Le Voisin

Le voisin

Au marché, près de chez nous, je remarque un type bizarre. Mal habillé, presque un clochard, à la mine assez agressive, un sourire dément accroché à sa figure.
Chantal le repère aussi et me le montre.
Il tourne autour de nous. Devant l'étalage de fruits il se place derrière elle. Je m'éloigne pour mieux suivre son manège. Sans se cacher, il la détaille des pieds à la tête.
Chantal ne voit pas. Il affiche un sourire béat, de dément.
Il est sale, gros, petit, sans doute âgé de plus de 60 ans.
Un peu plus loin, Chantal le regarde :
- T'as vu ce mec, il a un regard bizarre, me dit-elle. Je l'ai déjà vu dans le quartier.
En fait il habite dans l’immeuble voisin, en vis à vis par une cour intérieure. Je l'avais bien repéré moi aussi.
Je me rappelle qu'il a été vu par la femme de ménage se baladant à poil dans sa cuisine. Il faut dire que nos deux cuisines sont séparées par une toute petite cour intérieure, nos fenêtres sont à peine à un mètre l'une de l'autre. Pas de rideaux, on a une vue directe chez lui.
Il n'est pas sympa et on n'a jamais engagé de relation de voisinage.
Un jour, en été, nos deux fenêtres sont ouvertes et je le vois à mon tour se balader à poil dans sa cuisine. Je remarque tout de suite qu’il se caresse la bite et qu’il bande. Quand il m’aperçoit, au lieu de se cacher, il se plante devant la fenêtre et exhibe sa queue devant moi sans aucune honte tout en continuant à se branler. Je suis seul et soudain, cette vision m’excite et je ne peux détacher mon regard de cette queue qui se balance devant moi. Le gars s’en aperçoit :
- Elle te plait ma queue. Je le vois bien. Montre-moi la tienne.
Je reste interdit, les bras ballants, impossible de bouger. Sans vraiment me rendre compte de ce que je fais, j’ouvre ma braguette et je sors ma bite qui est déjà toute droite.
- Tu bandes mon salaud et tu as une belle queue ! Si tu veux, je peux venir te la sucer.


Ces mots crus m’excitent et à mon tour je commence à me branler devant lui, sans un mot. Il s’approche de la fenêtre et je vois nettement son gland apparaître et disparaître à chaque mouvement de sa main. Soudain, son mouvement s’accélère, il pousse des petits gémissements :
- Je vais jouir, je sens venir mon foutre.
A ces mots, à mon tour, je sens la jouissance qui m’envahit. Et en même temps que lui, mon sperme s’échappe en fortes giclées de mon sexe pour venir s’étaler à mes pieds sur le carrelage alors que mon regard reste fixé sur son éjaculation, pareille à la mienne.
C’est ma deuxième aventure homosexuelle, car cette bite j’ai eu envie de la toucher et de la sucer.
- Dis-moi voisin, t’as pris du plaisir à me voir me branler. Tu es un sale porc malgré tes airs de bourgeois intello.
Ces mots, à ma grande surprise, m’excitent et cet homme le sait.
- On aura bien l’occasion de recommencer, fais-moi confiance. Et je trouve que ta bourgeoise de bonne femme a un très joli cul. J’aimerai bien le voir et le toucher. Démerde-toi pour me le montrer.
Un vent de panique me submerge. Je sens que ce mec va profiter de la situation.
J’avais bien deviné (à suivre).
Je peux toujours avec plaisir vous montrer des images de Chantal.

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