Collection Échangisme. Ma Fille Me Dévergonde Début De La Saison Ii (4/6)

J’ai trahi mon serment de fidélité envers Yves en acceptant de suivre ma fille libertine dans un club échangiste de Paris pour fêter nos anniversaires.
Nous avons 20 ans d’écart et sommes nées le même jour.
Elle a 20 ans, moi 40.

Ce matin à mon agence j’ai une matinée difficile, car les clients succèdent aux clients, me laissant peu de temps pour vagabonder sur l’avenir de ma vie.
J’ai accepté d’aller manger chez Éliane celle qui m’a ouverte au plaisir saphique et qui m’a appris que j’étais une femme fontaine, comme elle.
J’ai du mal à envisager mon avenir sexuel moi qui avait une vie si bien rangée.
À presque midi, je suis avec un emmerdeur qui hésite entre Nice et Toulouse pour un séjour de trois jours.
J’ai envie de l’étriper, aussi je profite d’Odile ayant reconduit sa cliente à la porte pour lui refiler cet indécis et lui demander de fermer l’agence.

C’est presque en courant que je parcours les quelques centaines de mètres qui me séparent d’Éliane qui répond immédiatement à ma sollicitation quand j’appuie sur le Digicode.

• Je t’ouvre, montes au premier je t’attends.

Les marches sont légères sous mon pas alors que je devrais avoir de la retenue pour éviter de tomber comme je l’ai faite hier.
La porte palière du premier est ouverte et Éliane est devant moi nue comme le jour de sa naissance.

• Enlève ce carcan vestimentaire même si ta tenue est plus sexy que celle d’hier.

Envolé, mes bonnes résolutions quand nous tombons dans les bras l’une de l’autre et que nos bouches se trouvent fougueusement.
Mes vêtements s’envolent un à un jusqu’à ce que j’apparaisse dans la même tenue que la maîtresse de maison.

• Viens sur le canapé je nous ai préparé des petits fours, salés et sucrés à grignoter pendant que l’on se retrouve, depuis cette nuit tu me manques déjà.

Sitôt assise, sa bouche rejoint mon clitoris qu’elle semble particulièrement apprécier.


Elle le masturbe comme je masturbe la verge de Pedro ou celle d’Alain avec mes lèvres aspirant leur gland.
Ses doigts écartent mes lèvres intimes pour les pénétrer, comme cette nuit.
Je remplis sa bouche de mes sécrétions étonnée après celles expulsées hier dans le Jacuzzi que mon corps soit capable de s’épancher autant.
Comment mes glandes ont-elles la faculté d’en emmagasiner à foison ?
Femme fontaine, je comprends ce que cela veut dire à partir de ce moment.
Mes cris de jouissance émis se finissent par un orgasme aussi fort et bien supérieurs à ceux que me procure l’homme de ma vie.
J’ai peur qu’au rez-de-chaussée Alain et ses clients puissent penser que l’on m’égorge et que je vois débarquer la police.

• Eh bien, ma salope je te fais de l’effet, à toi d’en faire autant, fais-moi jouir aussi fort s’il te plait.

C’est demandé avec tellement de gentillesse que je m'oblige à glisser entre ses jambes, comme elle la fait pour moi.
Mieux, alors que je lui enfile trois doigts suivis d’un quatrième, j’ai la stupeur de la voir me prendre le poignet et de tirer ma main à l’intérieur de son vagin.
Je pense qu’elle doit pratiquer Pedro assez souvent pour pouvoir recevoir en elle l’intégralité de ma main.
Là encore, la femme fontaine se met en marche.
Je sens autour de ma main les jets partir inondant le canapé, car dans la position où je suis ma bouche se trouve dans l’incapacité de boire les geysers qui fusent de part et d’autre de ma main obstruant sa chatte.
J’ai crié fort, mais je suis loin du compte en entendant Éliane hurler son plaisir d’être intégralement rempli par ma main.
Surtout quand naturellement je la fais tourner de gauche à droite, puis de droite à gauche.
Je la ressors même intégralement pour mieux lui renfoncer gagnant quelques centimètres en voyant en partie mon avant-bras disparaître.

• Putain tu m’as fait jouir deux fois plus que d’autres femmes que je fréquente.

Tu es née pour donner du plaisir aux femmes et je suis contente de t’avoir révélé.

Bel hommage à la pucelle féminine que j’étais hier avant que ma fille décide de me faire voir ma vraie nature.
Je suis une lesbienne fière de l’être et qui à partir de ce moment accepte sa condition de femme faite pour les femmes.
Excepté mon homme, ceux avec de grosses bites que j’ai pourtant appris à aimer, comme celle de mon amant, seront exclus de ma sexualité.
Satisfaite de ma décision je grignote quelques petits fours dont certains avec du caviar tout en posant quelques questions à celle qui a su enlever mes doutes.

• Comment as-tu commencé dans le libertinage ?
• Je suis née dans le libertinage.
Ma mère était libertine, mon père était libertin et naturiste et dès ma naissance j’ai toujours vu mes parents dans la tenue où nous sommes en ce moment.
Mieux, même, tous les ans nous allions en vacances dans des campings libertins.
Il était fréquent dès que j’ai eu l’âge de comprendre que nos sexes avaient une autre fonction que de satisfaire des besoins naturels que j’ai des rapports avec des jeunes de mon âge avec la bénédiction de nos parents.
J’ai compris que les cris que j’entendais dans les pièces contiguës étaient des cris de plaisir quand ils recevaient des amis aussi libres qu’eux.
Pendant deux ans je me suis masturbé à me faire rougir la chatte.
Je me suis dépucelée moi-même en enfonçant ma main dans mon vagin comme tu viens de le faire avec la tienne.
Au fil du temps, j’ai appris que je me fistais.
Très vite, ma main a été insuffisante et c’est derrière une haie du camping que Boris bel étalon du même calibre que Pedro est devenu mon amant.
Je te dis tout.
Un soir alors que mon amant était parti le jour de mes 17 ans.
Je suis entrée dans la pièce où j’ai vu ma mère se faire enfiler par le maître-nageur de la plage.
De l’autre côté papa besognait une jolie femme elle aussi vue à la plage avec son mari qui regardait.

J’ai été plus prompte qu’eux et avant que quiconque ait le temps de s’étonner de ma présence, je me suis agenouillé devant cet homme.
Nicolas bel homme d’une quarantaine d'années à qui j’ai sucé la verge.
Devant ma mère un peu étonnée tout de même, je me suis mise en position de la levrette.
Ce fut le début de ma vie libertine avec mes parents.
C’est avec Jennifer que j’ai eu mes premiers rapports féminins.
C’est elle qui m’a appris une très grande partie des choses que je t’ai apprises après notre rencontre, grâce à ta fille.
• Savais-tu que j’allais venir au club échangiste ?
• Oui, Julie était ici le week-end précédent.
C’est là que nous avons décidé à t’ouvrir à la vie de femme libre, car elle cherchait une idée pour votre soirée annuelle
Sans savoir, comme je te l’ai dit, que tu possédais une agence à deux pas de chez nous où je t’avais vu.
Au fait j’ai vu que ta culotte s’était envolé quel effet cela t’a fait de prendre ton métro ta chatte à la merci du moindre prédateur sévissant aux heures d’affluence !
• Hier j’aurais hurlé si l’un d’eux était venu me serrer de près.
Ce matin quand j’ai senti la bite d’un homme bien dur venir se mettre entre mes fesses, j’ai appuyé pour mieux l’apprécier.
Je suis arrivé à l’agence la chatte dégoulinante.
Au point qu’un moment où les clients étaient absents, j’ai failli entraîner Odile, ma jeune employée dans la salle où nous pouvons boire un café pour la faire asseoir sur la table et lui sucer le vagin.
Je me suis souvenu qu’elle avait vingt ans comme ma fille et que si je le faisais, j’aurais eu l’impression de le faire avec elle.
• Tu as eu tort, elle attend peut-être un geste de toi pour te donner son abricot.
Tu as trois jours pour essayer et me dire si elle a accepté d’avoir du plaisir avec toi, sinon la prochaine fois au club tu vas ramasser.
• Je t’ai dit que le club, c’était fini !
Certes, Yves a accepté à la demande de ma fille que nous sortions chaque fois qu’il est au rugby avec ses copains, ce qui se fera samedi.

Mais comme cette fois c’est moi qui dois choisir après le restaurant nous irons voir une exposition ouverte en nocturne à Beaubourg.
• Certainement pas, Alain nous a invité au restaurant et le samedi au club.
Il y a trois fois plus de monde et de possibilité pour nous les femmes de nous éclater.
Les amis que tu vas rencontrer seront enchantés de voir une si belle cochonne.
• Cause toujours d’accord pour le resto, mais après Beaubourg, dodo.
• File t’occuper de la petite Odile, trois jours sinon.

La menace ponctuée d’un large sourire me montre que la menace est à la mesure des jeux que nous venons de pratiquer ensemble.
C’est ainsi qu’après avoir remis difficilement mes habits, je reprends le chemin de mon agence sans avoir à aucun moment l’envie de les remettre.
Nue dans les rues de Paris, les ennuis m’arriveraient rapidement, même si dans la maréchaussée des bites intéressantes doivent être à découvrir.
Alors que je marche, le mot sexe, sexe, sexe, même plus sexe revient toujours à mon esprit.
J’ai bien peur que samedi ma volonté d’aller voir l’expo sur les insectes dans la cité soit difficile à tenir au profit d’une porte munie d’un petit Juda.

Odile a ouvert l’agence et me confirme que le voyage autour du monde est signé.
Je suis satisfaite, le chiffre d’affaires de l’agence est déjà couvert pour les deux prochains mois.
Je vais pouvoir réfléchir à tous ces bouleversements que ma fille m’a apportés en si peu de temps pour ma quarantième année...

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