Une Langue Bien Pendue 2

Une langue bien pendue, suite

« Applique toi!  Sinon… tu connais la sentence» Oui je la connaissais et repris donc
avec application mon travail. Elle écarta de plus belle ses jambes s’offrant
entièrement à moi:
« A partir de maintenant tu serras entièrement à mon services, et demain je te
donnerai une liste de travaux à effec à la maison. Tu commence ce soir par balayer
la cuisine avec un pinceau, nu, et à genoux, ça t’apprendra à obéir. Ensuite tu
viendras me retrouver, il faut que tu prennes l’habitude que je t’inspecte
entièrement, car tu devras toujours être rasé de prêt, je te raserai aussi ton sexe
qui devras toujours être impeccable et propre, je vérifierai tout les jours la
propreté de ton gland et j’inspecterai aussi la propreté de ton intimité»
Je ne compris pas tout de suite ce que ça voulait dire « inspecter la propreté de mon
intimité » mais elle joignit le geste à la parole et me montra son majeur bien tendu
vers le haut et une boite de gants chirurgicaux:
« Et tout ça aura intérêt d‘être propre car s’il le faut c’est moi qui me chargerai
de ta toilette intime chaque soir! », je baissa les yeux, honteux, activant de plus
belle ma langue, je la senti tressaillir, haleter , elle allait jouir sous les coups
répéter de ma langue et je me dit qu’après tout ses efforts j’avais bien droit moi
aussi à une petite récompense. Je la senti jouir, le souffle cours, dans un râle très
érotique tout en m’écrasant la tète entre ses cuisses puissantes!
Je pensais bien avoir droit à une récompense, mais elle me releva en me tirant par
l’oreille, me fit un large sourire et me dit:
« Va à la cuisine maintenant ,ton pinceau t’attend! Et dépêches toi! »
Ce soir là elle me rasa le sexe puis me doucha, me lavant sans ménagement le gland,
l’anus fut fouillé et nettoyé d’un doigt expert puis elle me masturba vigoureusement
jusqu’à l’éjaculation qui ne sut tarder.

J’étais fatigué mais heureux de lui
appartenir, et c’est les couilles vide mais avec des sensations plein la tète que je
pus me coucher à ses coté.



Le lendemain matin quand je me levais, Catherine était déjà parti au travail mais il y
avait un mot sur la table de la cuisine qui disait ceci:
« Mon chéri, ce matin tu plis le linge(les 2 corbeilles), tu passe l’aspirateur dans
la maison et tu lave à la main mes petites culottes, Je veux aussi que la vaisselle
soit faite et que les meubles soient épousseté, ça devrait t’occuper un bon moment!
P.S : J’ai pris avec moi la télécommande de la tv et les clés de ta voiture, j’ai mis
un code d’accès à l’ordinateur et confisquer tes pantalons et tes slips, alors au
boulot et plus vite que ça!
Bien évidement tu reste nu, et lorsque je rentrerai tu m’attendras derrière la porte à
genoux et la bite bien droite! »
Voila, j’étais pris au piège, bien obliger de lui obéir en tout point ou presque
puisque je tricha un peu en osant enfilé un tee-shirt. La journée fut très longue sans
télé ni ordi et c’est en un silence de cathédrale que je m’activa une bonne partie de
la journée comme une boniche, la bite à l’air, pensant sans cesse à la soirée qui
s’annonçait excitante à souhait. Une foi fini, je me posa, avachi dans le canapé avec
une bonne bière et, je m’endormi dans une sieste bien méritée.
C’est ainsi que Catherine me trouva en rentrant du travail, j’étais là en train de
pioncer dans le canapé au lieu d’être comme elle l’avait demandé, c’est-à-dire à
genoux la bite bien droite!
Le réveille fut brutal et douloureux quand de colère elle me tira par l’oreille pour
me faire lever et me traina jusqu’à l ‘entrée! Je crus tout d’abords qu’elle allait me
mettre dehors alors encore une foi je dus la supplier, mais elle s’arrêta devant la
porte et me montra le sol:
«  A genoux! Et vite! »
De toute évidence j’allais passer un mauvais quart d’heure, j’obtempéras donc dans la
crainte de se qui allait m’arriver mais j’étais aussi soulagé de ne pas avoir été jeté
dehors sans autre forme de procès.
Une foi à genoux dans l’entrée de l’appartement,
Catherine, le regard noir, m’enleva mon tee-shirt et le jeta en boule à l’autre coté
du couloir, se posa sur une chaise et ordonna d’un ton sec:
« Enlèves mes bottes! »
Alors que je m’activais, je vis dans ses yeux tout les reproches qu’elle n’allait pas
manquer de me faire alors j’osa donc un grand sourire et lança:
« Allez, soit cool, tout est propre dans la maison, tu ne pourras pas me faire de
reproches... »
« Tais toi! Y’a pas de reproches à faire? Ecoute ça, premièrement il y à une canette
de bière qui traine sur la table basse, ensuite tu ne m’attendais pas, tu n étais pas
à genoux, tu n’étais pas nu, et tu ne bandais pas! Et je n’ai pas encore contrôlé ton
travail! Alors tais toi et laisse moi te dire ce qu’il t’attend »
Effectivement , vu comme ça , j’étais mal barré!
« Pour commencer masse moi les pieds »J’essayais de m’installer confortablement ce qui
est tout à fait impossible lorsqu’on est à genoux sur du carrelage et massa ses pieds
du mieux que je pus, alors elle m’annonça ma punition:
« Ta punition doit être exemplaire, elle devra te marquer pour longtemps si je ne veux
pas que tu recommence à désobéir, alors suit moi jusqu’à la chambre »
Je la suivi, toujours obéissant mais inquiet, ne sachant pas se qu’elle avait derrière
la tète.
« Mets toi devant le lit et pose tes mains dessus, offre moi bien tes fesses »
Alors quand je l’entendis défaire sa ceinture et la faire glisser dans les passants de
son pantalon, je ne pus m’empêcher, la gorge nouée de lâcher un « Ho non, pas ça! »
Elle me bâillonna donc avec un large scotch et m’annonça la suite des événements:
« 20 coups pour commencer puis tu passeras le reste de la soirée saucissonné à mes
pieds, et ce n’est que le début, si tu bouges, c’est avec mon vibromasseur dans le cul
et attaché au pieds du lit que tu vas passer la nuit! »
Je ne bougeas pas, les coups tombèrent avec force et précisions, me laissant de
grandes zébrures et l’arrière-train en feu! Puis elle me ligota les mains dans le dos
et me traina par les couilles devant le canapé ou elle finit de m’attacher.

Catherine enleva son pantalon, fit glisser sa culotte qu’elle laissa tomber à coté de
ma tête et vins s’agenouiller au dessus de mon visage afin de m’offrir sa vulve
ouverte et posa sa chatte sur mes lèvres:
« Et maintenant sort ta langue et fais moi bien jouir »
Puis regardant ma verge qui commençait à se réveiller malgré la douleur que
j‘éprouvais à mon derrière en feu, elle ajouta:
« Tu n’es même pas rasé de prêt, ça ferra 10 coups supplémentaires avant d’aller au
lit! Et si je ne jouie pas, je te l’ai dit: un gode dans le cul pour la nuit! »
J’étais prévenu!

A suivre…

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