Le Grenier 5

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

Vous me laissez un long moment seule. Vous avez programmé les électrochocs car après quelques minutes, ils recommencent leur vibration. Puis, ils s’arrêtent à nouveau. Ca se déroule comme ca un bon moment. J’en perds le compte. J’ai mal aux seins. Je comprends pourquoi vous n’avez pas serré fort. Vous saviez que je resterais comme ca longtemps. J’ai les jambes qui font mal. Je veux juste m’asseoir, mais je ne peux pas. En plus, je souhaite juste vous voir monter pour aller à la salle de bain. Je me risque :

- « Maitre? »
- « Oui ? »
- « Serais-ce possible d’aller à la salle de bain? »
- « Non et je n’ai pas le temps de t’amenez à ta gazette ou ta chaudière. Donc, tu te retiens ou tu te pisses dessus »

Je me retiens. Je me retiens. Mais après quelques heures de plus, je n’en peux plus. Et ça me coule entre les jambes. Comme si vous saviez ce qui vient d’arriver, vous montez tout de suite après.

- « Espèce de chienne pas propre. Tu te permets de pisser sur mon plancher en plus. »

Vous redescendez quelques minutes et remontez avec une moppe. Vous me détachez. Comme je n’ai plus de force, je tombe à genou dans ma pisse.

- « Lève-toi. Et ramasse. »

Je me lève péniblement. Et prends la moppe. Aussitôt que je la touche, les coups de martinet recommencent. Je veux me plier en boule, mais je sais que ce serait pire. Alors, je commence à essuyer mon urine du mieux possible et le plus rapidement que je suis capable sous vos coups.

- « J’ai terminé Maitre. Je suis désolé de n’avoir pu me retenir plus longtemps et d’avoir fait mes besoins sur votre plancher. »
- « La prochaine fois, tu te retiens jusqu'à ce que tu pleure de la pisse. C’est clair? »
- « Très clair Maitre »
- « Bon, viens ici que j’enlève ton dildo puis, on va aller te laver un peu. Met cette cagoule sur ta tête et suis-moi.

»

Vous m’enlevez le jouet et j’enfile le tissu sur ma tête et je vous suis à tâtons. Je descends doucement les escaliers. Vous me prenez par le collier et y fixer ma laisse. Puis, J’entends une porte ouvrir et je perçois les bruits extérieurs. Non, non, pas dehors. Mouvement de recul.

- « Attention a ce que tu fais soumise. Je te l’ai dit : je n’aime pas perdre mon temps. Et je n’aime pas attendre. Tu fais ce que je veux quand je le veux ou tu ne sers plus a rien : c’est clair? »
- « Oui Maitre »
- « Bon, allez viens. »

Je suis dehors, je suis vraiment dehors. Qu’est-ce que les gens vont penser? Ils vont me voir comme ca? Bon, calme-toi annabelle. Tu n’as rien à dire de toute façon. Il veut t’amener dehors, tu vas dehors. Il veut te montrer aux autres, c’est qu’il te juge prête. Donc, force toi et montre lui que tu es fière de lui appartenir. Je relève mon visage et marche la tête haute pour montrer que je suis digne de vous.

- « Bien. Maintenant, ne bouge plus. »

J’entends le son avant de le sentir. Je reçois ensuite l’eau en pleine figure.

- « C’est comme ca qu’on lave une chienne. Ok, sauf que je ne te savonne pas. Voila le savon, frotte-toi un peu.
- « A présent, tourne toi que je te rince partout »
- « Bon, couche toi quelques minutes dans l’herbe si tu veux pour sécher un peu. Ensuite, on retourne à l’intérieur »
- « Merci Monsieur »

Je ne pense même plus aux gens. Je ne pense plus à rien. Mon Maitre m’accorde un peu de temps au soleil. J’en profite. Puis, avant de retournez au grenier, vous m’amenez à la salle de bain et m’enlever la cagoule, en prenant soin de me tenir la tete vers le sol.

- « Si tu veux y aller, c’est le temps ».
- « Merci Maitre, merci »

Je me dépêche d’entrer à l’intérieur. Voila qui était temps. Je n’aurais jamais pu aller faire cela au grenier. Et encore une fois, vous tenez tellement compte de tous les détails.
Je sors et vous remercie de m’avoir accordé ce moment. Puis, nous remontons les escaliers. Vous m’attachez le collier à la corde qui est au sol.

- « Je te laisse te reposer un peu. Je reviens dans quelques minutes. »

Vous revenez rapidement avec un autre bol de gruau et un toast. Je mange rapidement et vous remercie de la nourriture. Je ne fais pas la fine bouche : j’ai faim.

- « Maintenant, dans ta cage. Un ami s’en vient me voir pour une question d’auto. Que je ne te vois pas faire un son, compris. »
- « Oui Maitre »

Je vais dans mon refuge et regarde mon Maitre partir. Je ne mets pas longtemps à m’endormir et à faire d’étranges rêves.

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