Le Grenier 3

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS


Je me réveille tout à coup avec l’impression d’avoir le cerveau engourdie et le cul « ramoné ». Je tourne doucement la tête et vous vois en train de me fister le cul… vous me fistez le cul. Je n’en reviens pas. Comment ai-je fais pour ne pas me réveiller.

- « Ça s’appelle des somnifères. Bien dormie chienne? »
- Oui Maitre. Merci Maitre

Comment pouvait-il savoir ce à quoi je pensais. Comment peut-il toujours le savoir?

- « Je te connais mieux que toi-même soumise »

Encore une fois, il m’a prise de vitesse.

- « Bon, moi je dois aller me laver. J’ai pas d’eau pour toi, mais on va en faire »

Vous m’attachez par les chevilles et me suspendez à une poutre : tête en bas. Puis, je sens quelque chose de froid s’insinuer dans mon cul.

- « Comme ya pas d’eau en haut. Je vais te permettre de te laver quand même. Mais ce sera grâce à tes trous. Il a une bouteille remplie de glace dans ton cul. Et j’en place une encore plus pleine dans ta chatte. A ta place je ferais attention de ne pas en renverser si je veux avoir assez d’eau pour me laver. A plus tard chienne… et fais moi fondre cette glace »

O que c’est froid. Ca ne pourra jamais fondre, j’ai maintenant le cul gelé. Je grelotte. Pour la chatte c’est vraiment froid, mais c’est un peu plus facile à supporter que dans le cul. Lui, ca fait mal. Une chance qu’il y a moins de glace.

Après de longues minutes, vous remontez au grenier et me détachez de la poutre.

- « Échappe rien petite chienne. Sinon tu ne recevras plus du tout d’eau pour te laver. »

Je réussi tant bien que mal à ne rien échapper et a garder le cul en l’air. Vous m’enlevez ensuite les bouteilles et me montrez le seau au fond du grenier avec une débarbouillette pour me laver. J’y vais et je sais que je dois me dépêcher. O que l’eau est froide.

Mais ce n’est pas le temps de faire ma difficile. Je me dépêche avant que vous ne m’enleviez l’eau. Je reviens à vous comme je vous ai laissé : c’est-à-dire à quatre pattes comme la chienne que je suis.

- « Bravo chienne, tu as bien su comment te comporter pour aller te laver. Je t’en félicite. Bon, au dodo maintenant. Tu vas aller dans ta cage et cette fois, tu auras droit à ta doudou. »
- Merci Maitre. C’est vraiment gentil à vous.
- « Maintenant, plus un mot et au dodo. »

Vous fermez ma cage, la lumière et me laissez seule dans le noir. Je n’ai même pas le temps d’avoir peur du noir. Je m’endors en un rien de temps.

J’entends du bruit, alors je me réveille. Vous êtes près des escaliers et vous jouez avec du dock tape. Je déteste ce bruit et ce qu’il représente. Je me recroqueville dans ma cage. Vous approchez de mon refuge et me demandez de sortir les mains de la cage de façon à ce que j’aie les mains dans le dos. J’hésite. Puis, je sors mes mains que vous attachez ensemble. Vous ouvrez ensuite la cage et me demandez de sortir. La encore, petite hésitation. Je sors difficilement de la cage sans l’aide de mes mains. Et dès que je suis sur le bord de la cage, je reçois plusieurs coups de cravache. D’instinct, je retourne dans la cage. Mauvaise idée. Je sais.

- « Petite criss de chienne. Té mieux de sortir tout de suite et fais moi pas attendre plus longtemps. »

Je sors de la cage extrêmement apeurée. Je me mets à recevoir quantités de coups. Je ne peux même pas les compter. Vous y allez fort. Mes nerfs lâchent et je commence à pleurer en me recroquevillant en petite boule pour que la cravache m’atteigne un peu moins. Vous me frappez aussi avec le martinet.

- « Comme ça, on hésite à sortir de sa cage et à obéir à son Maitre. En plus, pendant que moi, je me force à t’éduquer. Toi, tu retourne te cacher dans ta cage. Penses-tu que j’ai du temps à perdre avec des petites chieuses dans ton genre.
« Non Maitre ». Alors qu’est-ce que tu fais en petite boule? »
- « Ça fait mal Maitre. S’il vous plait… »
- « Et ça fera encore plus mal tant que tu ne te placeras pas convenablement. Je te l’ai dit, le safeword n’existe pas ici, alors tu te conforme à mes demandes ou tu subi les conséquences de tes choix. Penses-tu que c’est digne d’une soumise avancée d’hésiter, de se cacher ou de se mettre en boule lorsqu’elle se fait punir»

« Non Maitre », dis-je en recevant plus de coups que je ne peux les compter. Je n’ai même plus la force de vouloir me sauver ou même de penser. Je ne veux que disparaitre. Que les coups arrêtent. Mais ils n’arrêteront pas tant que je vais continuer à avoir peur. Mais si je me lève, il y aura encore plus de partie de mon corps qui seront exposés. Zutttt. Je me redresse péniblement sous les coups qui n’ont jamais faibli. A croire que vous n’êtes même pas fatigué après tout ca. Je me positionne à genou, tête baissée. Je continue à recevoir des coups alors je me penche a nouveau.

- « Qu’est-ce que tu fais? Replace-toi comme tout à l’heure… »

Avec la peur au ventre, je me remets en position. Je continue de recevoir quelques coups, puis ca arrête.

- « Retourne dans ta cage. »

Je me dépêche d’y retourner. Vous me détachez les mains puis fermez la lumière et quittez. Je ne comprends pas ce qui vient de se passer. Je suis encore sous le choc. Mais je retombe dans un sommeil agité.

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