Un Prêté Pour Un Rendu

Cela fait un petit moment que je m’amusais avec mes diverses partenaires par des jeux BDSM, elles connaissent mes penchants mais ne sont pas trop partante pour diriger.
Un soir, je n’avais rien à faire et plutôt que de rester à ruminer devant ma console j’ai décidé de sortir boire un verre en ville. Je m’habille plutôt décontracté : jeans, chemise, bottes en cuir et une verte de costard (je suis plutôt jeans t-shirt au boulot donc ça me change un peu)

J’arrive près du quartier des bars et je mets un moment à trouver une place, mais après quelques tours de quartier, je finis par trouver.
Je me dirige vers un de mes bars favoris, qui a toujours un large choix de bière à la pression. Je m’installe et commande au patron une pinte, après l’avoir salué vu qu’on se connait depuis le temps.
La soirée se passe tranquillement, des connaissances ont fait un saut et j’ai bu avec eux.

A un moment, je me fais bousculer par une femme qui cherchait à passer, on s’excuse mutuellement malgré l’échange certes bref, nous fumes tous les deux absorbés par le regard de l’autre avant qu’on me sorte de mes pensées.
Je tachais de retrouver la femme mais pas moyen, donc je retournais à ma table.
Mes amis me laissèrent car ils avaient une soirée de prévu, et je me mis à discuter avec le patron quand il ne servait pas, quand soudain il revint avec un shooter pour moi en me disant :
« de la dame là-bas au fond, pour s’excuser de tout à l’heure, a-t-elle dit »

Je reconnus mon inconnu et pris le verre en allant la rejoindre
- Je peux me joindre à vous ?
- Avec joie, c’est un peu moi qui t’ai rentré dedans
- Pas mal pour un premier contact, un petit rictus amical
- Oui, j’avoue, me répondit-elle en souriant en retour

Je m’installais en face d’elle et je pris le temps de la contempler, une femme d’une quarantaine d’année plutôt bien conservé, une longue chevelure rousse et un visage très mignon, elle n’était que peu maquillée, le plus flagrant était son rouge à lèvres limite flamboyant
Elle portait une robe assez sobre mais mignonne avec un décolleté léger mais s’étant penché vers moi et ayant un bras entre sa poitrine et la table, j’avais droit à un jolie décolleté qui attira vite mon regard
- Mes yeux sont plus hauts!
- Désolé, je me suis égaré
- Pas de soucis, j’ai l’habitude et je fais des fois un peu exprès
- Si en plus vous tendez la perche pour qu’on faute
- Oui j’aime assez ça
Je tiquais quelques secondes sur sa phrase et je remarquais qu’elle se mordillait légèrement la lèvre
- Joueuse à ce que je vois
- C’est loin de te déplaire
- En effet

Nos mains s’étaient rapprochés l’une de l’autre et elle commençait à jouer délicatement avec, je sentis en même temps quelque chose sous la table, son pied jouait avec ma jambe.


Le fait qu’elle me tutoie mais que je la vouvoie en retour ne me dérangeait absolument, au contraire ca semblait lui plaire.
- Je pense que mes intentions sont très claires
- Limpide
- Et ça te plait
- Assez oui

Je sentais que ces caresses du pied se faisait plus intenses et commençait à vouloir atteindre mon entre jambe, je lui facilitais le travail en me rapprochant pour qu’elle soit a porté, nos mains enlacés et nos regards qui ne se quittaient plus.
Ce qui nous entouraient n’avaient plus aucune importance à nous yeux, c’était juste elle et moi.
- Tu aimes ce genre de jeu à ce que je vois
- Oui, plutôt (sentant mon sexe gonflé par son petit manège)
- Ça te dit de passer au plat de résistance ? se léchant la lèvre au passage
- Oh oui !

Elle se leva dans un soupir et partis vers le bar non sans s’être arrêté et m’avoir posé un doigt sur la bouche en me disant « tu attends ici », j’acquiesçais et je la suivi du regard
Elle portait une ceinture noire à la taille qui affinait ces hanches ainsi des bottes à talons lui allant jusqu’aux genoux et le reste des jambes était nus. J’avais envie d’aller voir sous sa robe sans attendre vu comment elle m’avait excité, j’avais hâte qu’on passe à la suite.

Elle revint prendre son manteau et m’invita à faire pareil, je la suivais dehors et elle sortit une cigarette et l’alluma avant de tirer une bouffée. Je la trouvais encore plus belle donc son manteau noir
- Quoi ?
- Rien, je vous trouve très belle comme ça
- Merci, mon beau. Allez viens

Elle me prit par la main et nous commençâmes à marcher, le temps qu’elle finisse sa cigarette. Elle jeta le mégot et m’attira à elle pour m’attr le visage et m’embrasser, je me collais à elle et l’enlaçais de mes bras en répondant à son baiser
Nos langues jouaient, je sentais ces mains sur mon visages, qu’elles étaient douces, pour ma part je descendis une main sur ces hanches et l’autres vers ces fesses que j’empoignais
J’entendis un léger « humm » lorsque j’agrippais ces fesses, l’autre main rejoignit la première, un nouveau « hum », elle quitta délicatement ma bouche, me fixant toujours du regard.
Peu importe ce qu’elle faisait je sentais toujours une sorte de défi lorsqu’elle me regardait, comme si elle attendait que je cède le premier

- Petit coquin
- Je n’ai pas pu résister
- Tu les aimes mes fesses
- Plutôt, dans un léger sourire
- Allons continuer ça chez moi, ce n’est pas loin.
-
Elle prit la tête de notre escapade jusqu’à son petit nid, elle me devançait par moment juste pour m’aguicher en ondulant des fesses, la rattrapant et lui mettant la main au panier, lui faisant lâcher a un chaque fois un petit « oh, coquin », je répondais toujours oui à ces petites provocations.
Nous arrivâmes au bas de son immeuble et réalisais que sans le savoir je m’étais garé à quelque mètre de là ou j’allais passer un bon moment (et j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait à cet instant)
Elle ouvrit la lourde porte et je lui emboitais le pas, refermant la porte et me retournant je vis qu’elle avait retiré son manteau et me le tendait

- Nouveau jeu, tu récupère mes affaires jusqu’à ce qu’on arrive en haut et tu admires le spectacle mais pas le droit de me toucher, c’est clair
- Oui, madame
- Brave petit en me tapotant la joue, allez c’est partis

Elle se dirigea vers la cage d’escalier et commença à gravir les marches en roulant du cul de manière encore plus prononcé qu’avant. A mi- palier elle commença à défaire sa ceinture et jouer avec, la passant sous ces fesses et la faisant aller de droite à gauche.
Moi obligé de regarder, je sentais mon sexe qui me démangeait dans sa prison de tissu, un beau supplice qu’elle me faisait endurer mais j’aimais ca
Premier étage, la ceinture est déposé au sol, ma belle se penchant en avant pour relever au passage sa robe jusqu’au fesses, je du résister à l’envie de lui sauter dessus pour les dévorer
Me lançant un sourire narquois et plein d’envie également vu la bosse qui déformait mon jeans, elle reprit l’ascension, elle jouait à nouveau avec sa robe et au deuxième étage ce fut la robe qui tomba au sol, révélant un ensemble rouge assez classique mais qui lui allait très bien, reprenant la même pose qu’au premier étage, j’eu droit à une vue imprenable sur sa culotte visiblement trempé car je distinguais une auréole plus sombre
- Pfiou, ça devient difficile la
- Patience mon beau, c’est bientôt fini
- Visiblement je ne suis pas le seul qui soit mur
- Ça t’excite de me voir ainsi
- Oui
- Tu vas voir après
- J’ai hâte
Elle gloussa et grimpa plus vite les marches, je dus me dépêcher car j’entendis un bruit de porte et arriver au troisième étage je vis une porte ouverte, j’hésitais et je l’entendis m’appeler
- Allez ne sois pas timide, plus maintenant
Je rentrais dans l’appartement et refermait la porte
- Pose mes affaires sur la chaise, enlève ta veste et viens au salon
J’obtempérais et j’arrivais dans un salon très classe, deux divans en cuir, elle était sur l’un deux, complètement nues a l’exception des bottes, elle se caressait la poitrine (un bon 90B bien fait, des petites auréoles à croquer) et la chatte (le fameux ticket de métro)
- Wahou, quel accueil
- Tu as aimé mon jeu, moi oui
- Beaucoup
- Allez viens là, j’ai envie de toi
Elle arrêta de se faire du bien pour se lever et nous nous rapprochâmes, une fois à sa hauteur je commençais à la caresser délicatement, tandis qu’elle n’avait qu’une envie : me déshabiller
Ma chemise vola rapidement, vite suivi de la ceinture qu’elle passa autour de ma tête pour me ramener vers elle et m’embrasser à nouveau, je lui repris les fesses comme avant mais là je les avais dépourvu de tout vêtement, sa peau était d’une douceur incomparable
Elle quitta notre étreinte et attrapa d’une main la ceinture, l’autre allant sur mon sexe en érection qui ne demandait qu’à sortir de son étreinte de tissu

- Il n’en peut plus le pauvre
- Oui, il est à l’étroit
- Alors sors-le que je joue avec

Elle maintenait son étreinte autour de mon cou, pendant que je retirais le reste de mes vêtements, à peine furent-ils au sol qu’elle tira sur sa prise pour m’emmener dans sa chambre, je la sentais plus autoritaire ce qui était loin de me déplaire.

Elle me guida jusqu’au lit (un King size) moi derrière elle légèrement décalé, sa main gauche me tenant toujours avec ma ceinture et la droite jouant délicatement avec mon sexe, je posais mes mains sur ces hanches
- Tu es prêt à jouer
- Tout ce que vous voulez
- Vraiment tout
- Oui, tout
- Ne viens pas te plaindre après
- Promis
-
Se retournant vers moi, elle me toisa du regard d’une manière sévère et autoritaire et je me surpris à baisser les yeux

- Bien, j’aime les mecs obéissants. Allez coucher sur le lit
- Bien, madame. Je répondis spontanément
- Tu aimes ça, les femmes autoritaires ? en me branlant toujours
- Oui, madame
- Parfait

Je fus libéré de sa prise et je me mis dans la position demandé, elle sortit des entraves qu’elle relia à mes poignets, ces derniers relié à des lanières m’empêchait de bouger les mains
Elle plaça le même système sur mes pieds mais les laissant libre, lorsque soudain je sentis mes jambes relevés, laissant mon cul a l’air libre, elle lia mes pieds à mes poignets et voyons que j’étais surpris
- je t’ai prévenu avant, pas de plainte

Sur ces paroles, elle plaça un bandeau sur mes yeux, le noir complet.
Mon sexe n’avait pas débandé, au contraire ca m’excitait d’être ainsi. Je sentis ces mains l’enveloppé et le taquiner puis le contact d’une lanière en cuir qui enlaça la base de mon sexe et mes couilles, la lanière fut serrer et j’émis un grognement sur le moment où elle la referma.
J’entendis un cliquetis métallique, puis je sentis quelque chose sur moi, ces mains trouvèrent mon cou et je sentis un collier en velcro m’être posé. A nouveau le cliquetis, je reconnu finalement le bruit d’un mousqueton. La laisse en métal qui tomba sur mon torse m’arracha un petit « ah » de surprise et fut vite relié à la lanière autour de mon sexe
Un dernier cliquetis sur la même lanière et je sentis mon matériel être balloté par des à-coups

- voilà, tu es parfait comme ca
- qu’est-ce que…
Je fus interrompu par une claque sur le sexe
- tu te tais
- pardon, madame
- j’aime mieux ca

Je sentis le matelas bouger, et le bruit de ces talons sur le parquais de la chambre qui s’éloignait.

Je distinguais peu de chose avant de l’entendre revenir se placer devant moi
La lanière qui était relié à mon sexe fut tendu et je sentis mon sexe être a nouveau balloté, puis un bref mouvement d’air me frôla et je sentis au second passage les lanières en cuir d’un martinet, j’émis un petit cri plus de surprise que de douleur, le martinet revient à l’assaut quelque fois, je poussais à chaque fois le même cri ce qui faisait rigoler ma tortionnaire.
Elle le jeta par terre (je le perçu au bruit) et ce fut sa main qui vint caresser mon entrejambe, délicatement puis elle repassa avec ces ongles cette fois, me faisant grimacer de douleur mais je supportais ça.
Elle empoigna mon sexe et fit quelque va et vient avec avant de se pencher en avant vers lui, sentant ces cheveux sur moi. Elle souffla dessus, ce qui était plutôt frais et me fit gémir.
Le bout de sa langue fit le tour de mon gland et elle déposa ensuite un baiser dessus, ces petites attention mélangés à la masturbation douce et sensuelle qu’elle me prodiguait me faisait du bien, je gémissais de plaisir qui fut vite accompagné d’un râle plus intense quand je sentis qu’elle me prenait en bouche, hum que c’était bon, elle savait vraiment y faire.
J’aime les femmes qui savent faire une bonne pipe, je sentais ces lèvres allez et venir le long de mon sexe, que c’était bon. Elle continua me branlant en rythme, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu autant de plaisir à être sucé

- oh, bon sang
- tu aimes, mon beau
- c’est génial madame, j’adore

pour seul réponse j’eu un nouveau baiser puis elle cessa, dommage j’aurais bien aimé qu’elle me fasse jouir ainsi, visiblement elle avait prévu autre chose
J’entendais des bruits que je ne reconnais pas et soudain le froid au niveau de mes fesses, rejoins par deux doigts de madame qui jouait avec mon petit trou, l’autre main me caressant le sexe. Cela ne me laissait pas indiffèrent, je soupirais sous ces caresses et là je sentis ces doigts s’enfoncer en moi sans difficulté m’arrachant un soupir plus intense, elle commença à jouer avec

- visiblement tu n’es pas vierge
- non madame, j’ai déjà essayé, répondais-je entre deux soupirs
- tu aimes bien
- oh oui
- parfait

Un troisième doigt rejoint les deux autres et après quelque minute de ce traitement, je commençais déjà gémir de plaisir

- tu feules déjà comme une cochonne
- merci, madame c’est si bon

Ces doigts me quittèrent et je sentis quelque chose de plus gros se poser sur ma rondelle et sans trop de résistance, ce gode me pénétra de tout son long, j’hurlais de plaisir/douleur (car entre ca et des doigts, ce n’était pas le même calibre

- que c’est gros
- tu vas l’aimer je te le garantis

Une fois à fond, elle se pencha et m’embrassa, je répondis et nous échangeâmes un baiser intense qui suffit à nous comprendre, j’allais me faire baiser par cette femme et elle savait que j’allais aimer
Se relevant et prenant appui sur moi, elle commença son vas et vient qui me fit vite décoller dans les hautes sphères du plaisir, je gémissais tellement facilement, j’avais l’impression de ne rien pouvoir faire d’autre
Elle accéléra le rythme, j’hurlais encore plus. J’étais désinhiber complétement, je sortais des « plus fort », « oh oui, c’est bon », « baisez-moi comme une chienne » qui me surprenait mais m’excitait encore plus
Madame commença à gémir de plaisir, je compris que ce gode devait être double et qu’elle prenait aussi son pied, elle avait lâché mon sexe et retira mon bandeau et m’empoignant la tête, me fixa du regard
- je veux te voir jouir allez mon beau
- ah…ah… oui, maitresse, c’est bon
- allez jouis… jouis avec moi
Nous avons jouis ensemble, poussant chacun un râle puissant, et je découvris mon sexe maculé de sperme, elle m’avait stimulé la prostate comme une pro, j’avais jouis sans qu’elle me touche la bite
Je retombais et haletais de plaisir, ma belle baiseuse me libera le sexe et les membres et lécha tout mon sperme avant de l’avaler et de venir m’embrasser, je l’enlaçais amoureusement

- merci madame ce fut si intense
- merci à toi d’avoir joué le jeu, beaucoup d’amants ont peur des que je mets les doigts
- tant pis pour eux
- tout à fait

Elle me déposa un baiser sur le front et s’assit au bord du lit, enleva son gode-ceinture que je voyais pour la première fois, quel monstre

- waouh, il est immense
- tu l’encaisse plutôt bien, me caressant la jambe

Elle retira ces bottes et se dirigea vers l’armoire et en sortit deux serviettes

- je vais à la douche, remets toi tranquillement
- je ne garantis pas d’attendre sagement
- j’espère bien

Elle marchait sur la pointe des pieds, son corps était magnifique vue de profil, j’avais envie d’y gouter plus que jamais
Je me débarrassais de mes entraves et je partis la rejoindre sous la douche, me voyant arriver elle ouvrit la porte vitrée et me fit signe de la rejoindre tout en me souriant, sourire que je lui rendais
Une fois dans la cabine, elle ouvrit l’eau et un flot tiède nous tomba dessus, nous apaisant nos corps fatigués, mais il nous restait tout de même assez de force pour nous embrasser tendrement tout en nous enlaçant
Nous quittâmes notre étreinte pour nous laver, j’eu droit à une petite claque sur les fesses lorsque j’eu tourné le dos à mon hôtesse, je lui rendis. Ces taquinages mutuel durent un moment, elle finit par me frotter le dos et passa sur mes fesses dans un petit « hum »
- un prêté pour un rendu
- pardon
- à ton tour maintenant, je veux que tu me baises le cul
- avec grand plaisir
Elle se retourna contre le mur de la douche et d’une main commença à se caresser la rondelle, j’entrepris de lui saisir les deux bras et la maintenait ainsi ce qui la surprise, ma main de libre descendant vers sa chatte que je décidais de taquiner un peu

- oh mon salaud
- c’est ça que tu veux avouer (je me mis à la tutoyer spontanément)
- oh… oh oui continue c’est bon
-
Je lâchais et coupais l’eau avant de sortir me sécher, ma belle déçu me suivi et lorsque j’estimai qu’on était assez sec, je la saisi par les cheveux et lui intimai l’ordre de me suivre bien sagement
Je la jetais sur le lit, et elle me lança un regard remplie de désir et me tendit la main
Je l’attrapais et lui posait au-dessus la tête et ramena l’autre dans la foulée, les maintenant ensemble d’une main. Je lui arrachais sa serviette, elle aimait ce vu comme elle soupirait

- allez à quatre pattes, je vais m’occuper de ton cul
- hum, vu ton engin, je vais aussi hurler comme un cochonne (tout en prenant la position)
Je m’équipai d’une capote que je lubrifiai directement et présentais à son trou, elle fut étonné mais écarta ces fesses en posant ca tête sur le matelas se cabrant encore plus la rendant encore plus belle à mes yeux
Je jouais sur sa rondelle et titillais son clito d’une main, puis lorsqu’elle lâcha prise, je poussai mon sexe sur son petit trou qui m’accepta sans grande résistance, elle soupira d’une manière très sensuelle lorsque je m’enfonçais en elle et une fois au fond elle gémit un petit « oh mon dieu »
Je repris ma prise d’avant sur ces poignets et je commençais à aller et venir, ces jambes s’écarter d’avantage et elle ondula en rythme avec moi, c’est bon mais je voulais être seul maitre à bord.
Je la plaquais au sol et augmenta la puissance de mes assaut, la faisant hurler de plaisir, la fessant par moment.
Je continuais ce manège un moment avant de la retourner dans la position que j’avais eu, elle attrapa ces chevilles et moi ces cheveux et ses seins tout en m’enfonçant à nouveau en elle, elle feulait de plaisir sous mes coups de reins, « encore », « oui c’est ça » « plus vite » « baise-moi » fusait de temps à autre, je l’insultais et la giflais, elle acquiesçait ce que je faisais en me souriant
Soudain, elle lâcha ces chevilles, m’enlaça comme elle pouvait de ces jambes, ces mains agrippant le tissu et se contractant, hurla lorsque l’orgasme la foudroya, elle haletait de plaisir, mais moi je n’étais pas venu
Elle me fit comprendre comment elle voulait me voir finir en ouvrant bien grand la bouche, je quittais à regret son cul, virai ma capote et alla me placer au-dessus de sa tête et me branlais, elle me caressait et lorsqu’elle sentit mon jus arriver, elle m’avala et je lâchais de long jets de sperme dans sa bouche.
Elle garda le tout et me montra sa bouche rempli de mon sperme avant de l’avaler et de me reprendre pour me nettoyer, un filet de sperme coula a la commissure des lèvres et le léchant elle roula sur elle-même, se releva et se jetant sur moi, m’embrassa je sentais le gout de mon sperme et j’échangeais ce baiser avec elle
Apres nous êtres un peu reposé (faut pas r non plus), nous reprîmes un douche mais plus calme mais toute aussi sensuelle
Je me rhabillais, mon amante nue sur son lit, me caressait du bout des doigts

- merci pour cette soirée
- merci à toi, lui attrapant le bout des doigts et y déposant un baiser
- viens la, elle m’attira a elle pour un dernier baiser

Elle me raccompagna jusqu’à la porte et au moment de fermer, elle m’interpella

- tu sais qu’on n’a même pas pris le temps de donner nos prénoms
- tu veux le savoir ?
- et toi ?
- … (je ne répondis pas vraiment à sa question
- alors restons des inconnus l’un pour l’autre
- et si on se revoit
- on se reverra, me lanca t’elle dans un clin d’œil et ferma la porte

Je fus surpris de cette réponse, comment pourrions-nous nous revoir si je n’ai aucun moyen de la contacter
Je descendais les escaliers en repensant a cette douce soirée, le cul un peu endoloris mais heureux comme jamais. Moi qui espérais avoir une amante qui aime jouer les femmes autoritaires.
En arrivant à ma voiture, je fouillais ma poche pour trouver les clefs et découvrir un papier
Je l’ouvris, un numéro de téléphone signé « ta belle inconnue » accompagné de la marque sa bouche orné de son magnifique rouge à lèvre
Je rangeais à l’abri ce petit mot doux et je relevais la tête en direction de l’appartement et je vis ma belle me saluer une dernière fois, je la saluais et repartis chez moi

Nous nous sommes revus depuis, mais je n’ai jamais cherché à savoir son prénom, ni elle le mien. Ce petit jeu de l’inconnue est ce qui nous as fait passer un tel moment et d’autres. Avec toujours le même principe : un prêté pour un rendu
Cela nous amuse tous les deux et nous fait passer de très bons moments

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