Le Voisin

Attention, ce texte est une pure fiction et doit être pris en tant que tel

Mon épouse et moi-même habitons dans un lotissement assez chic, où chaque voisin bénéficie d’une surface de terrain très grande sur lesquelles s’implantent de belles maisons. Nous avions choisi ce lieu pour vivre car il permettait de bénéficier d’une intimité importante tout en conservant un lien de quartier. Et de fait nos voisins étaient des gens intéressant avec qui nous avions des relations suivies. Enfin sauf avec un qui avait eu le terrain par héritage et avait fait construire là une petite maison, malheureusement en face de la notre. Agé d’une cinquantaine d’années, il était bedonnant, chauve et sale. Il dénotait vraiment dans notre quartier et nous n’avions pratiquement aucun échange si ce n’est des bonjours quand nous nous croisions. Ma femme le méprisait même et ne lui disait bonjour que quand elle était vraiment obligée. Elle me disait qu’il la répugnait. Un soir, lors d’une réunion de quartier, alors qu’elle avait fait la bise à chacun des autres hommes présents, elle lui tendit la main, ce qui sembla lui déplaire fortement. Il faut dire que mon épouse était sans contestation possible la plus belle femme de la soirée, avec sa grande chevelure rousse et ses formes généreuses que l’on pouvait à peine deviner sous son tailleur.

Un soir, alors que nous étions sortis au restaurant, nous trouvâmes à notre retour la porte de notre maison ouverte. En pénétrant dans notre domicile, nous nous aperçûmes que nous avions été cambriolé. Plusieurs bijoux, un peu d’argent et surtout 4 sculptures de grande valeur. Je m’aperçu vite du problème, nous n’avions pas fermé la porte, et il n’y avait pas effraction. Malgré le fait qu’il y ai eu de récent cambriolage dans le village dans lequel nous habitons, nous ne pensions pas que des cambrioleurs aient le temps d’agir en si peu de temps.
Je savais que l’assurance ne rembourserait jamais si il y avait eu une négligence de notre part, et c’était une sacrée négligence que de ne pas fermer sa porte à clef.

Je pris donc un pied de biche, fermait la porte à double tour et forçait moi-même la porte. C’était la seule solution trouvée pour nous permettre d’être remboursé. Peu de temps après je contactais la gendarmerie pour déclarer le cambriolage et 15 jours plus tard nous étions remboursés par l’assurance.

Un matin, alors que j’allais partir au travail, je vis mon voisin d’en face sortir et venir me saluer. Très rapidement, il me demanda si je connaissais la peine encourue pour une escroquerie à l’assurance. J’ai cru que mon cœur s’arrêtait ! Je lui rétorquais que je ne savais pas de quoi il voulait parler, quand il me montra une photo très nette de moi en train de forcer ma porte. Je compris tout de suite où il voulait en venir et je lui demandais combien pour les clichés. Il me dit de passer chez lui le soir après le boulot et qu’il m’expliquerait. Et il précisa :
- Au fait, à titre d’information, c’est passible de 5 ans de prison et de 375 000€ d’amende.

Inutile de vous dire que je passais une très mauvaise journée, à penser sans arrêt à ce chantage. Je me demandais combien il allait vouloir pour me rendre les clichés.

Le soir je me rendais directement à sa porte et sonnais. Il me fit rentrer dans sa maison dans laquelle une odeur forte se répandait. Comme je voulais abréger cette conversation, je lui demandais immédiatement combien il voulait. Il me répondit alors qu’il ne désirait pas d’argent. Etonné, je lui demandais alors ce qu’il voulait.

- Ton épouse est bien belle, mais j’ai l’impression qu’elle me regarde de haut. J’ai trois photos de toi en train de défoncer ta porte. Si tu veux en récupérer une, il suffit que tu mettes cet objet dans ta salle de bain pendant que ta femme se lave.

En disant ces mots, il sortit une petite pendule dont il m’expliqua que le cercle tenant les aiguilles était en fait un objectif qui se déclenchait avec le mouvement. Je m’offusquai mais il me dit que c’était ça ou les gendarmes.
Après tout, ce n’était qu’une petite exhibition de ma femme, ce qui n’était pas totalement pour me déplaire, même si le voyeur ne correspondait pas à l’image que je m’en faisais. J’acceptais donc et allais immédiatement placer la caméra espion dans notre salle de bain, afin qu’elle ait une vue imprenable sur la douche et le dressing.

Ce jour là ma femme rentrait plus tard car elle avait un cours de danse. A son retour, après m’avoir embrassé, elle fila à la douche. J’étais curieux de savoir si la pendule trafiquée avait rempli son office. Après le repas, alors que mon épouse s’installait devant la télévision, je prétextais une visite à un ami pour m’éclipser. Je récupérais la pendule et me rendais directement chez le voisin. Il devais me guetter car la porte s’ouvrit sans même que j’eu besoin de sonner. Il était en jogging sale et en débardeur blanc qui ne pouvait contenir tout son gros ventre. Vraiment répugnant. Il me prit d’un geste brusque la pendule et m’ordonna de le suivre. Nous sommes arrivé dans un salon sale et encombré, revues pornos, mouchoirs en papier douteux, assiettes à moitié finies. Il ouvrit le derrière de la pendule et en sortie une carte de stockage, qu’il introduisit dans un lecteur directement relié à sa télévision.
Il alluma cette dernière et notre salle de bain apparut. Je fus étonné par la qualité de l’image, qui n’avait rien à envier à un caméscope. Le voisin s’installa dans un fauteuil en face de l’écran, me laissant debout à côté. Les yeux fixés sur l’image fixe pour le moment qui passait sur l’écran de télé, je sentis une odeur forte et acide se répandre dans la pièce. En me tournant vers le fauteuil je m’aperçus que mon voisin avait sorti son sexe de son jogging et commençait à se masturber. Son membre était relativement long (une vingtaine de centimètres je pense), mais était surtout très épais avec un gland énorme, de la taille d’une mandarine. Les testicules étaient également très grosses, presque disproportionnées.
Le gland était parsemé de résidus blancs qui laissaient présager qu’il ne devait pas souvent voir le savon et qui expliquait l’odeur. Il se masturbait lentement en serrant fort la base de sa verge.
Soudain l’image sur la télé s’anima et me femme fit son apparition. Elle portait son collant de danse et son body. Dans cette tenue elle était déjà très existante, ce qui fit réagir mon maître chanteur :

- Regarde moi cette petite salope de voisine comme elle s’habille pour sortir. C’est vraiment une petite pute qui mérite de se faire baiser. Je suis sur que tu vas nous montrer tes nibards ta chatte et ton cul, hein salope ?

Comme pour lui donner raison, ma femme commence à se déshabiller, enlevant d’abord le body qui libère ses seins lourds. Elle ne porte pas de soutien gorge et fait face à la caméra. Ses auréoles sont brunes et ses tétons bien dur, sans doute à cause du froid.

- Ah je savais bien que tu allais te déshabiller pour moi, salope de voisine. Tes miches sont belles, cela t’excite de te montrer hein ? Bien maintenant enlève ton collant, oui comme ça petite pute, ah mais tu ne porte pas de culotte dessous, t’ai vraiment qu’une chienne.

Et de fait mon épouse ne portait pas de culotte, chose que j’ignorais, et venait de dévoiler son triangle auburn bien dessiné, qui laissait deviner ses lèvres. Malgré moi la situation m’excitait et je commencer à développer une érection importante. Je jetais un œil à mon voisin. Sa masturbation s’était accélérée et il semble que le fait de proférer des insultes l’excitait encore plus , son sexe ayant encore pris de volume. Le gland turgescent était vraiment impressionnant.
Ma femme se dirigea vers la douche et commença à se mouiller le corps, puis à se savonner.
Je sentis la respiration de son voyeur s’accélérer :

- Oh oui belle salope, vas-y caresse toi devant moi, frotte bien ta chatte poilue, tu vas voir comment je vais jouir

Et il poussa un râle bestial tout en déversant des traînés de sperme.
Il éjacula en grande quantité, les jets venant s’écraser sur ses doigts, son pantalon et retombant sur son gland. Je ne pensais pas possible de pouvoir produire autant de sperme. Il remit son pantalon sans s’essuyer, laissant son liquide séminal s’écouler dans son pantalon.

- Ta salope m’a bien fait gicler, tu as bien mérité de récupérer une photo, déclara t-il dans un grand sourire.
- Tu as eu ce que tu voulais, alors rends moi toutes les photos
- Je t’avais promis une photos pour ce « service », tu n’en auras qu’une.

Et sur ces paroles il me donna une des photos qu’il m’avait montrées le matin et me déclara :

- Bon allez maintenant casse toi, je te recontacterai pour que tu puisses récupérer une photo de plus. Et puis va changer de pantalon tu fais négligé.

Pendant qu’il me mettait à la porte, je jetais un œil à mon pantalon et m’apercevais que je l’avais souillé à mon insu sans même me toucher. C’est rouge de honte que je rentrais chez moi et me changeais. Je me demande bien ce qu’il me demandera pour la deuxième photo…

Une semaine plus tard, alors que j’allais à nouveau partir pour mon travail, mon voisin vint vers moi et me demanda si je voulais récupérer une deuxième photo ou si je préférais qu’il l’envoi à la gendarmerie. Pour toute réponse je lui demandais ce qu’il voulait. Il me dit de l’inviter le soir même pour prendre l’apéritif et de suivre alors ses instructions. N’ayant pas le choix, j’acceptais.

Dans la journée j’appelais mon épouse pour lui dire que le soir nous aurions notre voisin pour invité afin de pouvoir discuter d’un problème de lotissement. Elle parut étonnée, me rétorquant si cela ne pouvait pas attendre la prochaine réunion de quartier. Je lui dis que c’était urgent, mais que cela ne devrait pas prendre très longtemps. De très mauvais gré elle acquiesça mais me dit qu’il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle soit agréable avec « ce gros porc ».

A 19h précise, notre voisin se présenta à notre porte. Je lui ouvris. Il avait fait des efforts pitoyables pour essayer de s’habiller. Un pantalon trop court sur des chaussettes de tennis, une chemise à laquelle manquait deux boutons et qui n’arrivait pas à cacher son gros ventre.

Je le fis rentrer et ma femme lui serra la main pour lui dire bonjour, le visage fermé. Il la dévisagea d’un oeil lubrique et lui fit un compliment sur sa robe d’été qui lui allait à merveille. Elle ne prit même pas la peine de lui répondre et fila dans la cuisine. Il me prit alors à part et me mis dans la main un petit flacon d’un liquide transparent. Il me demanda de le verser dans le verre de ma femme. Comme je m’apprêtais à refuser il sorti à moitié de sa poche de chemise une nouvelle photo, et il me demanda si il devait partir tout de suite à la gendarmerie. Soumis, je refermais la main sur le flacon et parti à la cuisine tandis qu’il s’installait sur le canapé.

A mon arrivé dans cette pièce, ma femme me déclara :

- Tu as vu comme il m’a regardé ce gros porc ?
- Heu, non je n’ai pas vraiment fait attention
- Et bien il ferait mieux de se surveiller sinon je monte directement m’enfermer dans ma chambre
- Calme toi, il ne devrait pas rester trop longtemps, je vais préparer des cocktails et puis si tu n’as pas envie qu’il te mate, tu n’as qu’à t’asseoir de l’autre côté du canapé, et je prendrais le fauteuil en face.
- Ok

Sur ces mots je préparais trois cocktails, en versant en cachette dans l’un deux le liquide transparent. Je le repérais avec une paille de couleur rose pour être certain de le donner à ma femme.

A notre retour dans le salon, mon épouse s’installa dans le canapé, à l’opposé de notre voisin et moi dans le fauteuil en face de lui. Je vis bien que cela l’agaça de ne pas pouvoir avoir une vue imprenable sur les jambes de ma femme. Nous engageâmes la conversation sur des banalités tout en buvant nos cocktails. Ma femme qui n’a pourtant pas l’habitude de boire buvait le sien assez rapidement, comme pour signifier à notre visiteur qu’il allait être bientôt l’heure de partir. Elle ne participait pas à la conversation et restait très distante. Le voisin quand à lui profitait de chaque occasion pour regarder les jambes croisées de mon épouse et pour se rapprocher imperceptiblement. Malgré moi, la situation commençait à m’exciter.

Au bout d’un quart d’heure, le voisin se trouvait au milieu du canapé, mon épouse avait fini son verre et avait le regard un peu dans le vide. Il lui demanda alors, à brûle pourpoint, si sa couleur de cheveux était naturelle. Comme elle ne répondait pas, il s’accola a elle dans le canapé et lui toucha les cheveux lui disant que c’était une très belle couleur et qu’il espérait que son sexe aurait la même. Ma femme semblait hébétée et ne répondait toujours pas. Les effets du flacon et de l’alcool cumulés devaient se faire sentir. Le voisin lui lécha alors le visage de la bouche jusqu’à l’oreille et déclara :

- Alors petite salope, tu ne voulais pas me faire la bise mais maintenant tu ne dis rien, hein ? tu vas voir ce que je vais faire de ton joli corps de pute.

Comme j’allais protester, il me dit de la fermer et de regarder, sinon c’était la gendarmerie immédiatement. Je me rassis donc dans le fauteuil et regardais le spectacle de ma tendre épouse soumise à celui qu’elle appelait il y a encore quelques minutes le gros porc.

Il tira sur le haut de la robe pour faire sortir les seins pas le décolleté. Comme la robe était très légère, ma femme ne portait pas de soutien gorge dessous et les deux gros globes apparurent. Les grosses auréoles sombres dénotaient avec la blancheur de la peau. Le pervers les saisis à pleine main en déclarant qu’il attendait ce moment depuis bien longtemps. Il les malaxa sans aucun ménagement, pinçant les tétons entre ses gros doigts et les tournant. Ma femme restait toujours passive, les yeux mi clos. Il les lécha goulûment en laissant de longues traînées de bave. Il se recula et sortie un petit appareil photo avec lequel il fit quelques clichés avant de déclarer :

- Maintenant, on va passer aux choses sérieuses ma grosse chienne. Tu vas regretter toutes les humiliations que tu m’as fais subir lors de ces dernières années.

Il défie alors son pantalon et le baissa jusqu’à ses chevilles. Il ne portait ni slip ni caleçon et son membre était déjà bien bandé. Il me parût encore plus gros que la dernière fois, notamment le gland et les couilles, mais surtout son odeur était encore plus forte. Le gland était presque totalement recouvert de sécrétions blanchâtres séchées. Il dit d’ailleurs à mon épouse :

- Tu vois, je me suis branlé bien souvent en pensant à ce soir et je n’ai pas lavé mon chibre une seule fois pour que tu puisses en profiter au maximum, pouffiasse.

En disant ses mots, il frotta son gland sur le visage de ma femme, en s’attardant sur les lèvres, le nez et les yeux. A chaque passage il y apposait une partie des secrétions collées qui faisait de larges traînées sur le visage de mon épouse. Il lui boucha ensuite le nez pour quelle entrouvre la bouche afin de respirer et y engouffra immédiatement son énorme gland. Il la saisie par les côtés de la tête et commença plusieurs aller retour. Très vite il commença à trembler de tout son corps :

- Oh oui je vais te gicler dans la bouche grosse salope, je suis sur que tu n’as jamais sucé de bite grosse comme la mienne. Tu vas voir, je vais t’inonder le gosier de mon foutre.

Et sur ces paroles il émis un gros râle et déchargea dans la bouche de ma femme pendant au moins une minute. Quand il sorti son sexe de cet orifice, un flot impressionnant de sperme sortit avec lui et coula sur le menton et la poitrine de ma femme. Elle en avait avalé une grosse partie et pourtant le surplus qui s’écoulait représentait encore une quantité phénoménale. Je n’avais pas pu résister et avait sorti mon sexe et jouis en me masturbant comme un fou à cette vision. Le voisin essuya son gland sur les cheveux auburn de ma femme qui restait toujours amorphe. Je pensais que c’était fini et lui demandait de me remettre la photo, mais il me dit qu’il ne faisait que commencer que je ne m’en tirerais pas à si bon compte. Il prit encore quelques photos puis souleva la robe de ma femme et lui arracha littéralement sa culotte. Il la mis dans sa poche et me dit qu’il la gardait. Il souleva ensuite me femme et la fis se positionner les coudes sur le dossier du canapé et a genoux sur l’assise, de telle manière qu’elle lui présentait ainsi ses belles fesses.

- Voila un cul comme j’aime en baiser, mais habituellement je paye pour ça…Tu vas apprendre ce que c’est de se faire baiser par une belle grosse bite. Je vais te ramoner la chatte comme jamais. D’ailleurs je vois que tu mouilles déjà à cette idée.

Et effectivement, ma femme étant toujours dans un état de zombie, il me semblait que son sexe luisait. Il commença par lui fourrer deux de ses gros doigts d’un coup et à pratiquer un va et vient rapide. Il en mit ensuite un troisième. Quand il les sortis ils étaient inondés de cyprine. Il me les montra et me déclara :

- Tu vois qu’elle aime ça, je suis sur que si je lui avait montré mon chibre on aurait pas eu besoin de drogue pour que je la baise de partout. Une vrai salope que tu as là
- …
- Maintenant je vais lui donner son compte, mais toi tu vas prendre des photos

Il présenta son gland qui avait retrouvé toute sa grosseur auprès des lèvres et appuya fortement. Je ne pensais pas que c’était possible mais les lèvres s’écartèrent et le sexe s’enfonça d’un seul coup. La scène était surréaliste, ma belle épouse si réservée était en train de se faire prendre par derrière par un homme répugnant au sexe démesuré et qui l’insultait en permanence.

- Je te rempli bien hein espèce de grosse pute. Tu sens mes couilles taper contre ton clito ? Cela te fait mouiller hein ? Tu ne penses qu’à ça de te faire ramoner par de grosses bites.

Pendant ce temps je prenais des photos sous tous les angles tout en me masturbant. De face ma femme avait toujours les yeux dans le vague mais ouvrait légèrement la bouche à chaque coup de butoir.
Subitement il sortit sa verge du fourreau chaud et humide et se répandit de nouveau, cette fois sur les fesses de mon épouse. Si la quantité de semence était moindre elle en restait quand même importante. Il en récupéra une partie pour l’appliquer sur la petite rondelle de ma femme et y introduisit un doigt.

- Hum ton cul est encore un peu étroit, je m’en occuperais la prochaine fois, je suis sur que tu adoreras te faire enculer par ma grosse queue.

Puis il se rhabillât et me donna la photo tout en disant qu’il me donnerait des instruction pour récupérer la troisième et dernière. Il disparût subitement en récupérant son appareil photo me laissant seul avec mon épouse encore dans les vaps. N’ayant pas éjaculé pour la deuxième fois, je m’approchais de son anus et appuyais mon sexe dessus. Lubrifié comme il était, je n’eu pas beaucoup de mal à obtenir ce qui m’avait jusqu’à lors toujours été refusé. Je déchargeais dans son fondement en à peine dix allers-retours. Je portais ensuite mon épouse à la salle de bain, la nettoyais avec un gant, lui appliquais une pommade apaisante sur la vulve et sur l’anus et la mettais au lit dans sa chemise de nuit.
Le lendemain, alors qu’elle me demandait ce qui s’était passé, je lui répondit qu’elle s’était endormie et que j’avais du la mettre au lit.
Elle me rétorqua qu’elle espérait ainsi que notre gros porc de voisin avait compris le message.
Si elle savait à quel point il l’avait compris !

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