Le Château

Attention texte sans limite
Pour public très avertis

M. tremblait. La différence de température entre le siège en cuir de la voiture et la peau nue de son cul lui laissait une impression désagréable. Les instructions qui figuraient dans le dernier message qu'elle avait reçu de son maître étaient claires.

Elle devait se mettre nue à l'exception de son collier de cuir noir qui maintenant ne la quittait plus. Séparée du chauffeur par une vitre opaque, celui ci ne pouvait la voir. Elle n'avait pas hésité une seule seconde. Elle avait retiré sa robe de tulle noire et s'était mise pieds nus. Comme depuis longtemps elle ne portait plus de sous vêtements, l'effeuillage avait été rapide. Elle regardait maintenant le paysage défiler à l’abri des vitres teintés. La ville et ses boulevards avaient laissé place à des paysages campagnards, fait de longues rangées de platanes et champs à perte de vue.

Juste après avoir traversé un petit village, la Mercedes quitta la route principale pour s'engager dans un petit chemin sur la gauche.

Quelques centaines de mètres plus loin, ils franchirent un grand portail métallique. Le chemin déjà étroit devint encore plus chaotique.

Dans le fond, M. aperçut une grande bâtisse entièrement plongée dans le noir.

Le chauffeur stoppa la voiture le long du bâtiment. Il actionna le micro, et une voix artificielle résonna dans l’habitacle.

“Nous sommes arrivés. On va venir vous chercher. Patientez ici”
Il descendit et s'éloigna sans ajouter un mot.

Sans repére de temps, M. se sentait un peu perdue. Ne sachant quoi faire, elle laissa son esprit vagabonder essayant d'imaginer ce qui allait bien pouvoir lui arriver. Elle savait que depuis quelques temps, le lien de soumission à son homme avait franchi le stade du simple jeu. Elle avait beaucoup progressé et elle en était heureuse et fière. Elle se doutait que ce soir, elle devrait certainement aller encore plus loin.



La portière s'ouvrit brutalement la tirant de ses pensées. Elle aperçut deux silhouettes, vêtues de longs manteaux avec capuches pointues qui leur donnaient l’air de moines d’un autre temps ou pire, de membres du klu klux klan.

“ Sors de là !”

L’ordre avait claqué brutalement, comme un coup de cravache.

M.obéit sans réfléchir. Les deux moines, un homme et une femme, la saisir chacun par un bras. L’homme agrapha aussitôt une laisse au collier de M.. La femme, elle, lui posa une cagoule fermée sur la tête. Perdue dans l'obscurité M. eu un instant de panique… Le coup de martinet qui claqua sur ses fesses la ramena vite à la raison. On tira fermement sur la laisse et elle suivit le mouvement en essayant de ne pas trébucher. M. sentit que l'on faisait entrer dans le hall de la demeure. Une drôle d’odeur se dégageait, mélange de parfums féminins, de fumées de bougie.. Et de vieux meubles cirés .

M. entendit une porte grincer, on lui fit descendre un escalier de pierre humide sur lesquels ses pieds nus glissaient dangereusement. Arrivés au bas de l'escalier, ils firent encore quelques pas sur un sol en terre battue.

On lui retira sa cagoule d’un mouvement brusque. Il lui fallut quelques instants pour s'habi à la luminosité qui était diffusée par de petites appliques simulant des torches. Elle était de toute évidence dans une cave où plutôt dans un cul de basse fosse car elle distinguait dans la pénombre des cages métalliques hautes d'à peine un mètre dans lesquelles des hommes et des femmes nus se tenaient prostrés.

Face à elle, se tenaient deux hommes en tenue de laquais du 16eme siècle. Malgré leurs tenues colorées et leurs perruques ridicules, les masques qui cachaient leurs visages leur donnaient un air effrayant.

Le moine, qui tenait toujours la laisse s’adressa à eux sans ménagement :

“ Préparez cette salope, et faites vite… On doit l'utiliser ce soir “. Il décrocha la laisse et tourna les talons pour quitter la pièce accompagné de la prêtresse.
M. n’osait pas bouger. Les laquais tournèrent autour d'elle lentement.

“Écarte les cuisses”
Elle reconnut la voix de son chauffeur et s'exécuta docilement.
“Penche toi et ouvre tes fesses”
Elle posa ses mains et ouvrit son cul.

“Nous devons te laver et te préparer à servir tes maîtres” poursuivit le valet qui semblait diriger.

“ Mais d'abord, tu dois te vider devant nous”

Le second homme fit glisser glisser une sorte de baquet entre les jambes ouvertes de M.. Elle ne comprit pas tout de suite ce que l'on attendait d'elle.

“Pisse, salope”

Instinctivement, elle plia les genoux et pencha le buste en avant dans une position aussi indécente qu’ humiliante.

“Dépêche toi, on attends”

Les mains posées sur les genoux, elle se concentra. Elle sentit son périnée se contracter puis se détendre. Les premières gouttes coulèrent dans le baquet, puis ce fut un jet ininterrompu. Elle leva les yeux vers les deux hommes qui l observait. Jamais encore, elle ne s'était senti si honteuse.

Lorsqu'elle eut terminé, le valet l'attrapa par son collier, il lui lia les mains à l'aide d'une corde de chanvre et glissa celle-ci dans un anneau fixé sur une poutre du plafond. Ainsi suspendue, il lui força à nouveau à écarter ses cuisses.

Le second laquais approcha avec un seau rempli d'eau savonneuse, il y trempa une éponge et commença à laver M. presque avec délicatesse. L’eau froide la fit frissonner et ses tétons tout durcis se mirent à pointer avec fierté.

Lorsqu'il eut terminé de la laver, il l'essuya à l'aide d'une serviette rêche et désagréable.

Le second valet s’approcha avec à la main un flacon. Il l'ouvrit et immédiatement un parfum agréable couvrit l’odeur âcre de la cave.

Il versa un peu du contenant du flacon dans le creux de ses mains, les frotta l'une contre l'autre, puis commença à masser M.

D’abord le cou, puis les épaules.
L’huile réchauffait M.. Lorsque les mains effleurèrent les tétons M. sentit comme un frisson parcourir sa chatte. Elle se surprit même à mouiller. Le valet continua à descendre, ses doigts glissèrent dans le sexe de M..

“Mais tu mouilles, salope”
Une fois ses doigts bien humides, il fouilla le petit trou de M.
“Ouvre toi, je dois te détendre pour tes maîtres”
Il la força encore, deux doigts, puis trois.

M. avait le souffle court, elle avait toujours apprécier ces caresses et même dans ce contexte particulier, elle sentait monter en elle cette sensation si particulière, mélange de douleur et de plaisir.

L’homme interrompit sa fouille.

“Mais c'est qu'elle jouirait presque cette chienne”
Son acolyte asséna deux coups de martinet sur le cul de M.
“Voilà qui devrait la calmer” clama-t-il.
“Je crois qu'elle est prête, nous pouvons la faire monter”

Ils couvrirent à nouveau la tête de M. d'une cagoule ne laissant passer aucune lumière et attachèrent, cette fois ci au collier, une lourde chaîne qui ferait office de laisse. Malgré la cagoule, elle reconnut facilement le chemin.

L’escalier de pierre, la porte grinçante, cela lui était familier et la rassurait presque.

Sortis de la cave, ils marchèrent, quelques mètres avant qu'un nouvel ordre ne claque. “arrête toi ! ”.

Elle stoppa immédiatement, docile comme elle ne l'avait jamais été. Nue, debout, les bras le long du corps, elle attendit.

On lui retira la chaîne et la cagoule. À nouveau, ces yeux durent s’habi à la lumière, mais cette fois, elle dut distinguer aussi des sons.

Ou plutôt, des cris et râles.

Elle aperçut en premier, un couple de lesbiennes, juché sur une table en position de 69. Des moines immobiles disposés autour d'elles les regardaient se lecher. L’un d'eux frappait régulièrement le cul de celle du dessus avec un martinet de cuir à longues franges, sans aucun doute pour la stimuler.


À peine plus loin, un jeune maître avait entrepris un savant shibari sur une soumise maigre et pâle.

Attachée sur une croix en X, les cordes semblaient meurtrir profondément sa peau. Là aussi, trois moines observait la scène.

Elle vit encore un homme bedonnant à genoux, avec dans l’anus un énorme gode. Il était occupé à pomper la bite démesurée d’un travesti en tenue de maîtresse sado maso. Elle ne voyait rien de plus mais les sons qui provenaient de tout côtés ne laissaient aucun doute sur ce qui se passait hors de sa vue.

Elle se demandait si son maître était ici, ou l'avait il confiée à ces gens dans le but de la soumettre.

Elle n'eut pas le temps d'aller plus loin dans sa réflexion.
. “Réveille toi, chienne, tu n'es pas ici pour rêver”

La coup de cravache qui accompagna ces paroles fut sans pitié. La brûlure fut brève mais intense. M. ne put retenir un cri de surprise.

Le moine qui semblait devoir s'occuper d'elle l'attrapa par ces longs cheveux noirs.
“Libérez moi cette table !”
Immédiatement, les moines bousculèrent les deux lesbiennes qui tombèrent au sol.
“Monte… Sur le dos”

M. S'exécuta. Le moine lui replia les jambes sans ménagement. Sa chatte était ouverte à la vue de tous. Elle sentit rapidement des doigts entrer et sortir de son intimité. L’huile des valets et son excitation grandissante facilitaient la pénétration. Elle compta, un doigt, deux doigts, et bientôt trois. Sa chatte coulait sans retenue maintenant, elle sentait sa mouille dégouliner dans la raie de son cul.

Elle s'imaginait maintenant que celui qui triturait son sexe avait encore ajouté des doigts. Elle voulut voir, essaya de se redresser, ce qui ouvrit un peu plus son vagin. La main de son tortionnaire était entrée entièrement en elle. Il en profitait pour l'agiter, détendant son sexe au dela du raisonnable.

La simple pensée d’avoir cette main en elle lui procura une sorte de début de jouissance. Le moine faisait aller et venir sa main en la sortant puis en l’entrant entièrement.

M. sentit en elle une sensation nouvelle, comme une envie irrépressible d’uriner en même temps qu'elle allait jouir. Elle voulut se retenir mais c'était trop tard.

A l’instant où le moine retira sa main, elle se libéra et une longue giclée de mouille sortit de son vagin, inondant la table. La jouissance fut simultanée et d'une intensité que M. n'avait encore jamais connu.

“une femme fontaine, une belle salope” commenta sobrement le moine, en réponse aux discrets applaudissements de ses congénères.

A demi assommée par la violence de son orgasme, M. n'entendait que des sons atténués.
“Relevez moi ces deux putes et faites leur nettoyer ce bordel”

Les moines secouèrent les deux lesbiennes, les redressant en leur tirant les cheveux. La première à se remettre debout était une blonde dodue d'une cinquantaine d'années, un des moines l'empoigna par la tignasse et l'obligea à lécher les sécrétions que M. venait d’expulser. La seconde fille, une brune trentenaire filiforme au visage ingrat, dut faire de même.

Lorsqu'elle eurent terminé, un des moines ordonna en désignant M.
“nettoyez sa chatte et son trou du cul “

Les deux filles s'approchèrent, le regard allumé par l'obscénité de la situation. La vieille blonde était là plus gourmande, elle se jeta goulument sur la chatte de M. léchant, aspirant, suçant… La brune voulut sa part, elle tira les cheveux de la blonde, se pencha pour bouffer ce cul offert. La blonde se débattit, bien décidée à ne pas se laisser faire.

Un combat s'engagea entre les deux lesbiennes .

Les moines sortirent des cravaches de leur longs manteaux et les coups commencèrent à pleuvoir. Bien que les filles se soient calmés immédiatement, les coups continuèrent, les faisant hurler et se tordre de douleur.

“À la cave ! ”

Sortis de nulle part, les deux valets surgirent, passèrent à chacune un lasso, et les emmenèrent.

L’épisode avait permis à M. de reprendre ses esprits. Elle n’osait pas bouger et attendait les instructions.

Elle n'eut pas à attendre longtemps.
“Descends de là, chienne”
Elle le fit, prudemment, car ses jambes tremblaient encore.
“Tu as joui ?”
“oui” répondit elle fièrement.
La gifle arriva sans prévenir, sèche et violente.
“C'est interdit, tu n'es là que pour donner du plaisir”
M. sentit les larmes monter. Sa joue la brûlait et sa tête bourdonnait.

“pour ta peine, tu seras ‘essuyeuse’ pour l’heure à venir, tu seras à quatre pattes dans ce coin de la pièce et tu devras nettoyer avec ta langue tout ce que l'on te présentera” On mena M. dans un coin de la pièce, elle fut mise à genoux sur une sorte de tabouret en bois, une chaîne fixée à un anneau scellé au mur fut reliée à son collier.

Elle reconnut aisément les deux premières personnes qui vinrent vers elle. Il s'agissait du bedonnant et du travesti à la queue démesurée.

“nettoie moi cette raclure” grogna le travesti.

Elle ouvrit les yeux. Le bedonnant à genoux avait son visage bouffi à quelques centimètres du sien. Il était couvert d’un sperme frais que la maîtresse a queue venait certainement de décharger sur lui.

La situation l’horrifiait. Elle savait ce que l'on attendait d’elle mais n'arrivait à s'y résoudre. “dépêche toi, salope !” hurla le travesti.

Elle sortit sa langue, et le gros approcha encore un peu plus son visage. Elle lecha le jus dégoulinant. Elle remontait depuis le menton jusqu'au joues, en prenant soin de rien oublié. Le sperme était mêlé à la sueur du bedonnant. Malgré sa honte, elle s'appliquait, soucieuse de donner le meilleur d'elle même afin que son maître soit fier d'elle.

Elle alla jusqu'à lécher les lèvres du gros.

“ C'est bon, arrête !... Maintenant, fais moi bander à nouveau que j'encule ce gros porc” M. pris la queue du travesti dans sa bouche, y mis tout son cœur mais la queue restait molle “mets un doigt dans mon cul, ça m'aidera” elle suça son majeur de la main droite, et lui introduisit dans l’anus. L'effet fut immédiat, la queue se tendit instantanément. “tourne toi, sale porc” il retira le gode qui obstruait le cul du gros et s'adressa à M..

“ avale ça”

Vaincue, elle ouvrit à nouveau la bouche. Il lui colla le gode entre les lèvres qui se distendirent tellement l'engin était gros. Le goût était étrange, l’odeur infecte. Le travesti se retourna vers sa proie, ecarta les deux grosses fesses poilues et s’introduisit d’un coup sec. Le gros gigotait en criant comme un cochon. Regarder ce viol, ne laissait pas M. Indifférente, elle était en même temps extrêmement mal à l aise mais aussi terriblement excitée. À nouveau sa chatte coulait.

Le travesti s'agitait de plus en plus vite en poussant des cris d’animal en rut. Puis il s'immobilisa bien enfoncé dans le cul du gros. Ses yeux étaient exhorbités, M. compris qu'il jouissait à nouveau.

Il ressortit sa queue et vient la mettre sous le nez de M..

Instinctivement, elle ouvrit la bouche et suça goulument le membre encore gluant de foutre. Lorsqu’elle le recracha, il l'attrapa par les cheveux et lui colla le visage derrière les fesses du sodomisé.

Il n'eut rien à lui demander, elle léchât le cul d'où coulait un jus blanchâtre.

Comme on le lui avait ordonné, dans l’heure qui suivit, elle dut lécher et nettoyer avec soins toutes les bites, les chattes et les culs qui se présentèrent. Elle eut l’impression d'être souillée et salie, mais cette situation ne lui déplaisait pas totalement.

Elle se sentait à sa place et savait que son homme serait fier d'elle lorsqu'il saurait. Soudain, un des moines vient la détacher. Lui fixant une laisse à son collier de cuir, il la traîna sans qu'elle n'ait le temps de se remettre debout. Ses genoux râclant le sol étaient en feu. Elle fut menée dans une nouvelle pièce à peine plus éclairée que la précédente. Elle distinguait dans le fond de la salle les deux lesbiennes belliqueuses qui avaient été attachées à une poutre. Pendues par les mains, elles ne touchaient le sol que par la pointe des pieds. M. fut attachée de la même manière aux côtés de ses deux compagnes d'infortune. Le moine quittant la pièce les laissant seules quelques instants. Puis un bruit sourd, rythmique, se fit entendre… Plus cette mystérieuse musique se rapprochait et plus M. eut l'étrange impression que les battements de son cœur s'y synchronisaient . Malgré sa position inconfortable, elle se concentra pour apercevoir si ce qui se préparait dans l'obscurité. Un homme noir entièrement nu entra, c'est lui qui tapait lentement sur une sorte de tamtam. Il était suivi d'une fille d'une pâleur extrême. Blonde aux cheveux courts et au corps gracile, elle était fermement maintenue par deux solides gaillards, eux aussi noirs et nus. Une dizaine de moines lui suivaient.

Arrivés au centre de la pièce, la musique cessa, les moines formèrent un demi cercle et la fille, qui semblait si fragile fut mise à quatre pattes, cuisses ouvertes et tête maintenue levée.

Le tambourineur posa son instrument, s'approcha de la fille, son sexe démesuré bandant dans ma main droite, et s'enfonça sans ménagement au fond de sa gorge. Soumise, la fille l'accepta sans presque réagir.

M. observait la scène dans un brouillard irréel. Elle n'y était pourtant pas insensible et malgré, où grâce, à ce qu'elle venait de vivre, elle sentait à nouveau sa propre liqueur perler entre ses cuisses.

Le noir s'agitait toujours plus vite dans la bouche distendue. Il ne ressortit sa verge que pour se répandre en longue traînée blanchâtre sur le visage de la blonde. À peine vidé, il rejoint ses deux compagnons agenouillés aux pieds de M. et des suppliciées qui lui servaient de compagnes.

"détachez moi celle la" ordonna une voix dans le groupe de moines. " et qu'elles se bouffent la chatte mutuellement et que ces deux là se bouffent la queue". Dit il en désignant les deux noirs qui n'avaient pas encore joui.

"Ceux qui jouiront en premier seront punis, les deux autres baiseront ensemble. "

M. fut détachée et, sans ménagement, jetée au sol. Presque par hasard, sa bouche se trouva à hauteur de la chatte de la fille. Elle attrapa les fesses et fourra directement sa langue dans le sexe ouvert et humide. Surprise la fille aux cheveux courts mit un instant à réagir mais très vite elle plaqua sa bouche sur le clito de M..

Celle-ci déjà très active, comprit que si elle ne voulait pas être punie elle devrait se concentrer sur le plaisir de sa partenaire. Elle lechait avec application en essayant de faire abstraction de ce qui se passait dans son propre entrejambe. Plus sa langue s'agitait et plus les cuisses de la fille se tendaient comme parcouru par un flux electrisant. Trop concentrée à sa tâche, M ne voyait pas les deux noirs, eux aussi, l'un sur l'autre, occupés à pomper la bite de l'autre.

M avait beau essayer de l'oublier, la langue inquisitrice de son "adversaire" du moment l affolait. Elle sentait la jouissance naître au creux de son ventre. Elle ne le voulait pas mais c'était plus fort qu'elle. Elle se dit qu'elle devait tout tenter pour échapper à la punition. Tout en continuant à lecher le clito, elle glissa son majeur dans l'anus gluant de mouille de la fille. L'effet fut instantané. La fille se crispa, cessa de lecher M., et un jet de cyprine gicla de sa chatte béante inondant la bouche et le menton de M. Elle venait de perdre et la jouissance ou la peur de la sanction faisait trembler tout son corps.

A côté, les deux noirs en position de soixante neuf continuaient à se sucer avec frénésie. Celui qui était au dessus, se pencha un peu plus, écarta brutalement les cuisses de son partenaire et plongea sa tête a la recherche de l'anus . Sa langue démesurément longue sortait de sa bouche comme un serpent affamé , elle cherchait le cul .

La bite de celui du dessous tressautait annonçant sa jouissance.

Celle ci ne tarda pas . Une première giclée s'éleva à au moins cinquante centimètres de hauteur avant de retomber sur le crâne du lécheur. Celui-ci, trop excité pour garder le contrôle, releva la tête et se mit à téter le gland de son amant du soir pour récolter les jets suivants .

Un des moines, usant de son fouet sépara les deux noirs .

'' Que l'on emmène ces deux merdes vers leur punition '' Hurla-t-il en désignant la blonde et le jouisseur . Leurs yeux trahissaient leur panique lorsqu'ils furent trainer par deux valets hors de la vue de M. Elle attendit silencieuse .

Le moine s'approcha.

'' Nettoie le ! '' ordonna-t-il .
Le noir se mit à genoux, la tête relevée, son regard plongé dans celui de M.. Le sperme coulait le long de son visage. Elle s'approcha , ouvrit sa bouche et pointa sa langue .
'' Plus vite , salope '' aboya le moine. Elle commença à lécher, consciencieusement , chaque traînée de jus blanc qui coulait sur la peau noire .
'' baise la ''

M. avait entendu l'ordre du moine dans une sorte de brouillard sonore … les sons lui parvenaient atténués.

Instinctivement, elle se retourna , offrant son cul et sa chatte à la queue épaisse qui n'allait pas tarder à l'embrocher.

Elle sentit le gland, puis l'ensemble de la bite la pénétrer . Direct, sans retenue, il la pilonnait . Son sexe était gros , épais et long mais la chatte de M. était tellement humide qu'elle ne s'en rendit même pas compte. Il la baisait bien, et déjà elle savait qu'elle ne tiendrait pas longtemps, malgré les nombreux orgasmes qu'elle avait déjà eus ce soir.

'' Un autre pour son cul , qu'on l'a baise par tous les trous, cette chienne '' . Un des moines se déshabilla , son sexe en érection était plus fin que celui du noir . Cela rassura M. pour qui la sodomie n'était qu'un passage obligé de sa soumission et qui, malgré ses progrès , n'avait encore jamais été '' prise en sandwich''.

Le noir s'allongea sur le dos, deux valets prirent M. sous les aisselles et la déposèrent sur le sexe de l'esclave. Par réflexe, elle se pencha en avant, ce qui eut pour effet immédiat de dilater son anus offert. Le moine à poil enjamba le noir, et se plaça derrière M.. Sans savoir à qui elles appartenaient , elle sentit des mains écarter des fesses , ouvrant encore plus son trou du cul . M.fut parcourue d'un frisson . Remplie par la pine énorme dans son vagin, elle n'imaginait pas comment un autre sexe pourrait entrer en elle même si ce n'était pas dans le même orifice. Le moine plaça le bout de sa bite contre le trou encore fermé. La poussée régulière était supportable pour M..

Elle sentait ses chairs se distendre. Elle s'ouvrait sous le poids du moine et de sa queue tendue. Il était en elle et elle était presque étonnée de la facilité avec laquelle elle l'avait englouti.

'' vas-y'' ordonna le moine enculeur au noir baiseur . Celui ci ne se fit pas prier, il commença à la pilonner de va et vient profond alors que l'autre et dans son cul , l'autre aussi s'était mis en mouvement . La bite dans l'anus poussait celle dans la chatte contre le point G de M., frottant dessus à chaque passage . M. sentit encore une fois le plaisir monter en elle mais, cette fois-ci , plus fort que toutes les autres .

Elle sentait une boule dans son ventre , qui grossissait comme une vessie remplie , son plaisir ressemblait à un tsunami qui arrivait de si loin que sa force était inconnue. Elle le savait, la vague , allait la submerger. Elle entendait a peine les voix autour d'elle qui encourageaient ses violeurs :

''Baisez cette pute ! ''

'' Crachez votre foutre ! ''
'' Plus fort ! ''

Certains frappaient leurs mains en cadence , suivant les coups de queues dans sa chatte et son trou du cul … sa tête bourdonnait, ses oreilles se bouchaient .

Tout a coup , elle sentit son corps l'abandonner . Une sorte de calme intérieur , plus aucun de ses sens ne sembla fonctionner durant une fraction de seconde.

…..

Puis la tempête explosa dans son ventre , cette boule de plaisir qu'elle avait senti en elle se vidait dans ses entrailles répandant une douce chaleur dans son corps, c'était un orgasme moins aiguë , un orgasme plus rond qui gonflait en elle et qui ne semblait jamais vouloir s'arrêter.

Un état d'orgasme permanent , ultime.

Lorsque la chaleur montant de son ventre atteint son cerveau, elle s'entendit râler, derrière ses paupières closes, son regard se brouilla, elle eu la sensation que son cerveau se déconnectait , qu'elle s'evanouissait ou qu'elle mourrait …

Elle perdit connaissance .

'' réveille toi , réveille toi ''.
Elle connaissait cette voix douce . Elle essaya d'ouvrir les yeux sans y arriver. Elle perçut l'odeur du cuir , et le mouvement de la voiture . Etait elle revenue dans la limousine ? Alors , cette voix était celle de son maître . Oui , il était là . Elle fit un nouvel effort pour ouvrir les yeux ..

'' Réveille toi, mon amour, nous sommes arrivés ''. Arrivés ? mon amour ? elle réussit enfin à ouvrir les yeux . mais où était elle ? Ce n'était pas la limousine mais le SUV familial , la voix de son maître était celle de R. son mari chéri . Tout ceci n'était donc que le fruit de son imaginaire .

'' tu sais , j'ai fait un rêve étrange '' lui dit elle en souriant .
Il la regarda avec une drôle de lueur dans le regard .

'' oui , je sais …''

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