Leslie Ar35

Leslie AR35 - Les confessions d’une adolescente

Vous souvenez vous de Charlie, un joli bout de femme que j’avais rencontré lors d’un
vernissage. Durant notre liaison elle m’avait fait quelques confidences sur son
adolescence…

« Ma mère, a certainement trompé mon père et c’est pour cela que je l’ai peu connu.
D’aussi loin que je me souvienne, je ne me rappelle pas avoir vu d’hommes aller et
venir à la maison avant mes quinze ans, maman étant discrète mais je savais qu’elle
recevait des hommes à la maison, d’ailleurs je me souviens que les jours de vacances
scolaires, ma mère m’envoyait souvent chez la mère d’une amie qui habitait dans un
autre appartement de l’immeuble.
Nous habitions dans un HLM, au cinquième étage, et comme dans tous les appartements de
ce type nous pouvions entendre le bruit des voisins. C’est comme cela que je savais ce
qui se passait à la maison car Maman, n’avait pas la jouissance très discrète et c’est
assez souvent qu’elle me réveillait la nuit par ses gémissements ou ses cris.
A l’époque ça ne me dérangeait pas beaucoup que ma mère passe pour une salope dans le
quartier, seules mes études m’importaient et pendant qu’elle se faisait tirer par les
voisins, elle me laissait une paix royale.
Mais j’imaginais bien, ce qu’on pouvait dire d’elle dans le quartier…

Maman, était une petite, brune aux cheveux mi-longs, une belle paire de seins et un
joli fessier, assez large. Un visage d’ange, à qui on donnerait le bon dieu sans
confession et qui devait à l’époque exciter les mâles.
C’est l’année de mes quinze ans, maman en avait elle trente-cinq, m’ayant eue à vingt
ans, que mes copines m’ont raconté, qu’apparemment, Maman ne s’ennuyait pas durant ses
congés et que tout le quartier lui passait dessus.
Bon, je m’en doutais un peu, j’avais ignoré me réfugiant dans mes études, mais là,
j’avais honte, j’étais la fille de la salope du cinquième, et les gens me regardaient
d’un air qui en disait long, certains s’imaginaient sans doute que j’étais comme elle.


Qu’ils pensent ça, ne me dérangeait pas plus que cela, je savais que ma mère était une
salope compte tenu des cris la nuit qu’elle poussait et des mots qu’elle disait.
Et j’avoue même qu’au-delà de la honte que je ressentais, il y avait en moi une part
d’excitation, car il m’arrivait même de me caresser en imaginant les membres que ma
mère recevait en elle en l’écoutant pousser ses hurlements de plaisir.

La vie a continué ainsi, ma mère continuant d’être une salope et moi plongée dans mes
études, me caressant la nuit au son de ses gémissements.

Un jour, en rentrant plus tôt que prévu, j’ai entendu du bruit qui venait de la
chambre de ma mère. Je m’approchai lentement sans faire de bruit.
Ça parlait et riait, elle n’était pas seule. Je ne sais pas pourquoi, je décidai
d’aller voir. Je passai donc par le balcon et très discrètement, je me suis mise près
de la fenêtre qui était entrouverte. Bien plaquée contre le mur, je regardais dans sa
chambre.
Maman, debout près du lit devant la grande armoire recouverte de glaces, portait un
corset porte-jarretelles, seins nus noir, maintenus par de fines bretelles et agrafé
dans le dos. Il lui serrait la taille laissant apparaître son ventre au travers d’une
bande de tissu en dentelle et se finissant par un petit voile. Des bas noirs et un
string ficelle en dentelles assorti au corset laissant apercevoir sa chatte lisse.
Je n’aurais jamais pensé que ma mère se rasait la chatte. Dans la glace, je voyais son
postérieur dont le corset accentuait les courbes généreuses de ses hanches et la
ficelle du string avait disparu dans la raie de ses fesses.
Sur le lit de ma mère, j’en suis resté bouche bée, le gardien était là nu, laissant
entrevoir une grosse queue épaisse au gland violacé. Bel homme, un peu plus âgé que ma
mère, il portait toujours sur moi un regard lubrique et à chaque fois que je passais
devant son local, il trouvait intelligent de me siffler.


Il faut dire que j’avais tendance à m’habiller de façon un peu provocante depuis
quelques mois. Peut-être, inconsciemment, pour tenir la dragée haute aux gens du
quartier et pour leur montrer que moi aussi, je pouvais être sexy et intéresser les
hommes.
Maman ne voyait pas d’inconvénient à mes tenues provocantes et les garçons me
collaient toujours aux basques espérant mes faveurs, les filles m’enviaient un peu.
Je ne voyais donc pas pourquoi, même si j’essuyais quelques remarques désobligeantes
de certaines personnes, pourquoi j’aurais changé la façon de m’habiller.
J’avais une petite poitrine bien formée, et j’en étais fière, j’avais tendance à plus
ou moins l’exhiber dans des décolletés profonds ou des chemisiers translucides, que je
portais sans soutien-gorge. Je portais, aussi, des jeans serrés qui me moulaient bien
mes petites fesses et mettaient mes hanches étroites en valeur.
Et parfois, quand je portais de petites jupes mi-cuisses, le quartier était en
ébullition, ma mère, à cette époque me laissait me maquiller légèrement, et quand je
sortais avec des hauts talons, elle me disait :
- Tu vas mettre le feu au quartier.
Ou encore :
- Un de ces jours tu vas te faire violer !

Dans la chambre de ma mère, Richard, le gardien, se masturbait doucement tout en
regardant maman, puis il lui dit :
- Allez ma belle, viens me sucer,
Maman monta à quatre pattes sur le lit et commença à le branler doucement, déposant de
petits baisers sur le gland. Puis avec sa langue, elle remonta le long de sa queue
pour la prendre dans sa bouche et se l’enfoncer toute entière. Richard poussa un long
râle de contentement.
- Humm, t’es la reine des suceuses.
Je voyais le cul de maman s’agiter dans la glace sous les caresses de Richard qui ne
tarda pas à lui écarter le string pour lui mettre un doigt dans la chatte, puis deux
et il les ressortait luisant de mouille.

Le spectacle était fascinant, passant de l’imagination nocturne au spectacle de jour…
Maman le suçait en lui massant ses grosses couilles. Il la branlait sans ménagement et
maman avait l’air d’apprécier le traitement puisque je l’entendais gémir, gémissements
étouffés par l’engin qu’elle suçait. Parfois, elle relâchait la queue de Richard pour
pousser un long râle de contentement, comme souvent dans la nuit.
Rapidement maman l’enjamba et, d’une main, dirigea sa queue à l’entrée de sa chatte.
Elle devait avoir du mal à entrer parce qu’elle y allait doucement en poussant de
petits soupirs.
D’abord face à lui, je voyais son cul monter et descendre sur cette hampe de chair
gonflée. Puis elle se retourna dos à lui pour reprendre sa chevauchée fantastique. Je
voyais les seins de maman monter et descendre à un rythme effréné.
A chaque fois qu’elle s’empalait jusqu’à la garde, de tout son poids, elle hurlait son
plaisir, pour finir, après avoir hurlé sa jouissance à en alerter tout le quartier.
A un moment, Richard se dégagea et la prenant la disposa en levrette, et la repris
dans cette nouvelle position, comme avant je pouvais voir le gros membre de Richard
entrer et sortir de la chatte de ma mère. Il la pistonnait comme un forcené et elle
hurlait comme une folle.
A un moment donné, ma mère s’est redressée en criant :
- Non !
Ne sachant pas pourquoi, je ne compris pas tout de suite, mais en observant j’ai vu
que Richard tout en baisant ma mère lui avait introduit un pouce dans son anus offert.
- Non, Richard, tu vas encore me faire mal.
- Mais tu adores te faire prendre par le cul, lui dit Richard.
Et sans laisser le temps à ma mère de répondre, il se dégagea de sa chatte et lui
enfonça son membre raide dans le trou du cul.
Apparemment il l’encula sans difficulté, preuve que ma mère avait l’habitude de cette
pénétration intime, son anus maintenant largement déformé par le sexe de son amant
l’accueillait sans problème, faisant juste hurler ma mère, mais je ne savais pas si
c’était de douleur ou de plaisir, peut-être les deux mélangés.

La sodomie dura longtemps, Richard paraissait endurant, ma mère hurlait en disant :
- J’ai le trou en feu, arrêtes j’en peu plus !
- Je vais te remplir ma salope, dis Richard.
- Non je veux te boire !
Se détachant de Richard, ma mère se jeta sur sa queue, m’offrant en vision son anus
encore grand ouvert, elle était indécente, mais très rapidement elle fit jouir Richard
dans sa bouche et avala toute sa jouissance.

J’avais les joues en feu. J’étais dans un état second, comme jamais je n’avais été, je
sentais que toute mon intimité était humide. J’aurais voulu me caresser et me donner
du plaisir pour faire retomber la pression qui venait de naître en moi.
Mais je me suis enfuie discrètement pour aller chez une amie et ne rentrais qu’à
l’heure habituelle.
Lorsque je suis arrivée à la maison, maman m’attendait en robe de chambre comme si de
rien n’était, fraîche et détendue.
Toute la nuit, la scène repassa devant mes yeux, j’étais bouillante, transpirante, ma
chatte devenait humide malgré moi. Je me suis caressée doucement découvrant la
sensibilité de mon clitoris et du plaisir que j’en tirais de le caresser.
J’ai senti que quelque chose montait en moi, comme une grande vague de plaisir qui
envahissait mon corps, j’ai dû mordre mon oreiller pour ne pas hurler quand la
jouissance m’a terrassée inondant ma main de ma liqueur intime.
Je venais de jouir pour la première fois. »

A suivre…

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