Leslie Ar31

Leslie AR31 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite

Dalida entre et règle le sauna d’une main experte en un clin d’œil,
Nous nous allongeons sur les deux étages de bancs en bois à l’intérieur du sauna,
l’ambiance est surchauffée. Je me demande si je vais tenir avec cette température.
Il faut un petit moment pour s’habi complètement, dis Dalida, tu peux sortir au
bout de cinq minutes et revenir ensuite, au début c’est préférable.
Je ne me le fais pas dire deux fois, au bout de cinq petites minutes, j’ai déjà le
vertige et je sors me reposer un peu sur les chaises, près de la piscine.
Benoît est là, un livre a la main et me regardant il ne peut s’empêcher de me faire un
compliment.
- Tu es vraiment une très belle femme, dommage que je sois si loin, sinon nous
nous verrions tous les jours.
- Et Passy, lui dis-je.
- Elle serait d’accord et elle se joindrait à nous.
- En fait un petit ménage à trois, dit Lionel.
- A non, à quatre, dis-je, Laure serait de la partie !
Lionel nous regarde éberlué, maintenant il sait que nous avons échangés et que nous
sommes là pour ça.
Sans lui laisser le temps de penser, me revoilà partie vers le sauna pour rejoindre
mes trois amies et soucieuse de laisser Lionel avec Benoît, il va lui expliquer.

Je rentre dans les vapeurs de chaleur et découvre les trois femmes nues.
- C’est mieux d’être à l’aise, me dit Dalida, cela l’élimination des toxines.
- Ah bon, dis-je en enlevant le bas.
Dalida ouvre de grands yeux en découvrant mon sexe d’homme au milieu de mon bas-
ventre.
- Eh bien si je m’attendais, dit-elle.

Je ne peux dégager mes yeux de ses seins, pleins, fermes et merveilleusement soutenus,
elle se rend compte de mon regard et elle vient s’asseoir à côté de moi.
- Ton mari est jaloux, dis-je en plaisantant.
- Tu parles, nous sommes des libertins et je suis certaine que tu lui plais
beaucoup, il n’a pas arrêté de te mâter tout à l’heure près de la piscine.



Elle me sourit et rajoute :
- D’ailleurs, c’est pareil pour Laure, tu verras il va vous faire du rentre
dedans.
Et elle se penche au-dessus de moi pour attr la grosse louche et verser de l’eau
sur les pierres de chaleur, ses seins me frôlent, la sueur de son corps se mélange un
bref instant à la mienne, sa peau est douce, il émane de cette femme une sensualité
extrême, malgré moi je sens une petite chaleur dans mon ventre et le trouble me gagne.
La vision de ce corps si proche, à toucher de main me fait m’évader vers des rêveries
de femmes.
- C’est vrai que tu es attirante, me dit-elle.
Et sur ce elle dépose un infime baiser sur ma bouche en me souriant, le contact de ses
lèvres sur les miennes me fait tressaillir et je commence à bander, elle sourit en
disant
- Et bien je te fais tant d’effet que cela ?
Elle rapproche ses lèvres et pose un baiser un peu plus appuyé.
- Je crois que j’ai envie de toi, dis-je dans un souffle.

Passy et Laure, pendant ce temps, se sont rapprochées et se gouinent sans vergogne
dans un soixante-neuf qui n’a rien à envier aux films de cul.
Mais déjà, la main de Dalida a pris ma joue et elle se rapproche pour m’embrasser à
nouveau, sa langue a ma bouche et instinctivement je me suis ouverte, nos
langues se trouvent, se lient et notre baiser devient plus profond, plus charnel.
Elle embrasse mon cou et enfouis ma tête dans sa poitrine. Ses seins sont fermes et
doux à la fois, je m’y abandonne avant de commencer à lécher des pointes, flatter ses
chairs avec mes lèvres, ma langue.
Elle a doucement calé ma tête entre ses seins et maintien une infime pression sous ma
caresse. Elle soupire.
Ses deux mains prennent mes seins avec ferveur, sa bouche et ses dents attaquent la
fermeté de mes tétons, elle descend la tête et embrasse mon nombril, mon ventre et
doucement la pointe de sa langue lèche le bout de mon gland.

Je me crispe, puis nous nous sommes allongées l’une contre l’autres, nos corps luisant
de sueur et de plaisir sont collés et nos langues se retrouvent, elle me sourit, j’ai
envie d’elle et elle le sens.
La voilà qui se place allongée mais à l’opposé de moi et sa bouche prend mon sexe
dressé, sans préambule, sa langue lèche mon gland, et sa caresse m’arrache déjà
quelques gémissements.
En soixante-neuf je plonge dans ses chairs, flatte son petit bouton de ma langue et
joue avec mes doigts sur ses orifices, elle se redresse un instant et gémis doucement
;
Son sexe est doux, soigneusement épilé au goût sucré, elle me suce avidement, cette
caresse est interminable, nos têtes ondulent, nos corps surchauffent, Dalida trop
excitée se crispe et inonde ma bouche.

Je suis un instant troublée par un courant d’air froid, je relève la tête, la
jouissance de Dalida coulant de ma bouche. Benoît et Lionel sont là, dans
l’entrebâillement de la porte et nous regardent avec de drôles de regards, les yeux
remplis de désirs.
Benoît va vers Laure et Passy, enlève le bas de son maillot et propose son sexe aux
lèvres de Passy, ce qui suit m’empêche de voir ce qui se passe ensuite, car Lionel
s’approche de moi et pose une main sur ma joue, puis m’embrasse, j’ai le goût de la
mouille de sa femme.
Ils sont venus troubler cet instant de plaisir, Dalida s’est redressée et elle me
prend dans ses bras, aimante, caressante.
- Laisse le venir se mêler à nous, fais nous confiance, me dis Dalida.
Elle s’est redressée et m’invite à me lever, me place dos à elle et m’embrasse, elle
se met à genou et commence à lécher doucement mon anneau en se frayant un chemin entre
mes fesses, sa langue chaude mouille bien mon petit anneau.
Lionel s’est approché, je réalise alors que son sexe est monstrueux, long et très
large et surtout plein de vigueur.

Il me prend à pleine bouche, sa langue s’enfonce dans ma bouche tandis que ses mains
caressent mes cuisses, mes seins, mes fesses.
Mais la caresse de Dalida est irrésistible, mes cuisses sont grandes ouvertes tant sa
langue est précise dans ma raie et sur ma rondelle, elle me prépare avec passion et je
vais me faire enculer comme une reine.
Les deux grosses mains de Benoît ont pris mes fesses et les entrouvrent, puis il ploie
sur les jambes et après avoir pointé ma rondelle, il pousse pour me pénétrer.
Sa pénétration m’arrache un gémissement de douleur. Mon petit cul est écartelé par un
gland énorme malgré et, grâce à la salive de Dalida, il entre en moi avec toute sa
puissance de mâle viril, mon sphincter cède, prêt à rompre par le membre qui me
pénètre, il ressort et reviens en moi, me faisant gémir.
Sa seconde pénétration est plus profonde, je suis remplie à fond mais Dalida m’ayant
prise en bouche me soulage de la douleur. Mon intimité est possédée par le couple, le
phallus de Lionel pilonne maintenant mon anus, tandis que la bouche de Passy me
possède le membre.
Lionel imprime maintenant un torride va-et-vient et progressivement mon anus
apprivoise son imposant compagnon de plaisir, mes cuisses sont complètement
écartelées.
Puis sans me quitter, enfoncer au plus profond de moi, guidé par Lionel nous nous
asseyons, moi sur lui et Dalida me reprend en bouche dans une position plus
confortable.
Dalida me dit des mots pour m’exciter encore plus ;
- Je vois comme il te remplit bien, sens bien sa grosse queue en toi, tu l’aime
sa queue !
Une de ses mains me branle tandis que l’autre agace mes sein, alors que Benoît,
imperturbable, continue de me pilonner sans relâche en ma faisant et monter sur lui.
Le plaisir monte en moi dans cette chaleur étouffante, je crie ma jouissance et je
m’évanouis.


La fin de la journée n’a été que sexe, les deux hommes visitant, à tour de rôle, tous
les trous disponibles. J’ai sodomisé Dalida et Lionel et avant de partir Lionel m’a
dit :
- T’es trop bonne !

Nous sommes rentrés chez nos amis, Laure n’en pouvait plus et est partie se doucher,
moi un grand verre de whisky et je me suis affalé dans le canapé en attendant que mon
petit trou me fasse moins mal, si jamais il y avait partouze ce soir il faudrait
m’oublier un peu, en fait je ne serais qu’active.
Après une bonne douche, je me sentais à nouveau en forme, mais cela ne me faisait pas
oublier ma résolution, pas le cul de Leslie ce soir…

A suivre…

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