Le Destin De Cecile Trouillot, Serpillologue...

CECILE TROUILLOT,
NEE SOUS UNE BONNE OU UNE MAUVAISE ETOILE ?

Un destin de soumise ?


« Oh oui, défonce-moi le cul, encore, continue, fais de moi une chienne... frappe moi... oh oui, encore... », ainsi s'exprimait Cécile Trouillot à l'attention de l'homme qui la sodomisait.
Michel Clapas, contrôlait, en homme habitué, la situation et se disait qu'il avait mis la main sur une sacrée cochonne et que tout compte fait l'automne et l'hiver n'allaient pas trop être pénibles pour cette première année de retraite...
Il continuait néanmoins à saccager l'anus de sa partenaire à la grande satisfaction de celle-ci.... tout en appliquant quelques claques sur ses (jolies) fesses et quelques coups de martinet (légers) sur ses reins,son dos, ses seins..., il aurait largement le temps de durcir le jeu ensuite... dans quelques temps...
Néanmoins, ce garçon poli et attentif dit à sa partenaire « … Ceciliou tu as un cul divin et tu sais t'en servir comme personne, tu me rends fou... ».
« Continue... défonce-moi... » fut la réponse laconique de sa partenaire entrecoupée de gémissements de plaisir...

Une grosse pute cinquantenaire qui vient de se faire tirer au bord d'une piscine... ('vilaine pensée de Cecile Trouillot en apercevant l'amie de son patron à poil au bord de la piscine, le corps zébré de marques rouges...).

Michel Clapas, dit Mimich ou Mimi venait de prendre sa retraite de prof agrégé, thésard, etc. d'histoire géographie (plutôt spécialisé dans l'histoire), il avait donc emménagé dans la maison où il passait habituellement ses vacances, maison qui lui venait de « Tantine » la sœur de sa maman, et dont il avait hérité.
Dame Cécile Trouillot faisait le ménage de Tantine, au décès de celle-ci, il lui avait demandé de continuer, si ça ne la dérangeait pas, et l'hiver de lui aérer la maison, tâche dont dame Trouillot, prénom Cécile s’acquittait avec une conscience professionnelle digne d'éloges, ce dont Michel ne se privait pas, d'ailleurs.

..
Ce jour là, à la mi-juillet, Cécile Trouillot, arriva avec sa vieille Clio diesel pour faire le ménage, la lessive de ce sagouin de Michel Clapas, qui vivant seul (il était veuf...), foutait un bordel pas possible dans la maison, le seul truc rangé dans cette baraque, depuis son retour mi-juin, c'était le garage où il bricole sa moto et ses voitures.
Cela étonnait d'ailleurs Cécile, qu'un intellectuel, cet historien, elle l'avait vu à la télé, il avait écrit un livre, qui faisait office d'ouvrage de référence concernant l'histoire régionale au moyen âge, passe son temps les mains dans le cambouis..., à bricoler... (« les intellectuels, c'est pas des gens comme nous... », en avait déduit Cécile...) pour elle un intellectuel, un historien ça pensait, ça écrivait des bouquins, ça ne jouait pas de la scie sauteuse ou de la clef à pipe...
Le portail étant ouvert, elle entra et descendit l'allée pour garer sa voiture derrière la maison, à l'ombre comme elle en avait l'habitude.
Une voiture qu'elle ne connaissait pas était garée, deuxièmement, Michel à poil, embrassait une femme également à poil au bord de la piscine (il l'avait fait installée l'année précédente,- il y a en qui ont du fric à claquer -, tous deux étaient couchés sur une serviette...
Immédiatement Cécile Trouillot détestât cette femme...
Michel se leva, se drapa dans un drap de bain, la femme en fit autant, Michel fit les présentations.
« Cécile, ma bonne fée du logis..., une aide vraiment précieuse... ».
« Mireille, une amie qui vient passer trois semaines ici... ».
Les deux femmes se saluèrent puis se firent la bise.
Mireille exprimât sa sympathie à Cécile en lui disant « en quatre ans de vie commune, je n'ai jamais vu quelqu'un mettre autant de désordre que Mimi, je vous plaint... ».
Cécile, remarqua que la femme, la cinquantaine passée, plus que bien conservée, mince, blonde, yeux verts, une poitrine abondante et un sexe rasé, avait des marques rouges sur tout le corps, en particulier les fesses, les cuisses, les seins étaient striés de fines marques rouges, elle portait des anneaux d'or aux lèvres de son sexe.
..
La femme avait l'allure d'une femelle repue, satisfaite par son mâle...
En faisant le ménage Cécile se demandait toutefois ce qui avait pu lui provoquer de telles marques, elle entra dans la chambre qui servait de salle de gymnastique (du moins le croyait-elle...) et compris, les agrès, l'espalier, les cordes qui pendaient du plafond, l'espèce de cheval d'arçon... elle ouvrit le tiroir d'un commode qui se trouvait dans la pièce, des bracelets en cuir, des pinces, des chaînes, des cravaches, elle ouvrit le tiroir du dessous, des godes de toutes tailles, le lit en désordre, il y avait du y avoir une séance avant la piscine, puisqu'un short et un tee-shirt trainaient par terre...
« Putain, cette salope vient se faire fouetter et sauter ici... sale pute... », cette pensée accru le zèle de Cécile, il fallait qu'elle passe sa rage... elle se réfugia dans son nettoyage....

La vie de Cécile Trouillot, sa vie sexuelle....

Cécile Trouillot était mère célibataire, maman de deux charmants monstres mal élevés répondant aux doux prénoms de Jackson (en hommage à Mickael, du même nom) et de Vanessa (en hommage à Vanessa Paradis).
Le premier géniteur l'avait laissé en plan dans sa Champagne natale un an après la naissance de Jackson, elle avait suivi le deuxième dans le midi, était née Vanessa et bis repetita. Cécile s'était retrouvée seule, sans travail avec deux s...
Les services sociaux de la métropole régionale, s'en étaient débarrassé, en l'envoyant dans ce bourg du piémont des Cévennes où ils lui avaient trouvé un emploi à l'Admr, les pères payaient leur pension alimentaire quand ils en avaient le temps, Cécile vivait de son travail d'aide ménagère et des aides sociales.
Elle cherchait le prince charmant sur des sites de rencontres, mais étant difficile et exigeante, elle ne trouvait rien, les rares hommes qui avaient dépassés le stade du premier rendez-vous, ne la rencontrait que pour une bonne chose : la sauter...

Cécile avait mauvais caractère, elle était intransigeante pour des broutilles, enfilait les idées bien arrêtées, comme d'autres enfilent les perles, emmerdait tout le monde avec ses discours continuels sur la situation de mère élevant seule ses s... bref elle était imbuvable...
Cécile Trouillot, mesurait 1 m 65, pesait 55 kg, était blonde aux yeux bleus, avait une honnête poitrine, ferme pour une femme de 39 ans, mère de deux s et une cambrure qui lui faisait une croupe sublime, elle affichait un léger hâle qui lui donnait un genre, adorait les tenues décolletées, les jeans slim, les talons un peu hauts.
La vie sexuelle de Cécile Trouillot était proche du néant, elle n'avait pas fait l'amour depuis plus de 2 ans et se paluchait le soir dans son lit avec ou sans l'aide du contenu d'un coffret « sexy» acheté sur internet...
Aussi, de voir cette femelle repue, alors qu'elle était en manque, rendait Cécile folle de rage et de jalousie, elle ne comprenait d'ailleurs pas sa réaction, Michel Clapas, ne lui ayant jamais fait d'avance, elle en déduit qu'elle avait un petit sentiment pour lui et se promit de le séduire... de le faire changer d'attitude à son égard...
Durant les trois semaines du séjour de Mireille, la rage et la rancœur de Cécile ne firent que croitrent, elle répondait sèchement à Mireille, lui jetaient des regards à faire froid dans le dos.
A vrai dire, Cécile ne comprenait pas l'objet de sa colère, de son ressentiment, elle ne cherchait pas non plus à l'analyser, elle détestait cette pute, un point c'est tout.

Avant de commencer sa pêche, le pécheur appâte....

Michel et Mireille discutaient de la conduite bizarre de Cécile, Michel ne comprenait pas, il ne lui avait jamais fait d'avance...
« Elle me hait ta bonniche... elle est mal ou pas baisée, elle ne doit pas supporter que nous baisions ensemble, moi une vieille pour elle, et elle jeune, ceinture, paluche toi la moule comme une grande... prend une carotte, ce que tu veux, si tu veux dur dur.
..,alors mon Mimi d'amour arrange toi pour la séduire, la dresser, mais c'est bien d'accord à Noël, elle sera avec nous dans le lit, je la dresserai à me lécher la chatte et le reste, elle va comprendre cette pimbêche, je finirai de la dresser moi la technicienne de surface, non mais... à toi de jouer vieux vicelard de Mimi d'amour... »
Ainsi, s'exprime Mireille Tardou, professeur d'anglais, maîtresse et soumise du dit Mimi, avec lequel elle partage les jeux sm, (Mireille était une collègue de la femme de Mimi, soumise également et qui partageait leur jeux sm avant le décès accidentel de celle-ci, elle avait prit sa place, l'avait remplacée, elle avait toujours eu un faible pour Mimi », Mimi opine et se contente de répondre :
« Ok, mais en attendant, tourne toi que j'honore ton jolie cul de chienne soumise... », sa compagne s'exécuta, notre homme tint sa promesse...
Mireille était partie, les s de Mimi étaient ensuite venus visiter leur père en compagnie d'amis, des cousins, des amis, ce fut un va et vient perpétuel, Cécile avait du travail, puis vint la fin août, la maison fut subitement désertée au grand soulagement de Cécile Trouillot qui n'était pas fâchée de retrouver son train train.
« Cécile, si vous voulez venir profiter de la piscine avec vos s le week-end, vous venez quand vous voulez, ce sera avec plaisir... »
Cécile remercia et promit de venir offrir des après-midi de détente à ses s.
(Putain, va falloir que j'aille m'acheter un maillot transparent, l'autre pute (Mireille), m'a dit que Mimi avait horreur des marques de maillot, et moi j'ai un bronzage Massey Fergusson comme il dit... (pour un prof qui parlait des fois à la télé, il avait un de ces langages, l'historien...)).
Cécile prit la décision, primo de se mettre au régime, secundo de réduire au maximum les marques blanches sur sa poitrine en s'exposant au soleil, seins nus... de se raser la chatte afin de ne pas avoir de marque blanche, d'utiliser son coffret afin d'habi son anus à nouveau a être pénétré.
Pendant, une dizaine de jours, (en mère moderne elle se montrait nue devant ses s), elle consacra tout son temps libre au bronzage intégral... une fois au lit, elle réhabituait son anus à la pénétration...
« Je viendrai Dimanche avec mes s, si vous êtes toujours d'accord... ».
« Bien sûr venez donc dimanche matin, nous ferons un barbecue et les s s'amuseront... ».
Mimi disputait une partie de pétanque avec ses potes.
« Alors t'en es où avec la Cécile, vieux bandit ? , gros vicelard... ».
« Logiquement dans 15 jours, trois semaines ce sera bon, vous pourrez la sauter avant la Toussaint... ».
Michel discutait avec ses copains d'enfance, maintenant retraités comme lui, francs buveurs, francs ripailleurs, francs baiseurs comme le sont les hommes de cette terre de rugby, ils parlaient librement de cul, avaient dans leur jeunesse partagés les mêmes filles, des liens s'étaient tissés durant les vacances au cours de soirées à plusieurs, ils aimaient touzer.
Cécile était l'objet d'un pari de repas au resto entre ces amis... retraités mais toujours joyeux libertins.
« Bon, on la fini cette partie, sinon on n'est pas près de boire le jaune, fas cagat avec ta chèvre... », la partie de pétanque continuât.
Cécile achevait ses essayages de maillot de bain dans sa chambre devant sa glace, elle se trouvait canon, le maillot ne laissait rien ignorer de sa poitrine, ni de son sexe, elle l'avait choisi une taille en dessous, vêtue ainsi (ou plutôt dévêtue), elle était un véritable appel à la bite...

Braise....
Le barbecue fumait, les s jouaient dans la piscine, Cécile hésitait à ôter sa robe, Michel, lui était en maillot de bain et s'occupait de préparer la viande.
Cécile était arrivée une demi-heure auparavant, les s avaient filés directement dans la piscine.
Elle constatait avec plaisir que Michel avait dressé la table, préparé le repas, décoré la table avec des fleurs.
« Attendez... », Michel avait défait le bouton dans le cou, et sans lui demander son avis, entrepris d'enlever la robe, Cécile se laissa faire...
« Magnifique, vous êtes vraiment splendide, vous n'avez pas honte de cacher ce corps magnifique sous cette jolie robe... », Cécile à présent en maillot de bain, exposait sa plénitude à son hôte, elle sentait son ventre couler, il la prit par la main et l'entraîna vers un guéridon ; « Venez prendre l'apéritif... ».
« A la santé de la plus belle fleur du jardin... », Michel tendit sa flûte de champagne pour trinquer et lui offrit une fleur.
Cécile faillit pleurer, on ne lui avait que rarement offert des fleurs, n'arrivait plus à penser, elle n'avait qu'une envie, que cet homme la prenne, malheureusement il y avait les s.
Les s arrivaient d'ailleurs en poussant des cris de sioux, Michel leur proposa « Coca, Fanta ?... ».
« Coca » fut la réponse, il alla chercher la boisson demandée, des glaçons et servit les s en leur tendant une assiette de gâteaux qui furent rapidement engloutis.
Les s repartirent jouer dans la piscine.
Michel et Cécile discutaient, soudain Michel se leva, passa derrière Cécile, « Penche toi en avant... », Cécile obéit, il dégrafe le soutien-gorge du maillot, l'enlève, se penche, embrasse un sein, le caresse, « ce n'est pas mieux comme ça... », Cécile se laisse faire elle ne peut plus penser... elle n'a qu'une envie...
Le repas se déroule dans la bonne humeur dans un chahut bon , le rosé coule, Cécile commence à se sentir pompette, les grillades sont délicieuses, les s se goinfrent de chips au ketchup, après le dessert les s repartent à la piscine.
Cécile a été surprise, les s ont interrogé Michel, il leur a expliqué qu'il était prof, les gosses l'ont interrogé sur plusieurs choses qu'ils avaient apprises et apparemment qui les intriguaient (ils ne lui en avait jamais parlé...), Michel leur avait répondu, avait expliqué, bref fait une véritable cours, mais surtout un cours à leur portée.
Cécile sent son ventre la chauffer de plus en plus, ses pointes de seins s'érigent.
Elle se lève, part aux toilettes, se paluche, elle n'en peut plus...
Ils discutent tranquillement, les s, jouent, se chamaillent dans l'eau, Michel propose « On va rentrer boire une café... ».
Cécile acquiesce, prévient ses s, ils rentrent dans la maison par le sous-sol.

Des prévisions fausses...
Michel se trompait d'une semaine dans ses prévision, il avait prévu de la sauter après l'avoir invité en tête à tête la semaine suivante.
Cécile se trompait également, elle pensait ne céder qu'au bout de trois semaines...
Comme quoi...
A peine dans la pénombre, hors de la vue des s, Michel la plaque contre le mur, l'embrasse.
Cécile répond à ses baisers, il la retourne, lui empoigne les seins, les caresse, les serre, les tire, l'embrasse dans le cou, caresse sa croupe, ses flancs, son dos, ses cuisses, puis une main descend le long de son ventre, s'introduit dans la culotte, la descend, dégage son sexe, l'explore, les doigts s'insinuent, caressent, il continue à lui embrasser la nuque, elle tourne sa tête pour chercher ses lèvres...
Cécile ne tarde pas à gémir, elle joui...
« Suce moi... », Cécile tombe à genoux, descend le boxer, saisi le sexe bandé et le prend dans sa bouche, elle s'active, au bout de quelques minutes, elle a la satisfaction d'arriver à ses fins quand le sperme gicle dans sa bouche...
« N'avale pas, relève toi, pousse le avec ta langue, montre le moi et avale petit à petit... ».
Cécile obéit à la loi du mâle, s'exécute, Michel l'embrasse lorsqu'elle a fini de tout avaler et ordonne « Nettoie moi avec ta bouche », Cécile s'exécute sans discuter.
Ils boivent leur café, Cécile est sur les genoux de Michel qui demande « Tu ne peux pas te libérer et venir passer la nuit ici ? ».
« Je vais voir, je peux téléphoner ?... ».
« Allo, Jessica, c'est Cécile, pourrais-tu me rendre un service et me garder cette nuit Jack et Van, s'il te plait, je te les amènerai vers sept heures, tu les fais manger, je te revaudrais ça... Merci ma chérie... »
« C'est arrangé, je reviendrai passer la nuit avec toi grand cochon... ».
(Jessica Paltra, grande copine devant l 'éternel de Cécile, était dans la même situation qu'elle, seule avec deux s, était moins jolie, mais plus salope, elle partait quelquefois les soirs de week-end fréquenter les discothèques, Cécile gardait les mômes et Jessica se faisait sauter par des hommes qui lui plaisaient, qu'elle choisissait... ou qui voulaient d'elle...).
« Ce soir, lorsque tu reviendras, tu sera nue sous ta robe, pas de culotte et pas de soutif, j'ai horreur de ça, et d'ailleurs ça ne te sers a rien, tes jolis seins sont suffisamment fermes pour que tu puisse t'en passer, tu as une poitrine magnifique (Cécile rougit sous le compliment et remercie)... ».
« Si j'ai un accident, je vais passer pour une belle salope », Cécile conduisait avec prudence sa voiture vers la maison de Michel et songeait que si elle avait un accident les pompiers pourraient se rincer l'oeil, ce qui l'inquiétait le plus, c'est qu'elle sentait son ventre couler...
Cécile se jette dans les bras de Michel, l'embrasse, il lui rend ses baisers, la déshabille en un tour de main, l'entraîne vers la chambre, la fait se coucher sur le lit, il enlève à son tour son short, lui aussi est nu.
« Oh oui, tire dessus, j'adore ça... », Michel la caresse, tire sur ses seins, se penche, les mordille, une de ses main fouille son sexe, Cécile ne va pas tarder à jouir, son ventre coule, elle crie... elle joui...
Elle a récupéré, se penche sur son amant, le prend dans sa bouche, sur ses indications, elle présente son cul, pendant qu'elle le suce, il pénètre son anus avec un ou plusieurs doigts, elle se laisse faire, il se libère dans sa bouche, elle se tourne vers lui et avale comme il lui avait demandé dans l'après-midi, lui montre que la leçon a été retenue.
Ils sont de nouveau allongés, se caressent, s'embrassent, Michel prend Cécile, la fait se tourner, lui enduit l'anus de lubrifiant, la pénètre doucement (elle gémit, elle n'est plus habituée, c'est un peu douloureux), puis il la ramène sur lui, lui caresse le sexe, elle ne tarde pas à gémir, pour finir lorsqu'elle va jouir, se redresse, s'empale et joui en hurlant...
« On va aller dans le donjon, je vais t'attacher et te faire l'amour, j'aime faire l'amour à des femmes soumises, attachées... ».
Cécile ne discute pas, elle ne pense plus, elle accepte tout...

Education....

Michel lui passe un collier ressemblant à un collier de chien autour du cou, des bracelets de cuir aux poignets et cheville, une chaine qu'il ajuste avec un mousqueton autour de la taille...
Il immobilise Cécile en attachant les bracelets de ses poignets par des mousquetons à une barre qu'il a descendu d'une potence, immobilise ses jambes écartées à l'aide d'une autre barre, de la même façon, il caresse le corps de Cécile, lui doigte le sexe, l'anus...
Il prend une sorte de martinet et alterne les coups légers, les caresses, les coups un peu plus appuyés, le ventre de Cécile coule de plus en plus, elle le dit, gémit, demande « plus fort... plus fort.. », Michel module ses coups selon les désirs de sa désormais soumise.
Il s'arrête, revient avec deux pinces lestées, les fixent aux seins de Cécile, prend une cravache et commence a asséner des coups légers sur les seins, Cécile gémit « encore, plus fort, tire plus.. », Michel rajoute du poids, branle doucement le ventre de Cécile, les marques de son excitation sont visibles sur ses cuisses, elle joui de nouveau en hurlant...
Il pose une bandeau sur les yeux de Cécile, lui pose un bâillon, il recommence à cravacher, les coups sont plus appuyés, les caresses aussi.
Il fait pivoter Cécile, son dos et sa croupe reçoivent leur ration de cravache et de caresses.
Il pénètre, le sexe de Cécile avec ses doigts, lui défait le bâillon, la caresse, joue avec son capuchon, son clito, bientôt elle hurle à nouveau son plaisir, les jambes coupées elle reste suspendue par les bras...
Il enlève le bandeau, libère Cécile de ses entraves, elle se jette dans ses bras et l'embrasse, il lui interdit de se frotter pour se soulager, elle promet « tu peux me faire ce que tu veux, c'est bon, ce que tu m'as fait, je n'ai jamais joui comme ça, je ferai tout ce que tu veux.. ».
Michel l'embrasse, la prend entre ses bras, la guide devant une glace, Cécile admire les stries rouges qui marquent son corps et déclare qu'elle en est fière.
Cécile est allongée sur une sorte de chevalet, ses poignets et chevilles sont attachés aux pieds de l'engin, la chaîne de sa taille est attachée sur la poutre sur laquelle son torse repose, Michel a rajouté du poids aux pinces de ses seins qui désormais pendent distendus... la douleur occasionnée est largement compensée par l'excitation qu'elle ressent...
Les coups de cravache arrivent légers, sur les seins, Michel revient devant elle, elle ouvre la bouche, il introduit son sexe dans la bouche offerte, d'instinct elle suce lentement, presque une caresse, puis il passe derrière elle, cravache sa croupe, caresse le sexe et l'anus offerts, quelques coups de cravache sur le dos, il introduit son sexe dans celui de Cécile...
Il pénètre tour à tour, le ventre, l'anus, Cécile hurle « prend moi, prend moi, prend ta salope soumise, défonce-moi... ».
Michel prend son temps pour pratiquer une sodomie soignée, la femme hurle son plaisir.
Lorsqu'il a pris le sien, il présente son sexe à la bouche de la femme attachée, et se fait nettoyer.
Il cravache d'importance la croupe, les fesses offertes, négligeant les cris et supplications de la femme, puis caresse la croupe enflammée et pénètre le sexe de la femme.
Il module ses mouvement, attentif à la montée du plaisir de sa soumise, lorsqu'il la sent à point, il accélère ses mouvements, elle hurle son plaisir quand il se vide dans son sexe...
Cécile est détachée, ramenée sur le lit, charitablement Michel va chercher une bouteille d'eau dans le frigo, la ramène et la tend, Cécile boit avec avidité...
Ils sont allongés sur le lit, Michel caresse le corps de sa soumise.
Il l'interroge sur sa vie sexuelle, se rend compte sidéré que Mireille avait raison, une preuve de plus de la fameuse intuition féminine... Il sourie discrètement à l'évocation du coffret sexy acheté sur internet et se promet de goder sa désormais soumise.
« Tu dois me prendre pour une sacrée salope, je m'en fiche... Je ferai tout ce que tu veux, si tu veux, je ferai même la pute... ».
« Tu feras la pute rassure-toi, désormais tu m'appartiens, tu est ma soumise, je suis ton Maître, je dispose de toi, je te prend quand et comme je veux, peut t'offrir à qui je veux, homme ou femme, si tu acceptes de devenir une soumise, une esclave sexuelle, tu ne pourras plus refuser puisque c'est moi qui déciderai pour toi... mon bel amour de soumise... ».
« J'accepte tout, pourvu que tu recommence souvent à me faire ce que tu viens de faire, je t'appartiens, mon maître, je suis ta chienne soumise... ».
Après s'être reposés, avoir pris une petite collation, Michel entrepris l'éducation de sa soumise.
Il lui explique comment elle doit se comporter et se présenter.
« Je voudrais aller faire pipi, mon amour, mon Maître ».
Il l'entraîne dans la cuisine, prend une chaise, s’assied et déclare :
« Va chercher une cuvette dans la buanderie et soulage toi dedans, devant moi... »
« Mais... »
« Il n'y a pas de mais, c'est ainsi, devant moi, quand je le décide, ta pudeur n'existe plus », Michel se saisit d'une cravache, un coup en travers des seins ponctue cette déclaration.
Cécile (le rouge au front), dans le tintement de son jet se soulage dans la cuvette, devant celui qui est désormais son Maître, il la félicite, elle est heureuse...
« Prend une chaise, assied toi devant moi et branle toi... »
« Mais chéri... »
« Écoute moi bien soumise, ou tu obéis ou tu pars...en plus ce n'est pas « chéri », mais « Maître », 20 coups de cravaches sur les seins, pendue par les seins, 20 sur le cul, 20 sur la chatte..., tu vas apprendre à obéir... ... ».
Cécile, le rouge au front, obéi, elle s'assoie, écarte les jambes, et commence à manipuler son sexe, au bout de quelques minutes, elle commence a gémir, puis fini par jouir devant son maître.
Elle est félicité « bravo, brave soumise salope, n'oublie pas de lécher tes doigts plein de la mouille de ta chatte de soumise », ce que Cécile fait sans hésitation aucune.
Quelques minutes plus tard, amené à nouveau dans le donjon, Cécile a les mains attachées à la chaine de sa taille par des mousquetons fixés aux bracelets de cuir, ses jambes furent à nouveau entravées.
Le Maître prend une corde, l'enroula autour d'un de ses seins, fait une boucle, procéda de même avec l'autre, descendit la barre de la potence, passe un mousqueton dans les boucles, le fixe à un crochet fixé sur la barre.
Il embrasse Cécile, qui gémit, le Maître a serré les cordes ses seins sont gonflés, compressés, rougeâtres, elle lui rend son baiser.
Deux tours de manivelle, Cécile voit la corde se tendre, une douleur intense, ses talons, la plante de ses pieds décollent du sol, bientôt seuls ses orteils frôlent le sol, elle est pendue par les seins.
Le Maitre prend une cravache et lui ordonne de compter chaque coup et de dire « Merci », les coups arrivent sur ses seins, elle pleure, gémit mais compte jusqu'à 20.
Le maître l'embrasse, caresse à nouveau son sexe, elle ne tarde pas à crier son plaisir.
Le Maître reprend la cravache, les coups tombent méthodiquement sur ses cuisses, son ventre, il la fait pivoter, ses fesses prennent leur part à leur tour, Cécile compte et remercie.
Le maître la descend, la délivre, la penche sur le chevalet, attache ses chevilles, puis ses poignets.
Il enlève les cordes qui compriment les seins, refixe des pinces avec des poids, Cécile gémit de douleur quand la circulation reprend.
Il lui caresse le sexe et les cuisses, l'embrasse.
Une douleur, le Maître vient à nouveau de la pénétrer dans son anus, il la pilonne méthodiquement avec une certaine brutalité, elle ne tarde pas à hurler son plaisir.
« Continue, prend moi comme une chienne, prend ta chienne, mon maître, mon amour, défonce-moi, fais moi ce que tu veux... je suis à toi... »
« Oh oui, défonce-moi le cul, encore, continue, fais de moi une chienne, frappe moi... oh oui, encore... »
Michel se libère dans l'anus de sa soumise, revient se placer devant elle, lui tend son sexe, « suce ma salope, ma soumise, suce ton maître... », Cécile suce le sexe qui est introduit de force dans sa bouche, que son maître pousse à fond, elle étouffe, a des hoquets, mais fini par nettoyer le sexe de son maître...
Michel va chercher la bouteille d'eau, lui sert un verre, la fait boire.
Quelques minutes plus tard, il investit brutalement son sexe, la soumise hurle des mots sans suite « Oui, prend moi, baise moi, baise ta chienne, défonce ma chatte... », tout ce qui lui passe par la tête, elle réaffirme son appartenance totale à l'homme qui la viole, elle hurle son plaisir quand elle joui.
Cécile est sous la douche, Michel la nettoie amoureusement avec un gant, du bain douche, il passe doucement le gant sur ses seins, son cul, en insistant sur son petit trou, son sexe.
Puis il lui passe un peignoir, en enfile un, la prend dans ses bras et l'emporte dans la chambre à coucher où il la dépose doucement sur le lit.
Il enlève son peignoir, ôte celui de Cécile, s'allonge à côté d'elle.
Cécile, se tourne, prend son maître dans ses bras, l'embrasse « Merci Maître, merci de faire de moi une chienne soumise, j'ai adoré ça, je suis faite pour ça, je ferai tout désormais, merci... », les baisers alternent avec les serments.
Ils finissent par s'endormir.
Cécile sent confusément un poids sur elle, elle se réveille, se rend compte que son maître est en train de la sodomiser, elle ne tarde par à hurler son accord, son contentement, son plaisir.
Son maître recueille avec ses doigts le sperme qui coule de son anus, lui fait lécher, Cécile lèche, puis nettoie avec sa bouche le sexe de son Maître...
Plusieurs minutes plus tard, il se place au dessus d'elle, elle écarte ses jambes, il pénètre son sexe, la lime, la percute, elle fini par hurler de plaisir quand il se vide dans son con.
Il récupère à nouveau le sperme qui sourd de son con, lui fait lécher, Cécile ne rechigne pas elle est domptée.
Elle lèche, suce, nettoie consciencieusement la verge qui est présentée à sa bouche...
Michel avait réglé le réveil à 5 h 30, il eu le temps de prendre à nouveau deux fois sa soumise, une fois en cul, une fois en ventre.
« Tu reviens dès que tu veux, dès que tu peux te libérer... je reste ici en permanence cette semaine... ».
Cécile promit de faire le maximum pour venir mercredi soir, pour le week-end, elle serai là le samedi matin et elle viendrait dans la semaine Jeudi faire le ménage, elle se mettrait nue précisa-t-elle...

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