A Mon Anniversaire.

Ce Vendredi là était mon anniversaire et j’avais invité des amis pour le fêter chez nous à la maison.
Mes invités commencèrent à arrivés vers 16 heures car il avait une séquence piscine en intro. Les maillots étaient exigés et barboter dans la piscine aussi était obligatoire. Mon beau père jouait les reporters avec sa caméra numérique tandis que ma mère recevait ses amis qu’elle avait conviés.
On s’est retrouvés à près d’une vingtaine dans l’eau et bien entendu, quelques caresses firent enfler des sexes masculins. Un peu avant 18 h, notre bande était hors de l’eau, habillée et vadrouillait dans la maison avec une ambiance de fête.
Je devais souffler mes 22 bougies à 20h tapantes et 15 minutes avant, je me faisais culbuter par mon Jules dans ma chambre sous le regard amusé de ma copine Françoise qui avait effectuée le déplacement pour moi.
Jules me prenait dans toutes les positions et éjaculait à chaque fois sur mon corps.
Il me laissa pour se rincer avant de descendre avec Françoise m’attendre en bas.
J’étais pile à l’heure et puis ce fut une belle fête jusqu’à minuit. Ceux qui ne pouvaient plus rentrer chez eux étaient invités à dormir où ils pouvaient au salon et sur la terrasse.
Françoise, Jules et moi sommes restés en semble dans la cuisine pour déguster encore le sublime couscous que ma mère avait faite. Elle était montée se coucher avec son mari depuis 22 heures trente.
Dans ma chambre, Jules m’avoua qu’il fantasmait sur Françoise et espérait avec mon autorisation tenter un coup avec elle.
« Tu le feras si elle accepte » Lui répondis-je, devinant déjà la réponse de mon amie.
Je sorti de la chambre pour me désaltérer à la cuisine. Un couple y baisait silencieusement. Ils ne virent qu’à la dernière minute, trop tard pour arrêter.
« Faites donc, je ne fais que passer » lançai-je en me dirigeant vers le frigo.
Le jeune homme avait un pénis lourd et impressionnant mais sa copine le prenait presqu’en entier dans la bouche.


Je m’arrêtai un moment pour les regarder sans qu’ils ne s’en offusquent outre mesure et le mec éjacula dans la bouche de la fille. Mais elle ne put contenir tout le sperme qui pulsait tant la quantité était impressionnante.
Une grande partie coula sur sa poitrine et elle toussa. Je m’approchai d’eux et pris le membre dans la main gauche…il était vraiment lourd et cela me donna envie. Je demandai à la jeune fille si je pouvais essayer, elle me fit oui de la tête avec un sourire moqueur.
Je le pris enfin dans la bouche et le suça un moment. Puis j’offris ma croupe que je le mec caressa d’abord avant de me pénétrer lentement. C’était bon à en mourir…
Il allait et venait doucement en moi sous le regard de sa copine puis accéléra sa cadence.
J’étais accoudée à la table de la cuisine et les coups de butoir du mec faisaient grincer les pieds de la table sur les carreaux. Je sentie le liquide tiède couler en moi, m’inonder et ruisseler le long de mes cuisses.
Il se retira et je m’essuyai avant de remonter dans ma chambre voir comment jules et Françoise s’en sortaient.
Je les trouvai endormis, nus et le sexe luisant de Jules glissant lentement de la bouche de Françoise.
Je compris que j’allais restée éveillée toute seule car ces deux là ne se réveilleraient pas avant le matin.
A mon réveil à 10 h, tous les fêtards étaient partis y compris Jules. Seule Françoise était encore là puisqu’elle était venue pour quelques jours.
L’après midi, elle m’a accompagna faire des emplettes nous nous sommes rendues chez Jules.
Françoise et moi avons toujours fantasmé sur le fait qu’on puisse nous faire l’amour dehors en plein jour avec des passants non loin et comme elle était loin de ses parents elle voulait tenter l’expérience.
C’était très risqué et je ne savais pas si Jules accepterait que je participe. Sa réponse fut catégorique :
-- Non !
Françoise allait devoir se débrouiller seule si elle tenait vraiment à cela.

« Ce n’est pas bien grave, ça restera notre fantasme chéri qu’on ne peut pas réaliser » Lui dis-je pour la réconforter.
Sur le chemin de retour comme elle ne disait rien, je compris qu’elle y tenait vraiment. Aussi me rappelai-je du mec qui faisait l’amour à sa copine la veille dans notre cuisine.
Je pouvais avoir son adresse et décidai d’aider ma copine. Il faut reconnaître que je ne voulais pas en rester là non plus.
A 17 heures on était rentré et j’avais le numéro du jeune homme. Il s’appelait Didier et il fut partant pour la proposition à condition que sa copine n’en sache rien.
A 17 h 30 on était tous les trois dans un taxi pour un lointain quartier. Françoise portait une robe courte sans rien en dessous comme moi.
Avant 18 h, nous avions trouvés le site que nous avons jugé propice et le taxi nous y laissa.
C’était un vaste espace public où les parieurs de jeux aiment se retrouver pour faire leurs pronostiques.
L’allée qui donnait sur sa partie sud semblait peu fréquentée (environs 2 personnes toutes les 15 minutes).
A 18 h 30 Françoise et Didier décidèrent de commencer et ils s’engouffrèrent dans l’allée tandis que je m’asseyais sur un des bancs de bétons près des parieurs. Je vis Françoise relever sa robe et se pencher en avant en tenant un mur attendant que Didier la pénètre, ce qu’il fit sans attendre.
Je mouillais un max de les voir baiser ainsi dehors alors que le soleil se couchait à peine. Un homme les dépassa dans l’allée en se retournant plusieurs fois. Un second passa et s’arrêta carrément pour les regarder et c’est à ce moment que Didier se retira, retourna Françoise pour lui éjaculer au visage.
Le voyeur avait assisté à toute la scène et moi je ne tenais plus mais ils revenaient déjà vers moi.
Elle me tira par le bras :
-- Vite allons-nous-en !
On courrait presque quand on a arrêté un taxi. Sur le chemin de retour, on n’en revenait je me masturbais sans retenue alors que le chauffeur transpirait à grosses gouttes.

Il nous déposa à environs 200 mètres de la maison et on se sépara. Didier reparti tout content chez lui tandis que Françoise et moi on retournait à pied à la maison…

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