme…qu’as-tu fait ?
-Moi rien.. pourquoi ? C’est ma mouille tout simplement.
-Avec qui as-tu fait l’amour ?
-Personne…pourquoi ?
-Cette odeur… c’est celle du sperme d’un homme dans le sexe d’une femme…je ne me trompe jamais.
-Ben…
-Ben quoi avec qui as-tu fait cela ?
-T’es pas jaloux j’espère ?
-Non, mais je veux que tu me dises avec qui ?
-Un homme sur la plage ?
-Comme ça…tu te ballades et tu t’envoies en l’air à ton âge avec n’importe qui ! Tu aimes autant le sexe que cela ?
-Je prends la pilule sur les conseils de maman je ne prends pas de risques !
-Certes c’est bien mais te faire enfiler…par n’importe qui…
-J’ai le droit de faire ce que je veux non ?
-Alors dis moi ce n’est pas avec ton copain Singinsham ?
-Alors oui…si tu veux tout savoir !
Je remettais mon doigt dans sa chatte, comme une provocation. Je la sentais s’humidifier de plus en plus et en la branlant ainsi, j’entendais très distinctement les floc floc que cela faisaient.
-Tu es très excitée à ce que je constate. !
Anaïs gémissait de plus en plus sous ma caresse. Mon doigt baladeur avait l’air de lui procurer du plaisir.
-Tu as fait quoi avec lui ?
-Tu es curieux…c’est mon secret quand même !
-Tu as pris ton pied ?
-Oui et je l’ai dépucelé si tu veux tout savoir !
-Tu l’as sucé comme moi ?
-Oui, mais je préfère ton sexe ! Il est beaucoup plus gros que celui de Singi
-Il a le même goût que le mien ?
-C’est pas pareil.
A cet instant de mon excitation j’avais envie de la pénétrer, de glisser en elle, de la prendre dans mes bras. Je descendis la fermeture éclair de mon pantalon, que j’abaissais à mes pieds ainsi que mon caleçon.

Mon sexe dressé lui semblait énorme. Elle le fixait avec surprise et devait se dire que par rapport au mauricien …
Je l’attirais vers moi toujours en embrassant son ventre. Elle s’approcha sans résister.
« Viens…lui dis je, mets tes jambes comme cela.
Elle vint mettre ses jambes de chaque côté des miennes de telle façon que son sexe se positionna au dessus du mien. J’écartais ses fesses, j’introduisis à nouveau un doigt dans son petit trou…elle frissonna.
« Viens sur moi et entres moi dans toi !
Elle s’accrocha à mon cou et lentement alors que je maintenais mon sexe droit elle descendit doucement. Mon gland buta contre sa chatte détrempée. C’était bon, soyeux, chaud. Mon gland entièrement décalotté s’introduisit dans son ventre, sans difficulté car dans cette position elle était très écartée. Elle poussa un cri, lorsqu’elle l’entra entièrement venant buter contre le fond de son vagin. C’était divin.
Puis, je mis mes deux mains sous ses fesses afin de faciliter le mouvement. Elle se balança alors sur mon sexe, le faisant presque sortir, puis l’engloutissait à chaque fois. Mon index ne quittait pas son anus. Cette fille était divine, à son âge elle apprenait très vite les phases essentielles des jeux de l’amour.
Elle couinait de plus en plus, toujours accrochée à mon cou. J’avais trop envie d’elle. Je sentais mon sexe bouillonner, des pulsions par milliers. Anaïs au comble de son plaisir eut un orgasme en s’écrasant sur mon sexe, bouche ouverte les cheveux devant les yeux, haletante, tétanisée pantelante.
Après avoir repris ses esprits, elle se remit en action engloutissant dans sa chatte mon sexe gonflé près à exploser de plaisir. Je sentais monter en moi un roulement de bonheur…
-Je viens chérie…je viens…continues, j’ai trop envie de toi !
Comme dans une chevauchée fantastique, excitée par le fait quelle savait que j’allais jouir elle s’activa encore plus, dans des râles rauques pour une si jeune fille…Je voulus retarder l’explosion mais ce fut vain.
De grands jets de sperme envahirent son vagin déclenchant un second orgasme aussi violent que le premier. Nous restâmes ainsi accrochés, l’un à l’autre, reprenant notre souffle avec difficulté.
Je retrouvais dans cet orgasme la sérénité que j’avais perdue depuis les ébats d’Anaïs avec son mauricien.
-J’avais tant envie de toi mon ange…
-Moi aussi, j’avais envie de toi…
-Tu préfères qui ? Ton mauricien ou moi ?
-Les deux m’excitent…
-Tu recommenceras avec lui ?
-Si tu le veux ! J’ai tant envie d’expériences tu comprends ?
Mon sexe toujours planté en elle, nous nous embrassâmes fougueusement. Nos langues s’emmêlaient s’enroulaient, se suçaient.
-Je coule…tu ne sens pas ?
- Je t’apprendrai plein de choses encore
-Je veux…j’en veux…j’en veux…je veux du sexe, j’aime trop cela !
-tu en auras je te le promets !
-Tu sais pas quoi ?
-Non ?
-Si nous allions nous baigner…tu es tout poisseux…beurk beurk
-Okay…je m’essuie et j’arrive.
Elle se leva, prit la robe de chambre et s’essuya devant moi son entrejambe, où du sperme coulait et de sa chatte dilatée.
-Je veux que tu me racontes toutes tes aventures dans les détails promis ?
-je te le promets que si tu n’es pas jaloux ?
Elle s’enfuit en courant vers la varangue et je la vie disparaître en direction de la piscine.
Deux jours passèrent sans que rien n’arriva.
Anaïs allait se bronzer sur la plage, moi je réglais quelques papiers d’une succession. Je devais me déplacer assez souvent à Curpipe et à Port Louis. Nous avions passé un pacte avec Anaïs .Si d’aventure nous avions une liaison avec quelqu’un, nous nous étions promis de tout nous raconter. Je savais qu’Anaïs ne me mentirait plus du fait de notre complicité.
Le vendredi Anaïs m’avertit que l’oncle de son copain, lui proposait une sortie en mer et d’aller plonger dans un endroit paradisiaque de l’île Maurice, que l’on appelle « l’Aquarium » ! Elle me demanda l’autorisation que je lui accordais.

Elle me proposa de l’accompagner, mais ce jour là je devais chercher à l’aéroport un ami d’enfance qui venait comme chaque année passer quelques jours avec moi. Il avait 4 ans de moins que moi, mais notre amitié n’avait jamais failli.
Je lui demandais si elle avait revu son mauricien, elle me dit que oui mais que rien ne s’était passé entre eux.
Elle se prépara de bonne heure et armée de son sac de sport, elle se dirigea vers l’arrêt de bus de Mont Choisy. Elle avait rendez-vous à Péreybeire, sur le port.
Je n’étais pas tranquille. Après avoir vérifié que nos téléphones portables fonctionnaient bien, nous nous fîmes la promesse de nous appeler en cas d’urgence. Elle avait mis son maillot rouge sous son éternel short blanc. Avant de partir elle se jeta sur moi et nous nous embrassâmes dans un long baiser. J’appréciais la chaleur de sa bouche.
-Allez files maintenant, où tu vas encore me donner des idées !
-Ce soir…ce soir je veux que….
-On verra cela ce soir. Allez files !
Je la regardais partir, me disant que cette jeune fille gracile qui aurait pu être ma petite fille avait complètement bouleversé ma vie à Villa Cannelle. Jamais une telle occasion ne pourrait se reproduire, alors autant en profiter.
Le soir, alors que le soleil disparaissait derrière l’horizon, je n’avais pas eu de nouvelles d’Anais de la journée. Je commençais à m’inquiéter.
Voila trois fois que je l’appelais sur son portable. Elle ne me répondait pas. Elle aurait dû être de retour, depuis au moins deux heures. La marée ne permettait pas de retour au-delà de cette heure. Je me demandais si je n’allais pas faire un tour au port.
Alors que je cherchais les clés de ma voiture, je vis Anaïs entrer par le petit portail de la plage son sac de sport sur les épaules…
-« Tu m’as fait peur….tu rentres tard ? J’ai essayé de t’appeler…Pourquoi ne m’as-tu pas répondu ?
-Mon portable est tombé à l’eau…Désolée !
Je regardais sa mine déconfite.
-« Ca va…tu as passé une bonne journée ?
-Bof ! Je te raconterai…Je vais me prendre une bonne douche cela me fera le plus grand bien.
-Tu as l’air bizarre ! Tu es sûr que tu vas bien ?
-Oui oui…
-Tu as plongé ?
-Bien entendu…Je te raconterai.
-Je te prépare un bon punch. Tu en as besoin…
-D’accord.
J’entendis la douche couler longtemps et je me dis qu’Anaïs avait certainement des choses à me raconter. J’allais dans sa chambre sur le lit son sac de sport était posé et instinctivement je l’ouvris.
Anaïs laissait toujours l’eau couler sur son corps. Ma surprise fut totale lorsque je tombais dans le sac, sur son maillot de bains rouge déchiré, tout au moins la culotte. Je remis tout en place et retournais dans le salon. L’inquiétude me gagnait. Que s’est-il passé ?
J’entendis la porte de la douche claquer. Anaïs se décidait enfin à quitter la salle d’eau. Dix minutes après, elle vint me rejoindre dans une robe longue presque transparente. Je devinais sa silhouette gracile à travers le tissu fin. Elle avait les cheveux mouillés coiffés en arrière, de larges cernes sous les yeux.
-« Assieds toi. Je t’ai préparée un punch dont tu m’en diras des nouvelles…
-Tu es gentil !
-Alors ça va ?
-Ouais.
-Tu as l’air fatiguée ? C’est la plongée qui t’a mis dans cet état ?
-Non.
-Toi….Tu as quelque chose à me raconter !
-Pas maintenant.
-Alors comment le trouves tu, ce punch ?
-Délicieux…Mais tu as mis une sacré dose de rhum !
-Tu oublies que l’on est à l’Ile Maurice chérie !
-Dis moi Jessey..Que suis-je pour toi ? Une petite jeune que tu sautes ?
-Pourquoi me demandes-tu cela ?
-Parce que …je ne sais pas… Et puis merde !
-Tu en as un langage ce soir ! Qu’as-tu ?
-Réponds à ma question s’il te plait !
-Je…je ne sais pas quoi te répondre…Depuis que tu es là, à Villa Cannelle, tu as bouleversé ma vie !
-Sexuelle ?
-Est-ce le langage d’une fille de 18 ans ? Tu es bien agressive ! Ai-je dit ou fait quelque chose qui te choque ?
-Non…non pardonnes moi, avant mes règles, je suis souvent comme cela
-Diable…Mais parles moi de ta journée
-Sais pas !
-Sais pas quoi ?
-Sais pas, si j’ai envie de te parler !
-Alors ne m’en parles pas…si c’est cela qui te perturbe…
-Suis ta pute ?
-Comment vas-tu là ? T’ai-je payée pour être une pute ? Non que je sache…
-Mais tu n’as aucun sentiment ?
-Que veux-tu dire par là ?
- Allez laisses tomber je délire !
-Tu sais notre différence d’âge est importante..toi 18 ans en pleine jeunesse et moi 62 !
-Tu sais très bien que tu ne les fais pas ! Tu es un bel homme…
-C’est gentil…je m’entretiens.
-Ton corps est superbe pour ton âge ! Côté sexe tu bandes comme un âne !
-Merci de la comparaison…C’est toi, qui me fait cet effet !
-Comment cela ?
-Tu as un très beau corps. Tu es une belle jeune fille que l’on aime séduire.
-Tu avoues m’avoir séduite ?
-M’aurais tu fais l’amour autrement ?
-Non…tu es sexy !
-J’ai droit à de super compliments ce soir…
-C’est comme ça.. Cherches pas !
-Avoues, que ce n’est pas commun, une relation entre deux personnes à des âges si opposés…
-La baise n’a pas d’âge !
-Je trouve ton langage un peu vulgaire ce soir.
-Suis énervée…
-Tu m’aurais dit le contraire que je ne t’aurais pas crue.
-….
-Tu ne veux pas me raconter ta journée ?
-Sers moi un autre punch, tu veux bien ?
-Tu vas être pompette …


A SUIVRE

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!