Un Amour De Belle Mère

Un amour de belle-mère
J'ai connu ma future épouse à 20 ans, lorsqu'elle me présenta à sa famille, je fus frappé de la ressemblance entre la mère et la fille, on aurait pu les prendre pour des soeurs. Si son père m'accueillit fraîchement, sa mère semblait avoir ressenti un choc et quand elle m'embrassa, j'eus l'impression que ses baisers étaient un peu appuyés; réalité ou illusion? Ses yeux brillaient étrangement mais je fus sans doute le seul à m'en apercevoir. Je ne pouvais recevoir meilleurs accueil de la part de m future belle-mère. Si j'avais eu à choisir, sans hésiter j'aurais pris la mère. L'idée du mariage ne m'enchantait guère mais ma fiancée était enceinte et il n'était pas question de me défiler, il y a quarante cinq ans ça ne se faisait pas chez moi. La honte ne pouvait retomber sur ma famille et le mépris sur une jeune fille que j'avais connue innocente bien que moins ignorante que j'aurais pu le supposer, je m'en apercevrais beaucoup plus tard. Elevée dans une famille catholique dont le père, très pratiquant, surveillait la respectabilité de sa fille, cette dernière avait été instruite chez les religieuses Ursulines. Elle y apprit aussi la nécessité du mensonge, l'hypocrisie et tout ce qui n'est point dans les manuels religieux. Son jeune frère me fit comprendre de suite que je lui prenais sa soeur et que j'étais un intrus. Le mariage se fit et ce fut sans doute le jour le plus triste de ma vie. Maintenant que j'avais un statut honorable, mon beau père se montrait ds plus accueillant. Je lui fis le plaisir de passer devant monsieur le curé, cela seul comptait à ses yeux, de plus, il se débarrassait d'une fille qu'il n'aimait pas beaucoup car il n'en était pas le père biologique. Note fille vint au monde et les liens se resserrèrent un peu plus. Ma belle-mère était toujours aussi chaleureuse, parfois ses baisers frôlaient mes lèvres sans en franchir l'entrée. Comme mon épouse et moi travaillions, elle gardait notre petite fille que j'amenais tous les matins.

A cette heure, elle était toujours seule sauf le jeudi. J'en profitais pour la serrer dans mes bras en l'embrassant sans jamais faire un écart. Sa respiration s'accélérait, elle rougissait un peu et me repoussait gentiment en me disant:
-« si on nous voyait? ».
Je ne répondais pas. Un jour je lui demandai pourquoi elle ne me tutoyait pas;
-« ça ne plairait pas à mon mari .»
Suite à un concours dans la fonction publique, je rejoignis mon poste à sept cent kilomètres de là. Notre petite fille avait deux ans. Ce fut un vrai déchirement pour ma belle mère. Lors de nos adieux, nous trouvant seuls un moment, elle me prit dans ses bras comme une mère ou une amante l'aurait fait; 
-« je vous aime beaucoup mais vous allez me manquer et vous allez m'oublier !»
- « moi aussi je vous aime et je penserai beaucoup à vous, nous viendrons le plus souvent possible. »
La séparation fut triste. Rapidement, je fus désigné pour des missions à l'extérieur mais dès que je revenais, je faisais un arrêt une halte dans ma belle famille en retournant auprès de mon épouse et de ma petite fille que je ne voyais pas grandir. Je m'arrangeais pour arriver dans la matinée sachant que ma belle mère serait seule. La première fois, je crus qu'elle allait défaillir lorsqu'elle ouvrit sa porte. Elle vacilla et je dus la retenir. Je la serrai très fort dans mes bras et j'eus une formidable érection qu'elle ressentit (elle me l'avoua plus tard). Je l'embrassais très affectueusement à plusieurs reprises, des larmes de joie coulaient sur ses joues. J'en fus très ému.
Je passai quelques heures en sa compagnie et celle de son mari puis repris le train pour continuer mon voyage.
Trois ans plus tard, mon épouse me donna un petit garçon et ma belle mère mit au monde une petite fille. La mère et la fille accouchèrent le même jour dans la même clinique. Nous étions tous très heureux malgré mes absences répétées. Deux ans plus tard, mon beau-père décéda lors d'une crise d'urémie.
Je n'eus aucune difficulté à obtenir un congé de deux mois pour soutenir ma belle mère et ses s. Rapidement, elle osa me tutoyer. Elle porta le deuil pendant quarante jours puis quitta les habits noirs après une messe du souvenir. Elle retrouva le sourire et j'en profitai pour la taquiner et, au passage, comme par mégarde, mes mains s'égaraient parfois sur sa poitrine ou ses fesses. Elle se dégageait avec agilité mais il lui arrivait de me bloquer la main sur sa poitrine en me regardant dans les yeux avec gravité. Je ne savais que penser. J'avais envie d'elle et je pressentais que que le sentiment était réciproque. Après deux mois de cohabitation, je repartis en mission tandis que mon épouse restait auprès de sa famille, les deux femmes et mon beau-frère s'entendant à merveille. Six mois plus tard mon épouse regagna notre maison et la vie repris son cours. De retour e mission à l'étranger, je m'arrêtai plusieurs jour chez ma belle-mère. J'arrivai sans prévenir un mardi vers midi. Lorsqu'elle ouvrit, ma belle mère,qui ne m'avait plus revu depuis plus de six mois, resta figée de surprise. Avant qu'elle ne réagisse, je refermai la porte et la serrai contre ma poitrine. Je me mis à bander et, après l'avoir embrassée sur les joues, je posai un baiser sur ses lèvres, elle les écarta et mis ma langue dans sa bouche, nous étions pris de vertiges. Elle serrait son corps contre le mien comme si elle voulait entrer en moi. Sans un mot, je la poussai vers le divan où nous nous écroulâmes, le coeur palpitant, les sens en folie. Sans quitter sa bouche, je passai la main sous sa jupe large et retirai sa culotte sans douceur, je dégrafai ma ceinture, baissais mon pantalon et mon caleçon sur mes mollets puis je pris mon sexe gorgé de sang et suintant de liqueur fluide et huileuse que j'enfonçai sans hésiter dans la fente inondée de ma belle-mère. La pénétration lui fit pousser un long gémissement, je donnai quelques coups de reins puissants et rapides qui lui déclenchèrent un orgasme fulgurant et bruyant qui me surprirent.
Je continuai à lui défoncer la chatte continuant à la faire crier de plaisir. Je déchargeai si fort dans son ventre que j'eus l'impression de me vider. Je restai un moment sans bouger pendant que ma belle mère m'enserrait entre ses cuisses relevées. Nous nous embrassions comme des fous et je continuai à la baiser plus doucement puis, sentant que j'allais encore jouir, je me retirai de son con accueillant. Elle tenta de me retenir mais je voulais continuer à lui faire l'amour dans une position plus confortable. Je me débarrassai de mes vêtements et l'aidai à se dévêtir. Elle épongea le sperme et la cyprine coulant de sa chatte avec sa culotte et nous allâmes dans sa chambre. Aucun mot n'avait été prononcé depuis mon arrivée. Elle se cocha sur le dos les cuisses écartées pensant que j'allais de nouveau la prendre de cette façon mais je m'agenouillai entre ses cuisses, passai mes mains sous ses fesses, posais ma bouche sur son sexe en feu et imprégné de cyprine au goût agréable. Elle réagit immédiatement:
- « non arrêtes, ça ne se fait pas, c'est sale! »
- « votre chatte est délicieuse, ce n'est pas sale et ça vous fait du bien, laissez-vous faire, vous verrez. »
Comme c'était bon, elle se laissa faire, elle caressa mes cheveux puis pressa ma tête contre son sexe affamé en remuant rapidement le ventre et s'envola dans une série d'orgasmes bruyants et humides. Je me redressai à genou et me masturbai sous ses yeux écarquillés puis déchargeai un flot de foutre sur ses jolis petits nichons moelleux son visage et ses cheveux puis m'écroulai sur elle. Elle me serra dans ses bras en me murmurant des mots d'amour et nous nous avouâmes notre désir l'un de l'autre depuis le premier jour de notre rencontre plus de six ans auparavant. Dans ce moment de folie que nous venions de vivre, nous avions oublié la présence de ma petite belle soeur jouant tranquillement dans son parc. Avait-elle vu quelque chose? Cela était sans grande importance. Après une toilette rapide et un copieux déjeuner, nous avions eu une longue discussion avant le retour de mon beau-frère qui ne devait se douter de rien.
Les retrouvailles se déroulèrent joyeusement car j'avais, comme à l'accoutumée, amené des présents pour toute la famille. Je passais trois jours d'amour et de sexe avec ma belle mère; depuis de nombreuses années, son mari ne lui avait fait que trop rarement l'amour sans passion ni fantaisie. Pendant ces trois jours, je lui fis découvrir les joies du sexe, le plaisir de la fellation et la sodomie qui l'avait anéantie de plaisir. Je rejoignis ma famille épuisé et apaisé. J'avais eu l'excuse d'une mission particulièrement longue et pénible. Mon épouse ne posa pas de question sur cette mission, car j'étais tenu par le secret bien pratique. Ma belle-mère avait quarante sept ans et moi vingt huit. Notre relation se poursuivit jusqu'à un âge avancé. Les années semblaient ne pas avoir de prise sur son apparence. Elle avait appris à connaître mes goûts et combler mes désirs aussi est-ce naturellement qu'elle amena ma belle soeur à partager nos ébats malgré que j'aie divorcé de sa fille. Vivant au loin, nos relations se sont espacées, ma belle mère est décédée et ma belle soeur s'est mariée mettant ainsi fin à une aventure dont je tire encore beaucoup de plaisir.
Si mon récit vous a plu, n'hésitez pas à me le faire savoir.
merci

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