Collection Échangisme. Ma Fille Me Dévergonde. Fin De La Saison I (3/3)

Quarante ans aujourd’hui et j’ai cédé.
J’ai cédé à Pedro magnifique black avec une verge qui m’a fait tellement envie que je l’ai suivi dans le jardin des plaisirs.
Il m’a pris comme la chienne que je suis devenue acceptant qu’il m’enfile par mon sexe et mon anus qui s’est distendu sans grand problème m’étonnant moi-même d’être assez souple.
Pour qu’il me pénètre par la chatte j’arrive à entrer les 35 centimètres jusqu’à ce que je touche ses couilles.
Entendant les applaudissements venus des fenêtres surplombant la pelouse où nous avons forniqué.
Je comprendre croyant être seule avec mon amant de nombreux libertins prévenus par des lampes qui s’allument dans le club dans plusieurs endroits que des personnes sont dans les étages permettant le voyeurisme.

De retour au bar j’ai la ferme volonté de m’arrêter de tromper Yves. K
Quand la jolie blonde qui m’avait abordé avec son mari en début de soirée et à qui j’ai succombé à la grosse bite de Pedro me propose d’aller me baigner.
Je retourne derrière le rideau et dans le Jacuzzi je sens ses mains venir en contact avec mes seins qui s’érigent immédiatement.
Mes seins sont très sensibles surtout quand Yves dans nos moments de sado me les pinces à me faire hurler.
Un jour il a été dans la buanderie et ce sont deux pinces à linge qu’il m’a accrochées à chacun d’eux me faisant souffrir ignominieusement mais au bout d’un certain temps le plaisir que je voyais sur son visage m’ont apporté des sensations de plénitude.
Autant il aurait été impensable pour moi de donner mes lèvres à Pedro alors que je lui donnais mon cul autant les lèvres d’Éliane sur les miens finis rapidement par sa langue cherchant et trouvant la mienne.
Mes mains partent en exploration sur son corps et c’est avec énormément de plaisir que deux de mes doigts entrent dans une autre chatte que la mienne quand je me masturbe.

• Continus Solange, tes doigts ont su trouver le chemin de mes envies déclenché en moi dès que je t’ai vu.


J’ai un deuxième sens pour dénicher les lesbiennes qui s’ignorent ce que tu sembles être le cas pour toi.
• Gagnée, tu es la première femme que j’embrasse et à qui je caresse le vagin, si ce soir en partant de chez moi on m’avait dit tout ce qui m’arrive j’aurais traité la personne de malade.
• Assieds-toi sur ces marches que ma langue vient s’occuper de ton bouton que j’ai vu quand tu t’es levé de ton siège au bar et qui me semble fort développer.

J’ai toujours eu un gros clito au point que jeune fille je l’avais signalé à ma gynéco persuadée que j’étais infirme.
Ça la fait rire et où elle m’a expliqué la fonction de ce bouton qui entre sans problème dans la bouche de celle qui je le constate à partir de ce moment devient ma maîtresse.
Un amant et une amante dans la foulée.
Il va falloir que je tire les oreilles de ma fille qui à ce moment entre dans la pièce avec le mari d’Éliane et Pedro qu’elle semble avoir récupéré.
Je voudrais bien m’intéresser à ce qu'elle fait, mais ma vue se trouble sous la charge de cette langue friponne qui rapidement fait monter la tension dans mon corps.
La boule que je ressens et qui monte en moi est différente de celle qui a éclaté en moi quand Pedro me pilonnait.
J’ai l’impression que mon corps réagit différemment.
Surtout quand elle fait entrer trois doigts recourbés dans mon sexe et qu’à l’intérieur tous bouillonnent jusqu’au moment où je sens des jets sortir venant inonder le visage de ma nouvelle amie.

• Au Solange tu es une femme fontaine, c’est rare et je les adore.
Arrivé à faire exploser en toi toutes tes glandes et éjecté des flots de cyprine me donnent à moi aussi un plaisir immense.
Laisse-moi ta place, tu vas voir j’en suis une aussi si tu sais y faire.

Je me laisse glisser dans l'eau rafraîchissante, mon intimité fortement sollicitée depuis que ma garce de fille m’a entraîné dans ce lieu de perdition.
Ma volonté d’en rester là est de plus en plus mise à rude épreuve surtout que la position où je me trouve maintenant me permet de la voir répondre aux asseaux de ses deux amants.

Pedro ayant investi sa chatte pendant que le deuxième homme lui enfile l’anus.
Prise entre deux hommes, pourquoi pas mais pour cela il faudra que je trompe encore Yves doublement mais les spasmes qui semblent déferler dans son corps me font envie.
La question à laquelle j’aurais rapidement à trancher peut attendre, car Éliane accapare toute mon attention.
La touffe blonde qu’elle me présente est très jolie à voir d’aussi prêt.
J’avance ma bouche comme elle la fait pour moi et je dois m’aider de mes doigts pour le sortir de sa coquille.
Contrairement au mien je peux juste le sucer le faisant réagir comme a réagi le mien il y a quelques minutes.
J’ai bien vu ses doigts et j’ai senti la partie intérieure supérieure de mon sexe massé quand elle les a recourbés ce qui a déclenché l’éjection de sécrétion qu’Éliane a appréciée.

• Plus fort, oui plus fort, tu es doué, je te l’avais dit .
Oh ! oui, avale, je vais...

Elle est dans l’impossibilité de finir sa phrase et ma bouche mal placée au moment où les jets sont propulsés c’est mon visage qu’elle inonde.
Je me replace et j’accélère mon branle, ce qui fait repartir les jets et sans aucune pudeur j’avale tout ce qu’elle semble avoir gardé en réserve pour ce moment de bonheur pour nous.

• Bravo Éliane, comme d’habitude je vois que tu as trouvé une bouche pour recevoir tes grands jets de cyprine.
Maman, je t’ai regardé faire, tu t’en sors bien dommage que je sois ta fille, car j’aime que l’on me fasse ce que tu lui as fait.
• Tu sais Julie, ta jolie maman est-elle aussi une femme fontaine.
Elle m’a rempli la bouche avant que tu la voies m’honorer comme elle la fait.
• Je peux difficilement tout voir.
Maman, il faudra que tu essayes que l'on te prenne en double pénétration.
• Pour cela, il faudrait que je revienne et il est impossible que je trompe ton père deux fois.
• Taratata, dès demain je lui dis que nous avons décidé qu’au lieu de faire une sortie entre filles chaque année, ce sera chaque semaine que nous sortirons.

• Essaye une fois par mois, ce serait sympa.

Qu’est-ce que je dis, tout se bouscule dans ma tête ?
Au vestiaire avec mes nouveaux amis j’apprécie qu’Éliane quand elle passe sa robe me montre qu’elle est capable de choses impensable pour moi.
Aucune culotte, la chatte à l’air c’est comme cela qu’elle est venue et c’est comme cela qu’elle repart.
Son regard de désapprobation me fait encore franchir une étape dans ma bonne déchéance de femme bourgeoise.
Je retire ma culotte voyant le visage de ma fille s’illuminer, car elle aussi évite tout sous-vêtement.
Il est presque une heure du matin quand nous sortons et que nous embrassons les lèvres très près de mes lèvres avec Éliane.

• À la semaine prochaine, j’aimerais te voir baisé avec mon mari.
• Tu sais ce soir as été exceptionnelle, mais je pense qu’elle sera unique dans ma vie.
J’aime mon mari et je l’ai trompé par manque de volonté même si mon corps a dit oui à toutes vos sollicitations.
• Ce sentiment s’est estompé pour moi jusqu’à ce que je dise à Alain qui a été compréhensif et qui maintenant m’accompagne.
Donne-moi ton numéro de téléphone je t’appellerais dans la semaine.
• Retrouvons-nous au restaurant, je vous invite toutes les deux.

C’est Alain qui lance l’invitation, mais je sais au fond de moi que je vais éviter d’y aller par peur de flancher.
Le taxi que Julie a appelé pour notre retour à la porte de Saint-Cloud où nous avons notre appartement.
Je vais me doucher après l’avoir remercié pour la soirée lui faisant comprendre que j’ai beaucoup apprécié mais qu’elle restera unique dans ma vie.
Comme prévu Yves brille par son absence et la douche que je prends me permet de constater que mon sexe a bien repris sa forme après la bite gigantesque qu’il a absorbée.
Quelle heure est-il quand il rentre je me garde bien de bouger pour regarder.
Je veux éviter tout rapport avec lui.
J’ai peur qu’il soit possible de voir un changement d’attitude après mes turpitudes.

Après m’être rafraîchi et maquiller, je mets la tenue la plus affriolante que j’ai dans mon armoire.
J’ai toujours évité de mettre me demandant pourquoi je l’ai eu achetée inconsciemment en vue de cette nouvelle vie que j’ai entamée hier, mais qui, hélas, en restera là.
Dans ma tête m’habiller de manière moins austère et plus osée sera la touche liée au changement que je reconnais devoir faire pour rester dans l’esprit que Pedro et Éliane mes amants m'ont insufflé.
Dans la cuisine ma fille qui part elle aussi ainsi qu'Yves, est là une tartine à la main.
Julie est resplendissante plus que d’habitude, à mes yeux.
L’avoir vu faire l’amour avec deux hommes dont la bite qui m’a fait craquer pourrait me troubler mais non.
Savoir qu’elle commence sa vie en se faisant éclater alors que moi à son âge je lui lavais ses fesses et ses couches.
L’industrie commence seulement à mettre sur le marché les jetables que notre train de vie bien loin de celui que nous avons maintenant été impossibles de nous les payer.

• Maman, j’ai demandé à papa, il est d’accord que nous sortions en fille toutes les semaines où il va au rugby.
• Toutes les semaines comme tu y va, un restaurant par mois ce sera déjà pas mal.
• Je joue samedi prochain vous pourrez en profiter.

Il est fou, ce mot en profiter raisonne comme une invitation à retourner au club libertin et surtout le samedi la veille du jour où je ferme mon agence.
Agence de voyage que je possède boulevard Saint-germain depuis deux ans et où j’arrive avec dix minute de retard Odile le jeune employé que je viens d’embaucher, recevant déjà un client.
Je m’installe à côté d’elle posant mon sac sur mon bureau avant de la rejoindre et de l’étonner, car je lui fais la bise pour la première fois depuis que je l’ai embauché.
Ce que j’entends mérite bien une bise, car le client est un gros gagnant du loto et c’est un tour du monde avec son épouse que ce monsieur d’une cinquantaine d'années est en train d’élaborer.
Je me surprends à des idées bizarres pour la première fois depuis que j’ai l’agence.
Ce client bien mis a-t-il une grosse bite ou une petite, avec son épouse est-il libertin et vont-ils dans un des clubs de Paris.
Aimerais-je qu’il me baise ?
J’en suis là de mes élucubrations quand mon téléphone sonne.

• Allô, Solange est-elle là ?
• C’est moi.
• Super c’est Éliane, tu as mis une culotte ce matin !

Très direct ma jolie maîtresse, il est vrai que se faire éclater les chattes lui permettent certaine privauté que je suis loin d’être prête à assumer.

• Non.
• Dis-m’en plus, quel effet cela te fait d’avoir ton intimité à la merci de la moindre main d’un prédateur comme il en existe plein à Paris ?
• Cela fait drôle.
• Prends-tu le métro ?
• Oui, pour venir à mon agence boulevard Saint-germain il est impossible de se garer en voiture.
• Une agence, tu vends quoi.
• Des voyages.
• C’est cela tu possèdes l’agence de voyage placée entre un coiffeur et une boulangerie.
• Oui.
• C’est là où je t’ai vu, hier soir, j’avais l’impression de te connaître. Amélie, c’est ma coiffeuse, car Alain a son cabinet de médecin boulevard Saint-michel avec notre appartement au-dessus.
Je m’arrête chaque fois pour regarder quelle destination nous pourrions choisir, mais mon mari est tellement attaché à ses clients qu’il refuse tout départ.
Je t’ai remarqué à ton bureau qui est placé face à la vitrine.
• Oui, tu as raison.
• Je vois, tu es entourée de personnes et tu es dans l’impossibilité d’en dire plus.
• Oui.
• Alors pour me faire plaisir, considère que je suis derrière la vitre, écarte tes cuisses que je vois ton joli clitoris que j’aime tant sucer.

Je suis devenu folle en plus d’être infidèle, car sur son ordre j’écarte les cuisses divinement contente de répondre à l’ordre qu’Éliane me donne.

• C’est fait !
• Oui.
• Reste comme cela quelques minutes, j’espère qu’un voyeur va regarder par la vitrine comme je l’ai fait et constater que tu es devenue une femme disponible.

Je joins, mes jambes précipitamment un pépé d’au moins quatre-vingts ans viennent de s’arrêter pour regarder une de mes pubs pour Ibiza et je veux éviter l’accident cardiaque que la vision de ma chatte offerte pourrait lui provoquer.

• Tu es libre à midi !
Alain est à son cabinet depuis neuf heures sans s’arrêter jusqu’à ce soir les clients souffrant du stresse au travail venant pendant leur pose.
Tu sonnes à la porte adjacente à celle du cabinet tu es sûr de me trouver, je vais nous préparer un déjeuner en amoureuse.
• D’accord je vais venir, je t’aime.

Quand je dis que je suis devenue folle…

Fin de la saison I.
Dans les jours prochains, bientôt la saison II.

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