Villa Cannelle Sanctuaire De L Amour 3

Je suis une débutante ! dit elle en attrapant de sa main mouillée mon sexe tendu.
-Je vais t’initier !
-C’est agréable pour une femme de sentir dans sa main ce machin !
Anaïs pressa ma hampe ce qui ne fit qu’augmenter le volume de mon sexe et ressortir le gland. Anaïs regardait, étudiait, scrutait, ce sexe qu’elle enserrait ainsi. C’était pour elle, comme une leçon d’anatomie.
-Que les veines sont grosses !
Elle lâcha mon sexe pour chercher mes bourses, quelques peu cachées sous mes fesses. Je me soulevais pour les libérer et sa jeune main gracile empoigna la totalité de celles-ci. Elle s’attarda sur chacun de mes testicules, cherchant la dimension et le contenu.
-C’est excitant de jouer comme cela !
Puis elle reprit mon sexe dans sa main et approche mon gland de sa bouche juvénile. Elle y déposa d’abord un léger bisous ; peut être pour en apprécier la texture ou l’odeur. Elle me décalotta complètement afin d’observer ce gland violacé qui luisait à la lumière de la lune entre les palmiers.
Elle le lécha du bout de sa langue, puis en fit le contour et après en avoir apprécié le volume. Elle ouvrit sa bouche en faisant une moue et absorba l’intégralité de mon gland. Elle se mit à me sucer avec délice.
J’eus un soupir qui en disait long sur le plaisir que cela me procurait. Comme d’instinct, sa main se mit à masturber ma hampe par des gestes encore imprécis, mais O combien agréables. Le gland toujours fixé dans sa bouche, elle découvrait ainsi, pour la première fois de sa vie, le plaisir de la fellation d’un homme. Puis elle se recula.
-Tu aimes ce que je te fais ?
-Oui continues…joues avec ta langue c’est très agréable. Je te guiderai.
-Comme ça…gloups ! Elle enfouit plus vivement mon sexe dans sa bouche humide et chaude. C’était la première fois qu’une fille aussi jeune me prenait ainsi. Sa tête à présent hochait de plus en plus et je sentais qu’elle s’excitait au même rythme.

Elle lâcha sa seconde main, cramponnée à ma cuisse et enroba dans celle-ci mes bourses. Elle se mit à me les pétrir avec force.
J’entendais les gloup gloup que faisait sa bouche à chaque pénétration dans sa gorge. Elle y prenait un réel gout. Je sentais mon sexe se durcir de plus en plus, et cette sensation exquise, indescriptible qui montait en moi, signe que j’allais bientôt exploser.
Anaïs continuait de plus belle à s’activer. Je mis alors mes deux mains de chaque côté de sa tête afin de lui donner le bon rythme et consolider mon excitation.
-Continues, oui continues….je t’en prie ça vient…je vais jouir…oui continues.
J’agitais de plus en plus vite sa tête, peut-être sans ménagement, enfouissant encore plus profondément mon sexe au fond de sa gorge par des poussées incontrôlées. Je sentais monter en moi comme un tourbillon qui présageait une jouissance énorme.
_Continues ! Je viens….je viens
Je bloquais sa tête de mes deux mains, l’empêchant ainsi la sortie de mon sexe et j’explosais littéralement par de longs jets dans sa gorge.
Je sentis qu’elle hésitait à m’avaler, surprise peut-être par tant de liquide crémeux, puis comprenant qu’elle ne pouvait pas reculer, elle l’avala en plusieurs gorgées. Je maintenais la pression sur sa tête afin d’expulser la dernière saccade dans son palais. Je la bloquais ainsi un long instant, puis je la libérais de cette étreinte.
-J’ai cru !dit elle en suçant les dernières gouttes, celles qui s’échappaient de mon méat.
Du revers de sa main, elle s’essuya la bouche maculée de mon sperme. Elle prit un peu d’eau de la piscine et se lava la bouche et la main sur laquelle j’avais coulé.
-C’est particulier comme goût !
-Tu aimes ?
-On ne peut pas dire que j’en raffole ! Ce n’est pas mon dessert favori, mais ce n’est pas désagréable du tout.
-Tu as été divine !
-Je te devais bien cela non ? Ma première fellation, rien que pour toi !
Comme pour me remercier, elle reprit dans sa main ma verge à moitié détendue la redressa, déposa un bisou sur mon gland avant de le reprendre en bouche comme pour en savourer les dernières gouttes qui continuaient à s’écouler.

-J’aime…oui j’aime. Tu m’en as mis une sacrée quantité ! C’est toujours autant chez un homme ?
-J’ai tellement été excité par toi toute la journée…
-J’ai encore ce goût dans ma bouche…
Puis elle m’abandonna pour faire une traversée de la piscine. Je voyais à la lumière de la lune qui se reflétait sur l’eau, sortir à chaque brassée ses jolies fesses menues et fermes. Je me dis que je devais profiter de ce spectacle exceptionnel.
Epuisés et satisfaits nous prîmes une douche chacun dans notre chambre et nous souhaitant bonne nuit, nous allâmes nous coucher.
Le lendemain matin, après avoir été à Port Louis régler des démarches administratives, en revenant à Villa Cannelle, je vis Anaïs assise sur les marches de la varangue en train de discuter avec un jeune mauricien qui semblait bien plus jeune qu’elle.
-je me suis fais un copain ! Dit elle en se levant pour m’embrasser sur la joue. Un bisou très pudique.
Anaïs avait mit un short blanc moins large que celui de la veille et avait passé un débardeur jaune qui laissait apparaître la pointe tendue de ses deux petits seins.
-Je te présente Singuisham… Singuisham je te présente l’ami de mes parents Jessey .
Je serrai la main de l’adolescent, qui me gratifia d’un merveilleux sourire aux dents blanches.
-Bonjour Missieu…
-Bonjour mon ami.. tu es d’où ?i
Singuisham habite avec ses parents vers le village. On s’est rencontré sur la plage.
-Bon ! Soyez sages ! Dis-je à Anaïs avant de disparaître dans le salon.
Je déposais mes affaires et me servis un verre de vieux rhum que j’appréciais tout particulièrement. Je regardais les deux adolescents assis de dos, côte à côte, sur la dernière marche de la varangue.
J’allumais la télé et je me mis à apprécier ces quelques moments de décontraction. J’avais été quelque peu énervé par la lenteur des employés de l’administration de Port Louis et la chaleur moite qui pesait sur l’Ile.
Anaïs se leva en même temps que Singuisham.

-Nous allons nous promener sur la plage….ok ?
-Ok mais ne tarde pas de trop…
Anaïs s’éloigna en tenant par la main son nouveau copain. Je regardais cet adolescent qui me semblait bien maigre et qui flottait dans son short kaki . Il était beau et souriait à chaque fois qu’Anaïs lui parlait.
Lorsque Anaïs revint de la plage, elle était très contente de sa balade et me dit que Singuisham lui avait tant parlé de son Ile et de sa vie, quelle avait l’impression de le connaître depuis toujours.
-Vous avez flirté ?
-Non c’est un puceau, mais il est beau n’est-ce pas ?
-C’est ton genre ?
-Mon genre à présent, ce sont les hommes murs…comme toi !
-Merci…
-Ne vois tu pas d’inconvénient à ce qu’il vienne ce soir ?
-Non. Ses parents sont d’accord ?
-Il vit seul avec sa maman. Son père est mort en mer il y a trois ans.
-Je n’y vois pas d’inconvénient.
-Tu es adorable ! Me dit elle en se dressant sur la pointe des pieds pour me faire un bisou.
J’en profitais pour la prendre par la taille et la serrer contre moi. J’avais une envie folle de cette gamine que j’avais léchée et sucée avec tant de frénésie. Je revoyais cette scène sur le bord de la piscine dont l’érotisme me semblait des plus puissants.
La journée se passa calmement à Villa Cannelle. Toute l’après midi, Anaïs l’avait passée allongée sur la plage à quelques mètres de l’entrée de ma propriété. Elle avait pris de très belles couleurs ambre.
Le soir, nous déjeunâmes de bonne heure, Désiré devait avec ma gouvernante aller rendre visite à une amie, celle qui avait perdu son mari d’un cancer.
J’allumais un de mes cigares préférés et je m’assis sur les marches de la varangue. Anaïs vint s'asseoir à côté de moi en posant sa tête sur mon épaule. Je la pris par la taille et ma main se posa sur l’un de ses petits seins, qui réagit immédiatement.
-Tu les aimes ?
Je lui répondis que je les adorais, tout en soupesant le mamelon et pinçant la pointe tendue.
Je fis rouler sous mes doigts le tendre bourgeon.
-J’adore quand tu me caresses les seins.
Je la sentais frémir au moment où Singinsham entra par le petit portail de bois, celui qui donnait sur la plage. Il était habillé comme tout à l’heure. Dans un grand sourire, il embrassa Anaïs sur la joue et vint s’asseoir à côté d’elle.
Singinsham racontait qu’il avait dit à sa mère, qu’il allait voir l’un de ses cousins. Et qu’il allait jouer avec lui sur la plage au foot. J’écoutais avec peu d’attention la discussion entre les deux adolescents, parlant de musique, de chanteurs. Je maudissais presque la vue du jeune homme car j’avais une envie torride de prendre Anaïs et de passer la nuit avec elle.
Celle-ci ne semblait plus faire attention à moi et n’en avait que pour son nouveau copain mauricien. Je les quittais quelque peu inutile, pour aller m’installer confortablement dans le grand canapé de mon séjour.
J’allumais sans conviction la télé, passant d’une chaîne à l’autre. J’avais dans le bas de mon ventre une sensation étrange comme des pulsions indescriptibles. Je n’entendais plus les voix des deux adolescents et m’inquiétant de ce silence je me levais. Anaïs et Singuisham n’étaient plus assis sur les marches de la varangue.
Où pouvaient-ils être ? Je sortis dans le jardin écoutant le moindre bruit. Tout était silencieux. J’allais vers la piscine personne…Un bruit m’attira l’attention vers la maison d’amis au bout du jardin. Je pris cette direction discrètement, le cœur battant la chamade. J’entendis alors des murmures venant le la chambre dont la porte était restée ouverte. Je m’approchais sans faire de bruit avec la sensation que les battements de mon cœur résonnaient dans tout le parc de Villa Cannelle.
Que pouvaient-ils faire ? J’entrais dans le vestibule et penchais la tête par l’entrebâillement. Anaïs et Singuisham étaient assis sur le bord du lit d’amis. Je les distinguais grâce à la lumière de la pleine lune. Ils se tenaient la main. Anaïs parlait, parlait, et son jeune ami l’écoutait en souriant. Elle le regardait en riant parfois, puis alors que ce dernier ne s’y attendait aucunement, elle lui prit la tête et l’embrassa avec vigueur.
Le jeune homme surpris, lâcha la main. Les deux corps soudés par ce baiser basculaient sur le lit. Celui-ci semblait tétanisé par l’assaut de la fille.
Le baiser me sembla interminable. J’en étais presque jaloux. J’entendais distinctement le souffle court d’Anaïs qui maintenait à présent toujours uni par ce langoureux baiser les deux bras prisonniers de Singinsham.
Elle semblait vouloir mener le jeu. Puis lâchant l’un des bras elle posa carrément sa main sur la bosse que formait le jeune sexe de son prisonnier, à travers son short.
Je ne perdais pas une miette de cette situation. Je sentais une érection foudroyante m’envahir. La main d’Anaïs fouilla la braguette du jeune homme à la recherche de l’objet de son désir. J’entendais le souffle court des deux adolescents. Anaïs la bouche toujours collée à son jeune ami, réussit à lui dégager son sexe frêle et long. Il semblait dérisoire dans la main de cette jeune fille. Elle le caressait avec vigueur. Elle semblait très excitée. Elle se redressa d’un bond et enleva son chemisier et son short. Elle n’était plus qu’en petite culotte blanche devant Singuisham, allongé sur le lit, les jambes pendantes. Son sexe sorti, était presque à la verticale. Il la regardait avec surprise.
Anaïs repoussa ses longs cheveux bruns derrière ses oreilles et s’agenouilla entre les jambes du jeune homme. Mon cœur battait à rompre à tout moment. Ma bouche était sèche d’émotion à la vue du spectacle qui s’offrait à moi. Elle déboutonna le short de Singuisham et sans qu’il oppose une résistance, elle l’abaissa et le fit passer par ses chevilles et le balança au bout du lit. Elle prit de chaque côté le caleçon du jeune homme qui suivit le même chemin libérant tout le bas du corps. Singuisham toujours allongé sur le dos se laissait faire, intimidé et amusé. Je pouvais parfois deviner son sourire éclatant, signant sa plus grande gêne. Remettant une nouvelle fois ses cheveux derrière ses oreilles Anaïs approcha sa tête près du sexe étrangement mince du garçon. Elle le prit en main, le branla lentement et le mit en bouche.
Je voyais sa tête hocher de haut en bas, engloutissant au fond de sa gorge la mince tige gorgée de désir de l’adolescent. Anaïs semblait s’acharner sur son sexe, pompant de plus en plus vite. Elle se releva abandonnant quelques instants le sexe tendu, au gland luisant de salive et d’un geste abaissa sa culotte livrant au regard écarquillé de Singuisham sa nudité et son sexe quasi épilé.
Elle passa ses doigts sur sa vulve l’écartant ainsi pour sentir toute l’humidité de son excitation. Le jeune homme la regardait, médusé, alors qu’elle mimait devant lui une danse orientale. Elle revint s’accroupir entre les jambes de Singinsham et reprit son sexe dans sa bouche, entamant un rapide va et vient de la tête. Je me demandais quel plaisir elle avait à sucer un sexe aussi maigre ?
Le gamin commença à s’agripper au drap. La jeune fille continua à le branler de sa main, regardant les réactions que son partenaire pouvait avoir. Elle le branlait de plus en plus vite. Je voyais distinctement sa main s’agiter de haut en bas sur son sexe. Il commençait à pousser des soupirs de plus en plus forts. Anaïs décida de le reprendre en main au moment où dans un cri sec il éjacula par longues saccades dans la bouche d’Anaïs. Visiblement celle-ci ne voulait pas en perdre une seule goutte de sa liqueur.
Il se vida totalement et au geste d’Anaïs qui repoussait dans sa bouche une traînée de sperme s’échappant de sa bouche, je sus quelle voulait tout avaler. Ce quelle fit après avoir gardé quelques instants dans sa gorge la liqueur juvénile quelle venait de pomper. J’étais très étonné par cette scène mais j’allais de plus en plus, être surpris par la suite.
Fort de son orgasme le garçon ne perdit aucune rigidité de son sexe. Je me dis qu’à cet âge là la machine était insatiable. Anaïs se remit à le branler doucement. Après l’avoir rendu à sa pleine vigueur, elle lui tourna le dos et lui présenta ses belles fesses juvéniles que j’avais tant honorées. Le garçon compris ce qu’elle voulait et il prit l’initiative de mettre son sexe bien droit alors qu’Anaïs vint s’empaler littéralement sur le sexe maigrelet. Il rentra sans difficulté dans son vagin. Elle resta ainsi assise quelques instants, empalée sur lui. Puis reprenant son souffle, en bascule elle procéda à de longs va et vient avec son corps. Je voyais parfaitement le sexe filiforme entrer et sortir des fesses d’Anaïs. A présent il la tenait par les hanches l’aidant dans ce pilonnage érotique. J’entendis alors Anaïs pousser plusieurs cris, signes d’un orgasme proche.
« C’est bon…c’est bon viens…donnes moi tout..donnes moi tout .. je vais jouir que c’est bon…
-han..han s’exclamait le garçon qui arrivait à son deuxième orgasme… Anaïs éclata dans un orgasme puissant au moment où Singinsham éjaculait au plus profond d’elle. Il la maintenait à présent collée contre lui le temps de se vider.. .
Ils restèrent ainsi quelques minutes avant qu’Anaïs se relève et se retourne vers le jeune homme.Le sexe de celui-ci luisait de secrétions et commençait à se ramollir lentement.
« Tu as aimé ?
-C’est bon …entendis je de la bouche du jeune homme.
-Tu reviendras me voir ?
-Pané poblem mamzelle.
Je décidais à cet instant de m’éclipser sur la pointe des pieds. J’avais le sang retourné par ce spectacle avec une vive envie de me soulager. Je retournais dans mon salon et quelques minutes après je vis entrer Anaïs.
-Tu étais où lui demandais-je ?
-J’ai été faire un tour sur la plage.
-Tu as été sage j’espère ?
-Bien entendu…je vais prendre une douche et je reviens d’accord ?
-Je ne vais pas tarder à aller me coucher. Alors ne traînes pas.
-moi je suis en forme !
-Ah ?
Je regardais Anaïs disparaître par la porte du salon, son petit cul moulé dans un short que j’imaginais souillé par tant de semence écoulée.
J’entendis l’eau couler. A priori, Anaïs (le faisait elle exprès ? ) n’avait pas fermé la porte de la salle de bains. Etait ce encore une provocation ? Je décidais de ne pas bouger. Au bout de quelques instants
Elle revint drapée dans un peignoir beaucoup trop grand pour elle. Elle avait les cheveux mouillés. Elle vint s’asseoir sur le divan en face de moi et remonta ses pieds sous ses fesses.
-Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je fume une cigarette ? J’en ai envie.
-Je t’en prie le paquet est là, tu peux te servir. Je ne savais pas que tu fumais.
Anaïs alluma une cigarette tout en me regardant.
-Qu’as-tu fait de ton copain ?
-Il est rentré chez lui.
-Ah…tu as flirté avec lui ?
-Non pas du tout ! Ce n'est pas mon genre et puis il a à peine mon âge.
-Il te regarde avec beaucoup d’intérêt, je vois ?
-C’est un bon copain. Il doit me présenter son oncle qui est un moniteur de plongée.
-Tu aimerais faire de la plongée ?
-Bien sûr…tu viendras avec moi ?
-On verra. Tu ne veux pas venir me voir ? Approches toi de moi.

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