Le Voisin (3)

ATTENTION
CETTE HISTOIRE EST UN PUR FANTASME. JE NE CAUTIONNE AUCUNEMENT LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

Après cet épisode, sans raisons apparentes, l’activité sexuelle entre mon épouse et moi se trouva boostée pendant un certain temps, puis, petit à petit, revint à la normale, c'est-à-dire très plate et peu fréquente.

C’est à ce moment que le voisin m’invita à venir le voir chez lui. Fébrile, semi excité, semi inquiet, j’allais sonner à sa porte lorsque ma femme était absente. Il m’ouvrit en tenue toujours aussi négligée, caleçon douteux et marcel franchement sale. Il m’invita à rentrer dans son salon et me dit :

- Viens voir un peu ce que j’ai à te montrer

Il inséra un DVD dans son lecteur et appuya sur lecture. Des vidéos de mon épouse en train de se faire prendre par tous les orifices, le visage et la poitrine maculés de sperme et pour finir son éjaculation féminine. C’était les films qu’il avait réalisés lors de l’aventure avec les chasseurs. Pendant que nous visionnions cette bande, il avait sortit son sexe et se masturbait, et je dois avouer que moi aussi. Mon sexe, de taille normale, paraissait vraiment ridicule par rapport au sien. J’éjaculais assez rapidement dans un mouchoir alors que lui attendait le dernier moment pour inonder son tee-shirt d’une quantité impressionnante de foutre.

- Y a pas à dire, ça fait au moins cinquante fois que je regarde ce film et il me fait toujours autant bander
- C’est vrai que c’est excitant. Mais que voulez vous en faire ?
- Ne t’inquiètes pas, tu t’es acquitté de ta part du marché, et il n’est plus question de t’imposer quoi que ce soit. Si tu le désires, ce film restera uniquement en ma possession. Ce qui serait dommage…
- Qu’est-ce que vous avez en tête ?
- Et bien on s’est aperçu que même inconsciente, ta salope de femme prenait du plaisir à se faire baiser par de grosses bites, et que ça te dérangeait pas de la voir se faire enfourner
- …
- Donc j’ai pensé qu’on pouvait voir si elle pouvait être consentante…
- Alors là, je vous arrête tout de suite, elle ne sera jamais consentante !
- Enfin pas vraiment consentante, obligée plutôt, du moins au début, mais active !
- Comment pensez vous y arriver ?
- En la faisant chanter pardi !

Et il m’exposa son plan : il comptait lui envoyer des photos tirées des films que nous venions de voir et de s’en servir pour la faire chanter.

Comme je répliquais qu’elle ne marcherait pas car elle ne se souvenait de rien, il me dit de ne pas m’en faire, qu’une femme est prête à tout pour conserver sa réputation. Il me demanda alors quel jour c’était elle qui ramassait notre courrier et nous sommes tombé d’accord sur le lendemain, à condition que je puisse tout voir de ce qui se passait.
Il me dit qu’il allait envoyer une photo très explicite et qu’il allait lui demander, sans dire qui il était, de le rejoindre dans les vestiaires de l’équipe de foot, dont il a les clefs. Il me suffira de me tenir dans les douches pour pouvoir voir sans être vu. Le rendez vous serait fixé à 19h.
Elle devrait être habillée de sa tenue de danse.
Je doutais réellement que mon épouse se laissa prendre à ce piège, mais fût surpris quand elle me joignit durant la journée sur mon téléphone portable. Elle me dit qu’elle avait un cours de danse de rattrapage et quelle rentrerait certainement un peu plus tard. Sa voix était un peu altérée, mais presque normale. Je lui répondit que j’avais du travail et rentrerait moi aussi tard.

A 18h30, je retrouvais le voisin devant les vestiaires. Il ouvrit, et nous prîmes place tous les deux dans les douches.
A 19h précise nous entendîmes frapper la porte.

- Entrez madame X, dit le voisin toujours caché, et fermez le verrou derrière vous.
- Qui êtes vous ? Et que veut dire cette photo ? dit mon épouse après s’être exécutée
- Je crois que vous me connaissez, même si vous ne me regardez pas, déclara le voisin en sortant des douches. Je vous félicite pour avoir suivi mes recommandations vestimentaires
- Vous ! Mais qui vous permet de…
- Tais toi salope, ici c’est moi qui commande !
- Comment pouvez vous ! Cette photo n’est pas de moi !
- En tous cas la nana qui se fait défoncer te ressemble drôlement, et c’est certainement ce que penseront ta famille, tes amis, tes collègues de bureau et bien sur tous les voisins quand ils en recevront un exemplaire par la poste.
Et j’ai encore bien d’autres photos encore pires !
- Combien voulez vous, dit ma femme d’un ton mi hystérique, mi résigné
- Je ne veux pas d’argent, je veux juste que tu m’obéisses
- Jamais !
- Alors cet entretien est fini, les photos partiront demain par la poste
- Non attendez ! C’est…d’accord
De là ou je me tenais, je pouvais voir mon épouse de ¾ de profil, son corps moulé dans ses vêtements de danse, sa respiration haletante, rouge de colère et de honte.

- Pour commencer tu vas me montrer tes gros nibards
- Vous êtes fous, jamais je ne ferais ça !
- Je croyais qu’on avait réglé ce point. Si jamais je dois encore me répéter, ces photos partiront, c’est compris ?
- …oui
- Oui , monsieur
- Oui , monsieur
- C’est mieux, maintenant tu t’exécutes.

Ma femme, encore hésitante, commença à enlever une des bretelles de son body, puis une deuxième, et tira légèrement le vêtement vers le bas, dévoilant sa poitrine. Les auréoles sombres entouraient ses tétons érigés. Elle baissait les yeux, humiliée par cet homme qu’elle méprise.

Le voisin lui ordonna de se mettre à genoux, et elle s’exécuta sans un mot. Il défit alors sa braguette, et sortit son sexe encore mou, mais néanmoins déjà impressionnant, avec son gland disproportionné.

- Suce Salope
- Oh mon dieu !
- Dieu n’a rien à voir la dedans petite pute, suce ma grosse bite !
- Pitié !
- SUCE J’AI DIT
Ma femme approcha sa bouche du gland phénoménal, qui portait encore les marques de secrétions antérieures, et sortit sa petite langue pour y apposer une léchouille. Elle ouvrit ensuite sa bouche le plus en grand possible, et réussit à y faire pénétrer le gland à semi bandé.
Quand il ressortit, il avait presque doublé de volume et luisait de salive.

- T’as jamais vu une bite comme celle-ci hein salope ?
- Non
- NON QUI ?
- Non Monsieur
- Dis moi que ça te plait de sucer un beau gland comme le mien
- Ca me plait de sucer un beau gland comme le votre, Monsieur
- Lèche moi les couille maintenant
- Oui Monsieur

Et ma femme se pencha pour gober les énormes testicules, l’une après l’autre, les enduisant de salive.
Pendant qu’elle s’attelait à cette tâche, le voisin tapotait son gland sur son front et ses cheveux.

- Maintenant tu vas mettre tes mains sur la tête et tu vas me sucer le plus profond que tu peux. Compris Chienne ?
- Oui Monsieur

Ma femme releva ses bras, ce qui eu pour conséquence de faire remonter ses seins, dont les tétons étaient maintenant complètement érigés et durcis. Elle ouvrit sa bouche pour y faire pénétrer le mandrin et l’enfonça lentement jusqu’au bout de sa gorge. Elle entama alors de petits va et viens, faisant pénétrer la verge toujours plus profondément, tout en gardant les bras en l’air. Parfois, le sexe ressortait dans son intégralité, luisant de sécrétion et de salive.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, le corps flasque du voisin se tendit et dans un soubresaut il déclara :

- Tiens salope, avale mon foutre, je vais de remplir la bouche

Je voyais mon épouse faire des efforts pour tout avaler, par petites gorgées, mais la quantité était telle que plusieurs filets s’écoulèrent de sa bouche, pour couler sur sa poitrine et sur le sol.
Le voisin ressortit son sexe salit et l’essuya sur les cheveux roux de ma femme, puis il lui dit :

- Lèche ce qui a coulé sur tes nibards

Elle attrapa ses seins et en les relevant, s’appliqua à nettoyer les traces de souillure.

- Maintenant lèche par terre, il faut laisser cet endroit aussi propre qu’il était.

Après une hésitation, ma femme s’exécuta, léchant le carrelage à l’endroit ou le sperme s’était écoulé.

- Très bien salope, tu as été bien obéissante. Je n’enverrai pas les photos jusqu’à ta prochaine visite chez moi
- Mais vous aviez promis !
- Je n’ai rien promis du tout, mais cette fois je te promets que la prochaine fois que tu viendras chez moi, tu pourras récupérer les photos à ton départ. Et maintenant dégage !

Ma femme se releva, ajusta son body et la tête toujours baissée, s’enfuit rapidement.


Je sortis aussitôt après, le sexe encore humide de sperme résultant de l’éjaculation de voir ma femme ainsi dominée.

- Tu vois que ta femme a été plutôt conciliante !
- En effet, je n’aurais jamais cru !
- Tu n’imagines pas ce qu’elles sont capables de faire pour préserver leur confort quotidien ! Je te tiens au courant pour la suite des opérations.
- D’accord.

Je rentrais à la maison 1 heure plus tard. Ma femme était en peignoir, les cheveux lavés. Elle me demanda d’un ton tout à fait naturel comment s’était passé ma journée.
Le soir, nous avons fait l’amour avec une intensité jamais rencontrée jusqu’alors, ma femme prenant beaucoup d’initiatives et étant très demandeuse…Cette histoire commençait à me plaire de plus en plus.

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