Amour Au Bureau

Ce matin, il t’est venu une idée folle, « allumer » tous les mecs de ton bureau et attirer Edwin dans un piège auquel il ne pourra résister. Tu as donc décidé de t’habiller particulièrement soigné aujourd’hui, petite jupe noire un peu moulante qui t’arrive au-dessus du genou, elle remonte à mi-cuisse quand tu t’assieds. On t’a déjà fait de nombreux compliments lorsque tu la portes. Le tout accompagné d’un twin-set très léger en coton, le dessous est de couleur claire et est assez échancré. On peut apercevoir très facilement la courbure de tes seins lorsque tu n’as pas la petite veste du twin. Les escarpins à lacets qui finissent tes jambes galbées et musclées font un effet remarquable dans le miroir que tu regardes :

« Je sens qu’on va bien s’amuser aujourd’hui… » Penses-tu avant de te rendre à ton bureau.

Arrivé là-bas, le véritable jeu commence, tu vas en effet discrètement retirer tout tes sous-vêtements et te voilà complètement nue sous ton habillement si léger que tu as l’impression de te balader à poil dans le couloir qui te ramène à ton bureau.

Ca tombe plutôt bien que tu aies choisi ce jour pour effec cette opération « séduction », il y a une activité incroyable à la Direction ce matin et le nombre d’hommes qui passent dans ton bureau est impressionnant, on dirait même qu’ils ont remarqué quelque chose car ils reviennent pour un oui ou pour un non, parfois, ne te regardant même plus tant ils ont les yeux fixés sur ton opulente poitrine. Toute cette situation te mets dans un émoi qui n’est pas sans te déplaire.

Après quelques heures à jouer à ce jeu là, tu décides de retirer la veste. Les regards se font désormais encore plus insistants. Il est temps de passer à l’action. Tu te rends à l’atelier, où tu espères trouver Edwin. Ca tombe plutôt bien, il n’est pas à sa machine et tu le croises dans un couloir. Il a tout de suite remarqué ta tenue légère peu habituelle et rapidement, sans éveiller les soupçons des gens présents non loin de vous, tu lui glisses à l’oreille :

« Viens dans mon bureau tout à l’heure… »

Il te réponds d’un signe de tête et après t’être promenée en éveillant la jalousie de toutes les femmes de l’atelier qui ont un aussi remarqué l’indécence de ta tenue, tu retournes dans ton bureau.

Edwin finit par arriver quelques minutes plus tard.

« Ferme la porte derrière toi et viens t’asseoir. »
« Elle ne ferme pas à clé la porte ? »
« Non, laisse, ça m’excite encore plus de savoir qu’on pourrait nous surprendre… »

Il est assis en face de toi maintenant, et tu es complètement troublée par sa beauté naturelle. Edwin est un grand gaillard, une force de la nature, très sportif et naturellement musclé, il n’a vraiment pas eu de mal à te convaincre de faire l’amour avec lui, sa gentillesse et la sexualité qu’il dégage ont eu bien vite raison de tes envies. Une nouvelle forme d’excitation monte dans ton ventre. En te levant et en te penchant vers lui, tu lui fais découvrir ta poitrine, nue sous le tissu. Son regard ne se détache plus de la naissance de tes seins. Tu te penches de plus en plus en avant, de manière à lui montrer jusqu’aux aréoles. Ce petit jeu commence à te faire mouiller. Tu décides de te rasseoir et avec une voix un peu tremblante de désir lui dit :

« Le spectacle t’a plu »
« mh mh réponds t’il d’un air satisfait »
« et bien, qu'attends-tu pour venir voir ça de plus près ? »

Il se lève et contourne ton bureau pour se placer derrière toi, il se penche et t'embrasse doucement le cou.
Ses mains se sont placées sur tes seins, il apprécie le volume de tes globes en les massant très délicatement puis doucement, caresse le mamelon à travers le tissu. Tu soupires de plaisir tandis que la pointe de tes seins se dresse sous ses expertes caresses. Sa bouche se rapproche désormais de la tienne et il dépose d'abord un baiser tout doux en tournant ton siège de façon à ce que tu sois en face de lui. Ses mains remontent vers ton visage qu’il tient fermement pour l’approcher de sa bouche. Tout en te rapprochant, tu défais un à un les boutons de sa chemise. Il dépose cette fois un baiser long et passionné sur tes lèvres, sa langue s'immisce dans ta bouche et se mélange avidement avec la tienne.
Tes soupirs se font plus expressifs et après lui avoir retiré sa chemise, tes mains parcourent son torse musclé légèrement luisant de sueur. Il sent très bon, et son odeur naturelle développe tes sens encore plus, ton excitation est à son comble. Toi aussi, tu lui caresses les tétons du plat de la main pendant qu'il t'embrasse voluptueusement, la sensation est délicieuse.

Tu entreprends ensuite de défaire les boutons de son jeans, que tu fais sauter un à un. De savoir que vous pourriez être surpris rajoute beaucoup de piquant à cette aventure. Son membre est déjà bien gonflé lorsque tu lui retires son boxer. Sans plus de préliminaires, comme tu es toujours assise et lui debout, son sexe se trouve à portée de ta bouche, tout en continuant de le tenir en main, tu enfonces son sexe doucement et profondément au fond de ta gorge. Ta langue enroule son gland. Il pousse un gros soupir de plaisir. Ta main se met à le branler pendant que ta bouche aspire sa queue, qui est à son volume maximum maintenant. Les petites succions que tu imposes sur le gland le rendent dingue… Tu entreprends de le sucer longuement et de lui donner le maximum de satisfaction. Plusieurs fois, tu prends son membre tout entier dans ta bouche car tu sais vraiment t’y prendre pour sucer un homme.

« Tu aimes ? »
« Oh ouiiiii, c’est bon, ahhh, continue… »
« J’ai une petite surprise pour toi …

Tu te lèves, et tout en remontant ta jupe, tu te couches à plat ventre sur ton bureau, ta croupe est bien en évidence devant sa queue toute dure et toute luisante de salive. De toutes façons, tu es tellement mouillée qu’il n’a vraiment aucun mal à te pénétrer bien brutalement tout en te tenant fermement la taille. Cette pénétration est tout bonnement divine, tu attendais ça depuis si longtemps.
Ses coups de butoirs ont tôt fait de te faire jouir, son excitation et ta fellation l’ont empli de sauvagerie dans ces gestes. Il te pilonne de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Ses grognements, remplis de violence, font énormément de bruit…

« hann, hannn, oh oui… »
« mh mh oh oui, plus fort, oh »

Dans un dernier soubresaut, il crispe très fort les mains sur ta taille et déverse de longs jets de sperme dans ta chatte brûlante. Tu jouis également pendant toute son éjaculation et heureusement, il a couvert ta bouche de sa main car tu aurais très certainement attiré l’attention de tes collègues voisins de ton bureau avec un cri pareil.

Quelques instants plus tard, après vous être rajustés :

« C’était formidable », dit-il, « j’ai vraiment hâte qu’on remette ça. »
« Sois sans crainte, j’y veillerais » réponds-tu avec un large sourire. »

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