Ma Collègue De Toujours Devient La Chienne Dont Je Rêvais

Depuis plus de 3 ans et après un premier mariage non abouti, je me suis mis en couple avec une femme épanouie, magnifique, d’une grande gentillesse et très coquine, mais encore hermétique à certains de mes fantasmes ou du moins à certaines curiosités qui m’habitent. Mon premier mariage m’a permis de réaliser combien j’avais de fantasmes inavoués. Elle, ma chérie actuelle, me fait avancer néanmoins de façon régulière mais reste très peu intéressée par d’autres de mes envies et je me dois de respecter son choix.
Depuis quelques temps, j’ai changé de poste de travail en me retrouvant dans un service ou les collègues sont plus jeunes que moi, Bien que très sympa, je suis un peu décalé de leurs humours et leurs réflexions, mais j’aime travailler là-bas, dans cette ambiance. Une autre personne me semble elle aussi un peu dépassée par ces blagues et cette jeunesse.
Dès le premier jour j’ai remarqué cette collègue particulièrement à mon gout. Intelligente douce et souriante et une voix suave et terriblement sexy.
J'entretiens dès lors une relation courtoise avec cette collègue. Stagiaire comme moi dans le service dans lequel nous travaillons et grâce à notre responsable, il nous arrivent de faire équipe sur la journée ou la semaine de travail. Elle se charge d’une partie de la semaine et moi d’une autre. Un repas de midi en tête à tête de temps à autre, quelques sourires, café ou autres discussions alimentaient notre relation amicale.
Ma collègue, qui se prénomme Amélie, et au-delà de ses excellentes compétences, est une très jolie femme. Grande, élancée, avec des jambes interminables, toujours mises en valeur par des jupes courtes et de belles chaussures. Elle était le fantasme de bien des collègues et l'atout charme de notre service. Notre responsable, pour mon plus grand plaisir, à décider de nous transférer les deux dans le nouveau dépôt qu’il allait ouvrir à 60 km de notre lieu habituel afin que nous gérions en duo le nouveau service crée là-bas
L'un de nos collègues formateurs, aurait bien aimé lui aussi participer à cette mission avec elle, mais ses compétences techniques et géographiques n'étaient pas aussi importantes que les miennes, à son plus grand désarroi.


Nous étions ainsi la « force de frappe, les nouveaux piliers » du service, dont la réussite de la mission devait servir à assoir notre position au niveau régional. De plus, les locaux et les employés où nous devions nous installer était une référence importante dans la région.
Avant l’implantation de notre duo, la direction de notre employeur nous a demandé et imposé de suivre un stage de formation et de mise à niveau afin de parfaire nos lacunes durant deux semaines dans la capitale. Nous étions ravis de l’opportunité et en même temps, un peu inquiets de l’organisation familial à gérer de la part des deux dans un délai aussi court.
Nous voilà donc sur le départ le dimanche après-midi après un week-end en famille écourté. Je rejoins ma collègue sur le quai de gare, en direction de la capitale avec 3 heures de trajet. Là-bas, voiture de location et 45 mn de route en direction d’un petit patelin où se trouvait le centre de formation. La nuit est tombée lors de notre arrivée. Nous dînons et rejoignons nos chambres qui sont voisines.
Le lundi matin, nous installons les programmes et les accès sur nos ordinateurs respectifs et commençons à installer le matériel nécessaire. A midi tout est en place. Le responsable de formation nous invite à déjeuner, d'une part pour faire connaissance et nous briefer, mais surtout parce qu'il a « flashé » sur Amélie ma collègue, ce cochon, un de plus !!
Il fait dire qu’en ce premier jour cette dernière n’y est pas allé de main morte. Elle avait revêtu un bel ensemble mettant en valeur sa silhouette et bien sûr ses longues jambes.
L'après-midi, nous participons à une réunion avec tous les autres participants, afin de coordonner et expliquer l’environnement le déroulement de la semaine. Après notre présentation, nous expliquons notre projet de ce qu’Amélie et moi-même seront en charge d’effec. Quelques participants sont un peu déçus, même s'ils sont intimidés par la prestance de ma collègue.
Pendant toute la semaine, nous travaillons dur.
Nous restons même jusqu'à dix-neuf heures le soir, de façon à bien avancer le projet. Après le départ des employés nous passons une bonne heure tous les deux afin de paramétrer et personnaliser certains modules de la présentation. De retour à l’hôtel douche, dîner et retour dans la chambre.
Vendredi midi, c'est le grand patron qui déjeune avec nous. Lui aussi trouve Amélie à son goût, tu m’étonnes !! Après le repas très convivial et délicieux, nous faisons le point avec lui de l'avancement du projet. Amélie a un problème avec un programme qui renâcle à s'adapter. Le blocage vient en fait de l’optimise-, vieillissant et allergique à l'informatique. Elle n'ose pas le dénigrer, aussi, c'est moi qui m'y colle.
- “Ma collègue a un petit problème avec ce programme. Il semblerait qu'il y ait un blocage.
- Je pense que j'ai une idée pour débloquer la situation, dis-je alors.
- Que voulez-vous faire?
- Vous allez voire dis-je. Amélie Peux-tu nous montrer ta façon de faire à toi sur ce programme ?
-Oui, bien sûr !
J'ai volontairement mis ma collègue en avant. C'est elle la pro de ce programme et elle va le démontrer rapidement. Après quelques minutes, Monsieur Durand est captivé. Il pose des questions. Demande des précisions. Veut aller plus loin. Il fait modifier des paramètres et trouve aussitôt une réponse à sa problématique.
Le grand chef s'est reculé, il me regarde et me fait un clin d’œil. Il sort de son bureau sans que son sous fifre ne s'en rende compte, tant celui-ci est captivé. Une heure plus tard, le Monsieur Durand est conquis et il demande à Amélie de programmer une réunion dès le lundi matin avec son service, pour mettre en place des méthodes de saisie qui permettent ces projections. Le blocage est levé. Nous avons marqué un point important.
A dix-sept heures le vendredi, les bureaux se vident pour le week-end. Nous suivons la troupe. La semaine a été chargée et la prochaine le sera aussi.
Nous rentrons à l'hôtel.
Je propose à Amélie d'aller au cinéma ou au théâtre en fonction du programme, puis d'aller dîner et se trouver une boite pour finir la soirée. Rendez-vous dans une heure pour se doucher et se changer avant de sortir. Il faut bien ce temps à une femme pour se préparer et je sais que le matin, ma collègue prend du temps, aussi je précise : “ Tenue décontractée. C'est le week-end ! OK ?”
Une heure plus tard, je frappe à la porte de la chambre d’Amélie. Quand elle ouvre, je suis scotché ! Elle a revêtu un caraco qui dégage ses épaules et s'arrête au niveau du nombril. Ses cheveux sont détachés, alors qu'elle arbore toujours un chignon strict. Ses paupières et ses lèvres sont légèrement maquillés faisant ressortir ses yeux magnifiques. Elle porte un short vraiment serré qui allonge encore ses jambes et dévoile ses cuisses fuselées et aux pieds, des sandales nouées. Elle paraît moins grande et est ainsi, de la même taille que moi. Une bombe !
Elle paraît fière de son effet et sourit en prenant la pose devant la porte.
- “Tu... Tu es magnifique !
- Tu es gentil, mais... tu as dit décontractée.
- J'ai l'air d'un pingouin avec ma veste et ma chemise. Je prends un coup de vieux là !
- Pas du tout ! Je trouve que tu es chic... et décontracté. N'ai pas peur, tu me plais bien comme ça. On y va ?”
Nous nous dirigeons vers le centre-ville qui est assez triste. Il semble qu'à dix-neuf heures en été et dix-huit en hiver, tout s'arrête dans cette ville centrale. Nous trouvons tout de même un bistrot ouvert et nous installons en terrasse.
Assise ainsi au soleil, Amélie fait un effet « de malade » sur les passants, dont les coups d’œil sur les jambes de mon accompagnante, sont égrillards. Que dire du garçon de café qui va multiplier les allées et venues sous n'importe quel prétexte, afin d'admirer sa cliente. Il va finir par s'appuyer contre la porte en faisant semblant d'attendre des clients. Je ne sais pourquoi, mais peu à peu, les tables se garnissent autour de nous avec une clientèle essentiellement masculine.
Je fais des envieux ou des jaloux ! Et j’aime ça.
- « Dis-donc, tu es l'attraction du coin ! Tu vas déclencher des crises cardiaques ou une émeute si ça continue. Elle me connait et sait que je suis souvent à la taquiner ou la charmer de manière courtoise.
- Tu es fou !
- Regarde un peu autour de toi. Les mâles de la ville sont en rut. Il semble qu’ils n’aient pas vu une aussi belle fille depuis longtemps. Moi non plus d’ailleurs !
- Arrête un peu !
- Bon, bon. Je dis ça pour toi. Moi je suis plutôt flatté d'être à tes côtés. » A une table voisine, un homme interpelle Amélie.
- Mademoiselle, vous auriez du feu s'il vous plaît ? » Amusée, Amélie lui tend la boite d’allumette trainant sur la table « Merci ! Vous êtes charmante !
- Elle est canon oui ! » s'exclame un autre.
- Vous faites quoi ce soir ?
- Je vais dîner avec mon mari. Vous connaissez une bonne adresse ?
• Ah ! C'est votre... Vous savez, ici, il n'y a pas grand-chose. Il faut aller à Blitz ou Shonberg.
• Merci bien monsieur. Vous êtes bien aimable. On y va chéri ? »
Sur ce, elle se lève, déclenchant un murmure de dépit dans l'assistance. Elle me prend le bras et en se retournant lance « bonne soirée messieurs ! » Elle me chuchote « Quels cons ! Ils sont lourds ! »
Nous nous éloignons en riant. Les hommes doivent la traiter de pute, mariée à un vieux pour son pognon. J’ai en effet, douze ans de plus qu’elle et Amélie paraît jeune.
A Blitz, nous optons pour un restaurant indienne, Amélie aime cette cuisine et se régale des plats. De là, nous trouvons une discothèque. Sur le « dancefloor » ma collègue s'éclate au son de la musique. Parfois je la rejoins et je l'entraîne pour des rocks endiablés. Là aussi des regards envieux et des dragueurs maladroits ne la lâchent pas. Elle boit des mojitos et je me contente de coca non sans avoir bu un mojito aussi. Mais je m’arrête là, car c'est moi qui conduis pour le retour.
Il est un peu plus de deux heures du matin lorsque nous rentrons à l'hôtel. Tout est silencieux et la coursive qui mène à nos chambres est à peine éclairée. Arrivés devant la porte de la chambre d’Amélie, je me tourne vers elle pour lui souhaiter une bonne nuit et lui faire la bise et c'est là que tout bascule !
Ses lèvres cherchent mes lèvres et Amélie se colle à moi. « J'ai envie de toi ! » murmure-t-elle. Ces mecs m'ont excitée, mais c'est toi que je veux. Depuis le temps que tu me dis que j’y passerais, que je serais un jour à toi » Tu es le plus charmeur et le mieux élevé des hommes qui me draguent. Elle me prend le bras et m'entraîne dans sa chambre.
Une fois la porte refermée, on se jette l'un sur l'autre pour un baiser profond. J'agrippe son caraco et lui passe par-dessus la tête. Je découvre ses seins qui sont juste magnifiques comme je les rêvaient. Pas trop gros mais bien ronds, avec des aréoles brunes et des tétons qui pointent. J'enlève ma veste et ma chemise et viens plaquer ma peau contre la sienne. Elle frotte sa poitrine contre la mienne. Ma peau rappe ses tétons et les électrises.
Je la veux nue contre moi, aussi je défais et baisse son mini short entraînant le string sur ses jambes. Je me recule pour admirer sa silhouette. Elle est magnifique ! Je me défais rapidement de mon pantalon et me retrouve nu face à elle. On se serre à nouveau et elle peut sentir mon érection contre son ventre. Dans ma bouche elle murmure un « mmhh » de contentement. Nous nous embrassons goulument et nos respirations s’accélèrent
Nous restons ainsi un moment, collé l'un à l'autre, puis elle me tire vers le lit où elle s'étend bras et jambes écartées. Je m'agenouille immédiatement au bord du lit et plonge mon visage, ma bouche et ma langue en direction de sa fente. Amélie est une vrai brune et sa toison finement taillée, sublime encore si besoin, son corps sculptural. En effet, elle est musclée et son ventre plat trahit une gymnastique régulière et une pratique de la natation qui ne m’étonnes guère.
Longtemps je m'abreuve de son suc. Je la bois, je la goute, je l’effleure et ma langue découvre un clitoris étonnant et réactif. Celui d’Amélie ressemble à une petite bite, avec un gland bien développé et une petite hampe. Je le suce et je lui procure des frissons. Mes doigts visitent son antre et mon pouce titille son anus de bien belle manière. Elle gémit sensuellement à ce traitement. Mes doigts humides vont au contacts de ses seins pour les malaxer tendrement pendant que ma langue continue de voyager entre sa vulve gonflée et son anus.
Bientôt elle tremble et se lâche une première fois en soupirant. Je continue mon léchage en règle mais elle en veut plus. Elle repousse ma tête, me tire sur elle et dit :
- « Viens ! Prend-moi !
- Je n'ai pas de préservatif. Ils sont dans ma chambre.
- Ne t'inquiète pas j'en ai. »
Elle se tourne vers son sac et ressort une pochette.
- « Attend ! Je vais te le mettre. »
Elle déchire le sachet, se penche sur ma queue dressée tel un obélisque et me suce le gland avant d'avaler ma tige déjà bien dure. Elle longe ma tige avec sa langue, de mes bourses à mon gland, avant de le reprendre en bouche et de me prodiguer une fellation d’experte tout en me regardant dans les yeux. Que j’aime ce qui se passe en ce moment.
Comme un pro, elle enfile le condom sur la hampe et se recouche en ouvrant ses bras. Je me mets sur elle et quasiment sans me guider, je pointe ma bite sur son vagin. Lentement, je pénètre l'antre humide. Amélie noue ses jambes autour de moi et en les serrant, me propulse dans sa chatte qui m'avale sans problème.
Commence alors la danse des amants. Dressé sur mes bras, tout en la limant, je me régale de voir son corps superbe, maintenant couvert de transpiration. Je n'en reviens pas d'être l'amant de cette belle et jeune femme, objet des fantasmes de plusieurs collègues, des clients et des rencontres de la soirée.
Très vite, elle jouit une nouvelle fois. Je sens mon plaisir monter et en criant, je me vide dans la capote tout en me couchant sur elle. Le coït a été bref mais intense pour tous les deux. On se retrouve enlacés sur le lit. Essoufflés et heureux, le temps que les battements de nos cœurs retrouvent un rythme normal.
- « Mon salaud ! C'était bon !
- Merci. Mais pour moi aussi.
- Tu es doué. J'ai jouis avec ta langue. Il y a longtemps que cela ne m'était pas arrivé. J'aime ta queue. Elle est belle et m'a bien remplie.
- Si on m'avait dit !
- Quoi ? Tu es surpris ?
• Un peu oui. Il y a tellement de mecs plus jeunes et plus beaux que moi qui te tournent autour.
- C'est des petits cons ! Je préfère les hommes plus mûrs.
- Si j'avais su !
• Quoi ? Tu m'aurais draguée ?
• Non, mais je t’aurais fait plus de rentre dedans que de simple petites phrases. Et je suis en couple
• C'est vrai ! Mais... c'est la première fois que tu la trompes ?
• Oui... enfin presque...
• Tu regrettes ?
• Oh non ! Pas du tout ! Au contraire. Tu es superbe, un cadeau du ciel et je ne m'y attendais pas, c'est tout. J'ai pris beaucoup de plaisir moi aussi.
• Et... tu veux... continuer ?
• Bien sûr !... Enfin, si toi tu veux.
• Tu es fou ! Bien sûr ! D'ailleurs, je vois que je te fais de l'effet. Dis-donc toi, tu es vite de nouveau en forme “pour un vieux” !
• Il faut dire qu'en te regardant c'est facile. Viens sur moi ! C'est toi qui vas me baiser. Je vais te montrer comment on fait
• Oh oui ! je n’ai jamais fait comme ça !
• Ce n’est pas vrai ! Tu en as des choses à apprendre ! Avec toi je sens que je vais en découvrir. Tu m'as l'air d'un sacré coquin !
• C'est le privilège de l'âge. Et oui j’espère pouvoir t’en apprendre.
Amélie m'enjambe afin de venir s'empaler sur ma bite dressée : mais je la coupe en lui ordonnant de venir se mettre à califourchon sur mon visage afin de m’offrir sa vulve à déguster. Les mains appuyées elle vient frotter sa chatte humide sur les lèvres et écarte les cuisses afin que ma langue puisse fouiller au plus profond de son âme. Elle se trémousse pendant que moi je la dévore, la mordille. Mes doigts caressent ses fesses et un doigt part explorer son petit trou vierge de toute visite puisqu’elle refuse même cette pratique avec son mec. Elle comprend de suite qu’avec moi ce sera différents et cela ne semble pas l’offusquer. Ses mains caressent et branle un peu cette queue retrouvant de la vigueur et mon doigt fouille son antre.
Après quelques minutes de ce traitement, elle quitte le mur et son aspirateur a con et n’a qu’à se laisser guider afin de descendre et s’empaler sur ma queue. Elle est magnifique ainsi. Son buste dressé, ses seins s'agitent alors qu'elle monte et descend sur moi. Elle monte au plus haut pour ensuite se laisser tomber de tout son poids sur cette tige qui la possède. Je triture ses mamelons. En appuyant ses cuisses sur les miennes, elle se baise en choisissant son rythme.
Amélie s'essouffle et transpire sous l'effort. Des gouttes de sueurs tombent sur moi et cela me rends absolument dingue de la voir ainsi. Son parfum est enivrant, ses cris des plus érotiques. Elle change de rythme, puis fini par s'effondrer sur moi, après une nouvelle jouissance. Elle reprend son souffle avec difficulté couchée sur mon torse, je sens son cœur qui bat fort. Je caresse la surface de ce corps qui me donne autant de plaisir, délicatement, patiemment. J’ai déjà envie de recommencer.
Peu à peu elle se calme et enfin, un grand sourire aux lèvres, prend ma bouche pour un baiser passionné.
• « FFFh ! Tu m'as crevée ! Je te sentais bien en moi comme çà.
• Moi aussi. J'avais l'impression que ton sexe me massait la bite.
• C'était involontaire. Mon corps réagissait tout seul, pardon !
• Tu es folle ! Au contraire, c'était génial et puis tu m'as bien arrosé !
• Oh c'est vrai ! Cela ne te gêne pas ?
• Au contraire ! Cela prouve tout le plaisir que tu as pris et j’aime le gout de ta mouille. Associé à l’odeur de ta peau, elle est absolument sublime
• Ah ça oui ! Mais toi tu n'as pas joui ?
• Je te rappelle que tu as oublié de me mettre une capote et puis dans cette position je peux résister longtemps.
• Oh c'est vrai. On a oublié de se protéger ! Tu penses à tout.
• J'ai eu un peu de mal, il faut dire. Heureusement que tu as jouis. Je n'aurais pas tenu bien longtemps.
• Tu sais, je suis... saine.
• Moi aussi.
• Alors on peut s'en passer. C'est vrai que je t'ai mieux senti sans le préservatif... J'ai encore envie... Tu veux ?
• Bien sûr ! Tourne-toi. Je vais te prendre par derrière.
• Co... Comment ? Tu ne vas pas me...
• T’enculer ? Te sodomiser ? Pas encore Amélie, sois patiente, mais tu as un beau cul et je veux le voir en te baisant.
• Salaud ! » Dit-elle en riant. « Viens ! Prend-moi comme la chienne que je suis !
• Une belle chienne ! »
Amélie bondit et se met à quatre pattes sur le lit. Dans cette position, avec ses longues cuisses, sa chatte est à la hauteur idéale de mon sexe. Je suis incapable de dire pourquoi mais j’ai à nouveau envie de la dévorer. Sans plus attendre, j’enfouie ma langue dans son vagin encore béant. Je m’agrippe à ses hanches et la déguste lentement en prenant le temps de la humer mais aussi de passer la langue sur l’extérieur de sa vulve. Ma langue experte vole de son minou à son anus en y enfilant deux doigts. Un petit son sort de sa bouche, mais la voilà rassuré lorsque je lui dis que pour l’instant seul ces doigts iront vers les contrées interdites.
Je me redresse et l'embroche. Je saisi ses hanches et d'un rythme soutenu je baise cette belle femme, mais néanmoins salope, qui se donne à fond. Elle effectue des mouvements arrières afin de sentir mes couilles taper sur son clitoris et je sens à nouveau son vagin se serrer sur ma bite comme pour la pomper. Je ne cherche pas à la ménager. Je la fesse et elle en redemande, je lui dis de me dire des morts crus. Elle râle qu’elle est ma chienne, une salope, elle me demande la baiser comme une pute, sans retenue :
- Oui va y baise moi, je suis une salope, fais de moi ce que bon te semble »
Je veux jouir en elle. Sa silhouette longiligne et ses fesses musclées lui donnent dans cette position, l’air d’une star que l’on voit dans les pornos. Celle sur qui les hommes se branlent, celles qui nous semblent être les plus sexy et intouchable. Elle est là devant moi, la mienne ma star de porno sur laquelle je fantasme, avec sa capacité à jouir plusieurs fois.
Elle se redresse en appui sur ses bras, remue l’arrière train comme une affamée et déclenche mon orgasme. Je gicle encore et encore en elle alors que sur mes derniers coups de rein, elle s’effondre dans une ultime jouissance.
Nous avons besoin de repos et l'un comme l'autre, nous sombrons dans le sommeil.
Je me réveille le premier. A mes côtés, Amélie est lovée involontairement contre moi. Je me redresse et j'admire le corps sans défaut de ma maîtresse. Eh oui, j'ai une maîtresse sans l'avoir cherché. Ce sont les circonstances qui ont décidé pour moi. Qui aurait pensé qu'une jolie fille comme elle puisse s'intéresser le temps d’une semaine à moi ?
Je suis un chanceux, mais à ce moment-là je me dis que les choses vont se compliquer. Non pas pour mon couple dont les liens sont assez solides, mais dans notre travail. Comment va-t-on pouvoir continuer, sans que notre relation ne perturbe le service. Pour le moment, j'ai un week-end à passer avec cette belle femme. Il sera bien temps ensuite de décider quelque chose.
Amélie remue un peu et finalement ouvre un œil que j'aperçois sous ses mèches brunes. Elle est si belle, même au réveil, elle me sourit, relève sa tête et vient me quémander un baiser. On se retrouve serrés dans les bras l'un de l'autre. On se bécote. On se caresse. Heureux !
Il y a plus de deux heures que nous nous sommes retrouvés devant sa porte et les premières lueurs de ce jour de juin commencent à poindre. Malgré cette courte nuit, je n'ai pas sommeil et ma compagne non plus. Quand sa main trouve ma pine bandée, elle relève son visage vers le mien.
• « Tu es encore en forme mon salaud ! Tu vas me à ce rythme !
• On n'est pas obligés de recommencer tout de suite.
• Non. Mais j'ai envie de te sucer ! Oh ! Je te choque ?
• Pas du tout, au contraire. Tu sauras qu'il m'en faut beaucoup pour l'être. »
Amélie comme si elle prenait son déjeuner plonge sur ma queue et l'avale, puis relève la tête.
• « Elle sent... ma chatte... et ton sperme !
• Cela te gêne ?
• Pas du tout. Mais je me trouve très salope !
• J'aime que tu sois salope !
• C'est vrai ? Avec toi, je n'ai pas peur de le paraître. Je suis rassurée. Je fais souvent peur aux mecs... pardon !
• Pas de problème. Je ne suis pas jaloux, puisqu’en ce moment c'est moi qui profite de tes charmes.
• Tu es un salaud ! Mais j'aime !
• Allez, petite salope ! Reprend ton travail et suce-moi bien !
• Tu... »
Elle se tait et reprend sa fellation. Appliquée elle suçote mon gland, puis le lèche avant de descendre jusqu'à mes bourses qu'elle prend entre ses lèvres tout en me branlant. Je suis déjà bien dur. Elle descend sucer mes bourses, puis remonte avant d'avaler ma tige. Je n'en peux plus. J'ai moi aussi envie de lécher sa chatte qui doit bien juter. Je me relève, me retourne et plonge entre ses cuisses qui s'ouvrent aussitôt.
• « Oh oui ! Mange-moi cochon ! Bouffe-moi la chatte ! Je vais te faire cracher et te boire ! Donne-moi ton jus et je vais t'arroser salaud ! »
Plus le temps de parler. Nous sommes trop occupés à donner du plaisir à l'autre. Amélie coule déjà beaucoup et je me régale. Deux doigts dans son vagin la font décoller. Je sens moi aussi que je vais bientôt jouir. Elle se cambre en gémissant et vite après elle, je me lâche dans sa bouche qui m'avale, sans même en perdre une goutte et malgré mes nombreux soubresauts
Chacun continue de lécher et boire le jus de l'autre en laissant le plaisir redescendre doucement. Enfin on se retrouve bouche contre bouche, pour échanger nos fluides. Je crois que je ne suis plus opérationnel pour un moment.
• « J'ai faim ! » Manifeste alors ma compagne.
• Le restaurant n'est pas encore ouvert ! On a plus de deux heures à attendre !
• Il y a des biscuits sur la table. Je vais faire du café.
• On devrait aussi prendre une douche.
• Non. Attends me dit-elle. J'aime sentir le foutre ! Ce n’est pas bien peut-être mais c'est tellement bon ! Ne me regarde pas comme ça ! Je suis un peu bizarre !
• Pas du tout ! J'adore ! Tu sens la femelle chaude. La salope repue. Tu pues le sexe ! Quel bon parfum !
• Salaud ! Avec toi j'aime être salope, chienne. Et puis, j'aime ta queue. Tu es rasé ? je n’avais jamais vu et c'est drôlement agréable de ne pas bouffer des poils ! J'ai faim !
Elle se dégage, met la bouilloire en route et prépare le nescafé mis à disposition dans chaque chambre. J'en profite pour aller dans ma chambre voisine, toujours nu et je vais chercher les croissants que j’avais acheté et qui s'y trouvent. Et moi aussi j'ai faim.
Après ce petit déjeuner improvisé et le brossage de dents, c'est Amélie qui aborde alors le sujet de notre relation. Elle aussi a pensé à la suite.
• « Tu crois qu'on peut continuer comme ça... enfin... si tu veux bien continuer avec moi.
• J'y ai pensé aussi quand je te regardais dormir. Je me suis dit que nous avions ce week-end et la semaine à venir pour y penser. Profitons du moment. Après, je ne sais pas vraiment. De mon côté, je suis en couple et toi aussi et loin de moi l’idée de mettre en péril, ta famille surtout.
• On peut rester discrets et ne rien dire.
• Cela ne durera peut-être pas longtemps.
• Quoi ? Nous deux ou....
• Déjà nous deux. Tu es jeune et...
• Je m'en fous de ton âge. Tu me baises comme jamais je ne l'ai été.
• N'exagère pas tout de même !
• Non ! C'est vrai ! Tu me fais jouir chaque fois. Tu penses à moi avant de penser à toi.
• C'est comme cela que je le conçois.
• Et j'adore !
• Non mais, vis à vis des autres dans le service.
• Je m'en fous des autres et en même temps ils n’ont pas à le savoir
• Tu dis ça maintenant, mais ils ne seront peut-être pas très gentils avec nous.
• Ça te dérange ?
• Pas vraiment.
• Bon écoute. On verra ce qui se passera. Si on fait notre boulot et que la discrétion reste de mise et pour l'instant j'ai l'impression qu'on le fait assez bien, il n'y aura pas de problème.
• Tu as raison. On essayera de rester discrets et si on doit continuer... advienne que pourra. Allez ! On va à la douche ?
• Tous les deux... en même temps ?
• Tu n'as jamais pris une douche à l’italienne à deux ?
• Non ! Mais oui ! J'ai envie ! Tu es un véritable expert !
• Je t'avertis. Je suis plutôt vicieux et j'aime faire des choses un peu coquines et osées !
• Apprend-moi ! Je te fais confiance. »
Dans la grande salle d'eau on se découvre pour la première fois nus côte à côte dans l'immense miroir. Cela fait drôle. On a des têtes de déterrés, mais nos yeux brillent et manifestent le plaisir de se voir ainsi, même si je me trouve beaucoup moins sexy et désirable qu’elle. Je me pose même des questions sur ses choix, mais très vite ils disparaissent, Elle veut du sexe et un homme mur, elle l’a.
Sous la douche on se savonne mutuellement. Prétexte à des caresses et des baisers. Après le rinçage. Elle me demande de sortir afin de faire pipi mais je lui dis qu’il en est hors de question et que cela ne me dérange pas. Elle évite mon regard et voit ma bite au garde à vous. Elle tend la main et la saisit.
• « Moi aussi ça m'excite de le faire devant toi. C'est énorme ! Je me sens tellement salope !
• Une magnifique salope ma chérie !
• C'est toi qui me fais devenir comme ça ! »
Nous passons ensuite un moment sur le lit et puis nous décidons d'aller faire un tour au aux alentours et de profiter de ce week-end en amoureux qui nous est offert.
La nuit suivante et le dimanche, nous alternerons entre sexe, visites et bouffe. Nous nous promenons main dans la main ou enlacés comme sont tous les amoureux du monde.
Amélie a l'air gênée. Lorsque je lui demande ce qui la tracasse, elle se défile, mais j'insiste.
• « Je vois bien que tu as quelque chose qui ne va pas. Dis-moi.
• Je... Tu n'as pas fait de réflexion quand tu m'as... léchée.
• Qu'est-ce que j’aurais dû dire ? J'ai adoré tu veux dire.
• Ce n’est pas çà. C'est... mon... clito... Il est énorme !
• C'est ça qui te tracasse ?
• O... Oui. Tu sais, je t'ai dit que c'était la première fois qu'on me faisais jouir comme ça. En fait, j'ai toujours empêché mes amants de me lécher, parce que j'avais honte de...
• Pourquoi tu m'as laissé faire alors ?
• Je n'ai pas réfléchi. J'étais si excitée, que je n'y ai pas pensé. Avec toi mes barrières se sont baissées. J'avais confiance en toi et tu me rassurais. Depuis, j'y pense tout le temps. Je croyais que tu allais partir et me laisser au cause de ça.
• Tu es folle ! J'adore ton clito, ta petite bite, appelle-le comme tu veux. J'en avais vu des gros mais jamais comme le tien et j'espère pouvoir encore te le pomper.
• C'est vrai ? Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir ?
• Puisque tu insistes, je vais te le bouffer tout de suite, parce que j'en ai très envie et que j'ai envie de te faire jouir comme ça.
• Tu sais, j'ai toujours cru que j'étais une sorte de femme hors normes
• Tu es une vraie femme ma chérie. Tu n'as jamais eu de rapport avec des femmes ?
• Non ! Je ne suis pas... gouine !
• Ce n'est pas parce que tu baiserais avec une fille que tu serais gouine. Heureusement que tu ne l'as pas fait.
• Pourquoi tu dis ça ? Je te dégoûterais ?
• Pas du tout, au contraire ! Mais si une fille avait connu ta particularité, tu serais peut-être devenue gouine intégrale et je ne t'aurais jamais découverte. Elle t'aurait gardée pour elle.
• Salaud !
• Allez, viens me donner ton clito à sucer, ma chérie, viens jouir dans ma bouche.
• Tu me baiseras quand même ?
• Bien sûr ! »
Cette soirée du dimanche a changé sa vie. Bien sûr elle m'a donné son clito à bouffer, mais même si je m'en suis particulièrement occupé cette soirée-là elle a eu le droit à la totale.
Alors que je la reprenais en levrette sur la moquette de sa chambre, je l'ai obligée à se mettre devant la glace en lui montrant son clito gonflé. Je le branlais comme une véritable queue en lui disant toute l'admiration que j'avais de sa silhouette et de son beau clito. Mon autre main commençait à triturer son anus. J’avais décidé que ce soir, j’enculerais cette bombe que je baisais depuis maintenant 2 jours. C’était le moment, et plus je voyais ce cul galbé et ses courbes affolantes, plus mon envie de fourrer mon épée dans son fourreau se faisait grande
Lentement et patiemment j’y introduis un, puis deux et trois doigts. Elle gémit de plaisir et me dit qu’elle est surprise du plaisir et de mon agilité à la déflorer. Je vois maintenant son cul se détendre et prendre en compte que très bientôt une visite de sa caverne sera inévitable. Elle se mord les lèvres et me demandes de venir me mettre sur le côté pour qu’elle puisse me sucer goulument pendant que je continuerais de préparer le terrain. Elle me suce toujours aussi divinement. Je pourrais à nouveau jouir dans cette bouche somptueuse si je n’avais dans l’idée de l’embrocher par derrière.
Commençant à haleter sous mes doigts envahissants, je l’entends me dire d’un seul coup :
-Aller encule moi, j’en peux plus. Je veux la prendre maintenant.
Ne me faisant pas prier, je me mets derrière et plutôt facilement l’enfile la totalité de ma verge dans ce trou accueillants. Je commence docilement mes aller-retour alors qu’Amélie trouve le moyen d’accélérer la cadence en reculant et avançant elle-même sans plus avoir besoin de moi. Elle baise sur ma queue.
- Gifle-moi le cul, mets-moi la fessé, claque moi le cul et ne t’arrête pas.
- -Oh oui putain c’est bon, encule-moi encore, vas-y bourre moi, défonce moi le cul.
Je suis aux anges de l’entendre pareillement s’exprimer, j’aime la transparence et l’honnêteté dont elle fait acte. J’aime baiser et sodomiser cette femme intelligente et ravissante, qui assume d’être une salope de compétition en ma présence et qui vit ses envies et désirs de cette façon. J’ai beaucoup de respect pour elle et cela ne fait que décupler l’envie que j’ai de la faire jouir de cette façon.
Je la pilonne littéralement, je la besogne et lui défonce l’arrière train comme elle me le demande, lorsqu’elle hurle violement son orgasme d’une façon que je n lui connaissait pas encore. L’entendant crier de bonheur la jouissance arrive aussi chez moi.

Je ressors cette tige violacée par le désir et gonflé d’excitation, je prends Amélie par les cheveux, je la ramène à moi, de face et je jouis de plusieurs salves sur son visage déformé par sa sodomie orgasmique. 4, puis 5 et 6 giclées. Son visage est recouvert de mon foutre des cheveux au mentons. Je n’avais jamais autant offert à une femme. La voir heureuse, épanouie, baisée comme il se doit et recouverte de ma semence me mettais dans un état de fierté absolue.
Nous avons ce soir-là mis fin à nos ébat de la journée tellement ce dernier acte fut intensif

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