Amour Au Xix° Siècle

En 1830, les mariages étaient, dans le milieu bourgeois une affaire de gros sous. Les futurs n'avaient qu'à dire oui pendant la cérémonie. Les futures femmes étaient vaguement au courant du sexe. La plus part ne prenait strictement aucun plaisir et les maris ne trouvaient que de relations tarifées et souvent dangereuses à cause de maladies incurables. Chez les Martin le mari qui avait 45 ans ne pouvait baiser madame qu'une fois par mois, et encore souvent sa femme avait des problèmes de migraine. Ils avaient eu un fils âgé à cette époque d'une vingtaine d'années.
La maison confortable pour l'époque et leur fortune permettait aux Martin de mener une vie assez large. Ils avaient plusieurs domestique dont un jeune femme de chambre qui, elle savait fort bien de quoi il s'agissait quand un homme et une femme étaient ensemble. Elle logeait, comme les autres domestiques dans les mansardes et avait une chambre à part,
comme d'ailleurs les autres. Monsieur Martin voulait baiser la bonne et pour elle se devenait une obligation. A 25 ans il vaut mieux obéir à ce genre de demande pour rester en place.
Elle avait fait l'amour étant plus jeune et y avait pris pas mal de plaisir. Elle se branlait souvent. Le cocher de la maison lui plaisait et c'était réciproque: ils faisaient l'amour le plus souvent possible. Ils baisaient bien tous les deux et elle aimait particulièrement se faire
mettre dans le cul, et surtout se faire sucer le clitoris ou la rondelle. C'est dire qu'elle n'était pas une débutante.
Un soir, vers 21 heures elle montait dans sa chambre après avoir couché madame quand Monsieur Martin qui l'attendait lui disait qu'il voulait lui faire l'amour maintenant, chez elle.
Madame couchée de risquait pas de le surprendre. Elle ne pouvait pas refuser, aussi elle du accepter, avec une certaine répugnance de coucher avec son patron.
C'était réellement une corvée. Elle devait se dévêtir, pas complètement, ce ne serait pas respectable.

Elle se couchait et ouvrait les jambes. A l'époque les culottes étaient ouvertes entre jambes. Lui sortait son petit engin et la baiser en quelques minutes et partait.
Le cocher qui venait la rejoindre compris très vite ce qu'elle venait de subir. Il la traitât comme il convenait. Il la déshabillait et l'embrassait de toute part. Il lui mit une main tendrement sur le con et il la branlait. elle se laisser faire, alors que d'habitude elle prenait
certaines initiatives. Ce ne fût qu'après une première jouissance qu'elle redevenait normale.
Le cocher lui faisait ensuite ce qu'elle aimait: il lui mettait la langue au cul et la rentrait le plus possible. Son homme ne coulait pas la baiser: il n'aimait pas avoir sa bite qui allait s'enduire du sperme de l'autre. Alors il la lui mettait dans le cul. Depuis quelques jours elle
n'avait pas été sodomisée et ça commencer à lui manquer. Ils jouissaient tous les deux.
Monsieur Martin monte chez elle le mardi soir seulement: elle ne jouit pas pour autant et c'est le cocher qui la fait jouir quand elle ne se branle pas

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