Mon Oncle - 1 : L'Anniversaire

Cette histoire s'est déroulée il y a quelques années, quand j'avais 19 ans.

Je vivais dans la région de Toulouse avec mes parents, une vie de jeune étudiant sans grande histoire. Mon oncle Thomas, le petit frère de ma mère, fêtait son anniversaire dans quelques jours et nous a proposé de nous rendre dans la grande maison familiale dans les hauteurs entre la Haute-Garonne et le Gers. Il allait avoir 35 ans et souhaitait de grandes retrouvailles. J'étais heureux car c'est mon oncle préféré. Non, en fait c'est mon seul oncle. Nous prévoyions donc d'y passer le week-end pour en profiter au maximum. J'étais excité à l'idée de le revoir.

Mon père nous conduit dès le vendredi soir et nous ne sommes même pas les premiers arrivés. Notre tribu est un vrai bazar : des tantes, des grands-parents, des demi-petits cousins recomposés par alliance... Toute cette folie généalogique nous a toujours fait rire, mais la joie de se retrouver elle était sincère. On fait l'accolade à tout le monde, puis vient le tour de mon oncle. Thomas, le grand, le costaud. 1,85m et 90kg, une montagne de force, un ours tendre, une adorable brute. Thomas est capitaine d'une équipe de rugby locale et chef de deux entreprises toulousaines d'outillage de chantiers. Je m'approche pour l'embrasser et il se penche pour me saisir par les cuisses et me soulever. On rigole tous et il me repose.

Comment ça va toi ? Tu t’entraînes toujours dans l'équipe de rugby de ta fac j'espère ?
Bien sûr !
Ça se voit, t'as vachement pris des épaules, et tes cuisses m'ont l'air plus musclées que cet hiver ! Continue comme ça et tu atteindras peut-être mon niveau. Bien qu'en fait je pense pas que t'y arrives un jour.

Tout le monde rigole et il m'embrasse enfin. Il me serre tendrement et honnêtement dans ses bras avant de passer à mon père et à sa grande sœur. Cette étreinte m'a légèrement émoustillé à en voir la petite bosse dans mon jean. Je l'arrange discrètement et nous passons à un apéro.



La soirée est douce. On se raconte tout ce qu'il s'est passé depuis Noël, on apprend de nouvelles grossesses, de nouvelles séparations... Je passe mon temps à observer Thomas pendant le repas. Il est habillé en short et en débardeur, me permettant d'entrevoir une partie de son torse sombre et poilu, parfaitement moulé. Il me regarde aussi de temps en temps, lançant une moquerie ou rappelant un de ses souvenirs de moi gamin. La soirée avance et c'est un nouvel apéro café. Les plus âgés et les tout-petits s'en vont se reposer, les femmes papotent dans leur coin et les hommes restent à table, à parler femmes, foot et rugby, enfin surtout rugby, faut pas déconner. Il est bientôt minuit et Thomas annonce qu'il préfère écourter et en garder pour le lendemain. Au bout de quelques minutes, les uns après les autres, nous faisons de même. La résidence est vraiment grande, chacun pouvait garder son intimité dans sa propre chambre. La mienne était au premier étage. Tout le monde dormait déjà. Je passe à la salle de bains pour me brosser les dents. Une fois terminé, j'éteins la lumière et me retourne. Je bouscule quelqu'un dans le couloir. Je rallume. C'était Thomas, en boxer et torse nu. Ses puissants pectoraux sont devant mes yeux. Je m'excuse.

Oh, désolé, j'y voyais plus rien ! Tu m'as fait peur, dis-je en chuchotant.
Pardon, j'ai rien vu non plus, j'allais juste aux toilettes, faut plus avoir peur de moi à ton âge hein ! J'arrive pas vraiment à dormir de toutes façons. Allez, va donc te coucher, bonne nuit !

Il met sa main sur mon épaule en me dépassant et la laisse glisser sur mon bras. Il était magnifique. Je me retourne pour continuer à le regarder. Ses fesses dansaient devant mes yeux. Encore une fois je me fais trahir par mon sang. J'ai encore une érection. Je me dirige rapidement vers ma chambre et ferme la porte. Cette rencontre m'a vraiment excité et cette fois-ci je ne peux pas laisser passer. Je me masturbe lentement en pensant à Thomas et son corps.
J'étais déçu de ne pas avoir eu le temps de regarder le contenu de son boxer, pour voir une idée de ce qu'il cachait. Je l'imaginais avec une longue et puissante queue, à l'image de son physique. Je fais glisser deux doigts entre mes jambes, puis entre mes fesses, tout en me touchant. Je crache dessus pour les faire rentrer plus facilement. Je pense à Thomas de plus en plus fort. Je murmure son nom en fermant les yeux. Je me doigte avec vigueur et je finis par jouir sur mon torse. J'en ai partout. Je prends mon t-shirt pour me nettoyer. Il m'en reste malgré tout sur les poils de ma poitrine. Tant pis. Je m'endormirai comme ça.

Le lendemain matin, plusieurs membres de la famille étaient déjà à table et prenaient le petit déjeuner. Thomas débarque. Il est habillé en jean quelque peu moulant et un chemise légèrement ouverte, elle aussi serrée. Mes questions ont trouvé une réponse : un large paquet se distingue entre ses jambes grandes et puissantes. Il s'assoit en grattant sa barbe de trois jours, ce qui lui donne un côté toujours jeune. Il essaye de remettre en place ta tignasse ébouriffée par sa nuit mais sans succès. Je n'en peux plus, je suis sous le charme. Je m'en veux et j'essaye tant bien que mal de repousser ces idées ueuses.

L'après midi arrive assez rapidement. Au programme, initiation au rugby pour les petits, par Thomas, dans le grand jardin, derrière la maison. Le soleil nous pique de ses rayons chauds et la température monte. Il se doit au moins d'ouvrir sa chemise. Je l'observe courir après les s qui tiennent la balle en faisait des bruits de monstre. Les pans de sa chemise s'échappent pour laisser apparaître son buste velu et ses grands muscles. Plus tard il retirera complètement sa chemise. Il fait mine de se faire plaquer par les minots et s'allonge à plusieurs reprise dans l'herbe. Cette vue m'excite toujours plus. Et je me dis qu'il ferait un super papa. Mais il est l'éternel célibataire. Puis son regarde se tourne vers moi.


Ben alors, tu nous rejoins pas ? Allez, viens montrer tes progrès à tonton Toto !

J'étais content de l'invitation. Je me lève et j'essaye de penser à autre chose, histoire de ne pas avoir l'air con avec mon jean déformé. J'avais mis mon t-shirt sans manche noir du Stade Toulousain aujourd'hui. Il envoie la balle aux petits pour qu'ils jouent ensemble. Il en att une autre et la fait tourner dans sa main en me regardant malicieusement. Je vois ses biceps grandir et rétrécir, ses pectoraux clairsemés d'herbe et de terre se gonfler.

Tu crois que tu pourras me la prendre ? Te fais pas d'idée, jamais tu ne me rattras, dit-il en riant.

Sans attendre, je me jette sur lui en essayant de le prendre par surprise. Il a dû lire ma tentative dans mes yeux. Je n'ai même pas le temps de m'écraser dans l'herbe qu'il est déjà deux mètres plus loin. Heureusement, il n'y avait que les s pour rire. Mon père aurait adoré voir ça.

Qu'est-ce que je t'avais dit ? Au-cune chance. Bon c'est trop facile. On va faire l'inverse. Tiens. Je vais plutôt essayer de te plaquer.

Il approche d'abord lentement puis accélère d'un coup pour m'atteindre. Il plonge. C'était moins une, je l'ai esquivé de peu. Il se redresse et se remet à ma poursuite. Cette fois-ci je n'ai pas eu le temps de me propulser que je vois une masse m'approcher et finalement me bousculer. Je suis au sol sur le ventre et Thomas atterrit sur mes cuisses qu'il a eu le temps de saisir au passage. Il grimpe sur mon dos alors que je garde la balle entre mes bras, sous mon corps. Sa tête est au niveau de mes oreilles, son bassin au niveau du mien. Il essaye de me retirer la balle. Je me débats. Il gigote sur mes fesses. Je sens son paquet se frotter à moi et des idées folles me traversent l'esprit. Mais non. Il ne l'aura pas, je ne me ferai pas encore une fois battre. Puis je me rappelle que de toute ma vie, je n'ai jamais réussi. Il me dit en chuchotant :

Te laisse pas faire, je n'aime pas quand c'est facile.
Regarde-moi ces gros bras. Me dis pas que c'est que de la gonflette. T'es plus fort que ça, neveu, prouve-le moi.

Avec ces mots, pris d'une nouvelle énergie, je parviens à me débattre mais son étreinte reste forte. Tout ce que j'ai réussir à faire, c'est me retourner et lui faire face, toujours allongé. Je suis face à lui, je respire fort, je suis épuisé. Lui, rien, juste un sourire. J'ai les jambes écartées et il est au-dessus de moi, torse nu. Je sens son entrejambe fixé au mien. Il ne dit rien. Je regarde ses yeux. Il me regarde. Il a de l'herbe sur la joue. Je sens son torse collé au mien. Il doit sentir mon cœur battre. Je sens le sien. Et là j'y pense. Il doit sentir mon érection. Il ne bouge pas. Je laisse rouler la balle sur le côté. Il approche sa main de mon visage et retire un brin d'herbe de mes cheveux. Il me caresse le crâne.

Ben voilà. Là tu me montres ce que t'as dans le froc. Là je sens que t'es un homme.

Il se redresse avec les deux canons qu'il a à la place des bras et se lève. Je suis tout tremblant et j'halète encore, mais je ne peux m'empêcher de regarder entre ses jambes. La bosse que je cherchais était bien là. Cette petite mise en scène ne l'a pas laissé froid, bien au contraire. Ce que je voyais me rendait dingue. Il me regarde alors que je suis toujours allongé, avec ce petit sourire qui voulait tout dire. Il ramasse le ballon et s'éloigne en petite foulée pour rejoindre les petits et jouer avec eux. Je me lève à mon tour et marche un peu plus loin pour me changer les idées. Je suis complètement perturbé, Je suis entre l'attente de plus et la plus pure incompréhension. Que voulait-il dire ? A-t-il senti que je bandais ? Était-il simplement littéral ? Était-ce un test ? J'allais exploser. Du crâne et de la braguette. Ma ballade m'a calmé et je rejoins finalement la tribu pour le repas du soir, celui de l'anniversaire.

Thomas s'est changé. Il a maintenant un short cargo beige et un t-shirt blanc, très près du corps, comme il aime. Ses pectoraux ressortent toujours autant et on distingue clairement ses tétons durs. Les bons plats et l'alcool défilent sur la table, les petits et les grands chantent et célèbrent Thomas pour sa soirée. La musique est forte. L'ambiance est à la fête et j'ai mis de côté mes questions pour profiter au mieux de cette réunion. Tout le monde danse et rit, mon oncle est heureux. Je suis heureux. Nous dégustons enfin le gâteau d'anniversaire et nous passons à l'apéro. Bien qu'il soit plus tard dans la nuit, comme la veille, les s et les papys tirent leur révérence pour aller se coucher.
Ma mère décide de monter également, pour accompagner mon père à moitié bourré et endormi. Tout le monde finit par en faire de même. Sauf moi. Je voulais clairement que quelque chose se passe. Profiter de l'absence de tout le monde, je ne sais pas. Il doit bien être deux heures du matin et il ne reste que Thomas et moi. Je me tenais un peu en retrait, appuyé contre un arbre, un verre de vin rouge à la main. Il me voit et se dirige vers moi.

Pas sommeil ?
Non, pas encore. Je veux profiter du calme de la campagne avant de rentrer demain à Toulouse.
Je comprends. C'était vraiment sympa de revoir tout le monde. Et ça m'a fait plaisir de te revoir, mon grand.
Moi aussi tonton « Toto »

Il rigole.

J'adorais quand tu m'appelais comme ça quand t'étais mome.
Ouais, mais je suis plus un mome.
Oui, j'ai bien vu tout à l'heure. J'ai remarqué. T'es un homme maintenant. T'es plus le marmot qui trébuchait dès qu'on lui faisait une passe. T'es formé comme il faut, là où il faut.
Ben je m’entraîne, même si je sais que je serai jamais comme toi. Pas aussi bon, pas aussi fort. Pas aussi musclé. Enfin tu vois !

Je tends ma main vers son bras et presse.

Ah, ça ? Oui, mais ça ne fait pas tout tu sais. Et puis les tiens ne sont pas mal du tout.

Il soulève un peu son t-shirt et me montre ses abdos velus. Il passe sa main dessus en me regardant. Je me retiens de baver.

Fais voir les tiens ?

Il soulève rapidement mon t-shirt. Son geste fait soulever la main qui tenait mon verre et son contenu se renverse sur son t-shirt blanc. Il fait un pas en arrière surpris, et se met à ricaner.

Et merde, je suis complètement désolé !
Haha, mais non, j'aurais pas dû y aller si vite.
Je sais pas quoi faire... Attends, je vais nettoyer...

Avec ma main ouverte j'essaye d'éponger la tache sur sa poitrine. Puis au bout deux coups je me rends compte que ce que je fais est ridicule.

Arrête c'est pas grave, je vais simplement me changer ! Oh et puis non, c'est con, y a plus personne. Je vais le retirer.

J'ai l'impression que la scène se passe au ralenti. Il jette son t-shirt dans l'herbe et me regarde en souriant bêtement.

Voilà ! Et puis il fait encore lourd là. T'as pas chaud toi ?

J'ai chaud partout ! Je prends cette question comme une invitation et je l'imite.

Mais ça va, pas mal du tout ton entraînement ! Y a pas seulement les bras que t'as bossé, la poitrine aussi je vois. Et clairement les abdos.

Il tend sa main vers ma poitrine et touche délicatement ma peau et passe d'un pectoral à l'autre et continue vers mon ventre. Je n'ose même pas deviner ce qu'il se passe dans mon pantalon, mais je sens une forte pression contre la braguette. Je pense pas pouvoir la dissimuler cette fois.

Oh, et je vois que t'as le trait commun aux hommes de la famille, nos poils !

Il rigole. Il arrête sa main.

Ah, je pense que je sais ce que c'est ça. On a fait connaissance cet après-midi. Tu te souviens ? Le mien aussi a dit « bonjour ».

Il s'approche de moi avec son sourire. Je regarde le sol, complètement surpris. Je suis dos à l'arbre, collé. Sa main descend un peu plus bas et entre en contact avec mon sexe bandé à travers mon jean. Il descend jusqu'à mes couilles et remonte à nouveau vers ce qui serait mon gland. Je frissonne. Il s'approche de mon oreille.

Tu vas encore te laisser faire ? C'est trop facile. Tu m'as prouvé le contraire tout à l'heure.

Cette provocation me sort de mon engourdissement. Je pose ma main sur sa hanche, ne sachant pas trop quoi faire ensuite. Puis je la déplace vers son dos. Son corps est chaud, massif. Je la descends vers une de ses fesses. Dures, pleines. Je reviens sur sa hanche et touche son ventre et les poils qui le jonchent. Je lâche un soupir. J'oriente cette fois ma main vers les boutons de son short. J'y vais d'un coup et je place directement ma main entre ses jambes. Je m'arrête, sentant la chaleur de son sexe à travers le tissus. Je peux estimer la taille du paquet par le simple fait que ma main ne suffit pas à tout saisir. Je relève la tête et le fixe. Il sourit toujours.

Tu vois, il faut prendre des risques, comme au rugby. Se jeter sur sa cible même si on n'est pas certain de pouvoir l'attr. C'est ce que j'ai fait cet après-midi et c'est ce que tu viens de faire. Maintenant le tout, c'est de garder cette cible en joue.

Il s'approche à nouveau. Mais se dirige vers mes lèvres cette fois. Il me dépose un tendre baiser et se retire. Il s'éloigne en marchant à reculons. Je reste bloqué. Puis je comprends enfin son message. Il veut que je le suive. Je reste à quelques pas de lui et le laisse entrer dans sa chambre. Il laisse la porte ouverte et je vois qu'il a allumé une lampe de chevet. J'entre et je referme derrière moi. Il me pousse doucement contre la porte et s'appuie contre moi. Il saisit ma mâchoire et la soulève. Il descend pour m'embrasser encore une fois, plus vigoureusement cette fois. Il tente d'introduire sa langue en moi. J'ouvre mes lèvres et nous échangeons un baiser mouillé sensuel. Ses mains se baladent sur mon torse nu. Je fais de même et le fouille la poitrine, le dos et ses bras musclés. Il s'aventure vers mes fesses et les masses délicatement. Il rompt l'embrassade et me fait mine de le suivre sur son lit. Nous nous allongeons et reprenons nos caresses. Je n'ai plus honte de mon érection absolument inévitable. Un rapide coup d’œil m'a permis de voir que lui aussi était très excité. Je mets ma main sur sa queue et fais des va-et-viens au-dessus de son short. Mon audace grandit. Je déboutonne le tout et je fais apparaître son boxer. Je me redresse pouvoir tout voir. Je soulève l'élastique de son sous-vêtement et découvre sa queue. Un morceau d'une vingtaine de centimètres se dresse devant moi. Je l'entends ricaner. Je le regarde et lui souris en retour. Qu'est-ce que j'en avais envie... Je n'attends pas et me dirige vers la bête. Au départ j'ai un peu de mal à la contenir dans ma bouche. Mais au bout de quelques succions, je parviens à m'ajuster à ses mensurations. Je l'entends souffler fort, gémir. Je lui fais du bien. Quelques minutes plus tard il me demande d'arrêter. Il me pousse au milieu du lit et me déshabille d'un coup. Il me relève les jambes et fixe mon trou. Il se jette dedans et entreprend de me lécher. Une salve de frissons me parcourt. Il s'y prend divinement. Il écarte un peu plus mes fesses pour pouvoir aller plus loin. Je sens la pointe de la langue s'agiter et jouer à l'intérieur de moi. Je vibre. Il arrête et me voyant saisi, commence à introduire deux doigts en moi. Je me cambre, j'ai un peu mal, ses doigts sont plus grands et épais que les miens. Il y va plus lentement et je commence à mieux apprécier. Cela fait maintenant cinq minutes qu'il me doigte avec un troisième doigt, tendrement, avec application. Je transpire, je bande tellement fort que j'en ai presque mal. Il remonte vers mon visage et m'embrasse. Il s'allonge sur moi et place mes jambes autour de ses hanches. Sans regarder, il dirige son grand sexe avec mon trou béant qui ne demande qu'à se faire combler. Je sens son gland se balader autour de mon trou puis le localiser. La tête chaude pousse pour entrer. Je suis complètement dilaté, je vais l'accepter lui, et son corps. Ce corps... En me regardant, il fait entrer son sexe au plus profond de moi. Je pousse un râle de soulagement quand il arrive à la garde. Toujours ce sourire sur son visage. Moi je suis aux anges. Thomas, mon oncle, sur lequel je fantasmais tant pendant tout ce week-end, est en moi, me donnant du plaisir. Il transpire lui aussi, des gouttes ruissellent sur la montagne qu'est son corps et fait briller ses poils à la lumière tamisée. Je lis dans ses yeux encore plus de désir. Il ressort lentement. Il se réinvite en moi plus rapidement cette fois, et commence une enfilade sensuelle et dynamique. Il m'embrasse à répétition, et je caresse ses muscles pour me donner encore plus de plaisir. Il me chuchote des mots à l'oreille, tantôt tendres, tantôt violents, ce qui décuple mes envies. Je l'ai en moi, dans toute sa longueur, et il me fait l'amour comme un dieu. Sa respiration se fait de plus en plus rapide et je comprends qu'il va bientôt jouir. Pour qu'on atteigne ce point ensemble, je fais en sorte d'être plus serré et accompagne son mouvement de pénétration. Je le sens brûler en moi, grandir en moi, devenir encore plus dur en moi. Comme une épée neuve qui découvrait son premier fourreau. Je l'aspire, je l'att, je la recouvre de mes parois. Je resserre mes fesses autour de son sexe je force l'étreinte de mes jambes. Il accélère. Il souffle. Il jouit. Mon anus déjà bien humide et chaud se voit inondé de son sperme fumant. Il continue ses coups de hanches en râlant. Cette vague de chaleur et de moiteur est insupportable pour moi et je sens que je viens à mon tour sans m'être touché une seule fois. Mon sperme gicle entre nous deux et lubrifie encore notre embrassade. Il n'arrête pas ses pénétrations et je sens une nouvelle salve de jus dans mes entrailles. Il s'arrête enfin et me fixe en essayant de calmer sa respiration et me sourit.

Mon plus beau cadeau...

Je me réveille le dimanche matin, sur sa poitrine. Un ses bras et autour de moi. Il se réveille à son tour, bouffi et dit :

Deux fois. Tu m'as fait venir deux fois. J'ai jamais vécu ça.

Je souris, un peu hébété.

C'est con que les anniversaire ça n'arrive qu'une fois par an...
Sois pas si défaitiste, le mien est dans deux semaines...

Il sourit, et fait passer le drap au-dessus de nous.

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