Le Cadeau

Prologue.

- Faire la liste des invités.

- Penser au traiteur.

- Trouver un cadeau……

La réunion s’éternisait alors elle en profitait pour faire sa liste de course.

Le directeur commercial suait à grosses gouttes et expliquait pour la énième fois le changement de stratégie destiné à faire de nous les meilleurs.

Les commerciaux étaient tous là en rang d’oignons et s’ennuyaient ferme.

Son esprit était ailleurs dans l’organisation de ses dix ans de mariage, elle avait décidé de faire une grande fête avec tous leurs amis.

Mais elle butait sur le cadeau à faire à son mari.

Soudain elle eu un déclic en voyant le pauvre homme afficher sa cinquantième diapo.

Le week-end dernier elle avait fait le tri dans ses photos et avait retrouvé par hasard une série qu’elle avait faite il y a dix ans. Rien de bien méchant, elle avait accepté de poser pour un ancien collègue qui se lançait dans la photographie et qui avait insisté pour qu’elle fasse une séance.

Elle avait d’abord refusé car il avait la réputation d’être un dragueur invétéré, puis elle avait dit oui à la condition que les photos soient correctes.

La séance avait été plutôt sympa, elle avait apporté plusieurs tenues et le résultat était plus que bien.

Elle se rappelait qu’il avait insisté pour qu’elle se découvre, mais elle avait tenue bon et si les poses étaient suggestives elle n’avait rien montré au photographe.

Son mari avait apprécié les photos et la taquinait en lui disant qu’elle aurait dû poser nue.

Voilà l’idée, j’ai dû garder le téléphone de Marc qui est maintenant un professionnel et je vais offrir à mon mari des photos de moi nue, ça changera des éternelles cravates et autres eaux de toilettes.

La réunion se terminait, elle se leva et fila dans son bureau, elle retrouva dans un vieil agenda le numéro.



Pourvu qu’il soit toujours bon.

Au bout de deux sonneries on décrocha, elle reconnu tout de suite la voix.

- Bonjour, je ne sais pas si tu te souviens de moi c’est Arielle.

- Et comment que je me souviens de toi……

- Toujours aussi flatteur, voilà j’ai un service à te demander.

- Vas y, ça me fait drôlement plaisir de t’entendre.

- Voilà je vais fêter mes dix ans de mariage et je voudrais faire un cadeau un peu original à mon mari.

- Le veinard !!! et en quoi puis je t’être utile.

- J’avais pensé lui offrir une série de photos de moi.

- Oui c’est original et quel genre de photos ?

- Plutôt déshabillées et c’est pourquoi j’ai pensé à toi, je préfère poser pour quelqu’un que je connais.

- Je suis flatté, écoutes si tu veux, passes demain chez moi vers 17h et nous verrons ce que nous pouvons faire.

- Super, à demain.

Il raccroche, il se rappelle bien d’Arielle, elle était sa chef et avait mis longtemps à accepter de poser, il la désirait comme un fou, elle était superbe avec une longue chevelure brune et un corps à fois mince mais avec les formes qu’il aimait et des yeux plein de promesse.

Mais pas moyen qu’elle se déshabille elle avait juste accepté de mettre un paréo qui moulait son corps.

Il recherche les photos et se souvient de la séance, il n’en pouvait plus mais à l’époque elle s’était montrée inflexible.

Elle a dû changer en dix ans mais si elle est toujours aussi bandante il allait s’amuser.




La séance.

Mardi 17h on sonne.

Elle est là, elle n’a pas beaucoup changé, elle est toujours aussi belle, ses cheveux bruns tombent en cascade sur ses épaules, elle porte une robe moulante blanche qui met son bronzage en valeur et ses jambes longues sont galbées par de fines sandales beiges à lacet.


Elle lui sourit.

- Ravie de te revoir,

- Entre, dit-il en s’effaçant pour la laisser passer

Il en profite pour la regarder, la robe épouse ses formes, il ressent le même désir que lors de leur première séance.

Il la fait entrer dans le studio, une pièce nue blanche sans fenêtre où seule trône une chaise,

Elle s’assoit, la robe remonte un peu dévoilant ses cuisses.

- Je voudrai des photos érotiques mais pas vulgaires.

- Bien sur, fais moi confiance. Tu veux commencer tout de suite.

- Oui allons y.

Il se lève, va prendre son appareil et commence à prendre des photos de son visage.

Il se recule prend une ou deux photos d’elle assise sur la chaise.

En profite pour regarder les deux jambes fines.

- Tu prends toujours aussi bien la lumière, voilà ce que l’on va faire tu vas te mettre à califourchon sur la chaise et je vais te prendre de dos

Elle se relève, s’assoit face au dossier de la chaise, ses jambes s’écartent de chaque côté relevant encore plus la robe, elle appuie ses bras croisés sur le dossier,

Il shoote, on entend que les déclics successifs de l’appareil.

- Maintenant tu vas juste baisser le dos de ta robe je veux juste ton dos

Elle se contorsionne un peu, elle tire sur la fermeture et la baisse jusqu’aux hanches et elle se remet en position dévoilant un dos que vient juste barrer un soutien gorge blanc.

- . Très joli Arielle, détend toi, maintenant retire ton soutien gorge mais garde la pose.

Elle marque un temps d’hésitation mais elle se reprend et dévoile son dos nu.

- Superbe, tu verras les photos seront magnifiques.

Il a entre aperçu les seins fermes et ronds et il commence à être excité.

- Maintenant j’aimerai que tu retire ta robe mais reprenne la pose.


Elle se lève et se retourne, elle rougie un peu, retire la robe et dévoile un minuscule string blanc, il baisse son appareil pour l’admirer, quel corps, elle cache ses seins avec ses bras et se remet en position .

Il prend plusieurs photos.

- Si tu le veux bien retire ton string et reprend la pose.

Elle ne bouge pas et entreprend de retirer son dernier vêtement sans quitter la chaise, il sourit car les efforts qu’elle fait pour rester pudique la rende encore plus désirable.

Ça y est elle est nue, il n’en revient pas, cette femme qu’il a désirée depuis si longtemps à laquelle il pensait souvent est là nue devant lui dans une position plus que suggestive.

Il commence à bander, malgré lui sa voix devient plus ferme.

- Cambres toi, offres toi, ton petit mari n’en reviendra pas.

Le ton la surprend un peu mais elle commence à se prendre au jeu et se cambre en écartant plus les jambes.

- Pas mal, tu es vraiment superbe Arielle, es tu prêtes pour la suite. ?

- Oui dit elle d’une petite vois.

- Bien lèves toi face à moi, met un bras pour cacher tes seins et l’autre pour ton sexe.

Elle obéit docile, il aperçoit un sexe souligné par une fine barrière de poils noirs.

- Maintenant enlève le bras de tes seins.

Il commence à avoir très chaud, quelle belle femme il aimerait se jeter sur elle la prendre là sans ménagement.

- Met tes mains sur la tête et écarte les jambes.

Elle aussi commence à être troublée, le ton, la situation elle sent son ventre se nouer.

- Arielle maintenant tu vas te mettre de dos à genoux puis tu mettras ta tête contre le sol les bras loin devant toi.

Elle obéit encore une fois, elle se sent vulnérable, offerte, elle ne sait pas si elle veut continuer où arrêter avant qu’il ne soit trop tard.


La pose est plus qu’érotique, il ne peut s’empêcher de passer discrètement une main sur son sexe qui bande au travers de son pantalon.

Il prend quelque photo d’Arielle dans cette position.

- Redresse toi mais reste à genoux met les mains sur ta nuque.

Elle transpire un peu, donnant ainsi encore plus d’intensité aux photos.

- Bien, maintenant allonge toi complètement sur le ventre. Puis tu te retourneras que je te prenne de face.

Il est là au-dessus d’elle, enjambant son corps allongé.

Elle voit son désir, elle sourit et le fixe dans les yeux.

Il règne dans la pièce une atmosphère lourde, troublante.

- Encore une ou deux photos et on arrête ok.

- Ok répond elle.

La séance se termine, elle se relève et se rhabille rapidement, il aurait pu se passer autre chose mais tous deux font comme si rien n’était.

- Merci Arielle, belle séance je t’appelle pour te dire quand les clichés seront prêts.

- Oui, tu me diras combien je te dois.

- Rien Arielle, je rêvais depuis toujours de te photographier ainsi, par contre j’aimerai que tu me permettes de mettre ces photos sur mon site internet.

- Je ne sais pas trop, tu sais je suis pudique.

Il lui sourit repensant à son corps offert et aux poses qu’il lui a fait prendre.

- Ne t’inquiètes pas, on ne verra pas ton visage, tu n’es pas obligé de me donner ta réponse maintenant, tiens-je te donnes l’adresse de mon site et le mot de passe pour la section privée, tu jugeras sur pièce.

Il la raccompagne à la porte et ils s’embrassent sur les joues comme deux amis.




Section privée.

A peine rentrée chez elle, elle se fait couler un bain chaud, elle est toujours troublée et étonnée par ce qu’elle a ressentie.

Elle si pudique, si réservée, livrée nue, obéissante aux indications de Marc. Elle avait du mal à l’admettre mais elle avait aimé ce ton sans réplique, elle s’était sentie désirée et elle devait l’avouer elle aussi, avait éprouvée du désir, s’il avait été plus loin elle n’est pas sure qu’elle aurait résistée longtemps.

Elle sort du bain, enfile un peignoir et allume son ordinateur pour voir le site de Marc.

Elle clique sur les noms des modèles, elles sont toutes belles, plus jeunes qu’elle, elles sont nues où peu vêtues mais elle doit reconnaître que les photos sont plutôt réussies surtout celles en noir et blanc, décidément il a du talent.

Elle accède à la section privée et là elle est surprise, les modèles sont les mêmes mais les poses sont plus osées et surtout les filles sont attachées, certaines portent des pinces aux seins, d’autres sont à quatre pattes avec des objets dans leur sexe, leur anus.

Elle devrait être choquée mais là encore, il émane de ces photos plus de sensualité que de pornographie, les liens ne semblent être là que pour mettre les corps en valeur.

Elle ne peut s’empêcher presque malgré elle d’ouvrir un peu son peignoir, sa main descend vers son ventre, elle commence à se caresser en cliquant sur les images de ces filles, en repensant à la séance de cet après midi.

Elle ne sait plus ce qui se passe, elle si sage, qui trouve le porno dégradant, dégoûtant elle est là jambes écartées devant son écran.

Un bruit de clé la sort de sa rêverie, c’est son mari qui rentre, retour brutal à la réalité.

Elle est à l’heure, il lui a dit que les photos étaient prêtes et qu’elle pouvait passer les prendre.

Elle a attendu ce moment toute la journée, ce matin elle a passé un peu plus de temps à se préparer, elle a mis une robe noire courte, des sous-vêtements un peu plus sexy que d’ordinaire, elle ne saurait pas trop dire pourquoi, peut-être pour se venger de sa soirée. Elle aurait voulu que son mari fasse attention à elle, qu’il lui fasse l’amour, mais cet imbécile avait fait comme tous les soirs, à peine la dernière bouchée avalée, il s’était vautré sur le canapé devant le xieme match de foot de la semaine et elle avait été se coucher seule.

Il lui ouvre, lui sourit, elle sent le trouble monter en elle.

Elle s’installe sur un canapé et regarde les photos.

Il y a deux séries une en couleur et une en noir et blanc, elle se trouve belle, les photos mettent en valeur ses courbes, exactement ce qu’elle voulait, très érotiques mais très classe.

- Je te l’avais bien dit que les photos seraient réussies.

- Oui, je n’arrive pas à croire que c’est moi qui pose, merci Marc.

- De rien, tu as réfléchi à ma demande.

- Oui, je ne sais pas trop, ton site est très beau mais si on me reconnaissait…

- Ne t’inquiètes pas, on ne mettra que les photos que tu souhaites et je cacherai ton visage.

- Pourquoi pas après tout, j’aime l’idée que d’autres voient ses photos.

- Tu as vu la section privée ?

- Oui, c’est trop hard pour moi.

- Avoues que tu as été troublée, je commence à te connaître.

Elle rougie, elle a presque envie de lui avouer qu’elle s’est caressée en les regardant.

- J’aimerai faire des photos de ce style avec toi, reprend Marc, laisse-toi faire je suis certain que tu aimeras le résultat.

- Je ne sais pas trop, si les photos ne me plaisent pas tu les détruiras ?

- Promis, allez viens avec moi.

Il lui prend le bras et l’entraîne dans le studio, il allume les projecteurs.

Elle est presque heureuse de retrouver cette pièce où elle a ressenti cette étrange sensation.

Sans qu’il ne lui demande rien elle retire sa robe.

- Bien, tu es plus détendue qu’hier dit il en admirant le spectacle, laisse-toi faire tout va bien se passer.

Il s’approche d’elle, et lui noue un bandeau sur les yeux, il lui prend les bras et lui croise les mains dans le dos, puis délicatement il prend une de ses cuisses et lui fait écarter les jambes.

- Tu es magnifique, garde la pose, cambre-toi un peu, c’est parfait.

Elle se laisse manipuler docilement, elle abandonne toute résistance, elle sent qu’il tourne autour d’elle et la mitraille en silence. Le bandeau ajoute à l’étrangeté de la scène, elle n’en revient pas d’avoir acceptée si facilement.

- . Bien maintenant penche toi en avant, jambes écartées, cambre-toi met les mains sur tes fesses.

Il est fou de joie, elle est enfin là, offerte, prenant sans rechigner les poses qu’il lui demande.

Elle écarte ses fesses dévoilant un petit trou lisse et troublant.

- Bien Arielle tu es très désirable.

La voix a changé, ferme mais un peu haletante, elle s’amuse de ce trouble qu’elle suscite.

- Met toi à genoux maintenant, garde tes jambes écartées et met les mains sur la nuque.

Il s’approche d’elle se penche vers elle, elle le devine qui descend la main sur ses seins.

Elle ne résiste pas, au contraire. Il saisit les tétons entre ses doigts et tire un peu.

Là encore pas de résistance, juste un soupir qu’il prend pour un encouragement.

Il prend une chaîne avec deux pinces et pose la première sur un des seins guettant la réaction d’Arielle.

Elle sursaute, se mord les lèvres mais le laisse faire, après tout elle a accepté cette séance.

La seconde pince est posée, elle s’imagine ainsi, et commence à aimer tout ce rituel

- Superbe Arielle, vraiment superbe ne bouge pas.

- Redresse toi maintenant penche toi en avant.

Elle obéit, en se relevant la chaîne lui tire un peu sur les seins. Il s’approche à nouveau d’elle

Saisit la chaîne en son milieu et lui passe entre les lèvres

- Ouvre la bouche et garde la chaîne entre tes dents.

La douleur est plus forte, ses seins sont tirés vers le haut mais là encore elle ne dit rien.

- Bravo tu es très courageuse.

Il lui caresse les seins, lui retire lentement la chaîne de la bouche, et ôtes les pinces.

Le sang qui circule à nouveau provoque une douleur qui lui fait pousser un petit cri, mais il continue à caresser lentement, à presque masser les seins endoloris et la brûlure s’estompe assez vite.

Il la guide en la tenant par un bras et la porte devant un matelas posé à même le sol.

- Allonge toi sur le ventre, aie confiance.

Elle sent une corde s’enrouler autour de ses chevilles, puis d’une main ferme il lui saisit les bras les maintient dans le dos et lui passe une autre corde autour des bras, enfin il attache les deux poignets de son modèle.

Il prend quelques photos, s’arrête se rapproche lui plie les jambes et relie par une corde les chevilles aux poignets.

Cette position est inconfortable, le buste est relevé, mais elle sent que l’excitation monte en elle, cette fois elle est prêtes à tout accepter.

Il reprend son travail de photographe mais a du mal à se concentrer, il n’y tient plus, pose son appareil et s’agenouille près d’elle.

Il l’admire ainsi liée, sa main commence à effleurer le dos d’Arielle puis descend vers les fesses, il guette les réactions, prêt à s’arrêter si elle lui demande, mais elle ne bouge pas au contraire il lui semble que le souffle de son amie est plus saccadé.

Alors il s’aventure plus loin, il saisit les fesses plus fermement, les malaxe presque, il a l’impression que malgré les liens elle essaye de s’ouvrir plus encore.

Il passe un doigt sur la raie des fesses puis commence à caresser lentement l’entrée du sexe, il abandonne toute hésitation car elle est mouillée et il s’enfonce plus profondément encore.

Il met un autre doigt ce qui a pour effet de déclencher un autre soupir profond, il commence un mouvement de va et vient, s’amusant de voir le cul de sa soumise (car désormais elle lui est soumise) remuer au rythme de sa caresse.

Son autre main caresse les fesses fermes d’Arielle et il met d’abord de petites claques puis il accentue les coups, elle bouge de plus en plus vite, la fessée semble l’exciter encore davantage.

Il masse d’un autre doigt l’anus et le pénètre lentement, il la masturbe et la frappe en même temps de plus en plus vite de plus en plus fort.

Elle crie non pas de douleur mais de plaisir, elle l’encourage de la voix,

Il n’en peut plus, il bande comme un fou mais continue sa caresse, soudain elle se cabre, un frisson parcours tout son corps et elle retombe épuisée.

Il ne sait pas se qu’il lui prend mais il sort son sexe s’approche de son visage.

- Tu as jouis petite Arielle, mais tu dois me satisfaire maintenant

Il passe son sexe sur le visage de son ancienne chef, s’amusant de la voir essayer de le happer.

- Lèches ma queue petite salope.

Elle est trop excitée pour se formaliser des mots et passe sa langue le long du membre léchant le gland et les couilles de son maitre.

Il s’introduit dans sa bouche.

Elle commence son va et vient, elle s’applique à le garder en bouche et à descendre le plus profond possible, ses mains attachées dans le dos l’obligent à un effort supplémentaire.

Elle peut à peine respirer, de la salive coule de sa bouche le long du sexe.

Sa langue s’enroule, elle veut le faire jouir, elle déploie tout son savoir faire.

Il lui saisit les cheveux lui plaque la tête contre son ventre et imprime le mouvement.

- Oui, suce-moi comme une pute, vas y je vais te jouir dans la bouche avale tout.

Les mots l’encouragent à sucer encore plus fort, soudain elle sent le liquide chaud inonder sa bouche, elle avale le sperme et continue à lécher le sexe nettoyant son amant.

Il se retire enfin, il essuie d’un doigt le sperme qui a coulé sur le menton et lui fait lécher.

Docilement Arielle lèche ce doigt, jamais elle n’a éprouvé tant de plaisir.

Il la détache, lui retire le bandeau et l’embrasse fougueusement.

- J’attendais ça depuis si longtemps murmure-t-il.

Elle lui rend son baiser, elle est un peu gênée malgré tout.

Elle prend une douche et elle réapparaît à nouveau vêtue comme la petite bourgeoise sans histoire qu’elle était encore il y a une heure.



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