Leslie Ar33

Leslie AR33 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite

Bientôt, le jeune-homme a ouvert mon pantalon et je suis le ventre nu, le sexe érigé à
la vue de toute l’assemblée présente
Il flatte mon sexe de la paume de la main et je me suis instantanément ouverte à sa
caresse toujours très douce. Sans perdre de temps il m’enlève le pantalon et je me
retrouve nue, deux doigts fins viennent, alors, doucement flatter le pourtour de mon
anneau, avant que la pointe de sa langue n’agace mon gland.
Alternant, alors, l’action de ses doigts et de sa langue, puis de sa bouche pour
prendre mon sexe en elle, il fait monter en moi une onde de plaisir. Puis il ose un
doigt dans mon anus et mordille de façon infime mon gland.
Cette dernière attention me fait gémir de bonheur, et pour le remercier je l’ai pris
en bouche pour lui administrer une douce fellation.
Il m’a placée dos à lui, accroupie à quatre pattes sur la banquette, puis il s’est
redressé, et m’a fait cambrer les reins et, ainsi impudiquement offerte, il m’a
sodomisé doucement.
Ma bonne résolution était à l’eau, mais cette pénétration par son petit sexe était
presque une caresse.
Je l’ai senti décharger sur mes reins et avant de me quitter m’a embrassé dans le cou
et dans le creux de mes épaules, tout en m’essuyant d’une serviette hygiénique.
Du coin de l’œil, je vois le corps de Passy qui tremblote et les deux hommes jouissent
en elle la faisant hurler de plaisir, emportée par un orgasme de folie.

Benoît est parti pour boire un coup au bar, laissant Passy avec moi, un instant je
cherche Laure du regard, et je l’entrçois occupée dans un box privé avec trois
hommes, en levrette elle suce l’un d’eux, tandis qu’un autre derrière elle la défonce
sous les yeux attentifs du troisième, attendant certainement son tour.

Passy me prend par la main pour m’entraîner vers un autre bar du club, nous sommes à
peine arrivées qu’un cercle d’homme se forme autour de nous.


D’où nous sommes nous avons une vue sur un grand lit rond, qui tourne, et disposé
comme un podium, dessus une sublime blonde est prise en sandwich par deux hommes
fortement membrés qui lui pilonnent les reins. Les gémissements de la jeune beauté
sont couverts par les remarques des spectateurs qui hurlent en se masturbant.
- Ce n’est pas de très bon goût, me dit Passy.
- Cela frise le dégoût de voir ces spectateurs comme de bêtes livrées à elles-
mêmes.

Nous sommes à peine servies que des mains commencent à caresser mes hanches, mes seins
et mes cuisses, certain même osent prendre mon membre en main, le tout sans y être
invités.
Je suis énervée, et après avoir fait les remarques d’usage, avec Passy nous partons.

En retournant à notre place nous avons vues Laure en compagnie de Benoît dans une
petite alcôve privée, devant quelques spectateurs, Benoît sodomisait Laure à grands
coups de reins.
- Il aime bien ton amie, me dit Passy.
- Je pense que c’est sa petite rondelle qu’il affectionne, dis-je.
Et nous avons regagné notre table.

La soirée a continué, comme elle avait commencé,

Des mains, des langues et des bouches, ont parcourues nos corps, puis des mains ont
es Passy à se baisser et à se mettre à quatre pattes sur le sol doux et soyeux,
sa croupe, à cet instant est tendue au maximum vers l’arrière, une autre main écarte
bien les cuisses pour qu’elle s’offre au maximum et elle est éperonnée par un gros
sexe.
Dans un va-et-vient régulier ses fesses viennent heurter le ventre de l’homme, puis sa
bouche est bientôt e par un sexe n’en pouvant plus d’attendre.
Tandis que je regarde Passy subir les assauts de ses amants d’un soir, quelqu’un
derrière moi se colle à moi et tente de me sodomiser.

Je me retourne, énervée, et j’att l’homme par le bras l’obligeant à se mettre à
genoux, puis placer derrière lui, le sexe placé sur sa rondelle je l’encule sans
ménagement, avec la rage au ventre.
La douleur de la pénétration le fait hurler comme
un fou, il se débat, mais je n’ai pas l’intention de le laisser s’échapper, je le
maintien fermement en lui infligeant une brutale sodomie.
Je suis là, enculant un mec et observée par une dizaine de personnes, au bord du
vertige l’homme est bourré par mon sexe, je suis à cet instant une vraie besogneuse du
sexe, livrée à ma colère et à mes instincts.
Marre de se faire mettre par la gente masculine qui n’a même, pas la décence de
demander gentiment si nous, les transexuelles, voulons biens nous faire enculer par
les gros pervers qu’ils sont. Mon énervement est à son maximum, il paye pour tous les
salauds qui m’ont pris pour une dinde.
Aux cris et hurlements qu’il pousse je suis certaine qu’il doit la sentir passer, ma
queue de mec dans son petit cul vierge d’hétéro.
Je vais jouir au fond de ses entrailles et le souillé comme une vraie lopette, ce trou
du cul, ce sac à merde, je le besogne à souhait et je sens que les hommes qui se sont
regroupés autour de moi sont d’accord avec moi.
Les commentaires vont bon train et m’encourage à aller jusqu’au bout.
- Ce n’est pas la première fois que ça se passe mal avec lui.
- Il a essayé de l’enculer, sans rien lui demander, ça lui apprendra.
- Après ça il fera un peu plus attention et sera plus respectueux.
- Oui, d’accord, mais si il revient…
Je me sens bien, je me remets en accord avec la vie et les bons principes, et lorsque
je me repends en lui, je suis heureuse, non pas de plaisir, mais bien plus d’avoir
accomplis un devoir, j’ai remis les compteurs à jour.
Lorsque je sépare de lui, il envoie des mots d’insulte à mon égard, les yeux injectes
de sang et ronger par l’humiliation qu’il vient de subir, et pour toute réponse je lui
dis :
- Va petit enculé pervers retrouver bobonne qui refuse son cul à son connard de
mari.

Quelques applaudissements et avec deux couples et Passy, qui à jouit comme une reine,
nous allons boire un coup.

Peu de temps après, Passy est partie retrouver son homme pour faire un trio avec
Laure, me laissant seule avec les deux couples, charmants au demeurant.
Après une coupe de champagne, ils m’ont proposé de faire une petite expérience avec
eux dans un salon privé, j’ai accepté et nous nous sommes retrouvés tous les cinq en
toute intimité dans une chambre mauve.
Un grand lit trônait dans cette pièce aux glaces sans tain et nous avons fait une
petite partie, pleine de douceur et d’attention.
J’ai accepté de me faire sodomiser par un des hommes pendant que je sodomisais le
deuxièmes sous le regard complice de leur épouse, qui s gouinaient en nous regardant.
Le sexe de mon amant étant fin, je n’ai ressenti aucune douleur, par contre pour
l’autre c’était sa première sodomie, son petit cul serré a eu le plus grand mal à
m’accueillir, mais il a jouit comme un fou lorsque je l’ai pénétré.
Les femmes ont tenues à se faire prendre elles aussi par les deux orifices et je pense
que les spectateurs à l’extérieur en ont jouis comme des fous.

Quatre heures du matin, il est l’heure de rentrer, je récupère mes amis et Laure et
nous partons.
Nous nous sommes couchés, tous ensemble, demain est un autre jour…

A suivre…

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