Le Grenier 4

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

J’entends la cage qui s’ouvre.

- « Allez, sors. »

J’ai peur, mais je fini par sortir. Je recommence à recevoir plusieurs coups et je me penche à nouveau. Les coups se font plus intenses et plus rapprochés.

- « Té mieux d’être attentive car je ne répéterai pas deux fois. Mains sur la tête. NOW »

Je mets mes mains sur ma tête, mais reste en boule.

- « Quand tu te placeras dans la position que je veux que tu sois, j’arrêterai. Et réfléchi bien avant que ton corps soit couvert de bleus. Moi je ne me fatigue pas. Tu vas apprendre ce qu’est une bonne soumise. Celle que je veux… ou tu vas en payer le prix.»
- « Mais je ne sais pas comment vous voulez que je sois Maitre »
- Non, mais regardez la. Une vraie débutante. Qu’est-ce que je fais encore avec une débutante? »

Il me passe comme un choc électrique dans tout le corps. Quoi? Moi? Une débutante? O non! Je vais vous montrer que je ne suis plus une débutante. Je me redresse sous les coups en gardant les mains sur ma tête et je redresse la tête. Avec un air de défi dans les yeux.

- « C’est quoi ces yeux la? »

Je reçois plusieurs claques sur la tête. « Je suis désolé Maitre ». Je garde la tete haute, mais je baisse les yeux. « Regarde-moi. » Allez cindy, regarde le comme il faut. Je lève les yeux et vous regarde de la façon la plus respectueuse que je connaisse, quoiqu’un peu apeuré. Les coups arrêtent instantanément.

- « Bon! Ca a été long, mais tu as fini par comprendre. Je ne veux plus d’une débutante qui a peur et qui se cache ou qui attends avant d’exécuter un ordre. Compris? « Oui Maitre » Tu obéi sur le champ ou tu recevras encore ce genre de traitement. Est-ce clair? « Oui Maitre » Et lorsque je te puni. Je veux que tu prennes cette position si je ne t’indique pas une autre façon de faire. Je te veux fière et humble de recevoir ta correction, de voir que ton Maitre prends de son temps pour faire de toi quelqu’un de meilleur.

C’est mieux d’être bien rentré dans ta petite tete, sinon la prochaine fois ce sera pire. « Je m’en souviendrai Maitre ». Maintenant, pour avoir pris la peine de te montrer tout ce que je t’ai montré depuis ton arrivée. Je crois que j’ai bien le droit à un petit quelque chose, qu’est-ce que tu en dis? »
- « Oui Maitre »

Et je m’avance pour prendre votre queue dans ma bouche. Après tout le temps que vous avez attendu aujourd’hui, c’est rendu un besoin. Vous me prenez la tete et vous enfoncez en moi. J’ai de la difficulté à respirer, mais vous vous en foutez. Vous voulez juste me venir au fond de la gorge. Vous ne me laissez prendre que quelques respirations et je sens ensuite votre semence se déverser tout au fond de ma gorge.

- « Bon déjeuner petite pute »
- « Merci Maitre »

Puis, vous m’attachez par les poignets à une poutre du plafond. Vous laissez assez de mou dans la corde pour que je puisse bouger un peu. Vous quittez ensuite le grenier pour revenir quelques minutes plus tard avec un bol de gruau.

- « Tu as besoin d’un peu plus de force pour ce qui va suivre donc je te conseil de manger au plus vite. Et arrange toi comme tu veux, mais je ne te détache pas ».

Je me mets à genou et je lape le bol du mieux possible. C’est assez difficile de ne pas en mettre sur mes joues si je veux tout manger ce qu’il y a dans le bol. Je suis un peu gênée, mais j’ai faim. Je ne pense à rien d’autre que manger ce que mon Maitre m’apporte. Une vraie chienne, en fait.

Puis vous me donnez un bol à boire. Je commence à boire, mais je me rends compte que c’est de la pisse froide. Je vous regarde. Mais je comprends qu’il n’y a rien à redire et je bois tout. J’ai envie de vomir. Mais ca sera pire si je ne vide pas tout.

- « Brave chienne. Je suis fier de toi. »
- « Bon, j’ai quelques petits trucs à faire aujourd’hui, donc je te laisse, mais avant on va te préparer un peu. »

Vous me ré-attachez plus solidement à la poutre.
J’ai presque les jambes sur la pointe des pieds. Vous installez aussi les pinces à chainette sur mes seins, ainsi que les électrochocs de chaque coté de mes mamelons. Vous placez aussi un écouteur-récepteur d’ près de moi pour pouvoir m’entendre ou me parler à distance. Puis, vous quittez la pièce.

Je suis contente que vous n’ayez pas serré trop fort les pinces. Je ne comprends juste pas encore pourquoi. Je sens tout-a-coup les chocs commencer dans mes seins et je pousse un cri.

- « Calme toi, voyons. »

Je vous cherche partout et en oubli presque le récepteur.

Je sens les chocs qui deviennent de plus en plus fort. Je me tortille. Je veux juste que ça arrête, mais vous n’êtes pas la. Je n’en peux plus, mais ca arrête enfin.

- « On se calme. Tu vois, ce n’était pas si pire. Un petit 5 minutes avec intensité montante. C’est tout ».
- « C’est tout, c’est tout… parlez pour vous. »
- « QUOI? »

Merde. J’avais oublié que vous pouviez m’entendre. Et je sens l’intensité sur mes seins s’élever de plusieurs degrés. Je me tortille plus que jamais. Je ne peux retenir mes cris. Et vraiment, je cri. Je vous entends monter en courant. Et je reçois 2 gifles en plein visage.

- « Tu vas te taire, oui »


Je continue de me débattre en essayant de ne plus crier, mais vous n’avez toujours pas baissez l’intensité.

- « Maitre »
- « Oui? »
- « Seriez-vous assez aimable pour arrêter ou diminuer la force des électrochocs? »
- « Bon, enfin respectueuse. Ca vaut bien quelque chose en effet. »

Vous diminuez l’intensité, mais sans prévenir vous m’insérer un dildo que vous attachez avec une corde autour de ma taille pour ne pas qu’il ressorte »

- « Maintenant, ta gueule. J’ai autre chose à faire que juste m’occuper de toi, C’est clair? »
- « Oui Maitre. Je suis désolé »

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