Sa Vraie Nature 4

Chapitre 4.
Le trajet fut long , elle était toujours habillée en soubrette ,il l’avait allongée sur la banquette arrière les mains liées dans le dos , les pieds entravés. Une corde reliant le tout et l’obligeant à avoir les jambes relevées..
La voiture stoppa, elle entendit le ronflement du portail électrique et la voiture pénétra dans un jardin .
Il descendit et la laissa là dans cette position.
Le soleil à travers les vitres lui brûlait la peau .
Soudain la portière s’ouvrit, des mains détachèrent la corde et lui délièrent les pieds.
Il saisit la laisse et la tira hors de la voiture.
Elle avait des fourmis dans les jambes et maladroitement elle le suivie.
Il se dirigea vers un pavillon , ouvrit une porte et l’entraîna dans un escalier sombre.
Elle se trouvait dans une cave voûtée , le sol était dur .
Arrivés devant un mur , il détacha ses mains, lui ôta sa robe et son tablier ne lui laissant que ses bottines à talons.
Il lui lia à nouveau les mains dans le dos, la fit mettre à genoux et fixa la laisse à un anneau qui dépassait du mur.
Tout cela sans un mot, il s’en alla ,elle entendit la porte se refermer.
L’atmosphère était lourde, humide , elle commençait à transpirer.
Il avait éteint la lumière, et ses yeux mirent un certain temps à s’habi à l’obscurité.
Elle se demandait ce que la suite de la journée lui réservait.
Que faisait elle là, nue attachée à m^me le sol , en laisse comme une chienne.
Elle était folle, si elle était tombée sur un malade, personne ne savait où elle était, le pavillon était isolé et elle ne pouvait pas se défendre ou crier.
Au bout d’un moment qui lui sembla interminable , il redescendit et sans un mot posa devant elle deux gamelles , une remplie d’eau et une autre contenant ce qui lui sembla être du riz.
Puis il repartit.
C’est vrai qu’il faisait chaud et qu’elle n’avait rien avalé depuis ce matin, mais elle n’allait quand même pas manger dans cette position .


Néanmoins après un long moment elle ne put résister, il faisait trop lourd dans cette cave.
Elle se mit à genoux devant les bols et baissant la tête elle se mit à laper l’eau comme une chienne.
Abandonnant toute pudeur elle se mangea quelques bouchées de riz,.les grains lui collaient au menton .
Toute à son affaire elle n’avait pas remarquée sa présence debout devant elle , l’observant.
Elle se redressa honteuse.
- Continue tu es belle ainsi, je t’aime en chienne.
- Vous êtes un fou je veux m’en aller.
- Comme vous voulez, dit il en détachant la laisse, mais vous me décevez j’avais cru comprendre que tout cela vous plaisez.
Des larmes coulèrent sur ses joues.
- Oui maître je veux rester , excusez moi.
- Voilà qui est mieux, rappelez vous il vous suffit de prononcer . »rose rouge » pour que tout s’arrête et que vous retourniez à votre petite vie.
- Oui Maître je le sais.
- Parc contre votre attitude mérite une punition ne croyez vous pas ?
- Oui Maître , je mérite votre punition.
Il l’a mis debout , la plaqua face contre le mur, détacha les mains de sa soumise et fixa celles ci à un anneau en fer .
- Ecarte tes jambes au maximum et cambre toi, je vais te punir et tu me remercieras.
- Oui maître je suis à vos ordres.
Elle senti les lanières du martinet caresser son corps lui déclenchant un frisson le long du dos.
Il commença à frapper la croupe offerte , d’abord doucement puis de plus en plus sèchement.
Elle se retenait de crier, elle ne voulait pas l’agacer.
Les coups maintenant atteignaient son dos et il frappait de plus en plus fort.
Elle se contorsionnait à chaque impact tirant sur ses liens..
- Ce n’était qu’un hors d’œuvre maintenant tu vas compter chaque coup.
- Oui maître dit elle en reprenant son souffle. .
Le premier coup cingla ses fesses , il s’arrêtait entre chaque coup pour l’entendre compter et remercier. Au bout de 20 coups sur chaque fesse et sur son dos il s’arrêta.

- Bien , maintenant dis moi si tu en veux encore ?
- Oui Maître j’en veux d’autres.
- Combien chienne ?
- 10 maître .
- Alors disons 15 sur chaque fesse.
- Oui Maître merci Maître.
Les coups recommencèrent plus violents cette fois , elle ne pouvait plus compter , cette fois elle criait, pleurait.
Enfin il s’arrêta. Massa doucement les fesses meurtries, l’embrassa dans le cou .
- Je suis fier de toi, si tu savais comme tu es désirable ainsi, lui murmura t il à l’oreille.
Ces mots lui firent un instant oublier la douleur, elle ne comprenait pas le plaisir qu’elle éprouvait d’être ainsi humiliée mais bizarrement elle se sentait pleinement femme, désirée.
Les mains caressèrent ces seins gonflés , elle s’écarta du mur pour lui faciliter la tâche.
Il descendit lentement le long de son ventre et caressa doucement le sexe nu et offert.
Elle commença à gémir, il introduisit un puis deux doigts dans la cavité humide et commença un mouvement de va et vient lent tout en l’embrassant dans le cou et en lui caressant les seins.
- Tu as bien mérité une récompense je veux te voir jouir..
Cette fois les contorsions et les gémissements n’étaient plus guidés que par le plaisir de ces doigts qui la fouillaient.
Elle remuait en cadence , cherchant à approfondir la pénétration à l’accélérer.
Mais il continuait sur le m^me rythme très lent qui la rendait folle , il introduisit sa langue dans son oreille et commença à lécher.
Cela décupla le plaisir, maintenant il allait plus vite, sa langue léchait le visage de la soumise .
Elle se cambra dans un spasme , tirant comme un folle sur les liens, un cri lui échappa puis elle sentis ses jambes l’abandonner.
Il retira ses doigts et lui passa ceux ci sur les lèvres, elle sortit sa langue et lécha .
- Décidément tu es vraiment née pour être soumise.
- Merci Maître .
Retourne toi maintenant. Elle obéit, plaquant son dos contre les pierres froides.

Il se baissa , et lia les jambes de sa soumise à deux anneaux qui lui maintenaient celles ci écartées et tendues.
Il lui noua un bandeau autour des yeux.
Elle cria quand elle sentie les pinces sur ses seins.
Il caressa lentement le sexe rasé puis écartant les lèvres il fixa une pince sur chacune.
Elle hurla, mais elle ne pouvait se débattre car les liens la maintenaient.
Elle ressentie une douce sensation quand la langue de son Maître s’insinua , mordillant son clitoris.
Mais la caresse fut de courte durée.
Il se redressa.
- Il faut que je prépare la réception de ce soir. Je viendrai te chercher tout à l’heure.
A nouveau les pas qui s’éloignaient, le bruit de l’interrupteur que l’on éteint et de la porte que l’on referme.
Elle resta seule dans l’obscurité, liée contre ce mur froid.
Les pinces lui faisait mal mais elle commençait à s’habi à cette douleur.
Elle avait envie qu’il revienne , elle voulait lui prouver sa docilité, sa reconnaissance de lui faire découvrir sa vraie nature

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