Petite Annonce 2

Je continuais à me rendre environ 2 ou 3 fois par semaine au bureau pour assouvir les besoins de mon
patron, le reste de mon boulot je pouvais le gérer par téléphone ou de chez moi. J’attendais avec
impatience ces instants de plaisir intense, j’aimais sa douceur et sa violence, j ‘aimais sa force,
sa virilité, son corps écrasant le mien, sa queue forçant mon intimité et me posséder sans
ménagement. La plupart du temps nous nous retrouvions au siège de sa société où il me baisait
copieusement sur son bureau quand tous les employés étaient partis ou dans l’appartement qu’un de
ses amis lui prêtait, dans ces cas là, c’était plus sensuel moins bestial mais tout aussi excitant.
Inutile de préciser que les rares fois où je faisais encore l’amour avec mon ami, je m’ennuyais
carrément.
Ce jour là, Philippe m’avait donné rendez vous chez son ami qui était partis en déplacement. Il
avait un appartement spacieux avec de grandes baies vitrées, bien aménagé, un grand canapé que nous
avions essayé à plusieurs reprises, un lit immense sur lequel je m ‘étais retrouvée menottée,
offerte et soumise, à cet homme qui me baisait comme une véritable pute. Malgré le fait que je me
faisais défoncer plusieurs fois par semaine par cet énorme pieux, ma chatte était toujours aussi
étroite et douloureuse lorsqu’il me pénétrait et il adorait ça. Il adorait voir mon visage crispé de
douleur, les larmes me monter aux yeux puis le plaisir prendre sa place.
Ce soir il avait plus de temps à me consacrer que d’habitude et voulait préparer un déplacement où
il m’invitait à le suivre. Quand j’arrivais il m’attendais déjà, il m’attira contre lui et
m’embrassa doucement sur les lèvres , sa langue s’enroula autour de la mienne, ses mains caressaient
doucement mon dos, ma nuque. Il m ‘amena jusqu’au divan, me servit un verre de Whisky, puis
recommença à m’embrasser entre 2 gorgées d‘alcool.

Je n‘avais pas l‘habitude de boire surtout
quelque chose d‘aussi fort et j‘allais être complètement pétée. Ses mains caressaient mon corps puis
glissèrent sous mon chemisier, caressaient doucement mes seins, pinçaient parfois les tétons ce qui
déclenchait comme une petite décharge électrique qui descendait jusqu’au creux de mon ventre. Je
gémissais doucement, j’essayais de le caresser également mais il m’en empêcha en immobilisant mon
poignée. Puis il déboutonna mon chemisier , sa bouche remplaça sa main sur mon sein et il me lécha à
travers le soutien gorge, son autre main était descendue et glissait entre mes cuisses, caressant ma
motte à travers le tissus , j’écartais un peu les jambes.
- T’es une vraie chienne, t’écartes les jambes comme une bonne petite pute que tu es… tu veux que je
te la mette hein ? Je ne répondais pas, il me restait un minimum de fierté. Un doigt glissa sous
l’élastique et continua à remonter jusqu’à ma vulve la caressant délicatement. Un deuxième doigt
rejoins le premier. Il écarta délicatement les lèvres. Mon souffle était court et par instant je ne
pouvais réprimer un gémissement. Un doigt inquisiteur força l’entrée de ma grotte humide et glissa à
l’intérieur avec facilité. Au diable ma fierté, j’écartais un peu plus les jambes pour facilité la
pénétration, le deuxième doigt vient rejoindre le premier dans ma chatte et il me branlait
doucement. Mon souffle se fit encore plus court quand son pouce vient en renfort sur mon clitoris
qu’il se mit à faire rouler. Je fus prise de frisson et je jouis sur les doigts de cet homme. Il
continua malgré tout à me caresser, tandis qu’il déboutonnait sa braguette et en sortait son
formidable engin. Il s’allongea sur moi, son corps lourd m’écrasait. Ses jambes forçaient les
miennes, il guida son sexe à l’entrée de ma vulve et poussa d’un coup de rein brutal jusqu’à la
garde ce qui m’arracha un cri de surprise et de douleur.

- Tu la sens bien ma queue hein ? Je vais te la mettre bien à fond , tu vas odorer. Il ne bougeait
pas. J’avais envie qu’il me baise et il le savait, mais il voulait que le supplie de le faire.
J’essayais de remuer mon bassin mais il était fort et il m’immobilisait complètement « Baise moi »
finis je par lâcher dans un souffle. Il ne bougeait toujours pas. « Je t‘en prie baise moi, j’en ai
envie, je n’en peux plus » . Le whisky que j’avais bu avait un effet déshinibiteur.
- Ca te plait une bonne grosse bite dans ton petit con hein ? « oui ».
- Je vais te baisais comme personne ne t’a jamais baisé ». Il commença ses mouvements de va et
vient, il faisait durer le plaisir. J’avais envie qu’il me défonce mais je savais qu’il me ferait
jouir de toute façon. Ses mains glissèrent sous mes fesses, ses doigts glissaient dans ma raie, puis
un doigt appuya sur ma rondelle. Je me crispais. Il insistais doucement tout en continuant à me
limer la chatte doucement. Je me détendais progressivement et son doigt réussit à forcer mon petit
trou me procurant des sensations nouvelles et très agréables. Les mouvements de sa queue
s’accéléraient tandis qu’un deuxième doigt glissait dans mon anus. Il me baisait en me branlant le
cul. Je jouis à nouveau. Il se retira, me fit mettre à genoux, le ventre sur le canapé, se plaça
derrière moi et fit glisser le gland de ma chatte à mon anus qu’il essayait de forcer doucement.
« Non pas ça » haletai je
-Détends toi ma chérie, tu vas adorer. Ses doigts allaient de ma chatte à ma rondelle, il me
lubrifiait avec ma mouille , ses doigts reprirent leur place dans mon cul qu’il essayait de
distendre, de son autre main il caressait mon clitoris. Tout en continuant à s’occuper du clitoris,
je sentis son gland prendre la place de ses doigts. Il poussa doucement, il était gros. Je sentis
une douleur mais pas trop intense, son gland m’avait pénétré, il se retira doucement et força un peu
plus, il progressait doucement dans mes entrailles.
J’avais le souffle coupé, puis après maintes
tentatives sa queue fut entièrement en moi « ça va ? «  me demanda-t-il. Je répondis par
l’affirmative. Il commença ses mouvements de va et vient d’abord doucement puis les coups prirent
plus d’ampleur et de force. Je gémissais et grognais comme une folle, il avait passé son bras gauche
autour de ma taille et me maintenait fermement, tandis que son autre main me branlait la chatte.
Avec ce traitement je ne fus pas longue à jouir à nouveau. Lui aussi, il se retira précipitamment et
déchargea avec des grognements obscènes son foutre épais, visqueux et chaud sur mes fesses et mes
reins.
Nous primes une douche ensemble nous lavant mutuellement et au cours de laquelle il voulut que je
lui fasse une fellation. Je m’activais consciencieusement sur sa queue qui ne semblait pas vouloir
connaître le repos, sa main posée sur ma nuque m’imprimait son rythme, mes mains faisaient rouler
ses bourses.
- c’est bon tu sais, tu suces divinement bien…
Puis il me releva, m’ordonna de m’appuyer contre le mur les jambes écartées, passa derrière moi et
après s’être enduit le sexe de gel douche, il me sodomisa une nouvelle fois. Je gémissais, poussais
de petits cris. Dans un souffle je lui demandais de me branler la chatte. Sans se faire prier il
glissa deux doigts dans mon con dégoulinant de mouille qu’il se mit à branler. Je jouis à nouveau
tandis qu’il déchargeait son foutre entre mes fesses. Nous terminâmes notre toilette puis rentrâmes
chez nous après qu’il m’eut donné rendez vous pour le lendemain au même endroit.

Le lendemain à l’heure fixée par mon amant, je sonnais à la porte de l’appartement. Comme la veille
un verre de whisky m’attendait. Nous bûmes tranquillement, tout en faisant les préparatifs du
déplacement que nous n’avions pas abordés la veilles. Il m’indiquait les tenues qu’il fallait que je
prenne, ma place à tenir lors de ses rendez vous.
Il fallait que je sois sexy et chic.
Philippe me resservait un 2eme verre lorsqu’une clé se fit entendre dans la serrure, puis la porte
s’ouvrit. Je sursautais tandis que Philippe parut surpris. Un homme de 45 ou 50 ans entra et parut
tout aussi surpris que nous de nous trouver là et un peu gêné.
- Excusez moi de vous déranger dit il contrit.
- Non c’est moi répondit Philippe, je croyais que tu ne rentrais que dimanche.
- Effectivement, mais j’ai dû écourter mon séjour.
Puis se tournant vers moi : « Tu ne me présentes pas ? »
-Helen, ma secrétaire.
-Charmante répondit l’homme en souriant et en me déshabillant du regard, absolument charmante. Tu as
le don pour choisir tes collaboratrices « Victor, enchanté » me dit il en me serrant la main.
- Moi aussi répondis je d’une petite voix.
Nous nous installâmes tous les 3, Victor s’assit à côté de moi sur le divan et Philippe en face dans
un fauteuil. . Les 2 hommes parlaient principalement entre eux, de temps en temps Victor me faisait
un compliment et je sentais son regard se poser soit sur ma poitrine soit sur mes cuisses, ce qui me
gênait un peu. Mas l’effet de l’alcool commençait à se faire sentir, tout au moins pour moi qui
n’avait pas l’habitude de boire, car je me sentais de plus en plus détendue.
Victor se proposa de nous préparer un repas vite fait et s ‘éclipsa dans la cuisine. Philippe vint
me rejoindre dans le canapé, passa son bras autour de mon cou et se pencha vers moi pour
m’embrasser. J’essayais d’esquiver.
- J’en ai très envie tu sais, me susurra-t-il à l’oreille. Il prit ma main qu’il posa sur son sexe
tendu sous le tissus de son pantalon. Je tentais de la retirer mais il la maintient fermement contre
son entrejambe.
Son autre main des posa sur ma cuisse et commença son ascension sous ma jupe. Une onde de chaleur
envahit mon ventre.
- Arrête suppliai-je le souffle court
- D’accord mais seulement si tu me laisses t’embrasser.
Je capitulais pour être tranquille, je n’avais pas envie que son ami nous surprenne comme ça. Sa
langue força mes lèvres, fouillait ma bouche, je soupirais sous ses baisers, la tête me tournait
légèrement. Je dû perdre la notion du temps car lorsque je repris mes esprits et le repoussais,
Victor était assis dans le fauteuil en face de nous, décontracté, son verre à la main et nous
regardait en silence. Je rougis d’un coup. Ma main était toujours posée sur le sexe de Philippe et
sa main était toujours sous ma jupe.
- Ne vous gênez surtout pas pour moi dit il en me regardant intensément, la voix un peu rauque en
buvant une gorgée.
Philippe m’embrassa à nouveau. Je tentais sans grande conviction de le repousser. Puis il me lâcha.
Inconsciemment mon regard se posa sur l’entrejambe de Victor, la situation lui avait fait de l’effet
car une bosse déformait sa braguette.
Nous passâmes à table pour manger un plat préparé congelé. Les 2 hommes burent une bouteilles de
rosé et au moment de partir, Victor objecta qu’il n’était pas très raisonnable de prendre le volant
avec tout ce que nous avions bu et nous proposa de nous héberger. Il nous laissa sa chambre et le
grand lit et prit la chambre d’ami.
Dès que nous fûmes seuls dans la chambre, Philippe ma plaqua sur le lit. J’essayai de me débattre,
je ne voulais pas faire ça avec son ami dans la chambre à côté qui pourrait sans nul doute tout
entendre. Mais la lutte était inégale; Il était bien plus fort que moi et après m’avoir immobilisé
les poignées d’une main, il déboutonnait mon chemisier de l’autre , sa bouche écrasa la mienne
étouffant mes protestations, tandis que sa main pétrissait mes seins. Je ne tardais pas à
m’abandonner. Ses caresses se firent plus douces. Il me lâcha et s’agenouilla entre mes cuisses,
enleva ma culotte. Il me caressait le ventre, puis descendait vers le pubis. Il plaça sa tête entre
mes cuisses, sa langue écarta délicatement mes lèvres. Mon ventre se creusait de désir. Il commença
à me lécher doucement, sa langue fouillait chaque repli de mon sexe se délectant de ma cyprine,
titillait le clitoris, puis essayait de me pénétrer. Il alternait les coups de langue faisant
doucement mais inexorablement monter le plaisir. Je gémissais, poussais de petits cris sous les
caresses habiles de cette langue experte. Mes mains s’étaient refermées sur sa tête et mon ventre
allait à la rencontre de cette bouche gourmande. Philippe avait décidé de sa langue dardée d’agacer
le petit bouton turgescent qui avait doublé de volume, le léchait, l’aspirait, le faisait rouler
sous ses lèvres. Simultanément, son majeur et son index me pénétrèrent et commencèrent un mouvement
lancinant de va et vient. A ce rythme là, je n’allais pas tarder à jouir, mais il devait le sentir
et adaptait ses caresses, il m ‘entretenait. Ses doigts sortirent de ma chatte détrempée et
glissèrent jusqu’à ma rondelle qu’il tenta doucement de forcer, sa langue suivi et il me lécha
l’anus. Il cracha, récupéra de ses doigts ma cyprine et de sa salive et de ma mouille lubrifiait mon
petit trou. Son majeur glissa doucement dans mon cul, je poussais un peu pour lui faciliter l’accès.
Il faisait des mouvements de va et vient, tournait lentement. Au bout d’un moment il se retira, puis
s’allongea sur moi. Ses jambes forcèrent les miennes, il guida sa trique à l’entrée de ma chatte et
poussa lentement et se mit à me limer doucement.
- Baise moi bien à fond le suppliais -je en haletant.
- On a le temps ma chérie dit il en se retirant. Déçue, j’allais protester mais il m’ordonna de me
retourner. Il fit glisser un oreiller sous mon ventre et s’allongea sur mon dos. Ses mains
écartèrent mes fesses et ses doigts recommencèrent à me dilater lentement. Quand il jugea que
j’étais prête il plaça le gland à l’entrée de l’orifice et commença à me baiser le cul. C’était
divin. Puis il se retira à nouveau, me retourna et m’enfonça à nouveau sa bite dans la chatte et
recommença à me baiser doucement. J’essayais de donner des coups de reins pour aller à l’encontre de
son sexe mais il savait se maîtriser. C’était lui qui décidait comment il me baisait et pas
l’inverse.
- Tu aimes petite cochonne ? Me demanda-t-il.
- Oui mais baise moi maintenant j’ai envie que tu me fasses jouir
- Ne t’inquiète pas-tu vas être baisée comme tu ne l’as jamais été, ma chérie.
A ce moment là je sentis une présence à côté de moi sur le lit. J’essayais de me dégager mais en
vain. Victor s‘allongea sur le dos complètement nu et bandait comme un âne. Sa queue se dressait
fièrement. Elle paraissait un peu moins longue que celle de Philippe mais tout aussi large et le
gland paraissait énorme. Elle était entourée de poils noirs. Je ne savais pas depuis combien de
temps il était là mais il avait sans doute assisté à une bonne partie de la scène.
- Tiens toi tranquille souffla Philippe, tu vas adorer. De toute façon dans l’état où tu es, tu n’en
es plus à un coup de pine prêt, pas vrai ?
Je n’osais plus bouger, nous étions tous les 3 immobiles.
- Tu vas te tenir tranquille ? me demanda Philippe
- Oui
- Très bien
Victor pris ma main et la posa sur son mandrin et la faisait coulisser sur sa hampe. Philippe repris
ses mouvements et me baisait tandis que je branlais son ami. Je fermais les yeux . Puis Philippe se
retira prestement.
- Vas y baise là dit il a Victor. Les 2 hommes me prenaient vraiment pour une pute. Dans un ultime
sursaut de pudeur j’essayais de protester et de me débattre mais Victor se laissa tomber lourdement
sur moi et m’enfila d’un coup de rein brutal. Ma chatte largement ouverte avala son membre avec un
bruit de succion et il se mit à me pistonner à grands coups de reins. Il était moins habile que
Philippe mais j’étais tellement excitée que ça n’avait aucune importance. Je sentais sa queue
m’emplir complètement Mes jambes se nouèrent autour de ses hanches, je voulais sentir sa queue au
plus profond de moi. Je poussais un cri à chaque coup de boutoir.
- hum t’as vraiment l’air d’aimer ça, petite cochonne…. Tu la sens bien ma bite…. T’aimes te faire
défoncer par une grosse bite hein ? … J’vais jouir… Il inonda ma grotte de son foutre, puis roula
sur le côté. Sans me laisser le temps de réagir Philippe remplaça Victor et me baisa à nouveau,
comme un forcené.
- Victor et moi on va te remplir le con comme jamais il ne l’aura été. Sur ces mots il déchargea. Ma
chatte se contractait sur sa trique et je jouis également.
Il nous fallut quelques minutes pour se remettre, puis nous primes une douche tous les 3.

J’espère que vous avez pris autant de plaisir à lire cette histoire que je n’en ai eu à l’écrire… Et
n’hésitez pas à laisser vos commentaires

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