Il A Révélé Ma Vraie Nature 1

Bonsoir à toutes et tous,
j'ai enfin décidé de me lancer dans l'écriture de mes aventures coquines et plus.
J'ai découvert ce site des plus troublants grâce à un homme, celui avec qui j'ai vécu les moments les plus intenses de ma vie.
Je suis ce que l'on peut appeler une cadre supérieure de 35 ans dans une grande entreprise de la capitale, aujourd'hui mariée. Mon époux ne connait pas le côté
de ma personnalité dont je vais vous parler car je ne suis pas certain qu'il l'apprécie. Brune d'un 1m73 pour 65kg, je suis bien proportionnée avec une belle poitrine (95C)
et de belles fesses, parait-il. J'essaye de rester sexy et classe. Je pense que les hommes me regardent beaucoup.
A l'époque, il y a 5 ans, j'étais célibataire depuis plusieurs mois et ma vie sexuelle était un quasi vide ! Mes soirées "chaudes"
se limitaient à des caresses solitaires. Je fantasmais sur un deux ou trois hommes en même temps, entre autre. Mais ma vie sexuelle était on ne peut
plus classique. Je n'avais jamais osé sortir de l'ordinaire, en dehors de mes fantasmes.
Puis ce jeune stagiaire, de 4 ans mon cadet, arriva dans la boite pour trois mois. Terminant ses études, il était grand et brun avec des origines
méditerranéenne : je l'appellerai D. Les costumes fashion qu'il portait le rendait encore plus sexy. Il avait une certaine prestance mais restait très simple et
accessible. Il a rapidement eu du succès auprès des secrétaires et même des autres cadres féminins. Il faut dire que les quelques hommes du service
n'étaient pas des plus attirants... D paraissait bien sous tout rapport. Il laissait planer le doute sur sa situation personnelle ce qui n'a fait qu'accen
la curiosité de toutes. Certaines parlaient de son sourire, d'autres de son petit cul. Bien sûr, dès sa présentation je suis tombée sous le charme même si
j'indiquais aux collègues qu'il me laissait totalement indifférente.


J'ai appris peu de temps après qu'il allait surtout travailler avec moi ce qui m'a enchanté. Encore une fois, je fis mine d'être indifférente. J'ai même pu dire
qu'il n'avait pas intérêt à me faire perdre du temps. Je pris toute une journée pour lui expliquer les choses et j'étais toute la journée très près de lui. Il comprenais vite,
était curieux et son parfum m'enivrait totalement.
Le soir en rentrant, je n'ai rien trouvé de mieux que de me caresser en pensant à lui. Cela allait devenir une véritable habitude.
Nous travaillions en général assez tard. On se retrouvait quasiment seuls vers 20h. Et le soir je l'imaginais entreprendre des choses. J'imaginais qu'il tentait de
m'embrasser et que je le repoussais. Puis il insistait et bien sûr je me laissais faire, je me laissais aller ! Je l'imaginais à m'ordonner de me baisser pour ouvrir son
pantalon. Je me voyais sortir son sexe de son pantalon et le prendre en bouche, le sucer comme je sais le faire. Je m'imaginais soumise à D, à son sexe et ses envies.
Le complexe de la patronne vis à vis du collaborateur ???
Quoiqu'il en soit, au fil du temps, notre relation était de plus en plus amicale. On a vite fini par se tutoyer. Nous déjeunions souvent ensemble avec les autres et de plus en plus en tête à t^te. Nous
parlions de tout de rien. Il me complimentait sur mon tein, mes tenues mais ne paraissait pas vouloir approfondir notre relation. Je ne savais toujours pas s'il était en couple.
J'étais déçue mais certains signes me permettaient de douter.
Il devenait de plus en plus tactile. Un soir alors que nous travaillions chacun de notre coté, il vint m'avertir qu'il partait et me proposait de partir
avec lui. Je devais traiter un dossier important qui allait me prendre la soirée et j'ai décliné. Là il posa sa main chaude sur mon bras et l'y laissa quelques secondes
qui me parurent une éternité. Mon coeur battait à la chamade. Il me souhaita simplement du courage pour la soirée.
J'étais complètement troublée. Il partit et je ne pus
reprendre mes esprits qu'après de longues minutes. Mon bas ventre bouillonnait !! J'avais envie de lui, j'avais envie qu'il me possède, qu'il me soumette ! Je fermais
à clé la porte de mon bureau, tirais le rideau de la fenêtre et sur ma chaise, je baissais mon collant, baissa mon string, complètement trempé. Je coulais comme jamais.
JE caressais mon petit bouton en pensant à D, à ce qu'il pourrait me faire. Je voulais qu'il me prenne avec son bâton que j'imaginais énorme. Je voulais qu'il se vide en
moi !!! Je me mettais un, deux et enfin trois doigts. mmmmmmm Je mouillais tellement, comme la petite cochonne que j'étais !!! J'étais vraiment en manque. Je voulais
une queue, sa queue !!!
Le lendemain et les jours qui suivirent j'étais mal à l'aise ce qu'il ne manqua pas de remarquer ! Je disais que j'étais simplement fatiguée. ce qui devait arriver aller
arriver. Nous passâmes l'après-midi et la soirée sur un dossier et il alla faire un pose technique. A son retour, je vis une énorme bosse au niveau de son bas ventre.
Que se passait-il ? Immédiatement mes idées se mélangèrent. Il vit que je remarquais ce "détail" et il mit de suite ses mains croisés sur cette bosse. Il resta près de
la porte visiblement gêné. Il dit qu'une pose de quelques minutes nous ferait du bien. Il était 20h passé. Nous sommes allés sur l'un des balcons à discuter discuter
en étant presque collé. Il faisait frais.
Ayant pris des cours de self defense, je lui dis que je savais me défendre. Il me proposa de tester ma force dans le couloir. Il me maitrisa sans problème malgré
ma supposée force. Je me retrouvais à terre avec D allongé sur moi puis à mes cotés. Puis il m'embrassa, enfin ! Je n'ai pas pu ou voulu résister. Le moment tant
attendu était enfin arrivé. Je ne contrôlais plus rien. Je me laissais embrassé, caressée, déhabillée. Il me proposa d'aller dans un de nos bureaux.
Sans dire mot,
je le suivis et il ferma a clé, éteignit la lumière sans fermé la fenêtre. Exib ? Vous le saurez plus tard.
Nous étions debout et il ouvrit mon chemisier, ouvrit mon soutien gorge pour libérer mes seins. Il en malaxait en léchant le téton de l'autre. Avec son autre main,
il soulevait ma jupe. Je me sentis ridicule avec mon collant. Il sut rapidement le baisser pour caresser ma fente par dessus mon string. Je ne restais pas inactive.
J'ai pu dégrafer ses boutons de chemise pour caresser son torse. Il sentait toujours bon et une douce odeur de sudation, fin de journée oblige, m'excita encore plus.
J"étais dans un autre monde. J'allais faire ça au boulot ! Après tout je m'y étais bien caressée.
En quelques minutes j'étais en string. Après qu'il eut retiré sa cravate, il enleva sa chemise pendant que j'ouvrais ceinture et pantalon ! Je sentais déjà ce sexe
dont je rêvais. Il retira son pantalon et se retrouva en boxer. Je caressais son sexe par dessus le tissu pour enfin le sortir et l'avoir en main. Énorme ! J'ai halluciné
d'avoir un tel objet dans la main. Je commençais à le branler et sentais qu'il coulait déjà. Mmmmmmmmmm. POur ma part, mon string était trempé. Il le décala
pour accéder à ma fente bien taillée. Il joua de suite avec mon petit bouton. Il s'y prenait parfaitement bien. De temps à autre, il caressait ma fente en y mettant
un doigt qui rentrait sans mal. C'était tellement intense ! Je pensais déjà à prendre sa queue dans la bouche. J"étais tellement excitée que cette vision
d'une si grosse queue dans ma bouche, me fit jouir directement ! C'était le premier orgasme. Il me dit doucement "Déjà?". Il m'enlaça et m'embrassa en laissant
mon bas ventre se reposer pour mieux revenir à la charge. Il était si doux à ce moment. Je continuais à le branler. Puis il dirigea ma tête vers ses têtons que je me fis
plaisir de lécher. Il me fit descendre délicatement jusque sa grosse bite que je n'avais pas lâché.
j'étais à genoux devant lui et je n'avais qu'une envie : lui montrer
mon talent pour la pipe. Je léchais son gros gland pour commencer. Cette odeur de queue amplifia mon désir qui est rapidement réapparu. Mmmm quel goût !!
Cela m'avait manqué. Je le branlais fermement et lentement en appuyant sa bite contre ma langue. Il avait l'air d'apprécier. Je ne l'entendais que peu vu le lieu de nos
ébats. Il coulait tellement. Je me délectais de ces gouttelettes de sperme. Puis je pris le gland entier en bouche pour lui faire la meilleure fellation qui soit.
Je sentais que je mouillais incroyablement. J'avais envie de me caresser mais je n'ai pas osé. Je le pompais encore et encore de longues minutes. Sa bite était tellement dure,
tellement vigoureuse. Je la voulais en moi.
Il se baissa m'embrassa et m'allongea. Il avait pris soin de mettre sa chemise entre la moquette et moi. Il me retira mon string et se plaça entre mes jambes. Dans un
instant de lucidité, je lui dis que j'avais des capottes dans mon sac. Je dûs retourner dans mon bureau les prendre. Oui j'ai traversé le couloir complétement nue !!!
A mon retour, au lieu d'en mettre tout de suite, il m'allongea de nouveau et me caressa la fente avec sa bite. Puis il s'enfonça !!! Mmmmmm ce morceau de chair qui
s'enfonçait en moi. Il ne voulait visiblement pas mettre de capotte. J'ai du insister et il s'excusa. Il la mit rapidement pour s'enfoncer enfin en moi. Je n'y avais pas pensé
mais j'ai ressenti de la douleur au début. Comme une première fois. Elle était si grosse ! Mmmmmmm Il commença tendrement à me faire l'amour.Il allait et venait
tendrement de plus en plus loin. Trop loin. Il comprit que j'avais mal. Un vrai gentleman je pensais. Au fur et à mesure, il commença à me limer, à accélérer.
Je lui dis dans l'oreille "oooh oui encore, prends moi bien" C'était sorti tout seul. Il continua plus fort. Je serrai ses fesses tellement je voulais crier. IL gémissait de plus
en plus. Je commençais à entendre ses couilles claquer sur ma chatte. Mmmmm oui encore vas y prends moi bien. Le gentleman avait laissé la place à un homme
très viril qui soumettait sa partenaire. Oui je me sentais de plus en plus soumise. Il m'invita alors à me lever ce que je fis sans broncher. Il me fit me pencher en avant
en m'appuyant sur le bureau afin de me prendre par derrière. Il me pénétra cette fois-ci sans le moindre problème. Ma chatte ouverte comme jamais auparavant.
Il me prit doucement mais pris pas autant de temps que tout à l'heure pour accélérer le mouvement. Mmmmm Son bassin claquait contre mes fesses. Je me pensais
star du X à ce moment là. Et j'ai pour joui pour la deuxième sans qu'il ne s'en rende compte puisqu'il ne s'est pas arrêté. Je n'en pouvais plus.
Je me demandais comment ce si gentil garçon pouvait se transformer en une telle bête de sexe. Il s'arrêta et m'accorda un court répit. Il s'allongea sur le dos. Je
compris qu'il attendais que je le chevauche. Le désir une fois de plus eu le dessus et j'eus envie de m'enfoncer sur ce pieux énorme qu'il branlait.
Cest ce que je fis et il me baisa sans ménagement cette fois-ci pendant quelques minutes en m'écartant les fesses et en s'approchant dangereusement de mon
petit trou.
Mais les frottements commençaient à être très douloureux, malgré la cyprine. Je lui fis savoir. Et à ma stupeur, alors qu'il était encore en moi, il me demanda
avec tout de même une certaine gêne si j'aimais par là, en me caressant le petit trou. Je lui avouais que je l'avais rarement fait mais j'appréciais. Je lui dis aussi
que vu son sexe, ce serait impossible. J'étais une nouvelle fois terriblement excitée d'imaginer l'engin dans mon petit trou. Je voulais me sentir salope. Je lui dis : "je
veux bien essayer". Il me demanda de m'allonger sur le ventre, se plaça et caressa mon petit trou avec sa queue. Cela a duré un moment. Il arrivait à me caresser la
chatte en même temps. Il mouillait la capotte tantôt avec de la cyprine tantôt de sa salive. J'étais mal à l'aise mais j'en avais tellement envie qu'il me sodomise.
Je m'abandonnais à ce stagiaire, j'allais passé pour une vraie salope et ça me plaisait. Je sentis alors une pression sur mon petit trou qui commençait à céder.
Il entra son gland en continuant ses caresses. Cette sensation "mmmmm oui vas-y", il s'enfonça un peu plus et là je sentis l'énormité de sa queue. Encore un peu et je commençais
à avoir l'impression qu'il me déchirais l'anus. Je lui dis "doucement". Il s'arrêta de s'enfoncer et bougeait doucement dans mon cul. Mmmm c'était bon. Il me dit alors :
"t'es toute serrée. Je n'en peux plus, je vais craquer" J'ai alors eu le réflexe de bouger les fesses à cause de l'excitation. Il accéléra le mouvement non sans s'enfoncer
encore plus loin en me disant : "je veux jouir sur tes fesses". "Oh vas y, sur mes fesses, vas y !" Il se retira de mon petit trou, se débarrassa de la capote et se vida
littéralement sur mon cul. Une quantité impressionnante de sperme coulait sur et entre mes fesses. C'était si chaud. Il caressait sa queue sur mon cul. J'étais comblée.
De longues minutes furent nécessaires pour reprendre nos esprits. Je ne savais pas quoi dire. Je me suis juste rapprochée et collée à lui.
Il se leva alors pour s'habiller. Je lui demandais d'aller me chercher du papier dans les toilettes.
Ayant repris nos esprits, il me dit :"c'est comme dans mes rêves. J'ai tout de suite craqué sur toi. T'es tellement sexy, brillante." Il me raccompagna un bout de chemin
en me disant que ça vie était un peu plus compliqué que ce qu'il n'y paraît et qu'il devait se dépêcher de rentrer.
J'étais un peu déçue mais ça ne changeait rien à la soirée folle qu'il m'a fait passer. Ce n'était que la première d'une longue série et avec le recul, c'était probablement
l'une des moins folles.
D : si tu lis ce récit, j'espère que tu le trouveras fidèle à ce qui s'est passé. Prends de toi et à bientôt peut-être.
J'espère que ce récit est digne de ce site si particulier. S'il vous a plu, je vous narrerai la suite dès que j'aurais un moment.
Bisous à toutes et à tous.

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