Un Bon Coup De Langue

Un bon coup de langue.
Premières expériences (3).

J'entends du bruit, quelqu'un doit être à proximité et je me redresse prestement.
C'est un mec arrivé là, qui a sans doute vu et compris que je viens de me faire sodomiser. Il se rapproche tout en frottant sa braguette pendant que je remonte mon bermuda souillé et que je reste un peu confus. Visiblement, l'endroit est connu et très fréquenté. Avec son geste je comprends qu'il est là pour le cul lui aussi.

" Salut
" Salut

Son regard balaie les à côtés. Je le sens ravi et excité par ce qu'il a vu mais aussi soucieux d'une certaine discrétion.

" Il t'a niqué, le militaire?
" Oui
" T'as pris ton pied?
" Oui c'était trop bon.
" J'ai envie de t'niquer, moi aussi.
" J'ai plus trop envie, j'ai jouis et j'ai un peu mal aux fesses.
" Il avait une belle queue?
" Oui, trop belle.
" Dommage que j'arrive après. On t'aurais baisé chacun notre tour. T'a déjà sucé en te faisant prendre?
" Non, j'ai pas encore fait ça.
" T'es trop mignon. J'aimerais bien passer un petit moment avec toi.

Si je m'étais fait baiser près de chez moi, je serai déjà parti de peur d'être reconnu. Là, je suis nouveau dans la région et, après mon petit boulot d'été, je sais que je repartirai. Tout mes complexes sont évaporés.
Avec la première queue que je viens de me prendre dans le cul, sans compter la décharge de foutre du chauffeur routier que j'ai avalé avant, je suis en pleine euphorie sexuelle. C'est au-delà de mes espérances…vraiment au-delà…Jamais je n'aurais imaginé prendre autant de plaisir et être autant libéré. Le cap est franchi et tout me semble permis.

L'homme, maintenant tout près de moi, reste agréable, décontracté, respectueux.
C'est ce qu'on pourrait appeler un bel homme, d'une stature assez imposante. Une calvitie prononcée renforce sa virilité.

Je suppose que c'est un artisan vu son pantalon bicolore. Son teeshirt laisse deviner une musculature puissante et ferme. Une barbe de 4/5 jours renforce son côté mâle, de mec viril.

" Tu viens souvent ici?
" Non, c'est la première fois.
" Tu vas ou, autrement ?
" Je suis pas de la région, je viens d'arriver, pour un boulot d'été.
…

Et la conversation continue, sans contrainte, avec respect, d'une totale liberté …Il m'explique qu'il est divorcé et qu'il a pas juté depuis plusieurs jours, qu'il a envie d'un câlin, qu'il adore les petits jeunes comme moi. Il me propose même de passer la nuit avec moi. Cette proposition me fait l'effet d'un électro choc et j'ai trop envie…
Ses yeux brûlent de désir en me regardant mais il n'a aucun geste déplacé. Il revient néanmoins sur le sujet qui le préoccupe tout en posant sa main sur mon bras; ce contact m'électrise aussitôt, m'excite complètement.

" Viens avec moi, je vais te sucer dans mon camion.
" Heu…
" T'inquiètes pas. On va se faire du bien tous les deux. Suis moi, j'ai un petit camion, on sera plus tranquille à l'intérieur.

Et nous nous dirigeons vers son utilitaire. Je fais mine d'être naturel mais, dans ma tête, c'est comme si tous ceux qui pourraient nous apercevoir comprennent que je vais au mâle, comme on dit en campagne.

Il me demande mon âge avant de monter dans sa camionnette et tente de me rassurer. En réalité il n'a plus besoin de le faire, je suis trop excité par sa proposition et par la suite qui m'intéresse beaucoup.
Avec le recul je me dis maintenant que ce n'était pas prudent mais, quand on a 18 ans et le feu au cul, on a le goût de l'aventure.
C'est un peu le foutoir dans la camionnette, il fait vite fait du rangement et me propose de monter. Il me tend la main et je me retrouve contre lui quand il referme la porte latérale coulissante. Brusquement, seul un éclairage un peu faiblard permet de s'y retrouver.


Ses bras puissants me serrent, sa bouche est contre la mienne et je me laisse aller à sa fièvre. Devant mon acceptation, il en profite pour caresser mes fesses et me tripoter. Pourquoi mes bras se referment sur lui, pourquoi je réponds à ses baisers, pourquoi j'émets de petites respirations érotiques…je ne sais pas, je ne sais plus rien…ce que je viens de vivre juste avant avec le chauffeur routier et le militaire m'a rendu super chaud.
Une folle envie de ne rien louper, de profiter de toutes les opportunités pour sucer et me faire baiser est en moi.

Enragés de sexe tous les deux, le temps déroule et on se laisse aller à nos pulsions.

Qui aurait pensé qu'aujourd'hui, le premier jour de mon arrivée sur le lieux de mon premier petit boulot d'été, je vivrais des moments aussi intenses, aussi chauds sexuellement.
Qui aurait pensé qu'après ma première pipe, qu'après mon dépucelage, j'éprouverais du plaisir dans les bras d'un homme qui a une incroyable envie de sexe, comme moi.

Il me soulève et me pose le cul sur ce qui lui sert d'établi. Je suis maintenant à meilleure hauteur pour lui et nous reprenons nos léchouilles. Il me débarrasse de mon teeshirt et en fait de même pour lui. Le voilà torse nu, chaud bouillant et se colle à moi, frotte son ventre contre le mien, me fais sentir son corps ferme et sculpté, endurci par le travail. Il prend ma main et la passe sur sa braguette, me fait tâter, à travers le tissu, son bâton raide.
J'ai trop envie de la sucer, sa bite raide…
Ivre de désir, il parcoure ma peau, mes bras, mon torse, mon cou, cherche mes lèvres pour s'assurer de mon plaisir.
Il me complimente sur mon corps et semble ultra excité. Ce type aime les petits jeunes et ne s'en cache pas. Il vit le moment à fond et se réjouis de mon consentement.
Il est magnifique, viril, musclé sec comme je pensais. Rassuré par mon attitude, il poursuit son effeuillage. D'un geste sûr, la boucle de son ceinturon est ouverte, son pantalon tombe sur ses chaussures, son boxer est descendu.
Son sexe apparaît, superbement tendu. Pas le sexe à faire peur mais celui qui donne envie, l'ouvre cul parfait, moins imposant que celui du militaire, ce qui me rassure.

Il m'aide à me mettre à l'aise moi aussi, ravi du déroulé du moment. Il fait une chaleur étouffante dans la camionnette et il se mêle une odeur à la fois de chantier et de fauves qui transpirent mais notre envie de sexe est trop forte pour s'arrêter.
Lorsqu'il voit ma verge, dure et relevée, qui a repris de la vigueur comme il m'avait prédit, ses yeux pétillent. Il se penche aussitôt et referme sa bouche sur ma queue …HUMMM… la sensation est divine.
Je sens sa langue qui tourne autour de mon gland puis il plonge et glisse ses lèvre sur ma hampe, vient buter contre mon pubis. Sa glotte caresse mon nœud, me fait découvrir des plaisirs inconnus…
Il devine mon extase, se redresse, sourit et vient farfouiller sa langue dans ma bouche.

" Tu aimes ?
" Oui, c'est trop bon.
" Le militaire, tout à l'heure, il t'a sucé ?
" Non
" J'adore sucer des petits jeunes. Ils giclent bien.
" Tu sais, j'suis pas sûr de pouvoir me retenir.
" Laisses toi aller et crache ton jus dans ma bouche. J'adore avaler le jus des mecs. Laisses moi faire.

J'aurais bien aimé le sucer, je vais le faire après, je le laisse faire.
Il se remet à l'ouvrage sans la moindre hésitation, trop sûr de son désir. Sa bouche chaude et humide enserre mon dard avec une douceur extrême. Il ne coulisse pas comme un forcené comme certains le font. Je sens qu'il veut faire durer le plaisir et me faire découvrir le meilleur, toute la chaleur de son palais des délices.
Il me soulève le cul et les jambes pour prendre plus facilement en bouche mes couilles. Je suis dans une position super bizarre, complètement offert.

C'est super bon ce qu'il fait. Le salaud, il roule mes boules et les suçote, les malaxe, les râpe de sa langue large et gluante.
Le mec, un coup de langue extraordinaire !
Il s'attaque aussi à ma rondelle, ce qui me procure un plaisir indéfinissable et me fait le plus grand bien. Il sait pourtant que je viens de me faire enculer et que le mec m'a largué tout son sperme dans le cul il y a un quart d'heure. Il s'en fout. On dirait qu'il cherche à récupérer le foutre qui pourrait sortir.

Savoir que la grosse bite raide du militaire est rentrée là dedans et qu'il s'est vidé les couilles doit l'exciter.
Je pousse un peu, comme pour lui donner ce qu'il cherche et sa langue farfouille. Il semble se régaler de ce jus de mâle que le militaire m'a inséminé.
Sa langue passe et repasse, m'arrachant des miaulements de plaisir. J'ai eu mal au cul quand le gars de l'armée m'a dilaté la rondelle pour m'entuber profond et cet artisan soulage les chairs distendues, salive abondamment mon œillet qui se détend et continue de m'émerveiller.

Il enfourne ma queue et je sens sa barbe gratter mes couilles. Toute entière dans sa bouche, l'effet est divin.
D'instinct, mes mains vont caresser sa tête dégarnie, ses joues qui râpent, sa nuque puissante. Sa langue s'enroule autour de mon nœud puis ses lèvres glissent sur ma tige. Les va et vient font leur effet. Je tente de ralentir la montée de la sève en me tortillant mais c'est inexorable.
Mes gémissements de plaisir ajouté à mon corps qui se tend, il accélère pour m'empêcher de me contrôler, fort de son expérience de suceur.
Il le sait, il sent le moment arriver et s'accroche, sûr de récolter sa récompense, sa victoire.
Mes couilles remontent et un grand soubresaut se produit en moi. Pourquoi je lui tiens la tête, je ne sais pas. Comme promis, il ne bouge pas et déguste mon sperme qui gicle. Un grognement de satisfaction me dit qu'il est comblé. Je ne dois pas lui en envoyer une grosse quantité, j'ai déjà jouis quand je me suis fait dépuceler juste avant qu'il n'arrive.

Les couilles vides, mon dernier jet envoyé, je le regarde sucer ma queue avec gourmandise et masser mes boules avec sa main de travailleur. Je suis toujours le cul posé sur l'établi, les jambes relevées et les mains accrochées sur des étagères.
Sûr d'avoir tout pris, il se redresse, ouvre sa bouche et me fait voir sa langue engluée de mon sperme mêlé à sa salive puis avale tout, s'assurant de ne rien perdre et de bien percevoir tous les aromes de ma semence. Satisfait comme s'il avait goûté un bon millésime ou un breuvage rare, son regard est illuminé et un sourire de contentement en dit long sur son plaisir.
Il vient se coller à ma bouche pour me faire déguster les dernières saveurs que ses papilles lui renvoient.
Collé contre moi, profitant du moment de jouissance qui m'a hébété, il me plaque, me bloque, m'impose sa force. D'un geste rapide et assuré, il crache dans sa main, astique sa bite raide et la positionne contre mon trou encore dilaté et me pénètre jusqu'à la garde.
Le militaire m'a tellement ouvert et graissé de son sperme que le sexe de l'artisan s'engouffre là comme dans une porte ouverte, sans que j'ai le temps de réagir.

Son sexe dur a glissé sans faiblir, bien à fond, m'envoyant une décharge de plaisir tel que mon corps en a tressauté pour mieux le recevoir.
La bouche ventousée sur moi, m'empêchant de couiner, il me serre fort et s'accouple en moi avec frénésie et me harponne, telle une machine à coudre.
On entend des gens qui discutent à l'extérieur, à proximité de la camionnette. Je n'ose pas miauler sous ses coups de bite, la honte d'être surpris en plein ébats et d'y prendre du plaisir. Puis il plaque sa main sur ma bouche et en profite pour me perforer le fion sans ménagement.

Le fait d'être contraint de me faire baiser ajouté à l'odeur de chantier qu'il a sur lui, son parfum musqué mêlé à la sueur qu'il a secrété au boulot, je m'accroche à lui et offre mon petit cul pour qu'il plaque encore mieux ses couilles chaudes contre moi.

Impossible de résister à cette bête de sexe: l'excitation est trop intense. On dirait que mon cul l'aspire, qu'il est fait pour lui. Je perds pied et mon corps vibre, mes sens me lâchent.
Je saurais plus tard que j'ai jouis du cul sous les assauts de cet amant merveilleux.

Enchanté par mon plaisir et par mon acceptation à cette copulation e, il me gratifie pendant quelques minutes d'un intense pilonnage de cul et décharge en moi, devoir accompli, soulageant ses couilles remplies à ras bord. Je sens les vibrations de sa queue qui envoie la semence. Vu la nervosité du mandrin, j'imagine la pression des éjaculations, mon cul en a des palpitations.
Il ne se retire pas, bien au contraire. J'ai presque envie de lui dire de rester en moi tellement son sexe est bon.
Si j'ai pris du plaisir juste avant à me faire dépuceler par le militaire, cet accouplement avec ce mec est encore plus jouissif.
Il me regarde, satisfait de son audace et soulagé de se libérer de son trop plein de testostérones, de son besoin d'accouplement. Tout ce qu'il m'a fait était trop bon. Dès le départ, j'avais bien compris qu'il voulait m'enculer, il a réussi.

" J'avais trop envie. Dommage que je suis pas arrivé quand t'étais avec l'autre mec, on t'aurait baisé tous les deux en même temps.

" J'ai pas encore fait avec 2 mecs.

Il est prêt à dire quelque chose, il regarde l'heure.

" Putain, déjà l'heure là.

A mon grand regret, il dé-cule de mon trou sans se préoccuper de quoi que ce soit. Il se re-sape vite fait et je fais pareil. Du jus coule de mon cul et descend sur ma cuisse. Il a du m'en larguer une grosse dose vu son excitation et vu ce qu'il m'a dit avant…
On descend de la camionnette, tous les deux très satisfaits de la rencontre. Le parking est maintenant vide, tous le monde est reparti à ses occupations.

" Demain midi, t'es dispo ?
" Non, je serais au boulot.
" Ah, Putain. Ce soir, c'est possible?
" ……………


A suivre…. si vous le voulez bien…

A votre avis, que va-t-il se passer? Donnez moi votre petite idée.


Caramel35
L'euphorie … Humm, c'est trop bon, les risques c'est moins bien.
Ne pas mettre les "gestes barrières" c'est-à-dire la capote…ça craint.
Continuez à m'écrire, à mettre des commentaires, aucun problème.





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