Petite Annonce

Je vais vous conter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années. Tout d’abord, je me
présente. Je m ‘appelle Helen, étudiante en droit à l’époque, 19 ans, jolie brunette aux cheveux mi
longs et aux yeux noisette. Je sortais avec Alex, étudiant lui aussi, même âge, tous deux sans
grande expérience de la vie en général et du sexe en particulier. C’était un gentil garçon,
prévenant, discret, sans beaucoup d’imagination et pas très porté sur le sexe, plus préoccupé par
ses études. Nous avions cependant des relations régulières mais plutôt « classiques » qui me
laissaient sur ma faim. J’éprouvais du plaisir lors de nos étreintes mais il me manquait un peu de
piment. Et même si aux yeux de la plupart des gens que nous connaissions nous formions un beau
couple, je fantasmais sur des relations avec des hommes murs, vicieux, bien membrés et endurants
qui sexuellement auraient été capable de me dominer, sans parler de sm, mais d‘hommes qui savent ce
qu‘ils veulent et qui font tout pour l‘avoir. Fantasmes entretenus par les histoires que je pouvais
lire sur certains sites ou par les quelques films pornos que j’avais pu voir sur internet. Par
ailleurs, je m’étais rendu compte du regard que certains hommes d’une quarantaine voire une
cinquantaine d’année me portaient, je savais que je leur plaisais, je lisais dans leurs yeux ce
qu’ils auraient aimé me faire subir, ça m’excitait mais par timidité ou de par mon éducation je ne
faisais que fantasmer
C’est comme cela qu’un jour, alors que j’écumais les annonces pour me trouver un job d’étudiant sur
internet, je me retrouvais sur un site de sexe…. Après avoir lu quelques histoires qui m’avaient
excité au plus haut point je continuais à surfer sur les petites annonces de cul, plus cochonnes les
une que les autres, qui maintenaient mon état d’excitation à son paroxysme.

Je ne sais pas ce qui
m’a pris à ce moment là, mais je sélectionnais une annonce « homme 45 ans, chef d’entreprise,bonne
queue bien juteuse, cherche assistante 18-25 ans aimant sucer, annonce sérieuse». Après une légère
hésitation, vite balayée, je décidais d ‘envoyer un mail. Après tout ça n’engageait à rien … Je
rédigeais donc un mail assez chaud qui suggérait en substance que j’étais une petite salope en
manque d’expérience -ce qui n’était pas faux- à la recherche d’une bonne queue à sucer.

Je consultais compulsivement ma boite mail pendant plusieurs jours dans l’espoir d’une réponse, en
vain. Puis, alors que je n’y croyais plus, un mail m’attendait, chaleureux, bien rédigé, expliquant
sa démarche, me faisant presque rougir d’avoir était si crue dans mes propos. A la fin du message le
nom d’une entreprise, un contact -Philippe- et un numéro de téléphone.

J’hésitais entre l’envie et la peur d’appeler… Pendant plus d’une heure, je tergiversais… puis finis
par composer le numéro indiqué. Une voix féminine répondit, je faillis raccrocher mais timidement je
demandais à parler à Philippe. Une voix grave plutôt agréable prit le relais, je me présentais -
Helen- et après m’avoir exposé ses attentes à savoir qu’il recherchait une assistante jeune,
féminine, sexy, pour , pour organiser ses déplacements d’affaire et l’accompagner et disponible à
tout moment pour je cite « le sucer« . Nous décidâmes d’un rendez vous, au siège de l’entreprise à
17h le lendemain.

Le lendemain, après avoir passé une nuit agitée, stressée, je me présentais au rendez vous. Une
secrétaire m’introduit dans le bureau de mon interlocuteur. C’était un bel homme, souriant, mince,
grand, les cheveux châtains courts, yeux verts, vêtu d’une chemise grise et d’un pantalon en toile
noir, décontracté et sûr de lui.

- je suis en entretien et ne veux être dérangé sous aucun prétexte, ordonna-t-il à la secrétaire
- Bien Monsieur, répondit elle

Il me détailla un instant, l’air satisfait par la vision que je lui offrais, j’étais habillée avec
un haut près du corps , un peu décolleté, noir et une jupe longue, des chaussures avec un petit
talon.


- Assieds toi Helen me dit il en souriant. Alors comme ça tu aimes sucer les bonnes queues ? lança-
t-il à la fois amusé et satisfait. Je bredouillais quelque chose d’incompréhensible en rougissant,
ce qui fit accroître davantage son amusement. Il m’exposa en détail ce qu’il recherchait, me
demandant si j’étais disponible, si je pouvais le suivre en déplacement, puis la conversation prit
un tournant plus personnel, plus intime. Bien calé au fond de son fauteuil , décontracté, il
m’expliquait qu’il était marié mais qu’il était attiré par les jeunes femmes sexy comme moi, et
qu’il adorait se faire sucer . ..
Puis il me demanda ce qui m’avait poussé à répondre à son annonce. En substance je lui expliquais un
peu gênée que j’étais étudiante, à la recherche d’un job qui puisse correspondre avec mes horaires
de cours, que j’avais un copain mais que sexuellement je m’ennuyais et que je voulais trouver un
homme d ‘expérience pour m’initier… Je devais lui faire de l’effet car mon regard fut attiré par le
frottement de sa main contre son entrejambe. Une bosse déformait sa braguette. Je sentais son regard
sur moi, mon trouble devait l’exciter au plus haut point. Doucement, sous mon regard ahuri, il
déboutonna sa braguette et plongea sa main sous le tissus pour en extraire une queue de bonne
taille, en tout cas un peu plus longue et surtout plus grosse que celle de mon copain. Je ne pouvais
détacher mon regard de cette bite épaisse et veinée surmontée par un énorme gland violacé. La main
de l’homme coulissait doucement le long de cette tige de chair palpitante, tandis que son regard me
fixait intensément, il se branlait devant moi. Je commençais à avoir un peu chaud, je devais être
rouge comme une pivoine, j’étais à la fois gênée et en même temps je ressentais une agréable chaleur
au creux de mon ventre.

- Elle te plait ? Me demanda-t-il .
Je ne répondis pas.
- Approche. Sans un mot, les yeux toujours rivés sur son entrejambe, comme hypnotisée, je me levais
et m’approchais de lui. Il m’ordonna de m’agenouiller entre ses cuisses. Privée de volonté je
m’exécutais et m’agenouillais entre les cuisses de cet homme que je ne connaissais pas.
Instinctivement ma main remplaça la sienne et je me mis à le branler doucement. Ma main coulissait
sur toute la longueur de son sexe. Je penchais la tête, déposais un léger baiser sur le gland, puis
le léchais délicatement . La peau était douce et soyeuse, une légère odeur d’urine et de
transpiration en émanait. Il avait un goût légèrement salé, pas déplaisant. Ma langue continuait son
exploration sur toute la longueur de la verge jusqu’à la base puis remontait jusqu’au gland qu ‘elle
se remit à lécher. Il me laissa explorer tranquillement son sexe de ma langue et de mes lèvres
pendant de longues minutes sans dire un mot.
- Prends la en bouche, m’ordonna-t-il en appuyant doucement mais fermement sa main sur ma nuque.
J’ouvrais instinctivement la bouche et sa queue glissa entre mes lèvres sur un tiers de sa longueur.
Je ne pouvais le contenir plus. Philippe poussa un soupir de satisfaction. Mes lèvres allaient et
venaient consciencieusement le long de la hampe tandis que ma main continuait à le branler, et à
caresser ses couilles en alternance. Son souffle était court, parfois il émettait un grognement, ce
qui m’excitait énormément. Si quelques heures plus tôt on m’avait dit que je me retrouverai à
genoux entre les cuisses d’un inconnu à lui tailler une pipe je n’y aurai pas cru et pourtant
c’était le cas et j’en mouillais ma petite culotte.
La prise sur ma nuque se raffermit un peu plus, et si jusque là il m’avait laissé faire, il se mit à
m’imposer son rythme, plus rapide. Il n’allait certainement pas tarder à décharger, je tentais de
me dégager mais il me tenait fermement la tête .

-Je vais jouir dit il d’une voix rauque. « Tiens prends tout » . Il explosa dans ma bouche. De
longues giclées de foutre épais, visqueux et chaud inondèrent ma langue et mon palais.
- Avale ! Je m’exécutais, de toute façon dans la situation où je me trouvais je n’avais pas
vraiment le choix, j’avalais jusqu’à la dernière goutte. Sans être très agréable ce n’était du reste
pas désagréable. Je n’avais jamais voulu le faire à mon copain et là cet homme inconnu m’imposait sa
volonté. Il ne relâcha la pression de sa main sur ma nuque que lorsqu’il se fut vidé complètement et
que sa queue commençait à débander.

Je me relevais en vacillant, un peu honteuse tandis qu’il reboutonnait son pantalon comme si de rien
était.
- Ça t’as plus ? Me demanda-t-il . J’acquiesçais de la tête. « Approche ». Je m’exécutais et me
plaçais devant lui. Il remonta ma jupe, glissa sa main droite le long de ma cuisse et remonta
doucement jusqu’à mon entrejambe, sa main se plaqua sur ma motte, à travers le slip je sentais la
chaleur de sa main qui irradiait jusque dans mon ventre. Mon souffle était court, ses yeux plongés
dans les miens m’hypnotisaient. Je n’osais bouger, attendant ce qui allait se passer. Il frotta
doucement la paume de sa main sur mon sexe, puis fit glisser un doigt puis deux sous le fin tissu ,
écartant délicatement les lèvres, un doigt glissa dans la fente détrempée.
- Ben dis donc, ça a l’air de te faire de l’effet de sucer une grosse bite comme la mienne, petite
cochonne. Je pense qu’on va bien s’entendre tous les deux. Sur ce, il retira sa main et me dit de
retourner m’asseoir me laissant sur ma faim.
- Si tu le souhaites, le poste est à toi me dit il, je crois qu‘on va bien s‘entendre. Après avoir
convenu des différentes modalités, il fut convenu que je commence mon nouveau travail dès la semaine
suivante.
- Ah j’oubliais, tu as un moyen de contraception ? Je répondais par l’affirmative. Fais un test et
ramène le lundi, je déteste les préservatifs poursuivit il.


Le lundi soir, après mes cours, comme convenu, je me rendis directement au bureau. L’accueil fut
chaleureux comme la première fois. Je tendis les résultats du test. Philippe le regarda avec
attention.
- Bien, bien dit il satisfait en tendant le sien. « Tout est parfait ».
Il s’approcha de moi. « Tu sais ce que j’attends de toi ? » Je fis un signe de tête affirmatif. Il
posa ses mains sur mes épaules et exerça une légère pression. Il me considérait vraiment comme une
pute, à peine arrivée, je me retrouvais à genoux devant lui. Tout bien considéré c’est-ce que
j’étais puisqu’il me payait pour cela. Je glissais ma main sur son entrejambe et sentais
immédiatement une protubérance dure que je caressais à pleine main doucement de bas en haut. Il
bandait déjà comme un âne. J’entrepris de défaire sa ceinture, puis toujours en le caressant à
travers le tissus du pantalon d’une main, je fis glisser la fermeture de la braguette de l’autre. Ma
main glissa à l’intérieur et fut directement en contact avec son sexe dur et chaud, il n’avait pas
de sous vêtement. Au contact de ma main il poussa un soupir d’aise qui me fit frissonner. Une
douce chaleur humide envahit mon ventre. Je sortis une queue qui paraissait encore plus énorme que
dans mon souvenir. Le gland complètement décalotté paraissait sur le point d’exploser, un liquide
s’en écoulait. J’admirais ce sexe, qui certes était loin d’être beau mais qui m’excitait au plus
haut point,l’imaginant me fouiller le ventre, me défoncer.
Je le pris en main et commença à le branler. La voix grave de Philippe me guidait, il m’ordonnait et
je m’exécutais. « Prends la en bouche maintenant » . J’obéissais à tous ces ordres . Je le pompais,
son souffle était court, parfois ponctué par un râle ou un grognement ou par des mots crus qui
m’excitaient encore plus. J’avais perdu la notion du temps, mais je commençais à avoir mal à la
mâchoire Sa main plaquée sur ma nuque ne me laissait pas d’autre choix que de continuer tant qu’il
le voulait. Puis, il tira fermement ma tête en arrière et se retira. Il me souleva, et je me
retrouvais assise sur le bureau. Son corps se plaqua contre le mien, sa bouche força la mienne, sa
langue glissa entre mes lèvres, une main dans le dos et une sur la nuque, il me tenait fermement.
Tout en continuant à m’embrasser, ses mains glissèrent, une sous mes fesses, l’autre entre mes
cuisses, remontant inexorablement sous ma jupe jusqu’à ma petite culotte qui devait être trempée.
Mon souffle était court et je grognais lorsqu’un doigt glissa sous le fin tissus et entra en contact
avec ma vulve dégoulinante de mouille.
- T’aimes ça on dirait dit il fièrement comme si ça ne dépendait que de lui. Il fit glisser
rapidement ma culotte, m’allongea sur le bureau, il m’attrapa par les hanches me tira doucement de
façon à ce que mes fesses soient bien au bord du bureau, prit son sexe dans la main et le guida
jusqu’à l’entrée de ma vulve. Il s’ajusta et une fois le gland bien positionné, il poussa lentement.
Malgré mon état d’excitation, ma chatte était étroite et son sexe épais. Je poussais un cri de
douleur lorsqu’il me pénétra. Il me tenait par les hanches et s’insinuait en moi inexorablement.
J’avais l’impression que mes chairs se déchiraient au fur et à mesure qu’il progressait dans mon
intimité. J’en avais les larmes aux yeux. Il me pénétra jusqu’à la garde puis s’immobilisa. Je
sentais ma chatte palpitais autour de cette queue.
- Ce que tu es étroite ! Dit il admiratif. C’est bon tu sais. Il resta un moment immobile, je
commençais à m’habi à cette intrusion. Il se retira doucement entièrement, puis me pénétra à
nouveau bien à fond, puis se retira doucement…. C’était dur et doux à la fois, la douleur c’était
estompée et je commençais à éprouver du plaisir, je gémissais. Il me limait tantôt doucement, tantôt
plus brutalement alternant les coups de boutoir. Je sentais monter le plaisir, lui aussi car ses
assauts se firent plus violents. Sa queue claquait dans mon ventre, me malmenait, ressortait parfois
entièrement de mon con pour replonger encore plus fort avec un bruit de succion. Il me défonçait
littéralement en grognant, parfois il me traitait de pute, de salope, « j’vais te remplir le ventre,
p’tite salope ». J’avoue que ça ajoutait encore à mon excitation. « Tiens prends tout » il déchargea
en grognant, sa queue me frappant avec force, je sentis mon vagin se contracter violemment sur sa
queue et je jouis aussi. Il me baisa encore quelques instants puis se retira. Il sortit une
serviette d’un tiroir et s’essuya la queue puis me nettoya délicatement la chatte et les cuisses.
- C ‘est bon pour ce soir, tu peux y aller. Repasse mercredi à la même heure.

Si vous avez aimé n’hésitez pas à me laisser un message… et je vous raconterai la suite

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