Collection Échangisme. Ma Fille Me Dévergonde. Fin De La Saison Iii (9/9)

Une fois de plus je m’aperçois que j’ai une certaine facilitée à changer me fille, grâce à ma fille m’ayant entraîné dans un club libertin.
Apprendre, qu’elle en ait une cliente très fidèle m’a étonné, mais quand je cède brisant mon serment de fidélité envers Yves, mon mari, je plonge dans un monde inconnu.
Suivre un inconnu dans un restaurant, fusse marocain pour manger un couscous, ça reste un inconnu même s’il semble un homme d’honneur.

• Voici, un verre de l’amitié, je m’excuse, ce sont des boissons sans alcool, Loubna, ma maman est très à cheval sur les pratiques de notre religion.
Menthe et citron vert et de petits Fekkas que j’ai préparés cette après-midi avec Radia, ma soeur.
Si je peux vous guider, ceux aux amandes sont les plus savoureux.
• Merci Nouzha, vous êtes charmante.
Si je comprends bien, c’est un restaurant tenu familialement.
Maman Loubna aux fourneaux.
Vous Nouzha au service, mais que fait Radia à part les petits gâteaux pour l’apéritif que vous nous offrez en guise de bien venue.
• C’est dur à dire, Radia est un peu simplette et sa fonction, c’est de faire la plonge.
• Vous êtes dure avec votre sœur, mais c’est vous qui la connaissez.

Nous entendons un bruit de verre cassé venant des cuisines.

• Je m’excuse, je vais voir, voyez ce que je vous dis, simplette, même un boulet, combien d’assiette a-t-elle cassée.

Nous buvons l’apéritif, si Radia est maladroite, les Fekkas sont très bons.
Le couscous arrive, nous avons pris un couscous royal.
J’ai eu très peur que Stéphane choisisse celui à la tête de moutons, même si Nouzha nous a soutenue qu’au Maroc, ils adoraient ça.
Nous avons choisi du Sidi-Brahim que j’ai bu avec délectation.
J’ai les yeux de plus en plus passionnés par les paroles qu’il me tient sur les vins du monde.
À un moment, j’ai la main sur la table qui joue avec une petite miette de pain.


Il avance la sienne et la pose sur la mienne qui l’accepte, il me caresse la paume faisant monter la tension en moi.
J’ai l’impression de devenir une nouvelle fois une de ces femmes qui sont prêtes à tout pour avoir leur plaisir sans attendre.
Ma chatte qui dégoulinait d’envie tout à l’heure recommence à me crier sa grande faim.

• J’ai passé une merveilleuse soirée grâce à vous, je vous raccompagne comme prévu, il est presque onze heures.
• Mademoiselle Nouzha, pouvons-nous avoir l’addition.
• Je vous l’apporte, mais je suis Radia, nous nous ressemblons toutes les deux.
• C’est vous qui avez cassé les assiettes tout à l’heure.
• La petite garce, je parie qu’elle vous a fait le coup de la jeune fille simplette qui fait la plonge.
• C’est un peu ça.
• Les assiettes, c’est Loubna, notre maman qui les a cassés en prenant une pile pour les approcher des fourneaux pour les tenir au chaud.
Elle est déjà partie draguer les garçons, Nouzha est une jeune fille de mauvaise vie.

Nous payons, est-ce que Radia, fait de l’humour comme sa sœur en a fait la disant simplette, à ce moment, j’ai d’autres chats à fouetter quand nous sortons.
Laissant les jeunes marocaines régler leur problème, nous remontons le boulevard Saint-Germain jusqu’à ce que je voie une affiche lumineuse marquée Parking.
Je pense que sa voiture est là et qu’il va me raccompagner comme il me l’a promis.
À ce moment, nous passons devant un hôtel.

• C’est mon hôtel Simone, il y a une bouteille de champagne dans le frigo.
Veux-tu monter boire une dernière coupe avant que de te raccompagner ?
• Voilà, je te l’avais dit, tu veux aller boire un dernier verre tu es un menteur comme tous les hommes.
En plus, le Sidi-Brahim me chauffe légèrement les oreilles.
• Non, moi un menteur, je t’ai promis de te laisser au bas de chez toi, mais là c’est au bas de chez moi, allé laisse-toi aller, monte boire ce verre.


Pourquoi au lieu de passer devant la porte, je passe la porte me propulsant vers des nouveaux débordements si Stéphane à d’autres ambitions que de boire une coupe de champagne ?
Sa clef récupérée à la réception j’ai l’impression que le gardien de nuit doit me prendre pour une pute ayant racolé un client mais le sidi Brahim, vin épais m’a donné soif et je serais assez contente de boire une coupe de champagne.
L’ascenseur est exigu, mais Stéphane en parfaits gentlemen se contente de porter ma main à ses lèvres et à l’embrasser en l’effleurant.
La porte ouverte la chambre est très petite et il me fait asseoir sur le lit.
Il se déplace jusqu’au bar, récupère la bouteille et deux coupes avant de s’asseoir sur une chaise à cinquante centimètres de moi.

• À tes amours ma belle, merci de la bonne soirée que tu me fais passer, cela me réconcilie avec Paris.

Sans m’en rendre compte, ma jupe à glissée et d’où il est Stéphane doit avoir une vue plongeante sur ma chatte dénudée.
Au départ sans que j’aie cherché le mal et surtout sans que je m’en aperçoive.
Après la première coupe, la deuxième m’enlève toutes mes inhibitions et quand il avance sa main la posant sur ma cuisse je sans qu’il la fasse glisser vers mon intimité.
Je le laisse faire, dans mon for intérieur, j’ai beau faire la femme sachant ce qu’elle veut, c’est bien ça que je suis venue chercher en plus d’étancher ma soif par une coupe de champagne.
J’accepte ses caresses sans faire le moindre mouvement pour le repousser.
Mieux comprenant qu’il a vu et senti l’absence de ma culotte, j’écarte mes jambes permettant à ma jupe de remonter encore plus haut officialisant mon abandon.
Ma fille Julie, cette salope, a réveillé mes vieux fantasmes le jour de mes quarante ans et ces dans cette chambre que je les fais une nouvelle fois aboutir.
J’avance légèrement le ventre pour que ses doigts puissent me pénétrer.
Ça finit de permettre à ma jupe de se tirebouchonner autour de ma taille.

Il faut dire, que je me suis légèrement soulevée pour l’aider à remonter.
Il pose son verre et vient s’asseoir à mes côtés, essayant de m’embrasser.

• Non, baise-moi, mais sans m’embrasser, sinon je tromperais mon mari et toi ta femme.
Faisons l’amour directement comme nous en avons envie toi et moi.
Cette soirée restera dans nos mémoires jusqu’au dernier moment de notre vie comme une soirée en baisant intensément.

En lui refusant de l’embrasser, je fais ce que font toutes les putes qui se font baiser ou qui sucent, mais qui réservent les baisers pour leur mac.
Je veux rapidement voir la queue qu’il a à m’offrir aussi je m’agenouille devant lui pendant qu’il enlève les boutons de mon chemisier et que je dégrafe sa ceinture.
Sa verge est tendue au maximum de sa possibilité.
Elle bondit littéralement vers moi quand je la sors de son boxer.
Ma bouche s’arrondit au diamètre de ce que l’on me propose et j’avale ce pieu qui va labourer mon intimité et va faire exploser mon corps.

• Solange continue, tu suces comme une reine alors qu’elle me le refuse.
Tu es une vraie femme sachant satisfaire les hommes.
Excuse-moi de parler d’elle, juré il y a toi, l’autre est bien ou elle est !
Je vais te sucer comme tu me suces, mets-toi sur le lit.

Il me prend par les oreilles, m’oblige à me redresser et m’allonger à ses côtés.
Il y a longtemps qu’Yves reste classique, même s’il m’a baisé sur la table de cuisine l’autre soir.
La rudesse qu’il savait mettre dans certains de nos ébats semble me manquer.
J’ai mal, alors je suis son mouvement jusqu’à ce que j’arrive dans la position où il atteint ma chatte ayant remis sa queue dans ma bouche
Il lèche ma fente et surtout mon putain de clito recevant l’hommage de ses lèvres.
Il l’aspire comme si sa bouche était une pompe.
Stéphane a-t-il l’intelligence des bons amants naturels quand ses dents viennent l’aider à me faire jouir au risque de le sectionner à chacun des grands spasmes secouant mon corps ?
Heureusement, il le relâche pour mieux le reprendre, je deviens folle de mon corps et surtout folle qu’il me prenne.

Où sont mes grandes résolutions, suis-je devenue entièrement tributaire de cette petite partie de moi ?
L’immanquable ce produit, il déclenche les grandes eaux de Versailles aux plus beaux jours des fêtes royales.
Plus question de philosopher sur tromper ou pas.
Je suis un sexe qui a besoin de sexe.
De son sexe.
Demain matin les femmes de ménage refaisant le lit diront que la pute que le gardien de nuit a vue monter s’est bien éclatée avec son client.
Je redeviens la belle baiseuse que Pedro, Éliane, Julie et autres amants ou amantes, on voulut faire de moi.
Mon corps avec la seule bouche de Stéphane est à la fête des sens.
Je suis certaine que dans quelques secondes quand il aura fini de boire ma fontaine le pieu que je suce va venir me pourfendre pour mon plus grand plaisir.
Je deviens chienne, je suis une chienne, sa chienne.
Pendant qu’il enlève tout ce qui le gêne, ma jupe repliée sous mes seins, je sens que je perds la notion des choses.
Ce sont ses couilles tapant sur mon menton qui me ramène les pieds sur terre,
Je suis une énorme cochonne.
Du moins j’ai l’outrecuidance de penser que je suis et que je vais être la truie que sa bordelaise refuse d’être.

• Tu permets que je m’allonge et que tu viennes t’empaler sur ma tige.
J’en rêve depuis des années où la seule position que madame accepte c’est la position du missionnaire.
Je suis frustré de sentir son corps rythmer notre échange et me permets de m’occuper de ses seins.
• Fait le comme tu l’as fait en me tirant sur le lit par mes oreilles.
J’ai bien été obliger de suivre là où tu voulais que j’aille.
Si mon homme s’allonge, je sais être assez inventive pour savoir ce qu’il désire.

Et voilà, qui est la salope dans l’histoire m’arrivant depuis nous avons fêté mes quarante ans avec Lucie.
Je m’empale, mon coup se tend comme la louve que vous découvrirez dans la saison III dans les jours prochains...

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