Ma Collègue De Toujours Devient La Chienne Dont Je Rêvais ( Partie 2)

Le samedi soir je vois Amélie arriver au club avec son mari. Quelle vision érotique que de la voir. Sexy mais pas vulgaire, désirable mais pas indécenet. Comme j’avais demandé. Les hommes se retournaient sur elle ainsi que quelques femmes
J’ai senti que son mari était très mal à l’aise quand il a vu que le thème de la soirée était le partage et le cocufiage. J’ai dû lui expliquer en quoi ça consistait. Nous nous sommes installés au bar. Il y avait déjà deux autres couples et de nombreux hommes seuls. J’ai tout de suite vus leurs regards sur ses seins qui débordaient de sa robe. Je leur ai adressé des sourires tandis que son mari commandait les consommations.
Deux jeunes se sont approchés et ont engagé la conversation. La musique couvrait leurs voix et naturellement ils devaient se rapprocher et se toucher pour parler. Une main dans le dos qui descend doucement vers les fesses, l’autre sur mes cuisses qui glisse sur mes bas.
Nous avons bu quelques verres et j’ai commencé à la sentir un peu euphorique. Seb faisait la gueule à côté de moi. J’ai entraîné Amélie sur la piste de danse pour essayer de le dérider, car il n’aimait pas que deux jeunes loups tournent autour de sa femme m’avait-il dit et qu’il n’aimait pas la voir à moitié nue se faire draguer par des hommes qui ont l’âge d’être ses s.
Je lui ai rétorqué que moi ça me plaisait, que j’avais envie de m’amuser, et que s’il n’était pas content il n’avait qu’à rentrer, que je trouverais bien quelqu’un pour nous ramener, puis suis parti danser avec sa femme. Non sans oublier d’exiger de me remercier de retirer sa femme des pattes de ces deux jeunes loups.
- Merci Monsieur Antoine
Amélie cette garce ravi d’être le centre de la soirée m’a fourré la tête entre ses seins en me disant qu’elle avait envie, que dans un moment on aille faire l’amour dans un coin câlin. Tout en continuant de danser elle s’est tourné pour venir plaquer ses fesses contre moi.

Elle m’a pris les mains et les a posées sur ses seins.
Elle était face aux deux jeunes et son mari qui n’en perdaient pas une miette. Elle leur adressait des sourires très coquins. Ils se sont approchés et sont venus danser à côté de nous. Sa robe remontait sur ses fesses et dévoilait son absence de culotte. Je me suis détachée d’elle pour aller rejoindre Seb au bar et la laisser s’amuser.
Le plus jeune en face d’elle l’a enlacée en la plaquant contre lui, sa jambe glissée entre ses cuisses pour qu’elle se frotte la chatte. J’ai senti que Seb bandait comme un âne de ce spectacle, alors que le deuxième venait se coller derrière elle en la tenant par la taille. Son mari restait comme un idiot planté à côté de moi à regarder.
L’alcool commençait à lui monter à la tête. Elle a déboutonné la chemise du jeune pour caresser son torse musclé. Tout naturellement il a mis ses mains sur ses seins et les a caressés en les dégageant de sa robe. Elle a levé les bras au rythme de la musique pour lui laisser toute latitude pour les embrasser. Celui derrière elle ne restait pas inactif.
Il a trouvé rapidement le chemin de son entrejambe tout humide et accueillant où il a introduit ses doigts.
Seb devenait fou et il me suppliait de faire cesser cela, car il n’osait pas perturber ces deux jeunes males et me contrarier.
- Et que vais-je y gagner moi à ne pas la laisser s’amuser ?
- S’il vous plait et j’accepte qu’elle devienne votre maitresse.
- Mais elle l’est déjà Seb.
- Alors vous pourrez faire ce qui vous plaira avec elle.
- Mais je fais déjà ce que bon me semble.
- Je deviendrais un parfait cocu soumis à vous deux
- Ha voilà que ça commence à devenir intéressant
- Attends
Je partais susurrer une question dans le creux de l’oreille d’Amélie et recevais réponse de sa part. Elle semblait ravie que j’ai pensé à lui demander son avis sur le sujet.
- C’est ok si en plus tu deviens notre soumis que tu te plies à toutes nos consignes et exigences et que tu te comportes en parfait cocu.

- Oui Monsieur
- Et maintenant ce sera ma femme et tu ne l’appelleras plus que Amélie
- Oui Monsieur
- Et après l’avoir retiré des bras de ces 2 jeunes, je vais la baiser devant toi
- Oui Monsieur je vous en prie récupérez là et faite moi vivre mon fantasme.
Après un signe de tête de ma part, elle a adressé un sourire à son mari et s’est détachée de ses deux jeunes étalons en rut. Je suis allée la rejoindre et je l’ai entraîné au bar en recouvrant ses seins.
- Tu vois on s’amuse bien, ils sont mignons tous les deux n’est-ce pas ? »
- Bien sûr puis a rajouté « et en plus ils sont super bien foutus, y’a rien à jeter »
Elle s’est ensuite collé à son mari pour l’embrasser.
- Eh bien, on dirait que ça t’excite Seb ? Tu vois, tu es en train de devenir un parfait mari candauliste !
- Oui Amélie
J’ai dit à Seb que nous allions nous asseoir sur une banquette du salon VIP ou l’entrée était surveillé et que je voulais qu’il nous prenne une coupe et qu’il les apporte. J’ai attrapé Amélie par la taille et je l’ai entraîné sur une banquette dans un coin mal éclairé.
Je l’ai assise et j’ai dégagé ses seins pour les embrasser. Je lui ai pris sa main afin de la posée sur mon sexe en érection, bien gros et bien dur, sous le pantalon. On s’est embrassés à tour de rôle et elle a commencé à mouiller. Elle n’a même vu son mari qui était revenu avec ses coupe à la main. Les deux jeunes hommes ont profité pour se rapprocher un peu mais en restant à distance pour regarder. Ils se caressaient le sexe pardessus les vêtements.
J’ai tendu la main vers son futur cocu, sans le regarder, pour qu’il me passe les coupes. Je buvais de petites gorgées et j’embrassais Amélie en faisant couler quelques gouttes de champagne entre ses seins et sur ses cuisses.
Elle a subitement senti deux doigts qui s’insinuaient dans sa chatte pour la branler. Rapidement elle se mit à jouir fort et à gicler comme une fontaine. Je me suis ensuite glissé entre ses cuisses pour la lécher, Son mari excité s’est vu offrir le plaisir de venir s’assoir auprès d’elle pour pouvoir profiter du spectacle.
Le petit mari bien excité par ce qu’il voyait et qui voulait profiter lui aussi. Nous lui avons verbalement interdit de la toucher mais en contrepartie il avait le droit de se toucher et se branler, car cela excitait beaucoup Amélie de voir son mari prendre du plaisir pendant qu’elle en prendrait aussi.
Un petit groupe d’hommes nous entouraient à présent sur notre bon vouloir. Certains avaient sorti leur membre et se masturbaient. J’ai trouvé ça très excitant d’avoir tous ces hommes pour elle. Elle a attiré son mari contre elle et lui a dit à l’oreille
- Chéri j’ai vraiment envie de me faire prendre maintenant, dis-moi que tu es d’accord, je te récompenserai quand on rentrera »
Il a de suite validé la demande de sa femme sans arrêter de se masturber. Il était consentant et soumis à nos ébats.
- Mais je sais que ça va t’exciter, regarde comme tu bandes bien ! Elle m’a l’air bien dure cette petite queue ! Allez on y va !
Elle s’est levée, a fait un tour sur elle-même en regardant tous les hommes dans les yeux, et lentement, elle a ôté sa robe qu’elle a lancé à son mari. Il était si fier.
Il ne lui restait que son porte-jarretelles et ses bas, ses gros seins bien lourds exposés à leur convoitise. Elle a fait un deuxième tour lentement en se caressant les seins, sa langue passée sur ses lèvres avec une expression de défi dans le regard. Il y a eu comme un murmure venant du groupe d’hommes. Ils allaient avoir ce qu’ils voulaient pour les plus chanceux, et une bonne baise à regarder en se branlant pour les autres.
Elle avait envie de se donner en spectacle devant tous ces mâles. Elle a ordonné à son mari de se mettre à genoux à côté de la banquette. Elle est ensuite venue lui coller sa chatte sur la bouche pour qu’il la lui lèche, ce qu’il a fait avec application, tandis que moi j’exhibais mon sexe turgescent qu’elle s’est empressée de branler.
Le cercle d’hommes autour de nous se resserrait, Elle a repoussé son mari, puis a empoigné dans sa main, mon membre puis s’est dirigé vers le cercle.
Elle ne voyait plus son mari qui devait chercher à suivre le petit groupe.
Je l’ai illico couchée sur le dos afin de la baiser devant ces hommes et elle se retrouvait avec des bites à quelques centimètres de son visage. Elle en a pris deux au hasard dans sa bouche passant de l’une à l’autre. J’ai ensuite écarté ses cuisses et je pressais mon gros gland contre sa vulve.
J’ai entendu fuser des « putain la salope ! » « Vas-y enfile-la » « oui baise-la bien !
Sans même avoir eu le temps de voir que j’avais enfilé un préservatif, Elle avait trop de ces deux bites à s’occuper à sucer, elle a senti mon gros sexe la pénétrer. J’en avais trop envie. J’ai commencé à la baiser de plus en plus fort comme j’aime.
Elle hurlait sa jouissance. Très rapidement elle a commencé à recevoir des giclées de sperme sur la figure et sur les seins. Nous regardions le cocu et elle l’imaginait regarder sa femme chérie jouir et se faire baiser par un collègue bien membrés, suçant de grosses verges, lui avec sa petite bite qu’elle ne sentait jamais vraiment.
Après avoir moi aussi joui sur ses seins et son visage de l’avoir vu si chienne ce soir, mais fidèle à moi, je lui dis qu’il serait normal que pour son geste de partage, qu’elle aille voir son mari et l’embrasse longuement, le visage dégoulinant du sperme de ces hommes.
Elle a aperçu son mari sur un côté et lui ai fait signe de se déshabiller et de venir. Il pensait sans doute qu’il allait pourvoir la prendre.
Il restait encore quelques hommes pour assister à l’humiliation ultime que je voulais imposer au cocu afin que la soumission soit totale. Il s’est approché en cherchant à cacher son pénis. Je lui ai dit fort pour que tous entendent « allez va embrasser ta femme Seb, c’est le moment de ta récompense »
Les autres ont ri. Il est venu à regret coller sa bouche à la sienne toute poisseuse de foutre. Je l’ai laissé l’embrasser et je lui ai dit « maintenant tu vas la nettoyer partout avec ta petite langue » comme il tardait à s’exécuter je l’ai pris par l’oreille et je lui ai ordonné « allez dépêche-toi si tu veux un jour pouvoir la rebaiser.
Il l’a bien léchée et nettoyée de tout ce sperme. Il a voulu s’installer entre ses cuisses pour avoir sa récompense. C’en était trop sans le demander à ce moment-là.
- Seb, tu es puni, tu décides toi maintenant ?
- Pardon Monsieur mais je suis si excité.
- Et alors ? Pour la peine, tu vas te mettre debout sur la table et te branler devant tout le monde et tu as intérêt d’éjaculer sinon tu vas voir.
Autant vous dire qu’excité comme il l’était, Amélie qui voulait quand même le récompenser est allé lui caresser les testicules. Il a immédiatement joui devant le cercle d’homme.
Avec Amélie nous nous sommes éloignés les deux en lui demandant de rester sagement sur le divan et attendre notre retour.

En direction du jacuzzi, elle me glisse à l’oreille….

Mais ça sera pour une autre fois !!

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