Soumise Pour Un Prêt

Il y a quelques semaines, une collègue de travail m’a fait part de ses soucis financiers. Elle devait négocier un prêt avec sa banque.
Fanny est une jeune mère de famille de 32a. Elle est de taille moyenne, châtain et pour la moins jolie comme un cœur. Nombre de ses collègues la trouvent bandante avec ses petits nichons fermes, son jolie cul de sportive et ses yeux clairs. Aussi, sur le ton de la plaisanterie, je lui ai conseillé de jouer de ses charmes pour obtenir gain de cause… Elle a paru surprise, puis m’a dit que cela ne marcherait pas. Je lui ai demandé pourquoi, elle m’a répondu que son conseillé devait en voir des plus jolies et qu’en plus, la décision revenait toujours au directeur d’agence.
« Ben tu lui fais du gringue à lui ! »
« C’est une femme ! Je n’ai aucune chance !!! »

J’ai expliqué à Fanny que ses charmes étaient largement à la hauteur en ce qui concernait le conseillé. Pour la directrice, fallait faire confiance à ce type. S’il voulait « consommer », il devrait convaincre sa patronne. Fanny m’a alors dit qu’elle ne se voyait pas expliquer ça à son mari. Je lui ai répondu qu’elle n’y était pas obligée… Puis, nous avons cessé note conversation.

Lundi dernier, elle avait une petite mine. Je lui ai demandé pourquoi, elle a haussé les épaules et m’a répondu :
« J’ai écouté ton conseil. Et maintenant, je vis une histoire qui me dépasse !!! »
Cette révélation, je veux vous la raconter, comme Fanny me l’a contée. Aussi, j’écrirais à sa place.

L’après midi même, je me décidais à prendre un RDV avec le conseillé. Je savais que ma seule chance résidait dans mon charme et dans l’usage que j’en ferais.
48 h plus tard, à 14h, j’entrais dans le bureau de l’homme. Je portais une courte robe blanche et un string blanc. Rien d’autre. Je pensais que l’homme se contenterait de ce rincé l’œil. Mon mari ignorait ma mise en scène, il savait seulement que j’avais un RDV.


L’homme, d’environ 30 ans, me fit assoir dans le fauteuil face à son bureau. Un fauteuil bas et profond… Je me rendis compte que cela allait dévoiler mes jambes beaucoup plus que prévu.
Il étudia le dossier, me posant des questions et je vis qu’il me matait sans vergogne. Je ne sais pas pourquoi, mais je décidais d’écarter les cuisses, juste assez pour qu’il voit mon string ! Il n’en perdit pas une miette, mais resta très pro.
Au bout d’un moment, il déclara :
« Votre dossier n’a aucune chance de passer, en l’état. Cependant, vous semblez extrêmement motivée si j’en juge par le spectacle que vous m’avez offert. Je vous propose de soumettre cette demande à la directrice. J’en ai pour une dizaine de minutes. Elle seule peut trancher. Je sais qu’elle propose, parfois, des solutions « sur mesure ». Ok ? »
« Oui »
« Dans ce cas, pour qu’elle sache que vous êtes motivée, je vous demanderais de me remettre votre string ! »
Abasourdie, je restais un moment sans bouger. Puis, rouge comme une tomate, je levais les fesses et faisais glisser le string et le lui donnais. Souriant, il le mit dans sa poche, puis sortit.

Moins de dix minutes plus tard, il revenait.
« Nathalie accepte de vous recevoir. Etes vous bien consciente de ce qui va se passer ? »
« Heu.. Pas tout à fait, enfin je ne sais pas trop… »
« Si vous lui plaisez et qu’elle pense pouvoir assurer le prêt « sur la bête », elle va vouloir vous faire tester par mes soins. En clair, il va falloir « passer à la casserole » ! »
Je m'en doutais, j’espérais y couper, mais c’était idiot.
« Je suis prête à le faire si besoin. »
« Un dernier détail, as-tu la chatte rasée ? »
« Oui, complètement. »
Il sourit et me prenant par la main, il me conduisit vers le bureau de la directrice.
Nathalie est une superbe femme de 45a, brune à la peau mate, grande (1,75m), des seins sublimes mis en valeur par une robe qu’on croirait cousue sur elle tant elle est moulante.
Une ultra courte, osée, mais divinement portée. Elle est assise derrière son bureau et mon string est posé devant elle, déplié et incongru !
« Ote cette robe, que je vois comment tu es gaulée. »
Directe et un poil méprisante. A l’évidence, elle sait et aime commander. Tremblante, je retire mon unique vêtement.
« Belle femelle. Rarement vu un tel potentiel après deux mômes !!! Mon cher David, je pense que tu as trouvé une prétendante à nos soirées. Reste à la tester sans tarder. Assied toi sur ce fauteuil ma belle, David va te donner une belle sucette ! »
Je m’exécutais et l’homme vint vers moi. Il sorti son sexe, moyennement long, mais très gros. Jamais je n’en avais vu une aussi grosse en vrai. Il posa une main sur ma tête et m’ordonna de sucer. Je me suis mise à l’ouvrage. J’ai toujours aimé sucer, mais la taille de sa bite m’obligeait à ouvrir grand la bouche, ce qui me provoquait des crampes dans la mâchoire. Il commença à me limer la bouche, me maintenant son gland au fond de ma gorge de longues secondes. Il se montrait assez violent, comme s’il voulait m’éprouver. J’en avais les larmes aux yeux.
« Il est temps de lui ramoner la chatte ! Elle mérite que tu la bourre à fond… »
Il me fit mettre à genoux sur le fauteuil et il pénétra brutalement la moule, d’un coup puissant qui me fit hurler à la fois de surprise et de douleur. Puis, il se mit en mouvement, me pistonnant comme jamais je ne l’avais été. Très vite, je sentis un orgasme me submerger. C’était une révélation pour moi. J’adorais être brutalisée et cette double domination me ravissait.
Nathalie nous regardait avec attention. Parfois, elle lui demandait plus de vigueur. Trois fois, il me fit jouir ainsi.
« Il est temps de lui ramoner la rondelle. Elle me semble étroite de la pastille ! Va falloir me la défoncer cette salope !!! »
L’idée d’être sodomisée ne me plaisait généralement pas trop. Je le l’acceptais que très rarement et mon mari ne m’enculait pas plus d’une ou deux fois l’an.

David sorti sa pine de chatte béante et il écarta mes fesses.
« Houlà ! C’est serré ce petit trou… Elle va déguster la môme. Soit bien docile et détend toi, sinon tu va avoir très mal, ma poule !!! »
« Non, s’il vous plait, ne me sodomisez pas. Je suis pas habituée. »
« Justement idiote, il faut qu’on t’éclate le cul si on veut récupérer notre fric ! David est un expert, alors laisse toi faire et tout ira bien !!! »
Déjà, il forçait l’entrée avec son énorme gland. En trois poussée, il eut franchit mon anus. Je pleurais et criais, mais il me la mit entièrement avant de m’accorder un temps de récupération. Puis, il commença à me bourrer le fion de plus en plus durement. Je fus stupéfaite de découvrir que j’aimais cette façon sauvage de m’enculer. Il me fit jouir, juste avant de se vider dans mon cul éclaté.


A suivre

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