Mon Amour

Depuis quelque temps, je le sens poussé vers moi. Sentant son désir, le laissant approcher, il me mène vers des lieux protégés de regards. Il susurre à mon oreille de tendres mots d'amour. Il baise mon cou, y souffle son air chaud. J'en frissonne : il a atteint son but. Quand il me faire asseoir sur ce banc, je suis déjà d'accord avec son désir qui doit monter si j'en crois le peu que je vois. Ses mains entourent ma taille. Je sens le désir monter. Pourtant je ne fais rien pour lui faciliter la tâche. C'est à lui de faire preuve d'imagination, s'il me veut, comme je le pense et le désire. Enfin sa bouche se pose sur la mienne.
Comment lui montrer que moi aussi je le désire, sans le lui dire bien sur. Sa langue cherche à entrer dans ma bouche. Je pourrais là, fermer la route vers l'infini de l'amour que je trouve en lui. Qui sait peut être qu'enfin il se déclarera. Je n'attends que ça. Je suis prête à lui céder en tout, oui, même jusqu'à ce qu'il désire que je veux sans doute aussi.
J'ouvre à peine mes lèvres. Sa langue est aussitôt contre la mienne. Quel plaisir de l'avoir enfin ainsi. Nous nous caressons les langues, je sens sa salive se mélanger à la mienne. Mais qu'il aille encore plus loin. Qu'il ose enfin oublier les bonnes manières.
Je le sens quand une main vient se promener innocemment sur ma poitrine que je sens gonfler lentement. Enfin il prend carrément un sein dans sa main. Il me caresse comme s'il avait peur de me faire mal. Son autre main passe sous mon débardeur, elle trouve l'autre sein. C'est agréable, non, plus qu'agréable quand il chatouille mes tétons. Je ne reste pas immobile, j'ai aussi envie de le toucher. En retard sur lui, je prend son cou avec une main. Je suis encore jeune en amour pour aller plus loin.
Et puis s'il garde sa langue dans ma bouche, il descend lentement une main sur le ventre. Je la sens descendre encore, plus bas toujours. Je sais fort bien ce qu'il cherche à faire.

J'en meurs d'envie. Il ne serait pas le premier à me peloter ou me masturber, ce serait le premier avec qui je prendrais du plaisir, je le sais d'avance. Sa main de déplace maintenant sur ma jambe droite. Je la sens sur la jupe. Enfin il arrive sur la genoux. Je frissonne encore, j'attends qu'enfin il passe cette satanée main sous la jupe.
Ça y est. Il est entre mes cuisses. Je les écarte au fur et à mesure de son avancée. Il ne le sais pas encore : je commence à sentir l'humidité sous ma culotte. C'est la première fois que j'ai ce désir de me donner à un homme, même si je ne suis plus vierge hélas depuis longtemps. Je n'ose pas le toucher, lui toucher la queue, même si je suis certaine qu'il bande. J'ai le temps. Qu'il me caresse mon sexe, qu'il me donne du plaisir. Si j'en prends, s'il me donne le grand frisson, celui qui envoi les filles au ciel, je le toucherais pour lui rendre ce qu'il me destine.
Sa main est douce entre mes cuisses : elles sont bien écartées. Si sa bouche oublie la mienne c'est pour embrasser mon cou.C'est rien que de la douceur quand il arrive là où je l'attends depuis si longtemps. C'est bien de se laisser caresser par celui qu'on aime en silence. Ses doigts s'appliquent à caresser toute la chatte. Il sait bien branler les filles. Tant mieux, au moins il a l'expérience pour la suite.
Je ne m'attendais pas à ce qu'il arrive si vite sur ma chatte , ni qu'il caresse aussi bien. Il est partout, sur le clitoris, sur le vagin, maintenant il descend encore plus bas. Non, il ne va pas oser aller à cet endroit si intime que je le garde intact depuis toujours. Oui, il y va. Je sens un doigt sur l'anus. J'espère qu'il ne va pas entrer. Je sais que certains aiment mettre leur machin dans le cul des filles. Pas à moi en tout cas.
Mais je ne pensais pas qu'il sache si bien caresser mon petit trou. Je ne sais pas exactement ce qu'il me fait. C'est bon tout ensemble, tellement bon que malgré moi je jouis dans sa main. Je ferme mes jambes : il ne peut plus bouger.
J'en profite pour agir moi, à ma façon, pas celle d'une fille bien élevée : je lui touche la bite bandée bien sur à travers le pantalon. Difficilement j'arrive à ouvrir la braguette, passer la main, trouver sa bite dure pour la sortir. J'arrive à défaire la ceinture pour faire descendre le vêtement. Enfin sa queue est à moi.
Je la prends à pleine main, je descends le prépuce lentement, je le fais remonter quand il est à mi chemin. J'assure ma prise pour ne pas le perdre. Son souffle s'accélère doucement. Je dois lui faire du bien. Cette fois c'est à mon tour de l'embrasser sur la bouche. Ma langue cherche la sienne. Il ne peut rien me faire, sa main est toujours prisonnière de mes cuisses. Je fais aller ma main plus vite. Je sens qu'il va jouir, lui aussi. Maintenant je caresse comme il me plaît : je vais très vite avant d'arrêter complètement pour reprendre lentement jusqu'à l'explosion. Il jouit dans ma main. J'en ai fais autant dans la sienne, la seule différence est que je ne lui ai pas giclé dessus, enfin pas autant.
Je sors un mouchoir pour essuyer les ravages de son sperme. Je le regarde avant de l'envelopper en pensant qu'un prochaine fois je le prendrais dans la bouche. Jusqu'à présent c'est la seule chose que j'aime chez les hommes : le goût de leur jus.
Nous restons ainsi, assis, lui débandé, moi encore les jambes fermées. Je ne pensais jamais qu'il me donne envie de jouir encore. Il reprend ses caresses sur les seins. Il sait bien me faire du bien, alors je prend à nouveau sa bite, je la caresse comme un petit animal qui ressuscite encore en devenant plus grosse que la première fois.
Il murmure encore des choses, il veut me prendre là où nous sommes. C'est facile reculés du monde. Quand il veut enlever ma culotte, je me lève à peine. Je me retrouve ainsi cul nu puisqu'il relève aussi ma jupe. Il enlève son pantalon des chevilles : lui aussi est cul nu. Ce n'est pas suffisant, il m'enlève le débardeur : je suis nue.En forçant à peine je retire sa chemise.
Enfin il est aussi nu que moi. Je le trouve beau ainsi avec sa queue bien raide, bien droite, penchée un peu vers moi.
Je le prend en main pour le branler encore une fois. Il passe sa main rapidement sur mon sexe: je suis mouillée. Je me laisse coucher pour qu'il vienne sur moi. Il me semble léger quand il s'affale. Sa queue frotte à peine entre mes cuisses. Pourquoi c'est si long pour qu'il arrive à me baiser. Pour la première fois de ma vie de femme j'ai envie et besoin de sa pine dans mon con. Enfin je le sens se faufiler dans mon entrée secrète. J'avais besoin de sa queue. Il me comble totalement. Je ne fais plus semblant de prendre du plaisir, j'en ai pour ma première fois. Nous mêlons nos deux mouvements d'aller et venu. Il me pistonne avec ardeur, je prends plusieurs fois mon plaisir. Mes orgasmes sont bien plus forts la masturbation.
Je jouis une dernière fois, c'est ce que je pense qu'en il sort de moi. Il change simplement d'endroit. Je le sens sur l'anus. Non, non, surtout pas là. Il ne me demande rien quand il caresse l'anus cette fois avec sa pine. Je le sens forcer un peu. Je l'aide, tant pis pour mon cul. Qu'il entre puisqu'il le veut. Le voilà dans mes intestins. La salaud, je ne pensais jamais prendre ce nouveau plaisir de la sodomie. Mes jambes l'entourent comme pour ne pas le perdre.Je sens sa bite quand il jouir. Il me fait jouir en même temps que lui. C'est une merveille que cette baise. Surtout que nous finissons par un monumental baiser.
Et enfin ce que j'attendais : veux tu m'épouser ?
Je ne me souviens pas avoir répondu. Nous sommes devant monsieur le maire, devant le curé.
Nous sommes en train de nous aimer, il me fait jouir encore et encore. Je ne regrette rien surtout ma sa queue dans le ventre ou la bouche comme souvent depuis.







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