Collection Histoire Courte. Le Gardien De Mon Immeuble (1/1)

Ça fait deux ans que j’ai emménagé avec Serge, un designer connu, riche à millions.
J’avais deux possibilités à un moment de ma vie.
Le tapin, modernement dit, escorte dans un catalogue de filles vendant leur corps où et ce fut mon choix, épouser Serge, 68 ans moi qui en ai 20.
Sans aucune formation me permettant de me monter au septième ciel, pardon étages, dans un appartement avec une magnifique terrasse où dès que je le peux, je vis nue.
J’aurais pu être mannequin et gagner largement ma vie en étant indépendante, mais une mauvaise blessure à la jambe, mal soignée, m’a rapidement fermé les portes de ce genre de travail.
Quand dans un cocktail, ou je me demandais avec lequel de ces hommes, je pourrais accepter de vendre mon corps, je suis tombée sur Serge.
Il était larmoyant une connasse lui ayant brisé le cœur et c’est moi qui me suis attelée à lui réparer.
Je vais être cynique, quand il m’a demandé en mariage, je savais que j’avais gagné le gros lot surtout qu’a son âge, il est souvent mou des genoux et je bronze ou je dors tranquille.

• Bonjour, madame Véronique, je vous pistais, j’ai un colis pour vous.

Délicatesse de cet homme, mon mari, pas monsieur Albert, je découvre une boîte que j’ouvre chez moi.
Un solitaire que Serge a fait livrer.
C’est gentil s’est pour nos deux ans de mariage, mais quand je vois la fiche retour dans le paquet, c’est sur Internet et surtout dans une société américaine pleine de controverse.

• Excuse manque de temps.

Ce fut les mots que je lui ai entendus prononcés lorsqu’il est rentré.

• Suce pour me remercier.

Direct Serge, mais, hélas, pas trop souvent.
Au fait, monsieur Albert, je pense à lui quand je regarde la télé pour passer mon temps.
Enfin, ma télé, le grand mur blanc ou un système ingénieux car invisible projette les images.
Conception de mon homme qui lui vaut et sa réputation et notre pognon.


Le nôtre, car lors de mes rares sorties, surtout chez mon esthéticienne ou pour essayer des fringues hors de pris, je suis très casanière.
Donc, monsieur Albert, je pense à lui quand je vois le film « Lautrec » où le personnage principal est petit, poilu et laid.
Monsieur Albert est petit poilu et laid.
Je dois reconnaître que lorsqu’il m’a appelé pour me donner ma bague, du moins le colis, je passais presque en courant tellement j’en ai peur.
Il dégage quelque chose de malsain même si à aucun moment, il m’est manqué de respect.
Je suis une femme entretenue écartant simplement ses cuisses ou sa bouche suivant qu’il me prenne la chatte ou se masturbe dans ma bouche.
Lui, nous l’entretenons simplement pour surveiller l’immeuble et s’occuper des colis comme m’autre jour.

• Madame Véronique, encore un colis, il est là sur la chaise, mais il est lourd.

La belle et la bête, je suis la belle, il est la bête.

• Votre mari est parti, je vais vous le monter, voyez comme je suis fort malgré ma taille.

Il monte devant moi, j’ai accepté même si je crains de me retrouver seule chez moi en lui ouvrant ma porte.
Mais il est très correct et je me retrouve seule.
Mon téléphone sonne, je le prends en main.

• Allo, Véronique, c’est moi.
• J’avais reconnu ton numéro chéri.
Que veux-tu, mon cœur ?

Lorsque vous êtes une femme entretenue, il vous est interdit de refuser vos fesses à celui qui pense que vous êtes sa tendre et un mot gentil comme « mon cœur », assure quelque temps bien au chaud en votre nid douillait.

• Je rentrerais seulement dans deux jours, mon projet s’éternise, mais je crois que je vais leur soutirer un gros chèque.

Un gros chèque, mais reste le temps que tu veux, ici j’ai tout ce qu’il faut à mes envies de luxe.

• Au fait, ton colis est arrivé, je l’ai devant moi sur la chaise de l’entrée.
• Mon colis, mais je l’avais annulé, il est très lourd comment as-tu fait pour le porter jusque chez nous.

• C’est monsieur Albert qui l’a monté.
• Va le trouver et dit lui de le redescendre et de le renvoyer rapidement.
Je t’embrasse, mon amour.

« Mon amour ».
Je viens d’avoir confirmation que je fais correctement mon boulot de pute de luxe, d’un seul homme.
Je prends l’ascenseur et je me retrouve devant la loge.
Je frappe, personne pour répondre.
« Rapidement », Serge a bien dit ce mot sans s’étendre, j’ai un peu peur, mais j’appuie sur la clenche, ça s’ouvre.
Personne dans la loge, une porte ouverte.
C’est là ou monsieur Albert doit vivre.
J’avance, j’entends un bruit de chaise.

• Oh ! pardon.

Il est là des écouteurs aux oreilles, ce qui l’a empêché d’entendre quand j’ai frappé.
Il est là son portable d’une main et sa verge dans l’autre.
Il est là les pieds sur la table me montrant son sexe.
Il est là et son sexe, waouh !
Un engin comme il m’était impossible de penser qu’il était possible que ça puisse entrer dans un pantalon.
Il arrache ses écouteurs comme un pris par sa mère en se masturbant.

• Vous avez frappé !
• Bien sûr, mais comment est-ce possible.

Il reste la verge en l’air, m’obnubilant.

• Gnome poilu, mais membré comme un âne.
Tout le drame de ma vie.
Je suis certain que tu as toujours eu peur de moi.
Tu veux la caresser.

Inimaginable, non seulement j’avance ma main, mais aussi ma bouche comme je le fais régulièrement avec Serge.

• 27 à 28 et 8 de diamètre, oui suce là bien.

Une salope, quand je joue à la femme amoureuse avec Serge et salope quand je le masturbe en lui suçant le gland.
La grande salope et le gnome salace, voilà le couple que nous formons.

• Empale-toi.

J’ai peur qu’il me massacre, mais j’ai pleinement envie de l’avoir en moi.
J’ôte mon string et je le place en moi.
C’est là que ce soit moi qui même le bal, mais là je me demande quand ce pieu va s’arrêter d’entrer dans ma chatte.

À bloc, 28 centimètres jusqu’à mon utérus qui cri de joie.
À moins que ce soit moi qui le fasse perdant complètement le sens et la notion du temps.
Un, deux, trois, j’arrête de compter, les orgasmes succèdent aux orgasmes, mes seins étant aspiré dans la bouche barbue de Lautrec.
Je le trouvais répugnant, mais suprême geste montrant mon asservissement, je lui prends la bouche dans un baiser qui décoiffe.
Tout à une fin, même les bons moments.

• Je viendrais prendre ton colis à 13 heures pendant ma pose.

Prendre, il l’a pris, mais avant c’est moi qu’il a pris en levrette dans mon entrée.
La grande à quatre pattes et le petit accroché à ses reins comme un caniche voulant fourrer un labrador.
Lui y arrive et c’est une nouvelle fois la fête à Véronique pendant plus d’une heure.
Enfin, son sperme gicle en moi, me donnant l’impression qu’un torrent sortait de sa verge pour arroser le centre de mon corps.

• Serge, il y a une petite fuite au robinet de la cuisine, j’appelle un plombier !
• Non, Véronique, avant que je perte, monsieur Albert m’a dit qu’il était capable de réparer ce genre de fuite sans faire venir un plombier.
Appel la loge, il va monter.

Il vient, répare les fuites tellement je coule simplement en la voyant, colmate le robinet et avec l’accord informel de mon mari me labour dans le lit conjugal.
Un colis, une fuite, deux fuites, une lettre alors qu’en temps normal c’est à la loge qu’il me les donne ainsi qu’aux autres colocataires.

• Monsieur Albert Lautrec, voulez-vous prendre pour époux, madame Véronique ici présente.
• Oui.
• Et vous !
• Oui.

Aucune méprise, je suis remariée avec mon gnome au plus grand plaisir de sa verge et de la chatte.
Aucune bigamie, Serge, victime d’un infarctus, m’a laissé tous ses biens, dans le moment où je le cocufiais.
Au dernier conseille de co-propriété la majorité qui se faisait grâce à notre voix pour garder le gardien vient de tourner.

J’ai voté pour un Dictaphone et le licenciement avec une grosse indemnité.
C’est la jalousie qui a dicté mon vote.
Si une des dames, étant encore baisable dans l’immeuble, venait à pénétrer dans la loge et voyait pourquoi je suis à la dévotion d’Albert, j’aurais du mal à la partager.
Même quand avec un tel engin, quand il y en a pour une, il y en a pour deux, elle est tellement longue.
Pognon et sexe intenses, je peux vivre tranquille un bon paquet d’année.

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